Gratification, une saveur, si vous amuse d’être adoubé... éphémère !!! Maintenant kon nouza déposé toulao, sur le divan confort de l’UPNID… Universal-Prix-Nobel-des-Incomparables-Data… pour l’acronyme officiel... seul, unique, et véritable Graal du reste des titulatures les plus convoitées de la planète hominienne, ya pu ka revenir aux pâtis en attendant la dernière joute d’automne suscitant encore quelque intérêt… Irlande vs Australie, 16h10… le week-end qui vient.
Les All Blacks sont en vacance… après un dernier match contre les romains pour le moins ennuyeux. N’ont pas brillé nos chers Néoz… et si le S est bien retranché du signifiant sabbatique, c’est pour évoquer ce que n’avons jamais caché. Suivez ? On attendra la saison prochaine, car il nous semble avoir fait le tour de la question... refiler not’ sentiment… que partageons du reste avec bon nombre de compères.
Où va les mener Razor le coach de la Team, avec ce rugby parcimonieux loin des exaltations que la tradition joliment insufflait ? Certes ona vu émerger de beaux gaziers, en la personne de Wallace Sititi notamment… un Roigard plus que prometteur… etc... mais il appert de cette année écoulée, que la Nouvelle Zélande n’est plus la contrée hégémonique qu'elle était. Un fait !!!
La nation en vue du moment, faut le dire, quasi invaincue cette saison 2024, celle des Boks !!! Pieter-Steph Du Toit… élu meilleur gonze des grands terrains… ok… pas volé… remarquable beau joueur... même si Etzebeth son copain, comme d’autres, aurait pu recevoir la pastille. Qu’importe. Les Sudafs ont remporté tous leurs matchs en hémisnord… on s’y attendait, avec un regret cependant de ne pas les avoir rencontré au Stade de France.
Les Gallois sont en crise durative… prennent désormais des roustes à chaque rencontre… les Aussies n’ont pas su réitérer leur performance de Twickenham, battus pas les Scots… avec des failles inacceptables en défense qu’on avait déjà constatées durant le Championship.
C’est l’heure des oscars, des médaillons, des ultra gratifications… du Grammy, du Award méritant, des Golden Globes au soleil couchant... césars à lauriers qui scintillent, des statuettes à cheminées qui brillent… trophées de tout calibre, étourdissants bouquets qu’on agite dans le ciel inconstant pour les plus en vue de nos prétendants !!!
L’heur donc épatant des récompenses de partout, pour les plus gaillards d’entre-nous… les ceuss kont des qualités hors normes... des possibilités sans bornes à se faire congratuler !!! Les figures majeures dont le renom transpire dans tous les coins des chaumières les plus reculées des plus lointaines contrées !!! Les détenteurs de dons musclés, extraordinaires, colossaux, mirobolants zitems, ébouriffants stylèmes… des genres de modèles incomparables, quasi prestidigitateurs, qui font des performances à outrance, partant rêver les plus communs d’entre nous !!!!
Sous l’égide ondulatoire des palmes zacadémiques qu’anime un bon tas de sommités spectaculaires, on glorifie la puissance dynamique de la nation, partant des singulières légions de citoyens, dont le prestige des zélites en ruisselant sur leurs représentations, insuffle à nos clochers une résonance nouvelle, enjouée, fière d’être ce qu’elle est !!!!
Zavez donc noté c’est bien la saison des lampions, ils ne se privent pas d'assigner des récompenses pour tous ces élus ki font des exploits, kon montre du doigt, admiratif, kon affiche comme modèle dans nos chambrées, kon peut causer d’eux dans nos soirées… ces figures d’émotion qui défrisent la nomenclature convenue des plus aguerris citrons !!!!
On se congratule de partout, on fait des banquets, on surjoue… ona les plus beaux joueurs du mondeu, ona les plus grosses personnalités que la terre nous envie, ona de quoi déclarer urbi orbi que le mérite est une denrée qui pousse juste là sous nos pieds, kia pu k la faire germer, pour en tirer les fruits les plus juteux.
Pour le Pilier d’évidence, impossible d’échapper à la couronne la plus convoitée !!!! Maître incontesté es ovalie, comme tout le reste… polymathe multi-fois cité par les plus grandes instances de la Notoriété Vraie, une fois de plus élu à l’unanimité, le voilà propulsé au titre suprême du magistral U.P.N.I.D !!! Ultra Prix Nobel des Incomparables Données... pour ses analyses tangibles, incontestables, dosées… ses cognitions miraculeuses, son unicité fabuleuse, des galaxies inconnues aux plus humbles pâtis !!!!
Voilà c’est dit !!!
Harvard n’est qu’une emblavure pour lui, Cambridge un petit coin de verdure, le M.I.T un ti labo d’écolier... les World Awards Rugby un simple bon point pour épater Julie... la Coupole, à peine un parapluie !!!
Le Blog qui pète la calamine sans jamais dévisser... dont la figuration mesurée, presqu’authentique, offerte ci-dessus par le comité de salut pudique, évoque sans aucune exagération, l’item votre, veillant au grain dans l’en-but du terrain !!!!
Le Pilier en son bastion accepte la plus emphatique des célébrations !!! Même sa modestie plus qu'avérée ne saurait faire de l'ombre à cette incomparable notoriété !!!!
Plébiscité sans n’avoir jamais rien demandé, ses bafouilles imputrescibles ont depuis lurette perforé le plafond des œuvres à graver dans le marbre de l’éternité. Sa vista isotropique, son doigté méthodique, son entendement colossal, sa perspicacité nodale, son insusceptibilité excentrique, sa pugnacité parégorique… son autonomie… on respire...... on reprend….... sa méticulosité d’aranteloir, ses facéties déclamatoires n’ont pas hésité à remiser le ti' Albert Mc² au rang de simple entité, de formule inanimée !!!! Sic exprimé sans barguigner par le cénacle émérite des votants… on le rapporte tel quel !!! Allez hop… à nous les Ors, les Pim’s, les passiflores, les lauriers que même César n’a jamais su effleurer... les parts de frangipane joliment pâtissières, plus goûtues que l'anodin pithivier !!! Pas un seul Blog ne peut rivaliser... ils le savent tous... et s'en rongent parfois le gros orteil du pied, mais viennent cependant jeter un œil continu, en fantasmant sur ce à quoi ils n'auront jamais accès !!!! On les connaît !!!!
A nous le coin sans foin… les fourrures en lapin… à nous les grands bonnets, les gisquettes hallucinées, les ailerons, les bagouses en or dorées !!! Un trône en forme de divan sommital demi-lune, velours et mérinos de cachemire au croupion, à paillettes émaillées, parures à défier les plus scintillants lupanars de la ravageuse Circé, sera le siège désormais de nos moindres générosités !!!
Charles Ollivon de retour… en 8... voilà ki nous va. Ona toujours pensé ke c’était lui le capitaine des Bleus… c’est comac, on sait… tient la rampe le gazier... nous plaît !!!! Aurait dû retrouver le brassard du reste après sa blessure picétou !!! Une troisième ligne impec... on peut dire ça... avec Cros et Boudehent c'est très bien... Meafou-Flament, deux poutres qui tiennent le rang... Atonio-Gros-Mauvaka bien devant... ok pour ça !!!
Kon nous dise maintenant pourquoi ne joutons pas les trois grosses équipes du grand sud à chaque saison d’automne ? Et ke même ça nous arrive jamais !!!!! Au Royaume Uni, comme en Irlande... y font ça très bien… pourquoi jamais nous ???? Cé pas kon n’aime pas les Pumas… padutou… mais oné allé batifoler dans la Pampa cet été déjà deux fois. C’est koi le contrat ? Kès ki fait kon la joue toujours petits bras ? Kon nous dise voyons pour voir si on nous dévoile un truc konsépas ???
Konnous dise pourquoi Scott Razor fait entrer Ratima à la 53ème minute, partant remise Roigard sur le banc ? Non mais !!!! Pour le préserver ? De quoi ?
Konnous explique pourquoi Scott Barrett à quatre minute du sifflet final, prend les trois points après un moment de domination au lieu d’aller en touche et de potentiellement planter un try, remporter la joute ?
Konnous explique pourquoi Ratima que beaucoup trouvent génial, à 3.30 minute de la fin, alors que les Blacks possèdent le cuir au chaud du ruck et sont menés au score, bim, envoie un coup de saton et rend la gonfle aux bleus ?????
Kon nous explique pour voir... ce que l’on sait déjà !!!!
A quoi ils jouent les Néoz ? JamaisMc Cawn’aurait indiqué les perches sur la dernière pénalité !!!! Jamais !!!! C’est une foirade de miches à zéro ça !!!! Faut changer de capitaine et fissa !!!!
Et Ratima il a koi dans le cassis ? Sommes fada de voir ce que l’on voit d’évident ? Mais ya pas besoin de passer des plombes à analyser ces grossièretés… d’être prix Nobel de TV… un seul coup d’œil on cerne Cortez nous… une minute de sa première prestation, on sé dit kil n’avait pas le truc… fallait mettre Perenara si Razor voulait bichonner son 9 !!! Stratégifléeépicétou... voilà skon dit tout net !!!! Peut y aller maintenant le King Frédochercher pouille au coach... clair que là, ya de bonnes raisons d'y ratiboiser la couenne. Ne s'en privent pas du reste chez eux... sont pas câlins les tochtones... non mais... cé koi c'te tartiflette ??? Avec tous ces cuirs en pogne... jouer les coquettes ???
Le résultat a été aggravé par certaines décisions de l'arbitre Nika Amashukeli et de son équipe judiciaire, en particulier le TMO pendant les 10 dernières minutes lorsqu'un ghost neck roll a été sifflé contre eux, ce qui a permis à Ramos de marquer son troisième but de pénalité et de donner la victoire à la France.
En traduit Google ce que racontent les NZ at home… vi pas faux ke sé vrai… mais ça n’enlève en rienla stratégie désastreuse des All Blacks ?
Cé koicette façon de posséder la gonfle outrageusement et de coller au score avé les zarpions ????? Pis de la couffe monumentale en sus, façon Tupou Vaa’iqui laisse choir le cuir comme un fromage… au lieu de le conserver !!!Ramosmagistral s’en empare, hop, coup de pompe bien dosé, on déclenche laBielle, celle qui transmet la force, le mouvement au moteurBiarrey… bim la fusée grille tout le monde… essai Français imparable !!! Bravo les gars !!!
Non mais… les Blacks n’ont pas le droit de faire toussa, ce n’est pas inscrit dans la charte du rugby NZ, c’est interdit par la convention des grands pâtis ça… houla… dominer comac en encaissant trois essais, pour n’en planter que deux… avé des trois points aux agaçins, non mais, à koi y jouent les gonzes... aux Anglais ?
Bourdonne pas comac Pilar, tu vas faire une poussée d'adrénaline... t’as apprécié des tas de choses non ? Entre autre la prestation deSavea… kon avait bien dit de le placer à la flanke... qui insuffle joliment le premier try des Blacks… et autres vaillances remarquables… ce moment où il s’arrache pour aller chercher le cuir dans ses 22, avec les Bleus aux trousses… il est épatant ce joueur. PisRoigardbien sûr, kil est matois ce gonze… pour sûr nous plaît.
Bielle-Biarreyun vrai météore, des cannes de feu le gonze… Ramos a fait le taf… la vista… à l’entre-perche c’est carrément le clone de Wilko… Mauvaka, joueur et solide… impec... etc etc !!!
Défenses bien fermes… des deux côtés… pas de carton… à noter… rencontre équilibrée… un vrai bon moment de rugby. Les Bleus l’emportent et c’est très bien comac. Ya de quoi faire avec ce cheptel… sachant kona des jeunes au centre prometteurs qui vont remplacer la vielle garde… progression espérée ? En tout cas ça devrait le faire... à voir... sommes pas royaux pour l'heure en attaque.
Un point c’est beaucoup !!!Étrange chose en vérité que le jeu. Un simple point à lui tout seul oriente les perspectives. Il actionne le dithyrambe, impulse exaltation, sinon engendre polémique, accusation, invalide un espoir en transmutant la délivrance en désillusion... dramatique. Un point modèle à lui tout seul les opinions, impose une infinité de commentaires, affirmant de façon absolue et définitiveun ordre des chosesvalidé par cette figure de vérité. Tout est là dedans… un point.
Tout ce qui peut être dit pour expliquer une défaite aura en point de mire lavictoire. Tout ce qui est affirmé après cette dernière est vérité tangible puisque qu’elle justifiera ce Tout !!!! Elle est complète, elle rassure, elle soulage l’entendement de se croire enfin à la mesure de lui-même !!! Un monde denormalitépour les uns, « On l’a mérité »… de désillusion pour les autres « C’est un vraie cata, ce n’est pas normal » si on parle d’un certain quart de finale... ou d'unedéfaite cuisantepour les Blacks, tout comme le titre un certain post Néoz après le match de samedi perdu par ces derniers 30-29 !!! Un point c’est tout… un point fait tout... la pluie, le beau temps... le soutif, le caban... le sourire, les pleurs... le gourdin, les fleurs !!!!
On connaîttous l’effet produit par la victoire comme celle simultanée de son indissociable compagne, la défaite. Les raisons de la victoire peuvent être aussi nombreuses que celles de la défaite. L’imagination est inépuisable. L’une ne va jamais sans l’autre. Celles de l’une engendrent de facto celles de l’autre... celles de l’autre celles de l’une !!! Arf !!! Couple indissociables’il en est comme figure intemporelle de la mise en relation des antonymes, structure fondamentale binaire tenant lieu d’épousailles indéfectibles dont l’universalité opérative subsume la nature humaine sous un même credo, une évidente loi !!!Le dualisme impératif ... et rassurant !!! La plupart des hommes se soumettent allègrement à cette théorie fondamentale de la dite évolution humaine sans même jamais remettre en question son principe collatéral !!! Ya du bien, ya du mal… ya défaite, ya victoire… ya croûton, ya du Pal… ya chopine ya ciboire... quoique pour ce dernier couple certains réfuteront sans doute l’antithétique notion. Santé !!!
Pour les perspectivistesmatois on ne s’encombre pas !!! Gagner c’est aussi perdre la notion de ce qui compte… mais perdre c’est gagner la liberté de rêver !!! Perdrec’est gagner la force d’avancer mais gagner c’est perdre l’envie d’aller plus loin !!! Gagner c’est perdre la simplicité… mais perdre c’est gagner en sagesse !!! Perdre c’est gagner un nouvel horizon… mais gagner c’est perdre la douceur des chemins détournés…Gagnerc’est perdre la motivation en se croyant arrivé, perdre c’est gagner en motivation… etc etc... Ils pourront s’amuser durant des plombes, chaque figure étrangement aura sa part de vérité.
Un point c’est toutveut dire aussi que ce n’est pas grand-chose… pas de quoi sauter au paf, pas de quoi s'accabler... mais de là à dire qu’il y a presque vol il n’y a qu’un pas que les perdants n’hésitent pas à franchir. C’est là qu’apparaît fatal et systématique, la ou les décisions arbitrales. Bim, les erreurs du sifflet ont fait basculé le match… les pénalités litigieuses sont responsables de la défaite et mises à l’index… en l’occurrence pour le dernier match, la lenteur supposée deRatimaqui met plus de 5 secondes à se débarrasser du cuir après l’impératif « Play it »… engendrant pénalité… la prétendument faute sifflée surCodie Taylorlors d’une reprise de jeu… des pénalités non sifflées alors que la mêlée Bleue était sur le reculoir… et d’autres points douteux qui justifieront le dol !!! Quand ya k’un point, ya chagrin et moult raisons de faire du foin !!!! De ce petit pointdonc de différence qui vole la victoire à l’un, la défaite à l’autre… tout est question de vol !!! Hé hé... et c’est reparti pour un tour. Gagner de peu c’est voler la victoire... alors que perdre de peu c’est voler l’espoir. Gagner de peu est preuve de grande maîtrise, perdre de peu est aussi preuve de grand progrès… à chacun son lieu... mais le vol est de toute façon planqué dans un coin et n'en sortira jamais !!!
Le jeu donc, soumis au principe de dualité qui repose sur l'idée que des éléments opposés ou complémentaires coexistent pour créer un équilibre ou une compréhension globale, n’aura pourtant cure de cette explication. Pour lui et ses participants gagner c’est gagner, c’est être plus fort, perdre c’est paumer, c’est être en tort !!!
Ben voilà !!! Après avoir chicoté un brin l’indétrônable King Frédo afin d'activer les plus beaux ressorts de son règne... sollicitant le meilleur en somme de sa couronne ambrée, l’anthropologue majesté nous za dégoté Ze reason why la Nouvelle Zélande domine les pâtis planétaires depuis plus d’un siècle. La raison elle est là… au cœur de la culture ancestrale, volontairement soumise à la constance inaltérable du temps hiératique, respectueuse des liens indéfectibles qu’inspire la transmission... à l’occasion du départ en retraite d’un professeur affectionné !!! Cliquez dessus et savourez.
On supputait que Razor ne voulait pas trop utiliser Roigard… tout juste revenant de blessure, et kil attendait pour le titulariser d’entrée face au Blous. On sé pas si sé ça… toujours est-il que le demi de mêlée sera bien présent dès le kick off, au cul des gros !!!!! Ratima, l’avez-vu en Irlande… tout ce que disait le Pil était donc vrai !!! Arf & Com dab !!! On aurait mis TJ Perenara sur le banc nous… justement pas le ti Cortez. Ya pas d’Moctezuma à l’Elysée... Paname c’est pas Mexico... les Blous n’ont pas de tronches d’aztèques. Onavu ski valait les deux dernières rencontres, pas la peine d’insister !!!! Erreur de Razor ?... nous bave un brin sur les rouleaux parfois… on pige pas, ou trop !!!
Côté Blous savez tout. Jalibert ? Le coach n’aime pas sa cafetière… si FG est constipé des écoutilles sé pas not’ affaire... ya lurette kon y prête pas même un cornet !!! Kan y jacte, not’ entonnoir fait l’iguane, kon se demande si FG joue du mirliton, de la trompette, du siphon... ou l’a pu d’diesel au melon… nous faut un traducteur !!! Un vrai cosmétique en échantillon… débagoule n’importe nawak. Notez kia des cireurs de ripatons qui adorent ça. Analyse de ses choix… reflexionite sur la continuité évolutive… décryptage de son bla cunéïforme... tartines de choses ki laissent rien à penser, sinon skon sait !!! Matthieu s’est calté… pouvait plus l’supporter !!!!
PS : Une tit' vidéo kelle est super !!! Kan les Maoris en assemblée sont pas d'accord avec un projet de loi, ça donne ça !!!!! Ka matez... Ka matez c'est d'enfer !!!!
Well well… comme une mèche mouillée sur un feu d’artifice espéré… l'Irlande avait attendu 13 mois depuis le quart de finale de la Coupe du monde pour dire ce qu'elle pensait de la Nouvelle-Zélande... mais les mots sont restés coincés dans sa gorge !!!!
Avons entendu ça dans un coin d’outre-manche, invité qu’étions lors d’un congrès amical en terre pastorale anglaise, dans une demeure authentique, pour de plaisantes causeries concernant le temps cybernétique, avec, aux zagapes... non exhaustif... conflits dialogiques, accostage noématique impactant… lois d’identité recluses... figuration actancielle des champs rétroactifs… hypermnésie locutive... principes d’indétermination volontaire et autres gâteries novatrices... domaines de prédilection présente des acteurs assemblés.
Après une journée d’échange de nos travaux respectifs, avons maté ensemble la rencontre. La plupart des chercheurs de la troupe en effet apprécient le XV, comme il se doit, liant incontestable de nos affinités électives, espérant tous comme annoncé un peu partout, une joute d’ampérage consistant.
De l’avis général fûmes déçus. Une belle affiche ne génère pas assurément la satisfaction qu’elle inspire. Les All Blacks remportent victoire 13-23... avec une défense de fer, gestion aux pinceaux, un seul essai… mais l’en face irlandais laissa tout le monde dubitatif, sinon pantois… peu habitués que sommes à les voir égrener tant de fautes... à répétition. En causer à outrance n’engagea pas les langues.
Pour l’anecdote le Pilier votre eut droit à quelques laudations appuyées pour la bonne tenue de ses bafouilles incomparables, sic performatif... ça sentait l'Award à plein pif !!! Hé hé... Clap hands suivirent, tournées-chopines consacrèrent l’apologie… se conformant au rite avons chantonné sur plateau, jusqu'à plus voix, quelques indélicatesses que la bienséance nous impose de ne pas préciser !!!
Plus tard, la nuit bien engagée, en maître de séance, officions en maillot de convergences notionnelles… prérogative que la prééminence de nos travaux nous octroie. S’en suivi quelques éristiques prédicatives, d’évidence, pour se plonger later vidés dans les bras des ténèbres salvateurs !!!
Au tard matin surprise !!! Le maître des lieux, un pur autochtone de bel esprit, nous proposa une virée à Twickenham, histoire de voir si la rose avait déclose sa robe de pourpre au réveil de la dernière défaite. On ne s’y attendait pas, l’avait tout prévu… et malgré quelque réticence subséquente à l’idée que nous nous faisions de l’intérêt d’un tel affrontement, nous voilà en partance pour visionner l’évènement in situ !!!
Bonne pioche, un vrai régal. Le temple londonien est superbe, le public vrombissant imposait une atmosphère exaltante. L’idée bêtement attendue que la dérouste australienne était inévitable se transforma en une célébration du jeu, activant les tronches et les gosiers, si bien qu’étions ivres de chants tout autant que de la prestation… des deux équipes. On entonna même le Swing Low emporté par le flow !!! Si si !!!
Perfect scénar dirons-nous. Suspens à loisir, et surtout, faut bien dire, ravissement de tous de constater le retour des aussies vers les pâtis majeurs. Planter un try comac à la fin du temps réglementaire, seuls les Blacks pensions-nous en étaient capables. Qu’ils reprennent donc des couleurs n’est pas pour nous déplaire… il était temps… d’autant qu’avons découvert de superbes gaziers bien zélés dans les lignes arrières, ce qui manquait à la troupe depuis la disparition, d’une certaine manière, du controversé Folau.
Bravo les gars. Une victoire pas volée qui espérons-le augure des lendemains enchanteurs. 37-42 au coup de sifflet final. Moment épatant, ravissement général !!!
Pour un fait. Quand George Ford à la sortie du banc pénétra sur le green, Twickenham s’est mis à siffler comme une loco… ona tous cru que Borthwick allait réitérer sa bourde et virer le tonifiant et superbe Marcus Smith. On pige pas… on éructe… au final on comprend qu’il le déplace au poste d’arrière. Presque ouf… mais Ford again, why ?... s'étonna rétif notre voisin de tribune et compagnon de joutes. Yavait kan même de koi s'ébouriffer !!!
Quelques minutes après, bim, cet empaf fait une bourde qui occasionne l’interception d’Andrew Kellaway partant l’essai de ce dernier. Les Australiens prennent la tête 30-35. Non content de foirer sa passe sur contact, Ford ralentit sa course à la poursuite de l’ailier... alors que vu sa trajectoire, en traçant droit, il avait tout le loisir de le rattraper. Matez sous tous les angles, c’est ultra visible. Il ne s’arrache pas, il veut pas… mais kèskifait là ???? Merci Bothwick !!!!
Du coup un peu partout, le coach en prend plein les esgourdes. Sont pas tendre avec lui nos cousins. Bon nombre d’entre eux pense qu’il doit retourner à la culture des fraises et soit remplacé fissa, sans attendre la saison des fruits et légumes. Technicien kil est ki disent, mais pas tacticien kils assurent… allez zou ficelé au piquet de grève emporté par la marée !!!! Hips !!!
Excellent match donc, le plus beau du week-end... score final 37-42... félicitations appuyées à l’Australie, bonne prestation des Anglais qui pour not' heur, à la saison d’automne ne se contentent pas de sushis au wasabi, mais ont le courage de s’enquiller tous les gros de la planète. Après les Blacks et les Aussies, hop et paf, jouteront les Boks la semaine prochaine... bravo les gars... suivez not’ regard !!! Icy chénou, on se retape des Argentins déjà joués en Juillet… des Nippons en édredon… à peine les NZ. Un manque de caractère, d’audace, de fermeté… sinon d’intelligence.
Comment se bien jauger si on refuse de se mesurer ?
Jour de commémo, jour de paix !!! Armistice est un joli mot, perpétuons l’écho !!! Une pensée pour les anciens... Néoz, Aussies, Britishs, Irishs, Scots, Gallois, Ricains etc... bestioles dissoutes et sacrifiées sur l’autel de nos bouffisures, nature débousillée par les suppositoires d’acier, l’air vicié… terre mère kon épuise, insultée... 14-18 des plus lointaines, reste en not’ mémoire comme le témoignage hallucinant d’un temps estropié... et comme c'était la dernière... elle en appela d'autres... pardi !!!
Histoire de ne pas contrarier not’ colon, (cf les échanges émoustillants du Pack de Six que vous trouvez en lien sur ce Blog), et du poilu grand-père raviver la présence immuable, dissipons l’ombre sombre, entonnons tous en chœur cette marche joliment satirique de notre poète national afin de glorifier la paix, seule quête à valeur monumentalementcivilisée, pour peu qu’elle soit universellement définitive !!!! Tu parles Charles d’une candide imploration !!!! Arg !!!
La baston sur le terrain, cuir en main, devrait être le seul coin de chicores. Il appert cependant, qu’aujourd’hui au moins, dans notre sublunaire coin, on se doit de faire une pause et glorifier l’armistice générale, manière de savourer les incomparables bienfaits... du signifiant !!! On revient pour causer des joutes du week-end sur les pâtis européens, avec de vrais morceaux authentiques d’alacrité... comme not' colon ce qu'on préfère !!!
Après not’ interlude façon résosocio, (cf précédent post Touche pas mon Haka)… retrouvons le pâtis à proprement parler et causons de cette défaite anglaise. Avons posé une question des plus simples, dans l’avant-dernière bafouille, swing low, swing Charlot… ainsi déroulée : « Mais la cerise du match, le moment de reprise, de bascule, de ressoudure même qui a refilé impulsion au pack, comme à tous les Blacks… cété koi ? » Bim immédiat... réponse du Sieur JJk, un saveur quasi incontredit en matière de XV, parfois correcteur de nos bourdes zorthographiques, dégoteur de petites perles ovales dont on vous causera later… on en passe… un veilleur au grain si voulez, impec et sans dec… on vous livre sa réponse verbatim :
Cherche pas trop loin le redémarrage des Blacks Pilar.
- Sortie du trop tendre (et prometteur) Ratima, entrée de Roigard.
- Sortie sur commotion de B. Barrett, entrée de DMac. (serait-il sorti sans la commotion... hmmm?).
- Charnière neuve...
- Entrée de Tuipolotu et de deux pilars qui changent la domination en mêlée, jusque là anglaise.
- Et surtout catastrophique sortie de Smith au profit de Ford.
Les Anglais, qui n'avaient déjà pas été tranchants en attaque, signalaient alors clairement qu'ils ne voulaient plus que défendre.
Le mental, mon ami, le mental. Le désir de vaincre plutôt que la peur de perdre.
Ceci dit, que d'erreurs chez les Blacks! Mais ceux qui ne regardent pas le rugby du Sud ont eu la chance de découvrir Sititi, le fils de. Quel joueur!
Recte dicis l’ami, comme on disait vulgairement dans les bousingots romains du temps de Jules en chopinant de la cervoise, pas grand-chose à rajouter... sinon kon visait la cerise nous, et qu’en effet, pour ke cette dernière prenne toute sa dimension symbolique, elle se doit de reposer sur un gâteau !!! C’est fait… thanks man !!!
La cerise, c’est Cam Roigard… comme du reste JJk le signifie en le plaçant en tête de son florilège… qui, non content de refiler du jus au pack… plus soudé après son arrivée, tançant les gaziers de la voix à se remuer la couenne, éjectant le cuir tout berzingue, réalise La Course kon pourrait dire, gagnante !!!
En effet, matez bien les Highlights, c’est patent. On le voit anticiper le drop de Ford pil poil à la sortie du ruck, filer toute blinde, premier arrivé, à quasi contrer la tentative du bif... plus ses copains qui foncent idem à ses côtés, l’ouverture panique et foire sa tentative, les Blacks emportent la joute. Par défaut dirons-nous, faut être juste, car la pénalité précédente réussie, c’était quasi cuit pour les Néoz.
Précisons malgré tout aux néophytes qui viennent marauder chez nous, se fourvoyant parfois dans l’appropriation, partant l’interprétation de nos bagatelles, ce que l’on nomme par défaut. Simplex. Victoire par défaut veut dire qu’elle découle d’une foirade adverse et non d’un ajout de point... du camp vainqueur. Point !!!
Ah ah ce Cam du tonnerre de Zeus ki nous plaît... la vista le gonze, mène la troupe comme un chef… ce que ne fait pas Ratima ki assure le taf... normal, sans éclat… et là, pour l’heure, sommes pas raccord avec le "et prometteur" de JJk… comme du reste d’autres potos le soutiennent. Nous, on le trouve trop ordinaire ce gazier… on passe sur sa bourde occasionnant l’interception de Smith… mais surtout l’est mou dans ses éjections, lent, n’a pas la prestance d’un meneur, on insiste, on le trouve commun pour un demi de mêlée All Black... vaut pas sa place.
Maintenant on voudrait se pencher sur une autre cerise, foireuse celle-ci, à connotation antithétique. Le cas Georges Ford. On l'a nommé falot… comme savez… par def : sans relief, sans intérêt… vacillant. On sé de koi on cause. C’est lui qui fait perdre sa team… et pas où vous l’attendez tous !!!! Certes il sabote ses tatanes… hébé de ça on s’en balance !!! On ne peut faire porter la défaite à n’importe quel buteur sur un ratage d’entre-perches, même en fin de rencontre… jamais… c’est une question d’éthique !!!
Non sa foirade monumentale est frappante et sans pardon sur l’essai de Telea. Ford est bien placé, peut s’enquiller le vivace ailier Néoz au buffet sans problème, car ce dernier n’est pas lancé… et cé pas Lomu. Rien de plus facile que ce genre de placage qui potentiellement peut mener l’adversaire en touche. Rien !!!!
On cause en connaissance de cause. On peut pas foirer une telle figure. On dit bien jamais... quand l’enjeu est tel !!!! On canne sur le pré, mais le gonze y passe jamais !!!!! Inadmissible. Impossible… ce plantage est ultra parlant. Vaut pas lerche le gus. Matez c’est à la 06.38 ème minute de la vidéo… ne se baisse même pas le pignouf, fait sa cocotte passke cé un péteux... un chocotteur ka la trouillote au contact !!!! La vérité !!!!
On cause trop souvent de la perf du marqueur… qu’on ne néglige pas, attention... mais on fait ça la plupart du temps, disant kil est d’enfer, balaise et toutim quand il plante. On ne veut pas voir le ou les foireux qui lui permettent la dite perf.
Ha ha faisaient plus les jojos nos cousins les bifs en fin de rencontre, eux qui se congratulaient façon yankee giv-mi-five, après un simple placage, un grattage, un brimborion d’action, une chaussette accrochée, une pénalité gagnée… ke ça tournait kino bibelots à pommader l'essence du cuir de brillantine. Se gargariser comac après un ti fait de jeu, frise carrément le ridicule. Si le rugby singe le Super Bowl, ça promet d’l’évolution à rebours. Feraient mieux de se concentrer sur le jeu, keu le jeu… car jamais n’ont été en mesure de vraiment créer le danger proche de la ligne adverse, et de planter un try de pleine domination.
Au rugby tu te disperses en gesticulations, c’est défaite et coulage des clignots… les simagrées cé pour les gigolos. Sur un pâtis quand tu t’la pètes, tu t’retrouves en liquette, les valseuses statufiées. Bondieuserie, le grand XV c’est pas du ciné !!!
Reprenez vous !!!
Joe Marler, le fantasque et bien connu prop de la couine d’hier, s’est plu à bidouiller en avant match un post cancanier sur X, assurant ke le Haka était ridicule et ki fallait le supprimer !!! Sic !!! On connaît certes le carabistouilleur… n’est pas à son coup d’essai. Comme transpire le temps présent, s’est scusé près coup. Font tous ça !!! Une couillonnade… attendent les réactions… pis désolé, on voulait pas, on savé pas, sé kon pensait pas mal… sé pas skonadit… sé échappé… mal traduit… cépanou... et autres billevesées. Connaissez tous la figure. Pas recommandé ce genre de débordement, mais le fourbe et fuitard pilier gauche, pour le coup, savait kil ne participerait pas à la joute... passque because aurait passé sans équivoque sa couenne au tamis des maoriset leurs copains d’abord… probablement pour finir dans la marmite, découpé, limé, dépiauté... estourbi !!!!
Anathèmes, assaisonnements épigrammatiques ont suivi sur le compte machin du dit Joe… saturé, l’est venu serrer la pogne à Scotty Razor sur le terrain en fin de rencontre, affirmant un sorry de circonstance... tartufiard ???? On connaît la bestiole !!! Aujourd’hui du reste, prend sa retraite définitive, pour lustrer ses tatous et gesticuler ses fantasqueries en privé. Bref et clôture du fait !!!!
Sur le fil du slibard... certes, mais les Blacks remportent la joute très attendue à Twickenham 22-24... avec trois essais dans la besace, pour un seul chez les Bifs, dû à la vista du vibrionnant Marcus Smith en deuxième période !!!
Les Bifs mènent 22-14 jusqu’à la 62ème mn... cette buse deBorthwick, très inspiré, fait sortir le petit prodige pour le remplacer par le falot George Ford !!!!! Excellente initiative !!! On se dit immédiat c'est idiot !!!! Mais faut-il être une saucisse au pudding marmelade pour commettre un tel impair !!!! Non mais, le gamin Marcus impec durant tout le match, hors un drop foireux, remisé sur le banc pour cette fleur de nave de Ford... en sus arrivant sur le green en jouant le conseiller de la troupe, intimant à cette dernière de calmer le jeu, oubliant qu’une joute se gagne à la toute fin des 80 mn et ke pour vaincre les Blacks on se la donne jusqu'au bout du temps, on fait pas les pusillanimes !!!! Alors là !!!
On te vire le coach immédiat nous… une bourde de ce calibre démontre que le gonze est un amateur… une truffe, une moule sans coquille, une bille... un indélicat !!!! Vénère étions de voir ça !!! Alors on sé dit : mais kils se ramassent avec leurs coups de tatanes ki collent au score, leur Swing chariot de topinambours, sans jamais planter un try.
Même si sont solides les gonzes, c’est vrai… une troisième ligne ki va faire mal durant le tournoi, un Itoje retrouvé… un pack de très bonne tenue, mis quand même sur le reculoir en fin de rencontre, signe du reste, malgré de très nombreuses fautes en amont, d’un mieux chez les Néoz à ne pas négliger.
Fissa en revanche doivent trouver un 8 digne de ce nom… genre Kieran si voyez où l’on veut en venir, mettre Savea à la flanke avec son poto Sititi… déjà point majeur… puis retrouver un suivi et tas d’autres trucs kon causera later.
Victoire appréciable en tout cas comme entame de la tournée.
Nos relations familières sont pour une part importante, musicales. Puisque nous nous recordions les joutes passées, faisant l’inventaire succinct mais non pas moins substantiel de raisons choisies expliquant la moins bonne tenue du rugby NZ... en partie... pas que donc... dues à la perte de joueurs emblématiques, liste non exhaustive... de concert divertissant savourions en parallèle une musique inspirante.
Une part non négligeable de notre catalogue mémoriel s’impatronisa lors d’un rêve indicible, sous la forme d’un son délectable, et le signifiant, sacrifiant au jeu des analogies, se plut à afficher dans cette anesthésie nocturne ce nom de valeur adjectivante et qualificative. Soft Machine pour le nommer.
Onirocrite nous nous plaisons à officier, à la seule demande d’autrui, point nous concernant… à quoi bon !!! Mais la figure teinte d’oxymore, nous apparut, ludiquement parlant, caractéristique d'un état de fait sus évoqué. Comme quoi on peut sortir d’un rêve psychédélique en perpétuant ses effets au réveil, sans pour autant se formaliser de l’improbable véracité de nos associations et se plaire même à pondre cet entrefilet aérien sans trop savoir où il nous mènera.
Soft Machine c’est donc les Blacks de l’année 2024, kon sé dit… Seven le titre de l’album sorti en 1974, l’année même de la disparition pour d’autres cieux de Duke Ellington, de Pompidou et de Pagnol. Aucun lien entre ces faits disparates ? Faut-il qu’il y ait toujours un rapport entre les choses pour jaspiner ainsi librement ?
Non, bien sûr… surtout que de n’importe quel dire, on se plaira toujours à faire germer quelque sens… et puis, de façon presque assurée, du locuteur qui nous importe, sourd toujours en filigrane plus d’animation sensée que sa désinvolture laisserait à penser. Il nous plaît en tout cas... de nous y plaire... à le supposer ainsi. Hi !!!!
Cela nous ramène par rebond erratique à la fameuse devise, sise au frontispice du bastion du Pilier, premier du nom, maître du cogito affranchi, grand protecteur de la dialectique ondulatoire et des artifices bienveillants, fils des dieux à plaindre disparus, que chantait Brassens dans Le Grand Pan, chantre de l’éclaircie quand l’ombre de la doxa s’étale à outrance en débordement par trop bêlant... devise donc, qui en dit plus qu'on ne pense en l'abord... dans son assise antéprédicative :
Parlez... parlez toujours... on s’occupe du reste !!!!
Une manière d’écho, puisque Pagnol est dans les parages, à cette phrase expressive prononcée par le Sieur Belloiseau à la fin de la scène du bistrot de Manon des Sources, avec sa boite infernale qui prendra feu plus tard lors du "procès" de cette dernière, mais qui lui permet de mieux entendre la parole dans ses esgourdes ensablées. A savourer dans la version originale va de soi, tournée par l’auteur. La plus récente est presqu’une insulte à l’originale… on ne s’étendra pas !!!
Bref... sans Robert Wyatt à la drum qui l’année 73 s’est pris pour un papillon psychédélique lors d’une soirée par trop acidulée, occasionnant une chute icarienne, partant l’inusage de ses baguettes… ni Kevin Ayers à la basse, qui plus tard amoureux d’un coin de France coula des jours heureux à Montolieu dans l’Aude à l’accent méridional, y trouva sa fin... parmi les livres, pour ceux qui connaissent le lieu... ci-joint donc au dessus, un morceau bien senti, émergé de l’album sus évoqué de 1974, à écouter, s'il vous en dit, en lisant c'te bafouille pour bien s'immerger dans ce qui n'est au final qu'une ballade à but impondérable.
Qu’un espritbadin s’immisce aux abords du terrain, se plaisant à constater les manques qui justifient les prestations récentes en demi-teinte de la team qui nous occupe céans, dans un style par trop révolu, et nous voilà projeté au temps glorieux des épinicies de la cité fondatrice, où l’on chantait la gloire des athlètes, en chœurs enthousiastes, histoire d’imprimer dans les mémoires les faits marquants de l’histoire des zoms… forts !!!! Non sans grandiloquence, une vérité peut soudre de la tuyauterie numérique, en effet... de même qu'on en verrait d'autres... telle le bien vaillant Ardie remisé à la flanke, autrement dit, manque un plus grand huit dans l'équipe, et diverses choses encore...
Le capitanat, chez eux, vacille sous le vent,
Depuis que Savea porte ce lourd devant.
Un grand joueur, sans doute, un guerrier tout en flamme,
Mais la main du capitaine manque de grande âme.
Car Richie McCaw, ombre du glorieux passé,
Portait ce rôle en maître, sans jamais trépasser.
Sous son regard de foudre, l’équipe s’élevait,
Et chaque voix du groupe en silence se taisait.
Aujourd’hui, sans leader de cette envergure,
Les All Blacksparaissent manquer de posture.
Barrett, bien que vaillant, ne semble pas ce fer,
Qui menait autrefois les hommes à la lumière.
Le capitanat tremble, et c’est là que tout joue,
Car sans un guide fort, l’édifice est bien flou.
Sans occulter donc cette vérité somme toute avérée, on ne peut cependant se complaire en ces nostalgiques ébats sans en mesurer la limite. On se doit en effet de faire la part des choses, sans pour autant plomber l’action présente en outre-considérant les causes, qui dans un certain sens, ne servent à rien !!!! Si yavait kiyapu, c'est pas pour autant foutu !!! On voit Cam nous dans le futur, officier au poste galonné... on le sent comac !!!! Aurait pu causer de Kieran Read le gonze GPT, ne se serait pas planté non plus... mais il y a de ça lurette, pas question de faire l'inventaire des grandes disparitions.
Hic et Nunc n’a pas à s’encombrer d’hier, les leçons sont acquises aux clairvoyants, il s’agit donc de s’adapter avec de nouveaux membres, à l’aurore nouvelle, et de bâtir certes dans la continuité, un programme perforant. Le paradoxe est là… motivant… revigorant… imposant à chacun ce mouvement nécessaire, qui fait de la vie un excitant challenge, voire pour les plus enthousiastes, une odyssée. Hé hé…
Okdonc à l'entité numérique pour cet hommage à Mc Caw, poilant… mais pour l’heure présente Sott Robertson doit se casser la tête à bâtir un groupe à la mesure de l’histoire de son bled, partant trouver les perles rares, afin de retrouver le chemin des cimes !!!! Il tâtonne… c’est vrai, et pour la joute à venir contre les sushis du Japon samedi prochain, propose du coup un groupe inédit.
Avons interrogé GPTPlus-Pilier-que-lui-même sur l’état des lieux en New Zélandie, en lui intimant d’y mettre forme classique, histoire de voir ce que la bestiole a pu ratisser comme info à travers les tuyaux… puisque c’est là sa fonction première !!!! Réponse de la machine en alexandrins... ya pas à dire, elle a du groin !!!! Hé hé !!!
Poilant ce ti échange non… où donc est-elle allée chercher toussa ? Attention c’est du sic parfaitement authentique, n’y sommes absolument pour rien… hors l’orientation du style, n’avons fait que lui poser la question des raisons de la baisse du régime des All Blacks. Savourez... On appréciera ou pas « les balles qui coulent comme un doux jasmin » !!!!Arf arf !!!
Les All Blacks, autrefois rois des grands horizons,
Voient leur étoile ternir sous mille questions.
Aaron Smith, leur maître, n'est plus à leurs côtés,
Et sans lui, leur jeu semble moins orchestré.
Sa passe éclairante, telle un rayon de feu,
Manque à l'équipe en quête de meilleurs cieux.
Perenara, vaillant, n'a pas ce don subtil,
Qui, sous la main de Smith, rendait le jeu agile.
Dans les dernières minutes, ils sont sans ressort,
N’inscrivant plus de points, ils glissent vers le port.
Et les Boks, implacables, trouvent leur chemin,
Tandis que les All Blacks cherchent encore la main
Aaron Smith, demi brillant, rapide, décisif,
Son jeu de passe, précis, rendait tout incisif.
Perenara, plus fort, dans le style du guerrier,
Brille par sa présence, tel un franc chevalier.
Mais là où Smith donnait au jeu son grand éclat,
TJ manque de vitesse, ce qui parfois plâtra.
Sa forme, ralentie par d'anciennes douleurs,
Ne parvient à combler l'absence du seigneur.
Bien qu'il soit vaillant et pousse à l'avant-garde,
Il n'a l'œil vif de Smith, qui des rucks fait sa garde.