Parlote & comédie
L’index maraudeur, la vision light, l’intention flottante... parcourions sans but prédéfini le réticulaire numérique, nous délassant le cigare de bafouilles hasardeuses concernant l’état de nos troupes, de leur dernière place dans le tournoi, des raisons invoquées, nécessaires, pour ne pas se paumer, espérer.... d’amusantes visions futuristes saturées de conseils divers, « d’y faut » systématiques pour chaque entame de solu, de stratégies foireuses, jusqu’au déni formel de constater le réel ! Ya de l’espoir dans l’air, au regard de notre ballade. On pourrait dire que notre quinze est à l’image des supporteurs. Sopo, roupilleur, figue, analphabêta, rata. France des profondeurs pour abouliques dormeurs. Peu sinon personne ne constate que la dégradation de notre jeu remonte à lurette... que les années se succèdent et se terminent dans la même logique avec son lot de pire, inhérent au déterminisme imparable qui sous tend ces états de choses tragiquement limpides... comme le néant ! Ouarf !!! Le vrai constat c’est qu’on sait plus jouer... plus passer, plus courir, plus se placer, plus franchir... plus transmettre, plus fournir... ni même plus réfléchir. Arf !!! Laportière et Lièvremont nous zont saboté 12 ans d’EDF... PSA, dans le jamais deux sans trois, perpétue la gabegie. Ce qu’on a là est la résultante de toussa... Même si pas que ça. Sommes le premier à insister sur la faille béante et systémique qui engouffre petit à petit notre rugby. Qu’importe, sont ici et influent sacrément sur ce décadentisme évident !!! Hips ! Tant qu’on aura pas de tête, on aura pas de pieds... oups !!! Virons ces vieux grabats qui n’ont l’étoffe que du pyjama qui les habille... nous endorment notre jeunesse vouée au combat, à l'expression du meilleur de soi ! Sont pas des modernos ces zozos... pigent pas le super rugby... ça transpire dans leur dialectique foireuse, et même s’il faut mettre en forme pour les médias, balancer sa langue de bois, on ne peut pas ne pas se dire... quand on l’ouvre !!! Et ce qu’on entend est en adéquation parfaite avec ce qu’on voit ! Sommes depuis Laportière toujours en prépa. Lièvremont nous gratifiait du même bla. Z’ont trouvé de credo, le truc foireux... la fameuse CDM à neuneus !!! PSA vous balance même qu’il construit pour 2019... ouarf... ben voyons gaston. 2055 aussi... pourquoi pas... si bien qu’on ne joue plus pour jouer, maintenant, faire, parfaire, s’enjouer, s’exprimer, mais pour se préparationner en vue d’un futur de demain qui finira bien par porter son petit lot de félicité... Hips... mais lorsqu’il débarque, en sommes toujours au même point, comme c'est le cas... mais d'ici là, on verra bien !!! Malin !!! A force de se projeter, on finit toujours pas s’écraser... splash !!! Ce qu’on fait ! Nos coacheuses sont incompétents, fait patent ! Yep !!! Pas facile à assumer mais tellement vrai qu'évidemment personne ne le dit.
En sus ne sommes pas réactifs pour un sabot. Dès qu’une nouvelle règle débarque, on en cause des plombes, on met des siècles à s’adapter... trop tard une nouvelle vient perturber cette digestion lente. Faut tout refaire, rebâtir, reconstruire, intégrer... Parmi ce baratin pesant on trouve aussi ce signifiant majeur et ultra récurent : compliqué !!! Holala on l’entend partout çuila. De la part des entraîneurs, des joueurs... des journaleux, des foireux, des mielleux, des fourbes, des apathiques, des neuneus... on sait pas d’où ça vient, mais on vous en balance dans tous les baratins... « C’est un match compliqué» « construire un équipe c’est compliqué » « la pluie c’est compliqué » « le ballon glissant c’est pas évident »... attacher les lacets même ça va devenir perturbant !!!! Arg !!! Le résultat lui étonnamment reste simple et frappant ! Très loin du super rugby bien présent ! © Le Pilier
L’index maraudeur, la vision light, l’intention flottante... parcourions sans but prédéfini le réticulaire numérique, nous délassant le cigare de bafouilles hasardeuses concernant l’état de nos troupes, de leur dernière place dans le tournoi, des raisons invoquées, nécessaires, pour ne pas se paumer, espérer.... d’amusantes visions futuristes saturées de conseils divers, « d’y faut » systématiques pour chaque entame de solu, de stratégies foireuses, jusqu’au déni formel de constater le réel ! Ya de l’espoir dans l’air, au regard de notre ballade. On pourrait dire que notre quinze est à l’image des supporteurs. Sopo, roupilleur, figue, analphabêta, rata. France des profondeurs pour abouliques dormeurs. Peu sinon personne ne constate que la dégradation de notre jeu remonte à lurette... que les années se succèdent et se terminent dans la même logique avec son lot de pire, inhérent au déterminisme imparable qui sous tend ces états de choses tragiquement limpides... comme le néant ! Ouarf !!! Le vrai constat c’est qu’on sait plus jouer... plus passer, plus courir, plus se placer, plus franchir... plus transmettre, plus fournir... ni même plus réfléchir. Arf !!! Laportière et Lièvremont nous zont saboté 12 ans d’EDF... PSA, dans le jamais deux sans trois, perpétue la gabegie. Ce qu’on a là est la résultante de toussa... Même si pas que ça. Sommes le premier à insister sur la faille béante et systémique qui engouffre petit à petit notre rugby. Qu’importe, sont ici et influent sacrément sur ce décadentisme évident !!! Hips ! Tant qu’on aura pas de tête, on aura pas de pieds... oups !!! Virons ces vieux grabats qui n’ont l’étoffe que du pyjama qui les habille... nous endorment notre jeunesse vouée au combat, à l'expression du meilleur de soi ! Sont pas des modernos ces zozos... pigent pas le super rugby... ça transpire dans leur dialectique foireuse, et même s’il faut mettre en forme pour les médias, balancer sa langue de bois, on ne peut pas ne pas se dire... quand on l’ouvre !!! Et ce qu’on entend est en adéquation parfaite avec ce qu’on voit ! Sommes depuis Laportière toujours en prépa. Lièvremont nous gratifiait du même bla. Z’ont trouvé de credo, le truc foireux... la fameuse CDM à neuneus !!! PSA vous balance même qu’il construit pour 2019... ouarf... ben voyons gaston. 2055 aussi... pourquoi pas... si bien qu’on ne joue plus pour jouer, maintenant, faire, parfaire, s’enjouer, s’exprimer, mais pour se préparationner en vue d’un futur de demain qui finira bien par porter son petit lot de félicité... Hips... mais lorsqu’il débarque, en sommes toujours au même point, comme c'est le cas... mais d'ici là, on verra bien !!! Malin !!! A force de se projeter, on finit toujours pas s’écraser... splash !!! Ce qu’on fait ! Nos coacheuses sont incompétents, fait patent ! Yep !!! Pas facile à assumer mais tellement vrai qu'évidemment personne ne le dit.
En sus ne sommes pas réactifs pour un sabot. Dès qu’une nouvelle règle débarque, on en cause des plombes, on met des siècles à s’adapter... trop tard une nouvelle vient perturber cette digestion lente. Faut tout refaire, rebâtir, reconstruire, intégrer... Parmi ce baratin pesant on trouve aussi ce signifiant majeur et ultra récurent : compliqué !!! Holala on l’entend partout çuila. De la part des entraîneurs, des joueurs... des journaleux, des foireux, des mielleux, des fourbes, des apathiques, des neuneus... on sait pas d’où ça vient, mais on vous en balance dans tous les baratins... « C’est un match compliqué» « construire un équipe c’est compliqué » « la pluie c’est compliqué » « le ballon glissant c’est pas évident »... attacher les lacets même ça va devenir perturbant !!!! Arg !!! Le résultat lui étonnamment reste simple et frappant ! Très loin du super rugby bien présent ! © Le Pilier