SMART BALL : L 'INTELLIGENCE DU VIDE !

Enfin d'la news à la mesure de la cognition ambiante. L'arrivée décisive sur le pâtis, pleine mêlée, ruck, tatanes et partout du Smart Ball... qu'on attendait tous. Un ballon pucé, connecté à des bulbes, qui va nous livrer son temps dans les airs, dans les paluches de n'importe qui, sa vitesse, le nombre de rebonds volontaires... bref un tas de trucs impensables encore hier !!!

Ça manquait au rugby !!! 

On comprenait pas tout... pour cause, le module majeur, étrangement ovale, figure presque d'imbécile, que les trente gaziers poursuivaient, s'arrachaient, se transmettaient même, était vide de toute réflexion, que d'air dans son cassis, ne refilait aucune info, disparaissait penaud à la fin des joutes dans un vulgaire sac de sport, sans que personne ne se préoccupe de ses humeurs. 

C'est fini !!! Ils z'ont boosté le cuir, donné vigueur à la balle !!!! Enfin un module inerte, K des choses à raconter, qui nous ressemble !!! 

Pisqu'on cause de ballon INTELLIGENT !!! SIC !!!

Plus on est branque, plus les objets qui nous entourent prennent le relais. 

La pantoufle, le frigo, la poignée de porte, la tartine de confiture... le crampon, la semelle et bientôt le sifflet intelligent pour soutenir voire suppléer l'arbitre par trop sollicité !!!! Hé hé !!!

De trois choses l'une. Soit on a vraiment besoin d'un calbute intelligent pour ne jamais plus louper sa mise en machine au moment ad hoc, soit le signifiant "intelligent" n'est plus, ou n'a jamais porté que l'ombre de significations douteuses qui définissent parfaitement nos natures d'hominiens-la-tronche-à-pneu qui nous sert de simple gueuloir... soit encore le ballon intelligent plein d'air nous ressemble donc, comme deux gouttes !!!! 

Désormais on dira plus "con comme un ballon", 

mais "ingénieux comme une baudruche", 

"lucide comme une vessie"...

donc aussi,"Fûté comme un cuir, 

un frigo, un chausson"!!!

... Puisque tout sera connecté IA !!! Ha ha !!!

Ya que des pépins dans nos citrons, pas possible là, c'est la fin de tout espoir déjà ténu, le début des temps ultra reculés. En même temps, si le joueur est un peu jacques des connexions, corniaud de l'intellection, truffe au cortex... un rien ruminant, pour sûr, un ballon INTELLIGENT au soutien près de soi, ne peut qu'aider au broutage !!!! 

Le sieur Albert nous disait qu'il pouvait se faire une idée de l'infini concernant le cosmos, mais pas de celui des profondeurs insondables du crétinisme sapiens. 

Pas besoin de se plonger dans la relativité pour être raccord avec lui !!! Plus banane que nous dans l'univers ya pas... ya jamais zu... pu k espérer le secours de la pompe à rebuts et sa chasse d'eau INTELLIGEMMENT connectées s'entend, pour évacuer toussa !!! Hips !!! 

© Le Pilier

ALL BLACKS FIRST

D’un poil de point donc !!! Allitération génuine qui sautille comme le rebond favorable d’un cuir intempestif, souvent, maîtrisé une fois de plus par les maîtres du pâtis. S’en est fallu de peu, mais peu suffit pour remporter le Championship. Certes n’ont pas fêté la chose sur le terrain même, comme dab. Ont attendu, sinon espéré, la performance des Argentins, qui nous fit bien dire dans une bafouille précédente qu’allions vers une victoire par défaut plus qu’excès. 

Mouais… Il n’empêche qu’ils sont bien là, à la place qui est la leur… 9 victoires en 11 participations qui fait mieux ? 19 en 27 ans depuis le début des tri-nations. Peuvent certes remercier les Pumas qui se sont bien battus, malgré trois jaunes, dans une partie qui en totalisait cinq… une vraie joute de comptoir où ce brouet d’indiscipline confirmait sans doute quelques fébrilités… de part et d’autre. 

Les All Blacks sortent donc vainqueurs du tournoi antipodien 2022. Que dire de plus que n’avons déjà exprimé, sinon que Foster a probablement sauvé un temps sa bobine, et que sa team telle l’architrave imputrescible surmontée d’un arc de décharge à toute épreuve, a su résister au poids pléthorique de la vindicte populaire, critiques écrasantes diverses, épigrammes acides, désillusions compassées, et maintenir l'édifice au panthéon des pâtis !!! Bravo les gars !!!

La pleine saison des violons de l'automne et sa tournée très attendue, nous inspire curiosité, sachant que pour la première fois de notre histoire, un God save ze King inédit résonnera entre les colonnes endeuillées de Twickenham. De quoi faire dire à certains qu’une nouvelle ère s’annonce, comme au Pilier dans sa formule apodictique en langue shakespearienne, pour l’occase, d’affirmer : Everything is different, nothing changes !!! © Le Pilier

ERRATUM

Un peu vite en besogne cher Pilier. Vous avez dit lors de votre précédente bafouille que les All Blacks sont probablement partis pour remporter le Championship. C’est oublier que les Boks restent dans la course, et que les NZ ne sont pas à l’abri d’une défaillance au regard de certaines joutes récentes. Alors, quoi ? Était-ce là diagnostic… préscience infuse qui sait tout avant les autres ? Voulez à tout prix que les Blacks s’en sortent avec le cruchon ? 

On nous za dit ça lors d'un partage éristique dans une tanière à cruchons !!!

- Ben l’ami, l’adverbe sus livré tient lieu quand même de prudence, si l’on peut se permettre. Un probablement reste éventuel… suspendu à la nef probabiliste... un possiblement réalisable si voulez, sans plus. Certes avec opinion favorable, sachant qu’ils jouent at home, que la nation entière est déjà bien vénère, que le staff est sur le grill… et que les joueurs auront à cœur de donner le meilleur d’eux-mêmes histoire de n’être plus vertement en butte aux lazzis !!! Pour sûr ça ne suffira pas à calmer totalement l’ardeur des opposants à la prolongation de Foster en tant qu’entraîneur… d’autant qu’il nous met Beauden Barrett à l’arrière alors que sa place est à l’ouverture nom d’une pipe de st Georges, c'est le seul qui crée vraiment la surprise !!! Soit !!! 

N’ayant pas la pulsion diagnostique rivée à notre irrévocable entendement, cependant, sauf quand elle nous apparaît malgré nous par on ne sait qu’elle magie parée d’évidence… sommes ok pour laisser en suspens notre intention et, par nécessité constitutive d’une prudence éclairée, consacrée aux visions amortissantes, en guise d’erratum, affirmons, sans fard et ludique, afin d'éradiquer un mi-figue et raisin qui ne saurait seoir au maître du lieu, que les Blacks vont remporter le tournoi d'un poil !!! Allez hop !!! De quoi exposer nos flancs si d’aventure faisions erreur ! © Le Pilier

DURA LEX SED LEX

Pas sûr que M Reynal, notre arbitre tricolore, demeure en odeur de sainteté chez les aussies dans les temps qui viennent. Que dire de sa décision finale ? Elle n’est pas infondée, en effet... elle est cinglante et difficile à avaler pour les autochtones, sans doute aussi. Donc les kangourous trouveront ça injuste, et les Néoz, qu’il faut respecter les décisions arbitrales. D’autres diront encore que ce n’était pas une pénalité, que les aussies se devaient de défendre fermement leur ligne, que l’essai n’était pas tout fait !!! 

Foley est de toute façon responsable de quelque chose, il n’avait pas besoin de l’avis de ses copains pour s’enquiller la pénaltouche, donner du souffle à sa team. Les avants auraient traîné la patte en se positionnant pour gagner du temps, puis conservé probable le cuir et remporter la joute. D’autant que Reynal l’avait averti… il a raison de dire que Foley était prévenu. Alors ? Dura lex sed lex comme on dit en langage ordinaire !!! On peut en rester là. 

Même s'il s'agit toujours de son interprétation. La loi n'est rien en soi, elle n'agit pas !!! Elle a besoin d'un bras, d'un sifflet, d'une tête canonique... un élastique à la merci d'une éthique... inaltérable !!! Hips !

Trois jaunes ce n’est pas anodin non plus. La rotule bousillée de Tupae méritait p’têt un rouge aussi. Les locaux on fait montre d’indiscipline et M Reynal a bien arbitré cette rencontre. L’histoire, elle, comme on dit, va remiser ce détail dans les abîmes de l’oubli. Les stats, comme dab, à sensibilité délicatement mathématique, n’en auront cure !!!

Bref, et soit !!! 

Les Blacks sont passés près de la défaite quand même, alors qu’auraient dû assurer leur avance confortable bien avant ce retournement intempestif. Car quoi, avec trois jaunes chez les locaux se retrouvant un moment à 13, la partie semblait jouée. Il n’en fut rien. Belle remontée des australiens qui semblent retrouver du jus et ce en l’absence de leur capitaine Hopper. De bon augure ? 

Les Blacks sont moins All Blacks quand même. Une action emblématique rendra compte du fait. A la 43ème minute du match. Les aussies sont 13 gaziers sur le green. Rieko Loane impec prend le trou, transmet à Sotutu son 8. Les noirs sont 4 contre 2 (la tof)… au lieu de fixer pépère l’arrière et servir par exemple Retallick bien positionné pour l’envoyer sans doute à l’essai, cet empaf de troisième ligne donne un coup de saton improbable, autrement dit se débarrasse du ballon, récupéré par l’adversaire… s’en suivra une pénalité en faveur de ce dernier. Dab ne loupent pas une telle opportunité les NZ… savent se placer, pensent à la transmission avant toute chose. Une occasion manquée qui signifie bien ce qu’elle doit faire penser !!! Arf ! 

De même, juste avant cette action, le solide talon Samisoni Taukei’aho qui plante son second try… a pris un sacré risque. Avait 4 coéquipiers à côté de lui pour assurer l’en but… servir Whitelock… et consorts. Bon, il marque, c’est ok, mais pas All Black à proprement parler, ça. Le cuir est plus important que le gonze qui le porte. 

On passe sur l’ailier Caleb Clarke qui le conserve toujours après une percée, sans vraiment lever la tête et chercher un coéquipier. Personnel le gonze, pas AB non plus. Bourrin !

37-39 au final… c’est heureux, mais les NZ n’ont pas l’assise et la maîtrise des grands jours. Cependant vont probablement remporter le Rugby Championship 2022, sont partis pour… alors ? 

On dira un rien par défaut !!! © Le Pilier

RÉVÉLATION

Ya sûrement foultitude de bonnes raisons qui s’alignent gentiment pour expliquer les résultats en accordéon des maîtres du pâtis, calibrés All Blacks !!!  Comme l’avons exprimé ici même, pas le grand cheptel d’hier, une cohésion ductile, des failles d’organisation ? Un système de jeu déficient, des inamovibles vieillissants ? Pas de meneur de troupe incontestable, de 'pitaine imparable ? Un entraîneur qu’a pas la vision qui faut ?  Un blues pandémique insidieux qui ravage le moral des troupes... une crise endémique qui taraude les cassis et que sommes trop loin pour en saisir la teneur profondément pathologique ? 

Le grand quinze ne suscite plus le même intérêt chez popu, sont plus soutenus par le public ? Moins de bambins, de grands gaziers pour demain dans les écoles de rugby ? Le ciel entier et son nuage flottant leur sont tombés sur la tête ? Des crampons made in China qui font patiner les arpions ? Des lacets qui ralentissent, des paluches qui se flétrissent ? Etc comme on dit quand on est à court d'idée... ou qu'on veut pas en rajouter. 

En somme tout un tas de trucs qu’on pourrait balancer pour tartiner deux A4 et se faire, pour certains, le chantre de la vision juste, de l’explication assurée, de la vérité vraie ! 

Mouais, mouais !!!

Une posture neuve nous semble toute indiquée pour se poser un temps vers un espace salvateur. On pourrait dire, façon d’ombrer la voie, que le sponsor français sis au milieu du plexus Néoz, Altrad pour ne pas l’encenser, plombe cette magistrale nation et que toussa est un complot sorti des arcanes du tréfonds de la malveillance, qu’on en avait raz le croupion de cette hégémonie, et que le grisbi fait toujours son office destructeur derrière cette main tendue, qui oblige, en impose, voire commande la direction à prendre !!! Arf !!! Les services à BTP ça vous inspire jamais de grandes envolées. Le susdit sponsor est destructor et voilà tout ! On pourrait dire cela, on ne le fera pas, on ne nous croirait pas ! 

Alors Pilar, qué passa ? Tell us ce qui va pas, ne nous laisse pas dans l’incertitude. Toi le magnat des combinaisons volatiles, révélatrices de sens, l’empereur bariolé des vérités franches et perdurables, le succube bienveillant qui dit mieux que partout ce qui doit être dit, le frontispice qui vous révèle... plus encore, celui qui signifie !!!  Please Ô mètre étalon plébiscité du divin pâtis, quès qui va pas là-bas, en New Zélandie ? 

Possédons la réponse, il va de soi, la réponse à toussa... celle qui une fois de plus englobe le tout, irréfutable, magistrale, immarcescible même… parfaitement légitime, qui apparaît céans pour apaiser les doutes.

Elle ne vous plaira pas ! 

Elle pose les jalons éthiques d’une clairvoyance cognitive qui non seulement rend compte de l’esprit pudiquement sublime de votre serviteur, mais rappelle aux plus éveillés d’entre vous que la logique déterministe n’est qu’une infime possibilité pour se mouvoir dans les dédales féconds du savoir ondulatoire. L’assomption du mystère. Le mystère, voilà où nous baignons, pour l’heur de bien s’assurer que notre tête fonctionne sans trouble. La révélation par le mystère !!! Gaffe les gus, on cause pas de celui qu’on va tripatouiller sinon anéantir par une explication simpliste et rassurante, validée par le troupeau, non non, on cause de celui que l’on fait émerger par succession laborieuse de pénétrations intelligibles, travail incessant et mesuré, nantis de volonté, de rigueur, d’allègement, de facéties même… de subtiles combinaisons qui font comprendre qu’au bout des courses spéculatives il est un ordre divin qui irradie votre conscience apaisée… l’apparition du mystère donc, qui vous propose, vous offre, la vision possible de votre ou vos limites, de vos possibilités !!!! Il est le fruit de votre réflexion, déclarant haut et fort que zêtes bien un sujet autonome, capable d'assumer, qui vaut la peine d'être vécu, pour bien dire, de se vivre... entièrement. Un espace salvateur qui se gagne à la sueur d’un désir indéfectible de savoir à tout prix... en quête ferme de la vérité. Celui que l'on atteint par soi-même, sans chercher sa bouée de certitude étriquée et sa croyance affirmée... celui qui vous ouvre le champ ainsi renouvelé de neuves perspectives.

Un mystère donc cette variation des performances All Blacks. Dans les défaites comme dans les victoires du reste… il y a quelque chose qu'on ne sait pas, qui se révèle à chaque fois et qu’on savoure toujours de ne pas savoir. Au figuré ça donne : ? !!! © Le Pilier

SACRÉS ALL BLACKS

Piano piano les filles. Alors on nous reproche vertement de ne pas tartiner un bla dès la fin de partie ? On veut son Pilier en première ligne qui balance sa bafouille dans le temps des autres. Ceux plus responsables, plus réactifs, qui suivent l’actu à la culotte et vous proposent une info mise à nue à l’heure des boules, juste après le sifflet, au cœur de la mène… là, précis, impecs, plus hardis, plus mimiques aussi, ceux qui vous refilent de quoi causer quand l’astre percutant a tari les cassis… quia plus une seule idée qui sourd au vespéral apéro et que grâce à eux pourrez causer dans l’amicale agora, tout comme de vrais analystes de journaux... qui disent ce qu'on attend... peu !!!

S’agit donc, on suppose, de la dernière baston ? Non ? 

Ok pour ces doléances matinées de reproches, ok pour dire que prenons du temps, qu’on fait pas pro comme on l’entend, mais pas ok du tout pour dire qu’avions pas déjà tout balancé la semaine dernière  !!! En effet, l’incommensurable-épatant César des pâtis... d’élan trop modeste et noblissime Pilier, avait déjà tout dit, annoncé, bien avant les câlins du week-end dernier. Alors qu’il s’octroie un rien de suspension spéculative sur le transat d’été, à ne rien faire d’autre que tutoyer l’empyrée philosophique avec ses copains d’éristique, est on ne peut plus dans ses droits !!! 

Mais fi des bagatelles, retournons aux pâtis. La joute en valait la peine et les All Blacks ont fait honneur à ce qu’ils sont. Pardi !!! Certes pas zénith... pas total… pas inexpugnable ni absolu… pas irréfutable ni terrassant, pas le plus beau cheptel historique de la fougère gracieuse, mais quoi qu’on dise, y’en a pas deux des ça comme... des gaziers à pays où le sens du sacré est inhérent au cœur qui l'enflamme. Félicitations les gars, on a savouré malgré de nombreuses fautes pas ordinaires. Pour une proposer, parmi tant, le placage manqué de Clarke sur le véloce Lukhanyo Am qui plante son essai presque surpris. Monumentale couffe que c’est pas permis. Un cas d'école à bien faire comprendre dès poussin !!! Car avait coincé le centre à la ceinture, parfait, n’avait qu’à descendre aux chevilles tout fissa… ben non, l’enserre, le pouponne en somme, et le laisse filer !!! Arg !!! On passe les fautes de placements de Jordan… bien aidé pas ses copains un brin anarchiques parfois en défense... chose rare… le vilain geste carton jaune de Bauden Barrett… pas magistral en ce moment… et quelques autres savoureuse folâtreries. Idem pour l’adversaire. 

En revanche, dès l’entame, l’impeccable Savea eut pu filer droit vers l’en-but au lieu de tréburepiquer* à l’intérieur, à 3.40 du kick off, il aurait planté sans problème les 5 pions de l’entame. Car l’arrière Warrick Gelant est faible en défense… comme du reste sur l’action Pollard, idem Kriel juste avant lui, qui loupent tous les deux le troisième ligne comme des bleus. Des ratés comac y’en a eu pléthore… faut le dire. 

L’action en tout cas donnait le ton. La suite ? Une bonne partition. En face du Bok en béton armé qu’on connaît… pas toujours inspiré, dur comme enclume de forge, pilonnant Vulcain marteau la ligne des Blacks, qui à l’instar de leur solide talon Samisoni Taukei'aho, a su résister brillamment à l’impact, sinon les vaincre !!! 

Vraiment un pack d’ailerons épais, qui lui aussi a parfois retourné la fougère comme crêpe la spatule, à l’image du surpuissant Etzebeth qui vous enserre un Savea volontaire près d’aplatir, et le repousse avec deux bras, ne retardant certes que de quelques secondes l’essai, mais validant nos propos. Matez la vidéo c’est dedans. 

Bon ya cet Am en grandes cannes lui, qu’on apprécie toujours ici, plante son try comme susdit, et son voisin Mapimpi qui le fait aussi… avec somme toute quelques négligences dans la défense des visiteurs. Faut encore préciser. 

Au bilan, un bien beau retour aux normes. Les Blacks pas très au top, certes oui, restent ce qu’ils sont, font ce qu’ils doivent et perpétuent le bonheur de les suivre. Quand la curée popu se permet d’étriper les braves, sans vergogne, sans comprendre et juger sans tronche, ya plus qu’abus. Comme l’exprimait King Fredo ici même dans sa dernière bafouille, ya simplement des cycles, et que chez ces gens là monsieur, ça ne change en rien leur valeur profonde... comme fondement d’une éthique, que seul un long et fin nuage blanc peut d’aventure et par hasard en obombrer un brin la cime magistrale... pour n’être que légende !!! Hips !!! 

Merci aux deux teams, sachant que toutes ont gagné-perdu une rencontre, le championship est équilibré, relancé… bon ticket pour la saison 2. © Le Pilier

*Tréburepiquer : comme son nom l'indique, presque trébucher et repiquer à l'intérieur koi, simultanément !!!