28 juillet 2010

PILIERS DU BOOGIE

Au saut du lit
Parait qu’on cause que rugby passqu’avons rien à dire sur autre chose. Des petits mollets anonymes prétendraient même en cachette, que hors la baston point de vision, d’intérêt pour la science... sinon même les zarts... les notes, la gouache, les tableaux... le septième art des pellicules... !!! Ach !!! Qu’on scribouille comme une savate dans un style par trop emphatique, voire boursouflé, marlou,   
pour masquer du rien dessous !!!!
Arg !!! En un mot sommes une rustre de bestiole qui ne pense qu’aux gisquettes, aux pruneaux... aux châtaignes... un brouteur de pâtis qui rumine dans sa prairie en regardant passer la locomotive All Black... et ses petits wagons suiveurs... un tintinnabuleur de pichets qui digère son gigot, poule au pot, tartines en sauce... cholestéro...  
un peu limite du ciboulot !!!!

C’est ARCHI FAUX !!!!

A moins qu'on nous bassine pour avoir du sus ? C’est ça ?  
Du Pilier Twitter qui balance ses passions, p’tits goûts identitaires, histoire d’affirmer son existence... connaître plus le gazier pour se rassurer de bien cliquer où il faut... être au plus près du modèle koi... on veut d’la sucrette story... d’l’intime pipolerie... on veut savoir ce qu’on fait en se grattant le croupion au réveil de l’été entre la couche et la douche à savon ?

Ok ok... sommes bon zig !!!!
Nous zaussi pouvons dévoiler du live immédiat, raconter l'anodin ki nous plait, dire c’qu’on est... taire c’qu’on vivra jamais ! Yap !!! Tenez, c’matin, juste après de savantes compos élaborées aux mouvances du Dunlopillo, puis zest de réflexion sur l’équanimité modulaire occasionnant son zazen cognitif en joute aux fractionnement des critères neurophysiologiques sous-tendus par
une perception subsymbolique déroutante... avons écouté cette petite merveille de song, une des très rares chansons Pop Blues, sinon la seule... composée jadis par le plus master des groupes de Boogie blanc...  
Canned Heat.
Son titre : Time was ! Sise sur l'album Allelujah... 1969... avec une des plus belles paires basse-batterie de l'histoire du Boogie Blues... Larry Taylor, qui jouera later avec John Mayall...Tom Waits... et le génial Fito de la Parra aux drums légères. Le chanteur Alan Wilson dont John Lee Hooker prétendait à raison qu'il était "le plus grand harmoniciste de tous les temps" est mort peu après d'une overdose de cachou... Arg ! Big Bob Hite, l'autre chanteur casse sa pipe dans les années 80 (la tof avec les longues douilles)... n'oublions pas la rape solo du cinglant Henry Vestine qui fit ses gammes chez les Mothers of Invention du déjanté Zappa. On vous la livre pour partager ce mÔment d’existentialitude afin que soyassez tous plus proches de nos zaffinités !!! Yeeeeeah !
Ce que les Blacks sont au rugby, 
Canned Heat l'est au Boogie !!!
A écouter sur des enceintes, où casque selon l'aisance voulue, pour bien entendre l'articulation de la basse... le seul son d'ordi n'y suffit. Merci qui ? Le Pilier du boogie pardi ! © Le Pilier
... ça bouge pas mais ça balance... une blouze pop unique.
Un p'tit conseil Pilier, attendez la fin d'la surprenante vidéo et pourrez mater "going up the country" la song du générique de Woodstock... entre autres... avec Alan Wilson bien en tronche télé et Bob Hite qui singe le flutiste... sinon zavez du live à la fin de "Going up..."... bref une série Boogie sans quitter nos pâtis... Ach !