Pas végane pour un topinambour, King Frédo déboule la carne entre les crocs avec son panel d’anti héros de l’acte diurnal. Ya le sujet kantien un... c’est déjà bien… mais qui peut pas sortir la gonfle de son ruck sémantique… ya presque du Heidegguerre lasse où l’être et l’étang se chicorent dans des zeaux turbides, devant un Dasein qui tente en vain de les rabibocher… d’où l’ennui que cela engendre… un Kiarostami qui préfère le présent aux promesses… un Satie qui gymnopédise son idéal... ya du sensas à kiffer… kié là pour soi… qu’on cultive en son coin sans spécisme aucun. Ya de l’infini, du dépassement sans clignotant, de l’harmonie, de l’unité qu’on trouve à la prêle des grands marais asséchés de la bisounourserie bienveillante... ya du sujet de psychanalyse incapable de percer la ligne du signifiant... un philosophe de la Bâle qui met les adjas pour faire un truc à recauser... bien sûr !!!
Ya aussi du Black pardi, de l’Achtung mon coco… et surtout le constat du sublime que l’être n’a même plus la peine de se décarcasser à constater, qui se dissout tout seul, pissque le sujet est lui-même en tant que !!! Hé hé !!!
Non La chronique du King Frédo n’est pas qu’une simple fonction instru-mentale de spéculation abstraite, ironik com Erik... elle est plus que ça : un dévoilement roboratif et bienheureux de la relation singulière qu’entretient le sujet romantique à son existential !!!!! Une axiomatique en somme, dont les propositions démontrables pourront être déduites, si et seulement si le sujet y met du sien… faut pas pousser... pour dévoiler urbi orbital, sinon uniment, sans ambiguïté, ke croire c’est dire !!!!!!!! C’est ça non ? Essential non ???
Les Blacks n’ont k mieux se tenir… et fissa, tout rentrera dans l’ordre !!!! Hips !!!
Allez hop, un 'tit dictame du velvet gentleman, pour accompagner toussa !!!
Jouer avec le Réel comme Impossible, mais t’es fracasse du ciboulot mon Frédo, y’a un fil qui fait masse, t’as le crabe de la caboche ou koa, t’en es déjà à sucrer les fraises ??? Pis les pâtis du Réel pur jus ???? Ohlala, mais pétard, t’as toujours rien pigé frérot, bien sûr que c’est possible de taquiner l’Impossible, c’est même pour nouzautres un nécessaire !!!!! On peut comparer avec le devoir kantien, kekechose ka à voir aussi avec la question du sujet, ke té, ke chuis, koné tous, ceki nous anime, kekechose avec l’éthique itou. Do not forget que l’éthique est un acte du sujet authentiquement désarticulé de toute référence au grand Autre – le vrai lièvre à saisir par les oreilles pour Mister Prop au fait. Et bien sûr que les pâtis en sont, du vrai, de l’authentique, taka prendre ta trott électrique et monter le Tourmalet, et tant que tyé taka plaquage sans ballon et passe-en-avant autoriser – le foot US koa – de ton Réel chamallow on n’en aura rien à carrer !!!! Et les espadrilles catalanes, les pousseurs de citrouille, les danseuses de terre battue peuvent aussi aller se brosser !!!!!! Elevé sous la bête nous, sommes pas rata, nous cé foie gras !!!!!!!
Je m’appelle Erik Satie comme tout le monde. Je suis le héros d’une histoire dans laquelle il y a ni histoire ni héros disait Kiarostami. Je n’existe pas, le fait est notoire pondait Beckett. Une même chose, même idée là. Fente, manque-à-être, aphanisis, béance, bon cépafo, mais peut mieux faire, sûr, et on va pas attendre la Faucheuse à pleurer sur ce Rien qui nous tiendrait. Tu commences à saisir tipeu ma chérie???? Tiens, illustration for example, on focus sur les définitions kantiennes entre Beauté et Sublime, ki sont opposés en référence à l'axe sémantique qualité-quantité ou formé-non formé ou limité-non limité. Paraît ke la beauté calme et réconforte quand le sublime excite et agite, but we are not agree !!!
D’ac la beauté n’est ni préparation ni cause amont à la connaissance, cé pas propédeutique, mais, passque y’a un mais, touca reste kéblo sur le palier d’une universalité sans concepts, et cé là kon déboule avec nos begriffs, passque fô des concepts comme fô un cuir sur un pâtis pour s’amuser, jouer et toucher au Sublime, justement !!!! On kiffe le Sublime pour ce Kil est, une infinité, l’infini au-delà de soi ki fait écho à l’infini en soi – plus tu vas chercher le premier plus tu trouves le second d’ailleurs. Bref, un dépassement non régi par des déterminismes, et donc lieu de liberté, un espace, une respiration, où on retrouve la quête augustéenne de l’harmonie et de l’unité, tout l’inverse et l’exact opposé de l’ennui profond chez Heidegger.
Et ben le jeu des Blacks avec le Réel – s’amuser à gagner – avec les règles conceptuelles des chicores et leurs amazing skills – sinon cé la Soule du pays d’oc dont on a déjà causé, du n’importe nawak pur jus cuilà aussi – c’est sublime, c’est un Sublime, un Vrai, kon constate tout autant Kil nous constate. Achtung, autant ke la joie indissociable du tragique, autant ke le Sublime indissociable de son antonyme, le pas bô koa !!! Unfortunately, ça leur arrive itou…..
Le sujet de la psychanalyse parait-il est à jamais inséparable d’assujettissement (au signifiant), dont il ne saurait s’affranchir, qu’au mieux il peut prendre le signifiant pour ce qu’il est, juste, dans sa pure contingence différentielle avec un autre signifiant, qu’au mieux toujours il accepte de prendre des choix forcés pour des choix libres – la bourse ou la vie. Mouais, bof-moue boudeuse. Passque le sujet de la philosophie, enfin un sujet, son blaze c’était Friedrich N. et il créchait à Bâle, lui a réussi justement à s’extraire, sur ce point archi précis, à mettre les adjas, à faire un truc, on en recausera later.
Bon ben nous on décide de s’assujettir au Sublime (tout en s’affranchissant de la circularité pulsionnelle du reste), non pas passqu’on le doit ni passqu’on le peut mais passqu’on le veut !!!! Cé not’désir !!!! S’assujettir au Sublime, et ki n’en est plus un puisqu’à son contact le sujet se constate lui-même, en tant que.
Et, en vrai, ça a quand-même de la gueule non, les potos ??? Pas tous les matins hein kune telle gazelle tu péchos ??? Oui oui, c’est bô, oui oui c’est çà le haut niveau, oui oui aussi tire donc ton picrate du tonneau, I remind you moi cé Frédo, ze King, en un mot King Frédo !!!! Pour vous servir, Yo !!!! Spéciale dédicace @ le Pilier, et donc tu parlais de pédalo, de mes mollets et de pieds dans l’eau ??? ©
King Frédo
