15 septembre 2014

BLACKS EN TÊTE

Ça vous cloue là !!! Hé hé !!! Un simple coup de fil au Pilier et hop, les Sudafs plantent un superbe essai, trajectoire parfaite, pleines cannes, avec justement son ailier Hendricks, servi par le jeune ouverture Handré Pollard… avec en sus la possibilité au final de créer l’exploit ! Score final 14-10. Bon, derrière le conseil livré sur ce Blog majeur, yavait des petits secrets qui justement ont bien failli changer la face des choses. Hips !!! Un merci Pilier appuyé nous a gratifié Heyneke Meyer l’entraîneur Sudaf, malgré la défaite. Hé hé !!!
Bon… faut bien dire que les All Blacks nous ont sacrément aidés. Car vu leur domination territoriale, le score aurait pu s’alourdir… on dira qu’ils étaient dans un jour sans… pas mal de cuirs vendangés, jusqu’au demi de mêlée d’habitude plus précis, qui pressé quand même par une bonne défense adverse balançait son module un peu n’importe comment. D’autant qu’à la mi-temps yavait plus Nonu. On a bien senti la différence et la désorganisation des Blacks qui se retrouvaient, chose peu commune, en attaque souventefois en sous nombre, se faisant aisément coincer par la défense glissée des green guys. Du rarement vu ça !
Nonu figurez-vous s’est fracassé le bras sur un placage… dit en passant a quand même continué de jouer pendant 10 minutes le gazier ! Sera donc par voie de conséquence, indispos jusqu’à la fin de la saison. Une perte assurément pour les Blacks, car fait la paire avec Conrad Smith, ajustée, même s’ils possèdent un cheptel suffisant pour pallier ce manque, le réglage ad hoc est aussi une question d'habitude, de répétition, d’affinités, de connivences… à suivre donc.
Sinon, zavez vu à l’œuvre le matois Leroux qui sauve avec élégance, sans précipitation ni violence nécessaire, un essai possible de Smith… la classe ce gonze, vraiment cool pour un Bok… une pièce maîtresse et zélée de l’artillerie lourde Sudaf. Mais au final, comme l’avions annoncé, les NZ l’emportent, passque tout simplement because sont imbattables... bien en tête du tournoi. L’infatigable Mc Caw, critiqué par certains zamateurs foireux, plante quand même son try, en choisissant une trajectoire parfaite de récupération, après avoir galopé comme un damné pour soutenir son pote Read, impec à la réception du cuir, et terminer dans l’en-but. Ouf ! Le match retour s’annonce trépidant, même si les Blacks ne viendront probablement pas chercher la victoire du Championship en Afsud.
On ne voit pas les Aussies remporter la joute chez ces derniers, ni les Blacks se ramasser en Argentine. Mais avec ces NZ, même s’il ne s’agit pas d’une finale, on peut être sûr qu’ils donneront le meilleur d’eux-mêmes pour vaincre les Boks at home… seule manière de progresser, de conserver leur hégémonie, d’épater les connaisseurs que nous sommes. Un match pour eux, c’est toujours du sérieux. On peut leur faire confiance.
On aurait pu causer du phénoménal Retallick, auteur d'un match époustouflant, de l'impérial Matfield en touche... figure du reste que les Blacks devront travailler... du tout jeune Pollard prometteur à l'ouverture, qui malgré ses 20 piges s'est bien comporté, plus intéressant en tout cas que le métronome Steyn... de l'ailier Ben Smith, fougueux, éviteur, tonique, volontaire... on pourrait en causer, mais on doit sortir le toutou, lui refiler son Canigou... rassurer Paulette,... peaufiner une thèse sur l'emprise entropique du bruit mémoriel en matière de traitement informationnel... astiquer la Bentley... croquer un cuissot... décomposer un algorithme foireux... mixer des sonorités... justifier d'une présence... excuser une absence... bref, la routine koi,  Ach !!!
© Le Pilier

12 septembre 2014

HEYNEKE MEYER CALLS SUPER PILIER

- Hello Pilar 
- Yes, who’s talk… ? 
- C’est Meyer… Meyer le Sudaf 
- Hey, salut Heyneke me vaut ?… 
- Ben j’ai lu tes bafouilles, comme tu dis… 
- And so… 
- Conquis, j’ai viré Morne Steyn pour le match de demain. 
- Ben mazette, tu te réveilles mon vert luisant… 
- Yavait des pressions, on voulait assurer la pompe… 
- Ouaip, t’as vu où ça mène… 
- Non là, sommes raccord… du coup j’ai suivi ton conseil… j’ai placé un jeune prometteur, 20 piges sous les aisselles… Handré Pollard 
- Pas d’lézard, on taf pour la grande cause… t’as k te servir… ton choix est bon... tout est bon pour virer ta plante à pieds...
- Merci pour ça… et pour demain, tu dirais quoi ? 
- Sont imbattables les Blacks… 
- So, comment faire ? 
- Plus de Spring, moins de Bok... faut ouvrir ma gazelle… profiter de votre arrière matois… de tes ailes véloces… ne pas utiliser que tes gros koi… mais t’aurais pu lourder Pienaar… 
- J’y pense, mais Hoogard n’est pas au top… un peu excité parfois… 
- Bon… dis à l’autre de mettre la savate douce, question chandelles… plus au jeu, près de sa mêlée… faut pas renvoyer la gonfle dans les pognes adverses, ce serait stupide… conservez le cuir b...
- Ok, je capte… et sinon, quoi de neuf chez vous ? 
- Toujours aussi mou !!! 
- Mais pourquoi tu t'y colles pas pour remettre ton rugby en état ? 
- Houla… dab on colle pas nous, on survole... pis t’es pas au courant des us d'ici… faut claironner musette bien pétard pour être un brin entendu… pas c'temps à perdre… on se contente de balancer l'évidence même... pas prosélyte, pas forçat d'l'éveil des carafes nous, pour un ZAR. La true truth, comme vous dites, fera toujours son taf… 
- Mais ça peut prendre un temps infini avant le réveil... justement...
- Tu l’as dit...
La conversation dura encore quelques minutes, on échangea sur l’état des lieux du coin. C’était au réveil pour nous, ce matin. L’entraîneur des Springboks, dont vous avez reconnu l’accent Boer malgré la traduction rigoureuse, nous call parfois pour partager ses craintes ou son enthousiasme vigoureux... comme cette dernière petite recette de buffle aux bio zépices et champignons des pâtis !!!! Bonne patte, on lui refile en retour des petits secrets, qui bien digérés pourraient changer la face des choses… Arf arf !!! A voir et suivre donc !!! Hips !!! © Le Pilier

La team au complet :15 Willie le Roux, 14 Cornal Hendricks, 13 Jan Serfontein, 12 Jean de Villiers (capitaine), 11 Bryan Habana, 10 Handré Pollard, 9 Ruan Pienaar, 8 Duane Vermeulen, 7 Marcell Coetzee, 6 Francois Louw, 5 Victor Matfield, 4 Eben Etzebeth, 3 Jannie du Plessis, 2 Adriaan Strauss, 1 Tendai Mtawarira.

La banquette à côté : 16 Bismarck du Plessis, 17 Trevor Nyakane, 18 Marcel van der Merwe, 19 Lood de Jager, 20 Warren Whiteley, 21 Francois Hougaard, 22 Pat Lambie, 23 Damian de Allende.

11 septembre 2014

CHAMPIONSHIP 4

Ok Beauden Barrett sera sur la banquette samedi contre les Boks. On l’a pourtant trouvé plus incisif que Cruden, plus solide, nous déplaît pas ce gus, un grand futur imparable gazier, sans doute. mais on comprend le choix de l’entraîneur de replacer l’autre dans la team eu égard à sa plus grande habileté aux godasses ! Barrett n’a en effet pas marqué les esprits par son habileté aux entre-perches… trop de ratés… dommage… il est important d’avoir un bon buteur, sinon respectable, à ce niveau de la compétition. Tous les points sont bons à prendre comme on dit, d’autant qu’en face risque bien d’y avoir le canonnier de service Morne Steyn. 
Alors lui, comme savez, car l’avons moult fois exprimé icy, on peut pas le voir en pinceau !!! En peinture koi… encadré… c'est de la croûte à Dali quoi, pire encore si voyez l'allu...  pas un lancement d’attaque judicieux pas une seule initiative balle en main, pas une trajectoire qui perce, mauvais en défense, rien de rien de nothing… on a toujours prétendu que malgré son assurance aux zarpions, ce gonze plombait secrètement la nation. Ach !!! Non, faut le sortir du pâtis… l’histoire du rugby nous montre que trop compter sur un buteur qui ne fait rien à côté, fout une sale ambiance sur le pré. Alors zou, va garder les crocos ! Idem Pienaar… out... vaut plus un crampon le gonze… tatane, tatane et re tatane… encore un effet dévastateur de la polyvalence ? On sait plus où le mettre… alors zou, va garder le springbok dans un enclos, tiens… hop !!!

La team donc All Black qui affrontera les Boks samedi 9h35 sur vos zécrans d'été. Ya Dagg, ya Nonu... ya Savea qui plante des essais partout... plus qu'il ne possède de sélections... ya Read, ya Mc... sauf quand même un Messam out, comme le super Whitelock en seconde poutre... faudra voir le rendement tiens... vont p't'êt' pas briller autant les Blacks. A voir © Le Pilier

15 Israel Dagg, 14 Ben Smith, 13 Conrad Smith, 12 Ma’a Nonu, 11 Julian Savea, 10 Aaron Cruden, 9 Aaron Smith, 8 Kieran Read, 7 Richie McCaw (c), 6 Steven Luatua, 5 Jeremy Thrush, 4 Brodie Retallick, 3 Owen Franks, 2 Dane Coles, 1 Wyatt Crockett. 
Banquette : 16 Keven Mealamu, 17 Joe Moody, 18 Ben Franks, 19 Patrick Tuipulotu, 20 Sam Cane, 21 TJ Perenara, 22 Beauden Barrett, 23 Cory Jane.

10 septembre 2014

FRITZ & GROS BOBO

Sans coup de pompe 
au croupion, 
il n’est pas de valeur 
aux lampions !!! 
Sans esprit bousculeur on en reste à l’âge de pierre… on réfute Paul et sa loupiotte éclairante… griffonnait le chantre des pièces montées, sur les parois d’un vestiaire de pâtis hexagonal ! Un Pilier de Beaumarchais qui en connaissait un rayon sur la nature humaine, prétextait que la vérité vraie valait tous les jugements, qu’à force de causer "respect" à toutes les sauces on finissait par basculer dans la bauge démagogique, qui non seulement atténue la vivacité, dissout le moindre éveil, entretient ce consensus malsain subsumant tous les individus sous le même dénominateur du vague roupillon ! Pis que tout donc, embrume sinon enfume l’instinct même de vie, déposant le sujet au rang de mérinos, partant renie toute évolution ! Arf !!! Le dire est figé, se comporter à sa mesure est de fait respectable car annonce un mouvement qui servira d'exemple !
C’est le pavillon des minus… respect, respect, respect… dès que le mot est lâché on sent qu’il y a problème… il ne dit rien, n’insuffle rien, annonce plus la pusillanimité de celui qui l'émet, que la vertueuse évidence qu’il renferme ! Arf ! Respect est un fait, pas du bla… en être se flaire, se voit… du reste ceux qui en causent à toutes les banquettes sont évidemment ceux qui s’ignorent de ne pas en être !!! Comme l’histoire nous l’apprend et le quotidien nous l’affiche… comme s’ils voulaient cacher leur misère intérieure fragmentée, derrière ce paravent, somme toute transparent. Arf !!! Ça nous met immédiat la puce aux esgourdes ce fanion « respect », on se dit illico, mais pourquoi donc cet empaf s’affiche avec c’te pancarte ? Que veut-il donc planquer en agitant son joujou ? La réponse est simple, immédiate, sans appel ! 
En matière de cuir, force est de constater que cette bagatelle suinte à travers les pores de bons nombre d’amateurs. Quand ça jaspine sur tel ou tel évènement, hop, ya toujours un petit mollet qui débarque, pour peu qu’un autre ait l’esprit percutant, et vous refile illico du « respect » en mélangeant tout. Une scène éloquente viendra imager ce propos. 
Un gus observateur, joliment parleur, s’insurgeait de l’attitude de Guy Noves lors de la dernière chicore des toulousains en phase finale du Top. Florian Fritz, comme chacun sait, resta sur le carreau herbeux après un choc à la tronche. Plus que flagada, le centre décentré semblait entendre les cloches de St Sernin quand il alla se faire recoudre dans les vestiaires après avoir maculé généreusement sa tunique de raisin. On sait la polémique engendrée par le non-respect du protocole commotion des médecins du club. Certes ils ont leur responsabilité… mais il s’agit de ne pas oublier l’attitude frappante de Guy Noves qui en dit long sur sa considération des joueurs. Notre beau parleur a vu ce dernier enjoindre le doc comme le joueur de sortir fissa de l’infirmerie par un « Allez allez » bien vénère… genre « ça suffit les mamours, allez hop, retourne au pâtis fissa... ya plus important que ta carafe… une qualif est en jeu... c'est qu'une égratignure, qu'un bobo... » !!!
Toussa filmé, pas d’lézard, franc du collier, bien net et diffusé. Il nous assure que Fritz était bien vaporeux, du reste n’a pas brillé, lui pourtant illuminé de trente-six chandelles après son KO... de bobo ! Ouarf et bref ! Le narrateur donc s’outragea de cette façon de faire, et ne se priva pas de balancer quelques noms gentiment d’oiseaux pinailleurs à la face de l’entraîneur toulousain pour cette attitude totalement irresponsable sinon sans contredit possible, gravement inconséquente… l’ayant trop moult fois entendu parler de respect… de l’adversaire, des autres, de la santé des joueurs, des crampons, des élastiques aux chaussettes, des jarretelles à Ginette... des tartempions, des tribunes, des us et des coutumes…et toussi-toussa mon Dada !!! Soit et suite et fin !!! 
C’est là que débarque la punaise de sapristi… hé hé… qui insulte vertement le dénonciateur et lui intime de respecter le légendaire entraîneur, passque because et péremptoire il a un gros palmarès et gagné plein de gamelles !!!!
On cherche encore le rapport entre les deux sujets !!! Hé hé !!!
Zavez saisi non ?
Ne respectez
que le respectable, dira le fabuliste lapalicien,
reservez vot' savate 
aux vertueuses blattes, sonnera le tocsin !
Tsoin ! © Le Pilier

09 septembre 2014

EASY DAGG

Une chose est sûre, les trois arrières les plus épatants du moment sont en hémisud. On vous a causé de Folau l’Australien, Le Roux le Bok, il en manquait un sur le podium de nos électives affinités, évident, revenu sur le terrain NZ le weekend dernier… il s’agit du phénoménal Izzy Dagg, comme on le nomme amicalement dans sa contrée. Easy l’est, sans douter, plus jovial et surprenant, plus opportuniste, plus imprévisible, plus souple que Ben Smith, gageons que le gonze retrouve sa place, définitive, à l’arrière. Coup de tatane phénoménal, vista impec, cannes de feux, réception de chandelles assurées comme du reste ses deux acolytes, le stylème commun des trois meilleurs de la planète à ce poste. 
Pour jouer le jeu des préférences à neuneu, bien difficile serait d’établir une hiérarchie dans ce trio, tant les gaziers se valent, chacun dans leur style. A l’heure des polyvalences prisées qui ne donnent en général jamais rien d’intéressant au rugby, il est à noter qu’il n’y a rien de mieux que la stabilité en matière de composition. Ze right guy at ze right place. Pas la peine de les brinquebaler à d’autres postes, sont parfaits en fin de colonne ces trois. Idem la paire de centre Nonu-Smith, l’ouverture Carter, le demi de mêlée Smith… le troisième ligne Read etc… pour sûr les Blacks sont une fois de plus imparable en matière de positionnement… de composition pure... ça ne change pas à chaque baston, on sait à quoi s’en tenir et les automatismes affichés nous démontrent l’efficacité de cette structure fondamentale. Une équipe c’est un squelette bien constitué, on ne met pas un tibia à la place d’un cubitus… un biceps à la place d’un mollet !!!! Hé hé !
Toussa pour souligner qu’en nos terres à clochers, ce fameux signifiant «polyvalent» n’a engendré que des ratés. Symbole sans contredit en nos pâtis du flottement de la figure : Michalak. Sait plus où il habite le gonze… devenu ni convaincant à la mêlée, ni à l’ouverture. Se l’est bien cherché… car après tout c’est à lui de savoir… même si on a pu le faire mousser dès 2003… il s’y est cru, ... p'têt' ben aussi que personne ne l'a aidé... comme il le disait lui-même... bilan, s’est perdu !!! On se souvient de cette phrase de Noves : « vont le bousiller ce jeune »… rien à ajouter.
Polyvalence chez nous rime aussi avec incompétence, cf Sainte André l’année dernière causant de celle de Fofana (polyvalence). Il le plaçait à l’aile où le gonze s’ennuyait ferme. Ce dernier pourtant signifiait à qui voulait l’entendre qu’il était centre et basta, jouait depuis des lustres à ce poste aimait ça, voulait ça ! Il a fallu quelques blessures pour que notre empafé de coach finisse par se résoudre à l’évidence et déclarer plus tard que c’était le meilleur du moment à ce poste (sic) !!! 
Toussa pour dire qu’il est impératif de bien connaître les spécificités de chaque joueur… les qualités requises pour chaque place et qu’il incombe donc à l’entraîneur de posséder ce savoir. Les Blacks en sont la preuve imparable, pas de lieu flottant dans la team… connaissent bien leur job… pas d’erreur de placement des modules… ce qui n’est pas le cas des autres équipes. Avec un squelette aussi solide, des bras, des cannes, des tronches hyper adaptées, parfaitement organisées, rien ne peut résister. Preuve en est, sont imbattables et nous gratifient souventefois de matchs en cinémascope ! Les trois arrières susnommés en début de bafouille sont parfaits à leur place. C’est du reste la première vertu d’un coach ce savoir dont on ne cause quasi jamais… preuve, s’il était nécessaire d’en rajouter, que nos deux précédents zozos, Lièvremont et Sainte André ne sont que des amateurs, totalement infoutus de comprendre cette anatomie. Alors ça tripatouille dans tous les sens, ça change au hasard dans l’espoir de trouver la formule magique… pas d’bol, le rugby c’est pas du loto ! © Le Pilier

08 septembre 2014

BONNET D'ÂNE

Un professeur émérite de Sorbonne provinciale, lecteur difficile et rugueux de nos bafouilles, s’insurge de l’attitude désinvolte du Pilier en matière de Français et particulièrement cette fois, d’orthographe. Dans le dernier bla en effet, le Ben-Hur des blogs à bastons s’est permis une ultime et outrancière faute, en amputant notre sublime et fidèle passé simple de ses parures conjugales. Arf !!! Remplaçant l'académiquement correct « il y eut », que tout le monde reconnait les yeux fermés, apprécie, se plait à employer quand c'est nécessaire, par ce « yu » phonétiquement chouette, mais orthographiquement, grammaticalement, plus que douteux... monstrueux, anarchique, même, faux !!!
Non seulement le Pilier courrouce la bande à Voltaire, ne respecte pas ses pairs, mais surtout inconséquente attitude, montre le mauvais exemple à nos merdaillons déjà peu férus d’ortho !!! Arg !!! Si ça mérite pas un bonnet d'âne, ça inspire une grÔsseu grimace !!!















Cool ma poule, on doit pas systématiquement laisser la langue de Molière patauger en costume bicorne dans le formol de l'Institut !!! Pas d'lézard, nos lecteurs savent faire la part des choses… car quoi, un p’tit « yu » de rien du tout peut faire figure de crochet intérieur, hop, dynamique, inattendu, créer la surprise, en faisant virevolter le son pour ne profiter que du sens !!! Hips !!! Tout le monde a rectifié de lui-même, c’est ça la lecture participative !!! Hé hé !!! D’époque le participatif, non ? On balance juste un brin d’exotisme histoire d’entretenir cet esprit frondeur qui insuffle parfois certaines figures gagnantes sur nos pâtis littéraires. Alors, si donc ok que c’est pas bien, ça nous zamuse, car après tout, sommes at home ici, bien à nous ce coin non ? Entretenu avec soin tel un jardinet verbal, sans pesticide andoxal, sans cocarderie banale, avec un zest d’on ne sait quoi de matinal, frais d’effluves en attaque, chaud d’étuve au contact, en somme et contre tout, quelque chose d’imparable, à la mesure du lectorat convoité ??? 
Tel le Pilier cher professeur de chaire, telles nos aisances, parfois nos pesanteurs, qui non seulement chassent les parasites de petit calibre de nos sillons comme abreuvent les plus subtils de nos bataillons !!! Sans prosélytisme aucun, sans fard ni perruque, sans idéaux caduques, sommes là pour entretenir la luzerne en l’arrosant de nos meilleurs effets ! Autrement dit, on godille sur ski nous plait ! Bien à vous ! © Le Pilier

07 septembre 2014

RUGBY PAS PEPLUM

Pas foto, mater les Blacks c’est éviter l’ennui, savourer de belles passes, même si la drache véhémente changea le cuir en savonnette. Certes yu des ratés, des transmissions mal ajustées, de belles aussi, mais pour l’essentiel quatre beaux essais, sans bavure, nets, limpides et clairs comme un nuage blanc !!! Pour sûr, le film qu’il fallait mater, en comparaison Aussies vs Boks était d’un ennui redoutable, saturé de fautes diverses, avec un arbitre plutôt pointilleux... et pour quasi clore, un moment laborieux en fin de rencontre où les marsupiaux à cinq mètres de l’en-but adverse s'ingénient à percuter comme des mules sans chercher à ouvrir, et si le faisant, le porteur de balle qui tente sa chance solo sans vouloir transmettre. Affreux !!! Incroyable ces phases en bord de ligne, sachant que des trois quarts bien placés, lancés fond les cannes ont, par simple impulsion physique, le pouvoir de faire reculer l'adversaire, partant d'aplatir, (Cf l'essai de Folau). Ben non, ça tamponne corps à corps, jusqu’au demi de mêlée qui défie deux gros Boks énormes, espérant peut-être passer au travers !!! Arf !!! Laborieux, pesant, et parfaitement stupide. Du rugby de zéro calibre qui nous fait immédiatement quitter les tribunes.
Heureusement pour les australiens cet essai de dernière minute leur sauva la mise in extremis… par notamment une passe subtilement acrobatique de leur seul et génial gazier du pâtis, l’arrière emblématique Folau... Quelle classe le gonze, totalement seul, mais toujours à l’affût d’une trajectoire intempestive… lui doivent une fière chandelle.
Autre arrière filou comme personne qui sauva un essai quasi là par une pichenette de matois, sans forcer, tout en subtilité… le père Le Roux. Voilà le rugby qu’on aime. Pas la peine de percuter comme un bourrin l’ailier Ashley-Cooper pour lui disputer la gonfle… même si faut avouer que Willie était au taquet, il n’empêche, une simple tape dessus et Cooper n’a pas pu s’en saisir. Toussa pour souligner le fait que le rugby, à contrario appuyé de la mythologie musculeuse qui voudrait que chaque joueur ait un gabarit de Maciste, la tête était, est, sera toujours le meilleur atout pour pratiquer ce sport. 
Et des filous, y’en a pas légion. Le Roux est du reste d’un gabarit tout à fait ordinaire… comme le demi de mêlée All Black Aaron Smith… Dieu sait s’ils sont épatants, souvent subtils, intelligents. Tenez pour causer de ce dernier. Quand il se retrouve face à un gros cuir en main, comme il est minus, jamais ne cherche à lui disputer la balle… jamais !!! L’est pas sot… il se baisse, ceinture, glisse aux chevilles fissa et hop le mastard tombe illico… ses potes débarquent et disputent la gonfle… voilà tout. Les sur-buildés se régalent de percuter, au corps à corps, où bien souvent l’attaquant peut faire donc quelques mètres avant de s’écrouler… normal… c’est la loi de l’inertie… dixit Wiki ; « En physique, l'inertie d'un corps dans un référentiel galiléen (dit inertiel) est sa résistance à une variation de vitesse. L'inertie est fonction de la masse du corps : plus celle-ci est grande, plus la force requise pour modifier son mouvement sera importante. » Tout est là !!! S'y mettent donc à plusieurs pour arrêter le gonze lancé en essayant de lui chipoter le cuir. Aux chevilles pas un pli, ça tombe Newton comme une enclume d’un pommier !!! Arf !!! Même avec des petits bras !!! Pas besoin de force surhumaine. Le rugby c’est pas du péplum !!!! Plus le gonze est gros en sus, eu égard à sa masse, plus il s’esclaffe lourdement. 
On se souvient d’un placage sur Bastareaud cette année, dont nous avons relaté l’action ici-même, dans on ne sait plus quelle rencontre internationale, l’adversaire s’est jeté à ses chevilles. Comme le centre est grossement balourd, il s’est littéralement écrasé sur le pâtis, en a même perdu la gonfle, jetée n'importe où... sans pouvoir la transmettre, passque tout simplement because surpris, son cerveau n’a eu que le temps de penser à la chute subite, rien d’autre, impossible de passer ni de se concentrer sur la garde du module. C’était épatant d’efficacité. Bastareaud pris aux cannes est inexistant balle en main !!! Certains Argentins du reste agissent de la sorte… et ça surprend toujours. Pour en venir à cette équipe, malgré notre désintérêt avoué, constatons quand même leur vaillance, et la solidité de leur pack. Sympathiques dans ce secteur… même si derrière ya pas grand-chose. Le fameux centre Hernandez dont on nous bassine la carafe avec le surnom d’el mago, certes n’est, ou du moins n’était pas dénué de talents… matois le gus, des cannes, bonne lecture du jeu, avait en effet de remarquables moments… juste des moments… mais ne se la donne pas vraiment… manque de cœur vaillant le gazier… et puis ses chandelles nous font toujours broyer du noir… arf arf !!! Ras la couenne de ses coups de pompes. 
Les Blacks donc les ont pliés sans problème, normal… jamais les Pumas n’ont été en mesure de planter un essai, sinon à noter, celui injustement refusé pour soi-disant en avant sur un contre… mais cela n’aurait rien changé à la physionomie du jeu. Non, les gominés n’ont pas le niveau, mais pour voir jouer les Blacks on est capable d’en faire fi. Score final 28-9 et sans appel, avec de nombreux coups de pieds d’entre-perches loupés par l’ouvreur Barrett pourtant efficace balle en main… sinon l’addition eut été bien plus lourde. Avec quatre essais donc, le point bonux à la clef, les Blacks se retrouvent en tête… en somme, rien de nouveau sous le soleil… Black !!!! Arf ! © Le Pilier

06 septembre 2014

SOLEIL BLACK

Qu’on ne mate pas les Argentins, passe à l’aise, mais qu’on zappe les Blacks avec en sus de l’Izzy Dagg en 15... la paire de centre légendaire Nonu-Conrad… Read, Aaron, Messam, Whitelock, Retallick, O.Franks, Coles, Crockett, Mc Caw, Savea... les trois Smith, Barrett et tous les autres… non non… impossible de manquer ça. Ya toujours à apprendre, à savourer... le geste, le collectif, l'aisance, la dynamique, l'esprit, l'esthétique pure... Le Black c'est du sun !!! Plus qu'un oxymore, qu'une figure, qu'un coin de planète... une terre sacrée cette équipe, enfin cette country... bref ces pâtis... cette ovalie quoi !!!! C'est la grand-messe et le dégoupillon, Bach et la grande passion... quinze cerises sur un gâteau... la belle chicore sur un plateau... Elvis sans Presley...  la Vénus sans drapé... Jason et les cosmonautes... mamie sans les patenôtres !!! Arf !!! Kick off donc dans demi-heure, pas d’lézard… chez les Néoz… ratez pas l’avion ! © Le Pilier

05 septembre 2014

LES BOKS POUR HABANA

Enfin, retour du gros. Demain midi, les Boks rencontrent les Aussies, en Australie occidentale comme ils disent, plus précisément à Perth, du côté de chez Swan, (sans n superflu) le ruisseau qui traverse la cité. A la recherche donc du temps perdu, les Australiens auront à cœur de se remuer les jambons pour faire oublier leur dérouste Zélandaise, comme les Boks leur maigre victoire chez les Pumas d’la pampa. Pour fêter la centième sélection du brillant Habana, gageons que les green guys donneront le meilleur d’eux-mêmes, avec, dit en passant, le retour en poutre de l’expérimenté Matfield. C’qui nous kiff en premier, c’est Willie Le Roux nous, l’arrière impec au french flair assuré… vu son nom, on peut bien l’habiller de cette très ancienne vertu tricolore, qui jadis mettait du relief à nos pâtis. Les équipes suivent. © Le Pilier 
Les Australiens : 15 Israel Folau, 14 Adam Ashley-Cooper, 13 Tevita Kuridrani, 12 Matt Toomua, 11 Rob Horne, 10 Bernard Foley, 9 Nick Phipps, 8 Wycliff Palu, 7 Michael Hooper (c), 6 Scott Fardy, 5 Rob Simmons, 4 Sam Carter, 3 Sekope Kepu, 2 James Hanson, 1 James Slipper. 

La banquette : 16 Saia Fainga’a, 17 Pek Cowan, 18 Ben Alexander, 19 James Horwill, 20 Scott Higginbotham, 21 Matt Hodgson, 22 Nic White, 23 Kurtley Beale. 

Les gros Boks 15-Willie le Roux; 14-Cornal Hendricks, 13-Jan Serfontein, 12-Jean de Villiers (c), 11-Bryan Habana, 10-Morne Steyn, 9-Ruan Pienaar, 8-Duane Vermeulen, 7-Marcell Coetzee, 6-Francois Louw, 5-Victor Matfield, 4-Eben Etzebeth, 3-Jannie du Plessis, 2-Adriaan Strauss, 1-Tendai Mtawarira 

 La Banquette : 16-Bismarck du Plessis, 17-Trevor Nyakane, 18-Marcel van der Merwe, 19-Lood de Jager, 20-Warren Whiteley, 21-Francois Hougaard, 22-Pat Lambie, 23-Lwazi Mvovo

04 septembre 2014

BLANCO... RIEN DE NOUVEAU

Yep yep c’est la rentrée… zêtes revenus aux tribunes du master Blog… on sent ça, l’impatience, la montée des revendications, l’exigence… z’en voulez encore de la chicore, d’la bafouille intempestive dans ce bourlis de frêle hexagonie où ça parlote sans cesse aux azimuts... mais question pratique, organisation, remaniement, acte effectif, on a juste dépêché un tuteur à nos plantes vertes du dimanche pour soi-disant redonner du jus à nos tricolores pâtis. Le père Blanco vient donc de prendre place dans la fine équipe à déroustes pour soutenir leurs bras cassés. Mouais, on aurait viré Sainte André nous et Lagisquette… mis un entraîneur étranger par exemple, histoire de modifier l’ambiance des banquets… mais là faudra encore des lurettes pour que nos cassis coutumiers esquissent même la vague idée d’une possible éventualité novatrice… arf… plus Valley quoi, plus d’époque, plus réactive… plus sun, plus enjouée...
Bref en somme tout ce qu’on est incapable de faire !!! Arg !!! Que Blanco soit un des meilleurs, voire le plus grand arrière de la patrie ovale, rien à dire à ça… génial le gazier... mais pour le reste quid de ses capacités à booster un rugby anémié, flapi, maladroit, morne, sans joie… qui baguenaude dans les interviews, la ramène beaucoup, mais se ramasse dès qu’un adversaire de taille correcte lui travaille les abattis ? Le bilan de la croix sans bannière Sainte André est éloquent, connaissez l’empaf, y’avait donc qu’une chose à faire, justement un an avant l’échéance CDM (prétexte à tous les enfumages), le balancer aux oubliettes, voire lui retirer même la nationalité !!! Hé hé !!!
Mais pour Blanco, on sait rien, pour tout dire on sait pas c’qui vaut comme entraîneur, c’qu’il fera, c’qu’il envisage pour enjouer les frimousses en mal d’enthousiasme. On peut trompiner qu’on s’en balance, pourtant, même si on a tourné le râble aux terrains du coin en ne matant plus que le rugby d’hémisud, force sommes nous de constater que l’état de not' XV ne nous laisse bizarrement pas vraiment indifférent… qu’on aurait même du plaisir à se ressentir chez nous… si si… pour peu que les gonzes soient à la mesure du super rugby étalon, pas celui des flonflons et des starlettes en costume Volkswagen, Gemini... d’un Léa Nature qui plie l’Airbus industrie en Top pub le week-end dernier... bref qu’on arrête enfin cette comédie des foireux qui nous anéantit même jusqu’à l’idée fugace d’un espoir ténu... hips... pourtant inhérent à l’instinct même de vie. A moins qu’on s’amuse après tout à toucher le bout du fond pour se satisfaire d’un petit élan de grâce, une petite percée, une phase acceptable, un geste parfait… pour en faire tout un ramdam, en causer devant un pastaga durant des temps infinis. A l’ère où l’énergie se raréfie, c’est p’t’êt’ là une nouvelle philosophie... du moins pour faire du plus ? Pas la nôtre en matière de pâtis ! C’est dit ! © Le Pilier

30 août 2014

O'CONNOR / BACK HOME

L’O’Connor des gisquettes à posters rentre enfin dans son île massive afin de pouvoir disputer éventuellement la coupe du monde avec les Wallabies. C’est bien. !!! Pas de doute le jeune gazier a sa place sur ces terrains lointains, si toutefois il se comporte en gentleman au quotidien. Jouer le Top 14 c’est réduire son potentiel à la fonction juste nécessaire… on y gâte son cuissot… better de jouter en Australie parmi ses compagnons de pâtis. D’autant que les jaunes d’or auront besoin de ses talents. Pas de feu hors l’impeccable Folau, un Ashley Cooper quand même bien en cannes, mais sans la présence de Genia ni du délicat Quade Cooper, tous les deux blessés, on peut pas dire que les kangourous mettent de la folie partout. O’Connor doit donc retrouver sa place sans contredit dans la team nationale. Une bonne chose pour lui, pour les Aussies, voire pour Toulon, qui donnera p't'êt' ben sa chance à un gonze de chez nous… mais là rien n’est sûr. © Le Pilier

29 août 2014

ALL BLACKS MAJEURS

On se fendait la poire quand certains folliculaires et autres commentateurs embrumés prétendaient que l’hégémonie des Blacks était contestée après la première joute du super championship contre les Wallabies !!! Ouarf !!! Ces derniers, after ze match nul at home, se sentaient pousser des ailes. Un kangourou c’est connu ne fait que des bonds, et pour gagner les NZ faut plus que des papattes ultra développées. Faut du collectif, de l’envie, de la vista, de la force, de la tronche… des gaziers à la hauteur… en somme déborder le cadre tranquille des confrontations amicales. Pas d’erreur donc, la revanche fut sévère, 51-20, et les marsupiaux remis au rang qui est le leur, pas encore capables de faire plier la fougère. Les seuls, sur le papier, qui peuvent tenir la dragée haute au Master Black Rugby, sont les Sudafs. Certes d’aucuns diront qu’ils ont failli se faire prendre par les Pumas… faut pas pousser mémé, épiphénomène s’il en est… même si quasi, ya un océan plein et mouvant qui sépare les Argentins des trois autres nations du grand rugby. C’est d’ailleurs n’importe quoi ce tournoi avec cette équipe du bout du monde. Les décalages horaires sont épuisants, trop de kérosène à transporter dans les soutes, autant d’énergie à dépenser pour trois petits matchs dans la Pampa ça ne nous inspire rien. Saturés de carbone les Boks manquaient probablement juste un peu d'air. Arf !!! Et puis les locaux gominés ne sont pas géniaux, ça amoindri le niveau, bref connaissez notre point de vue… le Pilier en reste donc aux Tri, plus juste, plus mesuré, plus évident, plus up... plus grand rugby koi !!!
Autre chose qui nous les brise menues, l’arbit'e molle Français Poite mes deux... qui confond le carton jaune et le pastaga. Il aime ça le jaune lui, qui nous bousille les rencontres et fout une sale ambiance sur les pâtis. Du Plessis en sait quelque chose… les instances l’avaient désavoué, personne ne l’apprécie en hémisud, donne une vilaine image même de notre niveau… même si le rugby Français n’a pas besoin de lui pour être ridicule, disons juste qu’il enfonce le clou… devrait se contenter d’être remplaçant dans le Top du coin tiens, sinon de faire la circulation dans un bled quelconque avec son sifflet !!! Arg !!!! © Le Pilier

14 août 2014

RUGBY CHAMPIONSHIP 2014

Les tri Nations du Pilier
Oyez oyez les ventricules adipeux de l’estivale errance… balanceurs de hamacs, bronzeurs de couenne au sable des mers liquides à méduses urticantes, suceurs de pastaga à l’heure des pétanques… mateurs de gisquettes au bain, croqueurs de poulettes au grain… l’heure de la reprise a sonné !!! A tous les amateurs de vraies castagnes le Pilier annonce son retour au pré, dès samedi plein midi, pour le tournoi des Tri nations, qui ne porte certes plus ce nom, mais qui reste pour nous le summum des confrontations ovales… et puis au temps des interactifs échanges, on peut choisir son propre tournoi sans demander l’aval des fédé !!! Première caresse annoncée Australie vs Nouvelle Zélande donc, de quoi activer notre enthousiasme et maintenir nos cassis et râbles dans une forme de saison. Savez sans doute que Carter ne sera pas du pâtis. Le bijou NZ s’est en effet blessé à la cheville lors de la finale du super XV... éloigné de la pelouse durant, minimum, la moitié du tournoi. Woodcok et ses 33 piges, pilar aux 110 bastons internationales bien pesées, opéré de l’épaule il y a peu, manquera toute la fin d’année… bref ya d’la casse de même que des absences notoires du côté Aussies. La charnière emblématique Genia-Cooper n’est plus d’actu. Blessés tous les deux ! Le génial arrière All Black Dagg non plus n'est pas de la partie. Reste que l’affiche est superbe et les équipes bien pourvues. Ci-dessous les cuissots ! © Le Pilier 
La team Australienne: Folau ; McCabe, Ashley-Cooper, Toomua, Horne ; (o) Beale, (m) White ; Hooper (cap), Palu, Fardy ; Simmons, Carter ; Kepu, Charles, Slipper. 
La banquette : Hanson, Cowan, Alexander, Skelton, McCalman, Higginbotham, Phipps, Foley, Kuridrani 

La team All Black: B. Smith ; Jane, C. Smith, Nonu, Savea ; (o) Cruden, (m) A. Smith ; McCaw, Read, Kaino ; Whitelock, Retallick ; O. Franks, Coles, Crockett. 
La banquette: Mealamu, B. Franks, Moody, Luatua, Cane, Perenara, Barrett, Fekitoa

30 juillet 2014

DAN CARTER SUPER-HÉROS...

des moutards !!!
L’homme possède un Dieu ou une idole, écrivait jadis l’anthropo-philo Max… y’en a même des qui ont les deux… et quand on est lardon on confond bien souvent l’un et l’autre. Pour preuve une anecdote saisie alors que bavassions sur l’effectivité transitive, ou pas, des relations électives à l’intérieur d’un corpus amical à des fins logistiques… hips… à l’ombre de quelque ycelle étalée bien légère dans un jardin de grande cité. Un essaim de morpions près de nous se disputait une gonfle après s’être respectivement affublés du nom de leurs super-héros. « Moi je suis Carter » insista l’un d’entre eux, non sans avoir bataillé ferme pour faire respecter son choix, puisqu’un autre minus le lui infirma par un tonique et immédiat retour « c’est pas toi, c’est moi » !!! « Mais moi c’est mon Dieu ! » argumenta le premier comme une évidence péremptoire contre laquelle on ne peut rien. Un Dieu dans ce genre d’église au gazon des partages, justement, ça ne se partage pas ! Arf ! Et puis deux Carter sur un terrain c’est pas dans l’ordre naturel de la cosmogonie ovale ! Après moult bla, finasseries naïves plus savoureuses qu’un sucre d’orge aux vitamines de l’enfance pétillante, un accord fut enfin trouvé non sans occasionner la moue du premier choisissant. Une mi-temps chacun pour porter le costard de l’idole. La suite, on ne la connait pas… sinon que le match se déroula comme il se doit dans les cris joyeusement volatiles, disputes permanentes d’arbitrage, heurts gentiment sauvages… et quelques déchirures de tissus prétendument neufs, occasionnant de vagues pleurs, aussitôt desséchés par l’emprise du jeu
Le Dieu des pâtis moutards sus nommé doit avoir plus qu’un regard bienveillant sur ces drôles de disciples, et sacrément se poiler de voir autant de ferveur hallucinée. Revient en forme du reste le centre Dan, puisque c’est le poste qu’il occupe pour le moment après quelques mois sabbatiques. Gageons qu’il fasse encore rêver ces chérubins en herbe tendre, comme ravisse les amateurs ce week-end de ses « divines », pour le coup, figures de style. Arf ! © Le Pilier

29 juillet 2014

FINALE SUPER XV 2014

Toujours aux gazons !
Faudrait pas croire que le héros du lieu, frappé d’on ne sait quelle aboulie, aurait gentiment rangé ses bibelots pour ne se consacrer qu’à la méditation, loin des luzernes odorantes, et que le drôle, devenu las de tout, ne daigne même plus faire signe d’existence, jouant les cénobites habités de révélations outre-cosmiques, refusant même catégorique de partager ses altitudes avec ses lecteurs interrogatifs. Y croire c’est ne pas savoir ! Du tout !!! En matière de lévitation, bien qu’aussi léger qu’un Zeppelin, sommes, question pénétration, toujours aussi droit qu’un piston !!! Histoire transmission aussi généreux qu’un Juan noble Don !!! Arf !!! Abandonner aux mauvaises herbes les jardins gazonnés qui souffrent de l’été, nous ? Jamais ! Même sous le soleil ardent de Juillet ça besogne ferme… jamais une chandelle éteinte avant la fin de la partie… jamais un corps-de-garde qui ne soit satisfait de la relève… jamais un gazon qui ne soit arrosé de nos altruistes… générosités !!! Hé hé !!! Bref sommes bien là... moins bavard à peine, plus vaillant en scène !
Preuve en est, nous nous sommes aisément qualifié pour la finale du super XV bitouine les Waratahs d’Hooper & les Crusaders du père Carter… En excellente compagnie donc, avons parfait nos cuissots, travaillé la puissance du râble, élaboré des positions savantes, afin, en guise de préparation aux grandes séries d’Août, de tenir notre rang zénithal comme se doit le signifiant Pilier... tel qu’en lui-même, gaillard au grattage, comme au fourrage ! Donc toujours tête au ruck, et cette finale de samedi qui s’annonce nous verra en pleine bourre, curieux, attentif, enthousiaste, vu la teneur de l’affiche. Allons z’enfants des grands pâtis, retrouvons-nous sous le ciel d’hémisud pendant qu’en hexagonie... se passe, comme d’habitude, toujours rien. 
Sinon bla ! Arg ! © Le Pilier

23 juin 2014

AUSTRALIE VS FRANCE... ROUSTES EN STOCK

Rassurés... Sommes tout simplement Rassurés !!!! Sainte André veut se poser les VRAIES QUESTIONS (super sic)... Bravo !!! En septembre on pourra rivaliser sans problème (re-sic) Cool !!! La CDM est à portée de paluches "j'y crois ferme" (sic tout neuf) Impec !!! Ben puisque notre Sainte machin national veut se poser les VRAIES questions, avant même qu'il esquisse un semblant de rien de flanby coutumier...  on l'encourage, le soutient en lui proposant de VRAIES RÉPONSES !!! Après la dernière dérouste, il serait temps de prendre des mesures en adéquation avec les faits !!!
Primo, exil définitif... carcasses, carafes, bonnets, baluchons, pantoufles dans un pays lointain, à des kilomètres de nos pâtis... Zou Cayenne si faut, un cruchon, un croûton, une longue méditation pour Lagisquette et PSA autrement dit, démission immédiate... mise au ban... delete... radiation, rejet, rebut, annulation des tronches !!! On se sentirait déjà mieux... on y verrait plus clair. Notez qu'on dissocie Bru de cet ostracisme impératif. Avons eu l'occasion d'entendre une palabre critique et juste du gazier, sans baveuse de bois, qui reprenait en substance tous les arguments lisibles en ce blog éveillé. Bon, en même temps un ménage complet ne ferait pas de mal à notre maison tricolore ! Nos pâtis sont recouverts de pissenlits... que l'on déguste visiblement par la racine avec délectation. Une chose à dire, puisque proposons de vraies réponses, nos cocottes certes sont lessivées... mais plus encore délavées !!! Les Australiens vainqueurs des trois joutes se sont littéralement amusés lors de la dernière face à ce gruyère défensif !!!
Pour faire simple, ne sont vraiment pas bons les Bleus. Techniquement,
collectivement,
individuellement,
voire cognitivement sont bien inférieurs aux grandes nations du cuir. Notre place de septième à l'IRB en témoigne... la dégringolade n'est peut-être pas terminée. Pour pallier ce risque on se concocte donc une tournée d'automne aux petits oignons. Fidji, Argentine, Australie... pourquoi pas Namibie, Pérou, Belgique... histoire de ne pas jouter les gros mastards, de remporter minimum deux victoires, et se faire accroire que le bilan sera positif. Pas de Blacks, ni de Boks au programme. On connaît la musique. Comme cette partition que l'on répète à chaque tournée en tapant des pénalités même dominés, pour marquer trois petits points, sans jamais chercher à profiter de l'aubaine pour apprendre, mettre en place un système de jeu autre, insuffler de l'audace dans les rangs. Jamais rien de tel !!!
JAMAIS !!! Sommes les seuls à agir de la sorte. Les Bifs, les Gallois ont un tout autre comportement et malgré la dernière claque pour les premiers contre les Blacks, et la défaite in extremis des seconds contre les Boks, ils progressent quoi qu'on en dise. On en causera later... à suivre donc. © Le Pilier

20 juin 2014

L'IVRESSE & LE BON GRAIN

Ben voilà... cool... les Bleus se frictionnent à 7h croissante... au beurre, pour les endormis, les naïfs, les peu du canari. Les pionceurs méritants eux, fermes détacheurs de coupons, titilleurs patentés de boulingrins... reluiseurs de castors au coup de râble assuré... les ceuss donc qui tiennent toujours promesses aux concélébrations du grand Dunlopillo estival, puisque l'été déboule plein sun, n'auront probablement pas le loisir de dessiller autre chose que les paupières... de l'amoooour !!! Arf !!! Faudrait donc plus qu'une victoire pour nous faire sursauter, plus qu'une percée pour nous faire décoller, plus qu'une simple revanche à 30 points d'écart pour nous réconcilier avec nos cocottes, trop en vacances chez les marsupiaux. En somme faudra se lever tôt pour délaisser l'ivresse et le bon grain et espérer du mieux sur le terrain !!! On se matera donc les Blacks et voilà tout. 9h30 AM pour les solides pleins de vigueurs, sachant que les Bifs ont replacé Tuilagi au centre, enfin,, reconfiguré la charnière du premier test où l'ouverture Freddie Burns nous a laissé entrevoir des qualités autres que son concurrent Farrell... Cipriani est remplaçant... à suivre idem. 
Côté Blacks, génial Conrad s'est hélas brisé le pouce en faisant de l'auto stop contre un poids lourd... de conséquences... remplacé par Malakai Fekitoa. Si la composition des équipes vous intéresse, cliquez sur ce lien qui dévoile tout. © Le Pilier

17 juin 2014

ENNUI, FORCE & FRENCH FLAIR

Pas très réactif ce Pilier après la Fanny des Bleus. Que rajouter en effet sans tomber dans l'itération coutumière, caressante et pleine d'aménité à l'égard de nos staffeuses en CDD, dont ont attends avec impatience la disparition définitive... que dire de certains, appréciant cet épiphénomène de XV jusqu'à le qualifier d'énorme gros sursaut positivement réactif ? Arf !!! Qu'il devait être beau ce temps jadis où les débordeurs d'incapacité... oups... frappés d'ostracisme, devaient abandonner la cité grecque pour n'y revenir qu'après deux lustres d'exil, c'est à dire une pleine décennie de digestion à ruminer sur le mal commis ! Bref... après le festin, la famine... comme se plaisaient à dire les outre-manchettes. Les Aussies visiblement étaient en pleine digestion, pendant que nos cocottes nationales défendaient mordicus les dernières clochettes d'orgueils qui tintinnabulaient encore dans le tréfonds de leur amour propre. Une ligne Maginot donc, sans imagination... face à des marsupiaux même pas sauteurs de bastion... aussi palots qu'un lavabo récuré au javel. Certes l'essai Australien aurait très bien pu être accordé, cela aurait probablement changé la couleur du pâtis. Qu'importe, le grand vainqueur du match fut sans contredit possible l'ennui ! Le score 6-0 tiendra lieu de preuve.

En revanche la baston qui précédait fut d'un tout autre calibre. Les Bifs une fois de plus ont bien bousculé les autochtones, même si, comme l'exprimait Sir Woodward, ce petit point qui semble minus au final de la joute, 28-27, représente une vraie galaxie d'écart... qu'il y a énormément de travail à accomplir pour atteindre cette maîtrise technique et collective proposée par ces fabuleux mastards du long nuage blanc. Depuis qu'ils sont champions du monde planétaire, une seule défaite à leur actif. Sommes comme beaucoup, à quia !!! Bon, on pourrait presque dire que l'essai de l'arrière Bif n'a pas touché la luzerne de l'en but... que sans cela et resserrant les abattis en fin de rencontre les Blacks remportaient haut la paluche le match ... on ne le fera pas !!! Certes le père Mc Caw n'a plus la superbe de la saison dernière, qu'il coûte 10 pions à son équipe... une pénalité, comme le placage manqué qui envoie l'ailier adverse dans l'en but... il n'empêche, les Blacks donnent toujours l'époustouflante impression de pouvoir marquer quand ils le décident. La force invincible. Matez la rencontre si pas déjà fait.
L'autre gâterie, exprimée en un twist rapido : Springboks du tonnerre de Zeus laminent des Gallois totalement impuissants 38-16. Un plaisir non feint de retrouver l'arrière Le Roux, opportuniste, phénoménal, matois, souple, sémillant... auteur d'un essai magistral, à l'origine des autres. Ya des gonzes comac qui font véritablement jubiler nos pâtis... nanti pour le coup d'un real french flair... sachant qu'en fin de compte, de part ses origines, il rend hommage à ce qui jadis, fut notre AOC !!! Arg !!! © Le Pilier

11 juin 2014

EWEN MCKENZIE... A BONS ENTENDEURS !!!

Le bon sens est ce qu'il y a de mieux partagé... entre les gens de bon sens !!! Arf !!! Preuve en est cet extrait copié-collé d'un article de Sylvain Labbe, officiant chez Sport.fr, avec citation du coach australien Ewen McKenzie.... mot à mot un point de vue depuis lurette asséné gentiment dans ce Blog majeur. Deux gaziers de plus pour la super team Pilier, qui expriment simplement ce que l'on doit entendre... sauf que le cuir d'ici ne se met pas "en danger", comme l'évoque le coach... la messe est dite, le retard phénoménal, le gouffre visible !!!! Trouvez la totalité de cette parole avisée en cliquant sur ce lien
"C’est au rugby français de se réveiller s’il ne veut pas avoir des équipes composées uniquement de joueurs étrangers comme dans le championnat d’Angleterre de football, expliquait la semaine dernière le sélectionneur australien, Ewen McKenzie, qui pour avoir été le coach du Stade Français, sait de quoi il parle. Je pense que le rugby français se met en danger. Aux dirigeants de faire en sorte de trouver un équilibre." Samedi, à Brisbane, le réveil a été brutal pour ce rugby français encore enivré par le triomphe toulonnais. Aux exploits des Armitage, Botha et autre Giteau ont succédé les maladresses et les limites criantes des joueurs d’un XV de France incapables de tenir la comparaison avec Folau et ses coéquipiers supérieurs par leur gestuelle, leur vitesse ou encore leur habileté.

10 juin 2014

L’ŒIL DE MATT

Avant qu'on ne pianote sur notre toshibastringue la bafouille du jour, intitulée "Bleu nuit", sise un peu plus bas, l'article d'un connaisseur de cuir patientait dans notre boite à mails. On balance notre bla sur le réseau, puis nous nous connectons chez Yahoo pour découvrir le papier de Matt, un vrai gazier apprécié du Pilier. Posé là depuis 24h, impec, direct, parfaitement lisible,... en accord avec la team Pilier... autrement dit les meilleurs gonzes qui se pavanent en nos pâtis. Sa bafouille que n'avions pas lu, trouve donc légitimement sa place en ce lieu de clairvoyance, sachant donc qu'elle fut écrite avant la nôtre. Les rapprochements que l'on peut faire entre les deux articles sont donc le fait d'une connivence tout à fait naturelle, démontrant, s'il était nécessaire, que les saveurs partagent un même esprit pénétrant, de franc-parler, d'honnêteté, de critique exercée, d'esthétique affirmée ... bref des gonzes qui appellent une raclée, dérouste... ne cherchent jamais de foireuses zexcuses quand ya plus rien dans les cassis ou les cuissots... respectent le cuir, échangent paroles de vérité... en somme dégustateurs patentés de grand rugby qui perpétuent et partagent en silence ses incomparables vertus !!! Arf !!! Ci-joint donc, son essai... transformé !


Orgueilleux mal jugés.
Par Matt. D

Après la débâcle de Melbourne, le XV de France continue, lentement mais sûrement, sa descente vers les abysses d’un rugby qui n’est même plus l’ombre de lui-même. Alors bon… on fait quoi maintenant PSA ? Premier match en Australie, première rouste. 50-23… sept essais à deux… des erreurs de défenses ahurissantes, un physique minable, une technique déplorable et un orgueil insupportable au moment de débriefer le match. « On prend deux essais casquettes… On ne s’est pas reconnu. On ne joue pas à notre niveau… ce n’est pas nous »… du flan tout ça! Dans la vie, on est ce que l’on fait. Point. 
On a tort de ne pas prêter une oreille attentive aux propos des joueurs de l’Equipe de France. Ils en disent long sur leur manière de penser et vivre. La palme de la phrase reviendra sans conteste à Parra, rentré dix min avant la fin et auteur d’un essai d'orgueil : "on ne s'attendait pas à une intensité aussi forte, à une technique aussi forte” 
Mais mon cher Morgan, que faites-vous quand vous n’êtes pas occupé à vous faire étriller en phase finale de Top 14 et de HCup ? Regardez autour de vous bon sang ! Ouvrez vos ordinateurs et, quitte à être aveugle, allumez vos écrans ! Un peu plus bas… c’est ça… au sud ! Oui ! Les nations du sud qui vous indiqueront peut-être où est le nord ! 
La fin pourrait être comique si elle n'était pas affligeante et désarmante : “On n'a rien à envier à ces équipes dans le jeu.” Ça Morgan, ça reste à prouver et voilà 3 ans qu’on attend. Au reste, nous n’attendrons plus, nous. Terminé ! Après vingt minutes indigestes, on a plié boutique. Le laid, ça court les rues et nos vies, et on ne regarde pas le rugby pour se polluer encore plus la rétine. 
Le match des Blacks face aux Anglais par exemple, était un beau moment. Premier match de l’année 2014 pour nos champions du monde édition 2013 (13 match, 13 victoires). Il y a, évidemment, encore un peu d’huile à ajouter dans ces vrombissantes turbines mais voilà, comme dans 90% des matchs qu’ils jouent, les Blacks gagnent ! Et il n’y a que les sombres crétins (nous parlons évidemment des idiots utiles du système qu’on nomme pompeusement journaliste sportif français) pour se permettre de dire que les Blacks ont gagné “sans convaincre”
D’abord qu’il soit permis de douter du fait que nos inspecteurs des travaux mal dégrossis aient des convictions. Ensuite, soyons sérieux : on note trois franches et belles occasions d’essai chez les Blacks, manqués d’un rien face à des Anglais tenaces, nerveux, solides (nous l’avons toujours dit, ils seront prêts en 2015). Alors, évidemment, dans une semaine, les "tous noirs" ne feront pas les même erreurs. C’est d’ailleurs tout l’objet d’un test : se jauger, s’étalonner… A bon entendeur ! 

Alors bon… on fait quoi maintenant ? Plus rien. On se contente de ne plus allumer sa télé pour voir nos andouillettes trop bleues se faire dégommer par des Wallabies qui sont, rappelons-le, en phase de reconstruction. Plutôt que de prendre son mal en patience, autant ne plus s’esquinter. Jamais. © MATT. D