Sans coup de pompe
au croupion,
il n’est pas de valeur
aux lampions !!!
Sans esprit bousculeur on en reste à l’âge de pierre… on réfute Paul et sa loupiotte éclairante… griffonnait le chantre des pièces montées, sur les parois d’un vestiaire de pâtis hexagonal ! Un Pilier de Beaumarchais qui en connaissait un rayon sur la nature humaine, prétextait que la vérité vraie valait tous les jugements, qu’à force de causer "respect" à toutes les sauces on finissait par basculer dans la bauge démagogique, qui non seulement atténue la vivacité, dissout le moindre éveil, entretient ce consensus malsain subsumant tous les individus sous le même dénominateur du vague roupillon ! Pis que tout donc, embrume sinon enfume l’instinct même de vie, déposant le sujet au rang de mérinos, partant renie toute évolution ! Arf !!! Le dire est figé, se comporter à sa mesure est de fait respectable car annonce un mouvement qui servira d'exemple !
C’est le pavillon des minus… respect, respect, respect… dès que le mot est lâché on sent qu’il y a problème… il ne dit rien, n’insuffle rien, annonce plus la pusillanimité de celui qui l'émet, que la vertueuse évidence qu’il renferme ! Arf ! Respect est un fait, pas du bla… en être se flaire, se voit… du reste ceux qui en causent à toutes les banquettes sont évidemment ceux qui s’ignorent de ne pas en être !!! Comme l’histoire nous l’apprend et le quotidien nous l’affiche… comme s’ils voulaient cacher leur misère intérieure fragmentée, derrière ce paravent, somme toute transparent. Arf !!! Ça nous met immédiat la puce aux esgourdes ce fanion « respect », on se dit illico, mais pourquoi donc cet empaf s’affiche avec c’te pancarte ? Que veut-il donc planquer en agitant son joujou ? La réponse est simple, immédiate, sans appel !
C’est le pavillon des minus… respect, respect, respect… dès que le mot est lâché on sent qu’il y a problème… il ne dit rien, n’insuffle rien, annonce plus la pusillanimité de celui qui l'émet, que la vertueuse évidence qu’il renferme ! Arf ! Respect est un fait, pas du bla… en être se flaire, se voit… du reste ceux qui en causent à toutes les banquettes sont évidemment ceux qui s’ignorent de ne pas en être !!! Comme l’histoire nous l’apprend et le quotidien nous l’affiche… comme s’ils voulaient cacher leur misère intérieure fragmentée, derrière ce paravent, somme toute transparent. Arf !!! Ça nous met immédiat la puce aux esgourdes ce fanion « respect », on se dit illico, mais pourquoi donc cet empaf s’affiche avec c’te pancarte ? Que veut-il donc planquer en agitant son joujou ? La réponse est simple, immédiate, sans appel !
En matière de cuir, force est de constater que cette bagatelle suinte à travers les pores de bons nombre d’amateurs. Quand ça jaspine sur tel ou tel évènement, hop, ya toujours un petit mollet qui débarque, pour peu qu’un autre ait l’esprit percutant, et vous refile illico du « respect » en mélangeant tout. Une scène éloquente viendra imager ce propos.
Un gus observateur, joliment parleur, s’insurgeait de l’attitude de Guy Noves lors de la dernière chicore des toulousains en phase finale du Top. Florian Fritz, comme chacun sait, resta sur le carreau herbeux après un choc à la tronche. Plus que flagada, le centre décentré semblait entendre les cloches de St Sernin quand il alla se faire recoudre dans les vestiaires après avoir maculé généreusement sa tunique de raisin. On sait la polémique engendrée par le non-respect du protocole commotion des médecins du club. Certes ils ont leur responsabilité… mais il s’agit de ne pas oublier l’attitude frappante de Guy Noves qui en dit long sur sa considération des joueurs.
Notre beau parleur a vu ce dernier enjoindre le doc comme le joueur de sortir fissa de l’infirmerie par un « Allez allez » bien vénère… genre « ça suffit les mamours, allez hop, retourne au pâtis fissa... ya plus important que ta carafe… une qualif est en jeu... c'est qu'une égratignure, qu'un bobo... » !!!
Toussa filmé, pas d’lézard, franc du collier, bien net et diffusé. Il nous assure que Fritz était bien vaporeux, du reste n’a pas brillé, lui pourtant illuminé de trente-six chandelles après son KO... de bobo ! Ouarf et bref ! Le narrateur donc s’outragea de cette façon de faire, et ne se priva pas de balancer quelques noms gentiment d’oiseaux pinailleurs à la face de l’entraîneur toulousain pour cette attitude totalement irresponsable sinon sans contredit possible, gravement inconséquente… l’ayant trop moult fois entendu parler de respect… de l’adversaire, des autres, de la santé des joueurs, des crampons, des élastiques aux chaussettes, des jarretelles à Ginette... des tartempions, des tribunes, des us et des coutumes…et toussi-toussa mon Dada !!! Soit et suite et fin !!!
Toussa filmé, pas d’lézard, franc du collier, bien net et diffusé. Il nous assure que Fritz était bien vaporeux, du reste n’a pas brillé, lui pourtant illuminé de trente-six chandelles après son KO... de bobo ! Ouarf et bref ! Le narrateur donc s’outragea de cette façon de faire, et ne se priva pas de balancer quelques noms gentiment d’oiseaux pinailleurs à la face de l’entraîneur toulousain pour cette attitude totalement irresponsable sinon sans contredit possible, gravement inconséquente… l’ayant trop moult fois entendu parler de respect… de l’adversaire, des autres, de la santé des joueurs, des crampons, des élastiques aux chaussettes, des jarretelles à Ginette... des tartempions, des tribunes, des us et des coutumes…et toussi-toussa mon Dada !!! Soit et suite et fin !!!
C’est là que débarque la punaise de sapristi… hé hé… qui insulte vertement le dénonciateur et lui intime de respecter le légendaire entraîneur, passque because et péremptoire il a un gros palmarès et gagné plein de gamelles !!!!
On cherche encore le rapport entre les deux sujets !!! Hé hé !!!
Zavez saisi non ?
Ne respectez
que le respectable, dira le fabuliste lapalicien,
reservez vot' savate
aux vertueuses blattes, sonnera le tocsin !
Tsoin ! © Le Pilier
On cherche encore le rapport entre les deux sujets !!! Hé hé !!!
Zavez saisi non ?
Ne respectez
que le respectable, dira le fabuliste lapalicien,
reservez vot' savate
aux vertueuses blattes, sonnera le tocsin !
Tsoin ! © Le Pilier