11 août 2011

HARO SUR LE PILIER

« On reviendra sans doute sur la fraîche baston. » Voilà comment se concluait ta précédente bafouille. Ah l’empaf... le blateur... le fourbe... le menteur... et même le cossard !!! Tu baratines beaucoup Pilar, mais t’en fous pas une rame !!! T’as rien pondu d’intéressant depuis des lustres... tu ne penses qu’aux gisquettes... tu causes même plus des matchs... jamais des Bleus... bref tu mérites une grève, un boycott... voire un oubli total !!!

Ci-joint dessus, comme l’avez deviné sans doute, la colère profonde d’un gazier lecteur, marri de ne pas zavoir son petit billet estival «Pilier» en sirotant sa mousse et mâchouillant son ennui sous le sun de l’été !!!
Empaf donc... blateur... fourbe... menteur... et même du 
cossard à mériter l’oubli ???
Ben les gaziers, zêtes pas tendre avec nous. Si étions moins sensible on le prendrait mal !!! Arf !!! Mais voilà, toussa nous complimente, nous chatouille, nous dictamise... oups... nous agrée même... un pilier qui tient pas ses promesses... poils aux paluches, palinodique... mais c’est la modernité ça les gonzes !!! Le bla, l’entourloupe, le flanby... il était temps de se mettre à la page... de retrouver la communauté des hominiens... de descendre un peu de la montagne Zarathoustra... de faire croire... d’empapaouter... de créer du flou, du flan, la baveuse sournoise, la promesse martiale... de répandre du sans vergogne à la louche félonne !!! Arf !!! Zallez voir un peu, ça va nous assurer du clic ça... ça commence bien du reste... on nous conspue déjà... on nous crache... nous oint d’onctions épigrammatiques... de diatribes profuses en outrageants haros... on nous dégrade... nous nie... hé hé... nous même vaporise notre vernaculaire baratin, d’invectives, prétendant que notre prose vaut moins qu’une serpillière, qu’on ferait mieux d’apprendre à écrire sinon d’abandonner définitif
ce Blog maladif !!!! Hips !!
Mouais mouais... des fétus de choses en somme... pas de quoi encore nous faire abandonner le ruck, ni reculer du scrum... délaisser les nues aux profondes luzernes !!! Ach !!! Non non, le Pilier se plonge un rien dans les tendances actues... veut augmenter son lectorat, rallier des voix... se faire mousser le moi avec un buzz à chaque bafouille, mais pour ça faudrait en effet causer des Bleus !!!
Et là, sommes cuit !!! Sécheresse totale, désintérêt radical... quand on a vu les cimes du super rugby, l’horizon dénouer sa ceinture à s'augmenter la vue, se transcender l'échine... arf arf !!! on peut plus savourer le parasol, la krö, le pâté, le blou... le mou du ballon crevé !!! Ach !!!
Samedi en tout cas, serons en Afrique du sud pour mater la quatrième chicore des Tri, il ne sera jamais dit que le Pilier abandonne sa patrie, enfin son pâtis !!! Arf ! © Le Pilier

PS : Trouvez ci-joint le lien du site du gazier d'où provient la "peinture". Son nom Bruce Krebs... qui ne manque pas d'humour, ni d'habileté. Une manière singulière de parcourir l'histoire du pinceau... du tube à l'huile Bouguereau ! 


06 août 2011

INTOUCHABLES ALL BLACKS

Le temps jadis c’est plaisant... un temps... hors la ballade des dames... mais le today c’est plus d’actu. Après nuit bien agitée aux tempétueuses ondulations du Dunlopillo, sollicité sans répit jusqu’à l’apparition du jour... après un réveil impossible at 9AM... trois cafés ultra blacks pour dessiller les paupières, le Pilier vaporeux s’est quand même enquillé le 3ème match des Tri sans broncher ! Ach ! 30-14 et victoire sans pression pour des NZ intouchables face à des Australiens en manque de solutions pour transpercer le mur impénétrable. Faudrait en causer plus... mais l’heure est à la récup. Zaviez qu’à vous remuer le croupion les gaziers. Ok ? On écrase l’abattis sur la couche, on oublie un temps le pâtis... massage et roupillon... on reviendra sans doute sur la fraîche baston. Mais pour l'heure présente... & pressente :  RZZZZZZZ !
© Le Pilier

05 août 2011

LES FORTS EN TÊTE

Du jadis 
Comme l’avez noté, en dépit d’un enracinement multi séculaire en terres Wisigoths... abreuvé dès l’éveil de bastons farouches aux méandres montagneux des Pyrénées Cathares, biberonné à l’évitement comme au rentre lard dès que les pognes sont en mesure de saisir un cuir... sommes peu enclin au cocardisme primaire en matière de rugby. Ce qui nous kif avant toute chose, c’est la manière, l’engagement collectif, la tronche bien faite et le cuissot vaillant... la figure savante, l’open space subséquent d’un acharnement tenace à conquérir le module... la classe, l’astuce, la belle passe !!! Arf !!!
Le grand XV, Vatican des saveurs, des exégètes transpirants, ravive en nos cellules mémorielles le souvenir précis d’anciennes luttes, honorables, justes, sanglantes... comme la joie primaire de se mesurer à plus fort que soi en rivalisant d’ingéniosité pour atteindre l’en-but. L’en-but, c’est du pâtis, le but, la transmission... la subtile équation... le beau terrain... tsoin !!!
Sur un pré d’ovalie, la mort est symbolique. « Tuez-les tous... dans le bon sens du terme » formule bien connue souventefois exprimée par nos entraîneurs avant le départ au front !!! Ach !!!
Quelle hallu, quelle fascination, quel transport quand merdaillon serrions la paluche d’un Spanghero du Stade, d’un Rives Toulousain, d’un Maso Narbonnais etc... d’un Estève Biterrois sortant des vestiaires ruisselant et mâché, maquillé d’ecchymoses, superbe bestiole à la force d’Hercule... la binette au niveau du genou de cette montagne humaine qui nous semblait surnaturelle. La toucher c’était frôler un dieu... quelque chose d’inaccessible, de surhumain... nous montrant partant le chemin à parcourir pour anéantir un jour nos craintes d'encore frêle combattant.
« Le gazier le plus fort pris aux chevilles tombe comme une enclume... tous à la même enseigne... pas de quartier... tous au buffet... sont idem au placage... ». La voix répétitive et sacrée de l’ancien qui n’en finissait pas de nous seriner les esgourdes quand prétendions que l’autre était beaucoup trop balaise pour nous... après le raté d’un placage.

La première et fondamentale baston en effet au rugby c’est la lutte contre soi-même. La peur qui vous tient, vous tiraille, ces représentations impératives qui vous font croire en la supériorité évidente de l’adversaire quand il est plus gros, plus vite, plus méchant... qui vous fige la jugeote... jusqu’au premier contact libérateur pour autant qu’en saisissiez la vertu.
Faut avaler du choc pour savourer le choc et trouver la confiance en soi nécessaire à la fermeté du moi... malléable et instable quand on n'a que dix ans. Le rugby vous fait comprendre ça... vous mesure, vous jauge... vous impose un ressaisi rapide après un carton qui vous coupe le souffle... qu’un gazier vous impressionne... vous obligeant fissa à ne pas se confondre en tartinades de flip ! Ouisp !

On se souvient encore de ce jour ensoleillé, crampons acérés, bien cirés... pelouse parfaite, cuissot tonique... nous nous sentions intouchable. Des filles du groupe dont ycelle dévolue au tournoiement de notre carafe, sinon au savant froissement de notre âme romantique... des filles disions, venues nous encourager, inondaient de leur présence les tribunes d’enthousiasme, d’innocence, de joie... sinon de fièvre... nous imposant de fait à conquérir le pré.
Bref ! Avions du cœur et l’envie profonde d’en découdre. Intouchable prétendions. Dès la première empoigne du cuir... du zèle, de l’audace, du feu dans les cannes parcourons plein de fougue quelques vingt mètres au travers d’une défense invisible tant étions rapide comme l’hase... en-but en point de mire à deux pas de l’exploit quand le flanker adverse du tonnerre de diable débarqué de Vauvert, bille au buffet nous tamponne les flancs avec une violence ciblée... ravageant sans mesure l’intouchable gazier.. pour le coup ratatiné !!! Ouch ! Ach ! Et tapis ! Tronche dans les brumes à brouter le foin... douleur aux tripes... on se souvient encore du goût le l’herbe... de la terre entre les ratiches... de la pesanteur du monde... de ses 36 chandelles en place d'azur ! Arf !!! Le temps qui suivit fut consacré à faire bonne figure, comme si de rien n’était... pourtant étions sacrément affecté par la puissance du gonze, et l’on doit avouer qu’on passait le cuir quand sa tignasse s’approchait par trop de notre aire. Il nous a fallu du temps pour revenir dans le match. C’est de ce temps dont causions. Rapidement se ressaisir, ne pas laisser la tronche vous jouer le sale tour de vous en faire accroire, la crainte vous tarauder... se confronter au gonze dominant dans un temps record. La gageure.
Au rugby, il y a toujours plus fort que vous... il s’agit bien de ne pas le croire... de conserver sa tête, dissoudre l’idée maligne... et contourner l’obstacle avec malice... sinon avec fermeté s'y mesurer ! Yeah !!!
Plus tard l’aphorisme stoïcien résuma parfaitement ce moment douloureux. : « Devant tout ce qui t’arrive, pense à rentrer en toi-même et cherche quelle faculté tu possèdes pour y faire face. Tu aperçois une belle fille ? Trouve en toi la tempérance. Tu souffres ? Trouve l’endurance. On t’insulte ? Trouve la patience... On te chicore l’abattis ? Trouve le répondant... l’astuce... la feinte... le mordant. La pétoche s'immisce ?Normal... mais ce n'est qu'un prémisse... rentre dans le lard... et pourfend...  Ach !!! . (on souligne)
En t’exerçant ainsi tu ne seras plus le jouet de tes représentations. » Ainsi parlait l’Epictète. Ainsi une des premières leçons de vie apprise sur le pâtis, quand mouscaille hallucinée rêvions de côtoyer un jour ces dieux du cuir... beaucoup trop forts pour nous !!! Hips !!!

PS : Une précision nécessaire pour les néophytes, ce papelard étant consacré à l'un d'eux, encore minot. Les avants ont moins de problèmes avec les gros tampons qui vous réduisent à néant... du permanent chez eux... sont équipés pour, dirons-nous... rentrent tout de suite dans le vif du sujet... dès l’entame, le premier ruck... la fournaise les galvanise... se mesurent immédiat à l’adversaire en somme... vont aussi moins vite. Pour les trois quarts c’est une autre histoire. Vous pouvez passer du temps sans contact... la première touche est primordiale... zêtes pas chaud d’entrée de jeu... le premier choc n’a donc pas le même impact que celui d’un gros du pack !!! En sus quand zêtes bambin, c’est pas toujours le collectif qui prime... les ailiers par exemple peuvent poiroter des plombes avant la première prise en main... le premier ravage ! Arf !
© Le Pilier

04 août 2011

TRI NATIONS : 3ème BASTON

La belle affiche
Samedi 9H30 AM les deux grosses tribus de la mer de Tasman s’affrontent enfin sur le pâtis NZ. Une affiche attendue après leurs victoires sans bavure sur des Boks en mal de cohésion. Chez les Blacks pas moins de six changements... histoire de faire tourner le cheptel... brouter la troupe... que tout le monde en profite quoi !!! Pas de malaise, le troupeau est conséquent, Graham Henry n’a que l’embarras du choix. Les deux « nouveaux zailiers » sont tout aussi performants que les sortants... Gear et Sivivatu retrouvent donc le pré... Weepu la mêlée... tout comme Thorn son coéquipier Ali Williams... une paire de poutres imputrescible... de quoi consolider une charpente déjà bien contreventée. Épatante cette légion All Black... chaque gazier possède son double ou quasi à tous les postes. On retrouve itou Mealamu, notre Hooker préféré... Read qui remplace en troisième ligne centre Thompson... bref pas de quoi commenter ces changements... de l’idem avec les fondamentaux Mc Caw, Carter, Smith-Nonu... Muliaina... etc... SBW sur la banquette, les Blacks sont avant tout un groupe, solidaire, soudé, quelle que soit la composition... ça envoie, ça joue Black... comme on aime !!!
Chez les Aussies, autre stratégie. On prend les mêmes, pour bien huiler cette mécanique sans grain fouteur de box dans les rouages. Pourquoi pas. Dean semble privilégier une équipe type qui se dessine impec au fil des rencontres. Souhaitons aucun blessé dans la machine.
© Le Pilier

Le pâtis All Black : Muliaina - Sivivatu, Smith, Nonu, Gear - (o)Carter, (m)Weepu - McCaw (cap), Read, Kaino - Williams, Thorn - Franks, Mealamu, Crockett
La banquette : Hore, Franks, Whitelock, Thompson, Ellis, Slade, S.B. Williams

Le pâtis Wallab : Beale - O'Connor, Ashley-Cooper, McCabe,Ioane - (o)Cooper, (m)Genia - Pocock, McCalman, Elsom - Horwill, Simmons - Alexander, Moore, Kepu
La banquette : S. Faingaa, Cowan, Vickerman, Higginbotham, Burgess, A. Faingaa, Turner.

03 août 2011

CANTIQUE DU QUANTIQUE

La propagation de l’onde n’est pas propagation de matière... mais une propagation dans la matière. En définitive... donc... partant, et clairement dit, ce que l’onde emporte dans son mouvement n’est pas de la matière, mais de l’énergie... brin de cantique... du quantique... Yips !!!  L’onde des Blacks a cette vertu. Pas un papelard du Pilar, pas une seule bafouille ou quasi, pas de matière première à refiler aux fans de nous... après les chicores du week-end, pas un mot ... mais bien une patate aux saveurs roboratives... arf arf... un cortex tonique, une humeur vigoureuse... en somme non feinte, une joie primaire de constater que certains gaziers sur la planète tiennent toujours leurs promesses, quand foultitude de blateurs sur inonde nos esgourdes de baratinades tous calibres. Hips !
Avec du gigot NZ astiquant les papilles sommes jamais déçu... au croquant comme au digestif... avec des calots hypnotiques surplombant leurs pâtis sommes bien pourvu. Ach ! La seule activité planétaire qui vous met du relief aux tabulaires zécrans d’ultra vacance cognitive... qui vous stimule les tuyaux even en sirotant chopine ou liqueurs de Pontarlier... vous refile en sus et sans fard leçon de choses humaines au sens le plus noble entendu... bref, vous augmente l’appétit comme l’espoir de croire qu’une évolution est possible. Que le simple est compagnon d’Apollon, le beau le vivace et le bel aujourd’hui, synchrones au Dionysiaque état... qu’en somme tout n’est pas cuit au royaume sublunaire d’ovalie car l’hémisphère sud veille au grain vivifiant, perpétuant sans accroc notre désir de cuir !!!


Les Blacks ont remporté de belle manière la baston dernière contre les Boks. Savez toussa... 40 à 7... pas moins... avec aisance, fluidité, tact et passion... des piliers qui évitent comme des trois quarts, un collectif généreux dans la transmission comme au soutien... des figures nouvelles travaillées parfaitement accomplies... même si les Boks sans doute dépassés par cet engagement, sans toute l'artillerie attendue ont favorisé l’ouverture en proposant de grands boulevards défensifs indignes de leur rang !
Qu’importe, les Blacks roulent, déroulent, judicieux redémontrant aux pantins qui se gavent de CDM, prépa pour d’improbables futurs conquérants... baratineurs d’enthousiasme désincarné, va t’en guerre cocardiers, comme toujours, qu’il n’y a pas de match plus important qu’un autre, que chaque rencontre est un engagement total quand on porte la fougère scintillante sur le cœur ! Merci les gaziers !
© Le Pilier

29 juillet 2011

VAN DER WESTHUIZEN MÂCHÉ

Du bad
Joost van der Westhuizen souffre de la maladie de Charcot et n'aurait plus que deux à cinq ans à vivre. La news est tombée comme un couperet. Le gazier souffre de sclérose latérale amyotrophique, une affection neurodégénérative incurable qui vous ratatine en un rien de temps en vous paralysant les ailerons, les lattes, jusqu’à la bavarde... vous empêchant au final de déglutir, d’avaler, d’actionner les poumons... bref et fatal, une vraie cata de fourberie sournoise et définitive.
Neuropathie de cause semble-t-il inconnue elle vous chiffonne le cortex comme un vulgaire papelard de gazette. Stephen W. Hawking, le physicien cosmologiste mondialement connu souffre depuis des lustres de cette intraitable et démentielle atteinte au meilleur de soi... la carafe qui régit la charpente corporelle jusqu’aux moindres jointures... au plus intime vaisseau.
Si le diagnostic est exact souhaitons un miracle... démontrant que rien n’est jamais perdu ?

Sacré gazier le gonze... 89 sélections... meilleur marqueur d’essais Sudaf de tous les temps, 38 au total, à égalité avec Habana... une vraie légende de scrumhalf... ya pas eu mieux en 9 question tries. Rude cisailleur de cuissots, dynamique et pénétrant comme son regard clairvoyant, lumineux d'opportunisme, d'un bleu acéré... on disait qu’il astiquait savamment l’adversaire pour se réfugier ensuite derrière son pack. Un pas gentil du tout... terrible acrimonie... une vraie peste au pâtis. C’est ça aussi le rugby !!! Courage & pleine retape. There is nothing impossible to him who will try... disait Alexandre ! Ach !
© Le Pilier

27 juillet 2011

DU BEAU QUI DÉFRISE...

Du Wallabizzzz !!!
Un aperçu plus qu’un grand bla... 
matez youtube... yatout !!!
Le match débute à 1,35 mn. En intro on découvre un genre de musée d'ovalie... vieilles tofs, casquettes molles... images d’autrefois... une présentation qui n’est pas sans rappeler la boutique virtuelle du super Blog Rugby Pioneers que nous saluons pour l’occase.
Sous-jointe donc la vidéo de la première trinationale baston 2011... avec des Aussies en pleine bourre. On y voit dès l’entame la classe opérante de Cooper. A la septième minute dans ses 22 contre attaque du sémillant flyhalf qui transmet à Beale... une passe un peu juste de ce dernier au bout des paluches d’O’Connor ( habile le gazier qui plantera en seconde période un essai avec un cuir saisi de la même manière au raz du pré ) engendre après regroupement un obus de 25m du trépidant Genia... un travail épatant de Rocky Elsom qui mobilise deux gaziers sur son paltot... transmission dans un mouchoir, premier essai du prop Alexander bien repositionné à l’aile. Du tonnerre Wallab !!! Deux minutes after, nouveau try de l’ailier Digby Loane après une percée de Genia. L’empaf de Steyn pouvait se jeter dans ses cannes comme un flanker... sans problème pour l’arrêter. Des clous !!! Le gazier cherche le colbac... une faute impardonnable. On vous le dit répète, ce gonze hors les pinceaux vaut pas son poids de rata... faut le virer définitif... va plomber sa team pendant des années. Bref, une dynamique Aussie qui devient récurrente... des tries successifs dans un laps de temps resserré !!!! Le score atteindra même 39-6 à la sortie d’Elsom... après 57mn de jeu... de quoi lever l’arpion permettant aux Boks sans caboche de revenir au score avec deux essais d’avants. 
Vivement la confrontation avec les Blacks !!!!
Matez ya tout...
© Le Pilier

25 juillet 2011

AUSTRALIE 39 - SPRINGBOKS 20

Nous revoilou... 
Nous fuîteur ? Loin des pâtis ? Bronzant la couenne au sun d’une caraïbe sablée, entouré de gisquettes à se badigeonner d’huile en sirotant des jus ? Nous, du farniente ?
A l’heure martiale du grand kick off des Tri-nations ?  
Jamais !!! Jamais vacant le gazier... jamais !!!!
Le désespoir compréhensif de certains n’ayant plus de nouvelles nôtres, inonde notre boîte à mails de plaintes diverses, reproches amers, douloureuses demandes, voire même de franches supplications. Qu’est-ce tu fous ? Expriment en substance ces entités totalement accrocs de la scintillante loupiote qui leur tient lieu d’éveil, le grand sémaphore astral pétant son feu torride dans l’azur blogosphérique de l’ovalie hexagonale endormie... Arf arf !!!
Sommes là les gaziers, toujours ferreux, beau, vitaminé, sémillant, frais... l’œil précis, la baveuse délicate, pour causer de  
super rugby comme le définissent désormais les annonces TV d’hémisud, après d’évidence avoir lu le Pilier.

De super rugby il en sera question tout l’été avec pour commencer cette première rencontre Australie vs Sud Afrique qui a tenu ses promesses en confirmant la belle forme des Aussies. Score sans appel 39-20. Un Cooper de grande classe, des ailiers zélés... un arrière cavaleur... un dynamique Genia... un Rocky Elsom décisif... un pack rude et percutant... même si en face les Boks en petite forme, sans Matfield, Botha, Habana, De Villiers, Fourie du Preez... etc... leur ont grandement facilité la tâche en perdant moult ballons... sinon la caboche. Nous y reviendrons sans doute.
© Le Pilier

06 juillet 2011

SUPER RUGBY POUR GROS QI

Tartines de plomb à Marcoussis
Une excellente raison d’aimer la CDM de rugby : les Tri Nations retrouvent pour le coup la formule originelle. Six matchs only... quatre par équipe... aller-retour et basta !!!  
Pour "ménager" les cuissots tout en insufflant dynamique et super kif. On jubile. L’équilibre parfait...  
la vraie Coupe du Monde... pas foto... le tournoi spécial Pilier à ne pas manquer dans une quinzaine, pour les saveurs, les cogneurs, les esthètes, les tanneurs, les fluides, les palais délicats, les estomacs plats... les grands cognitifs du super rugby... les gros QI du pâtis... arf !

Pour les pastagueurs, les chochotes, les danseurs... ya nos cocottes en prépa à Marcoussis. Du gros travail de fond... on poupousse du plomb, mais on joue pas au ballon... hé hé... ça nous rappelle Laporte qui ne causait que de testeux physiqueux. On a vu le résultat sur le terrain. Ya aussi d’la séance vidéo... puis du stage canoë, sorties en forêt... de grandes causeries saturées de motivation, d’émotion... des gaziers qui belotent... des staffeurs qui radotent... avec un paquet de gonzes au périph de l’infirmerie... un Barcella quia pas joué depuis un an... un Servat endolori... un Domingo placebo... un Rougerie au repos... etc. Bref des choix compétitifs avec de vrais morceaux de stratégies pour un rugby d'hexagonie !!! Hips !!!
© Le Pilier

24 juin 2011

TWITT DREAM

Prodrome à pâtis
Étions de couche tardive... de garde bien éveillé, à turlupiner dans la guérite en attendant la relève qui ne vint pas. Justine s’endormit après les voluptés, léonine crinière embrouillée de fatigue... Sophie d’un immoral faux bond nous laissa donc choir. De garde à vous, sans plus attendre, passâmes idem aux limbes... un rêve vint à la traverse. Sur un champ de bataille, sabre hors fourreau, juché sur un étalon bai, naseaux fiévreux, échine blanche d’écume volontaire, pourfendions lignes adverses sous une pluie de pisse-vaches, galons scintillants, afin de conquérir un monticule ruisselant, prétexte imposé d’une chicore bien trempée... Arf... ça glissait de partout...
- Aux armes Pilier !!! s’enquit notre huile...
- A vos ordres mon colon, mais que d’eau que d’eau...
- Quand ça pluie comac, faut redurcir le gigot mon gaillard... glisser dans l’ornière sans ramollir le zénithal fleuron... ne pas lâcher bride... serrer les joints... Oups !!!
Sous des éclairs jaillissants grondaient partout l’autour... arf... l’azur trimbalait des cotonneux moroses, la trompinette épatante après les fulgurants sursauts sonna retraite ennemi... le sun apparut comme une récompense, la victoire était là, définitive, les canons s’amollirent, le silence inonda les carcasses flapies... ouarf !
Quand ce genre d’agitation parcourt notre intime repos, c’est quia du feu dans les cuissots... de l'impatience dans les tuyaux... le pré nous manque, nous faut des bastons. L’horizon de l’été aspire nos calots, J moins 29 avant les Tri nations, le Top des rendez-vous du royal XV, le super rugby qui tient toujours ses promesses. Dans l’antichambre s’annonce les phases finales du Super XV, espace d’entraînement avant le grand barouf. Entraînement, on insiste... les gonzes cavalent comme des gazelles, jouent un rugby de mouvement, ça fuse, diffuse, rebondit, circule... innove, expérimente les nouvelles règles, on adapte le jeu... . une sorte de valeur propédeutique ad hoc pour les internationales rencontres à venir. C’est la force de ce championnat. Une terrain préparatif pour la nationale team... voilà comme on conçoit le challenge... pleine cohérence entre les deux systèmes... du super XV pour les Supers Tri... on devrait en prendre de la graine... Germaine !!!
© Le Pilier

23 juin 2011

DONALD OUT

Des couffeurs... un gaffeur
Brève de news Néoz. Stephen Donald l’ouverture... doublure imparfaite de Carter... savez celui qui fait perdre les All blacks en Japonie face aux Aussies l’année dernière alors que les Blacks venaient de plier du grand chelem en Tri...  
une catastrophe de gazier... même si le rugby est un sport d’équipe, parfois un seul gus dans un moment particulier, suivant la place qu’il occupe, peut vous fait perdre la mise... ben le gazier n’est pas sélectionné pour la CDM. Graham Henry a suivi nos conseils... du simple bon sens. On savait depuis lurette, quasi dès sa première prestation... on connaît bien ce genre de profil de couffeur intrinsèque. Sommes imparables nous pour sentir le fond des choses. En avions parlé ici même... comme dab... bon y'avait p'têt personne derrière Carter... était en intérim... mais quand même Henry a mis du temps à piger... comme dans un autre registre avec Tialata... savions d'entrée de jeu qu'était pas au niveau le Pilar... Une fois encore a mis un sacré bout de temps l'entraîneur pour le comprendre et le rayer définitif de la troupe. Mais revenons au vrai sujet du jour.

Le gaffeur, l’empaf, le couffeur, la patate... y’en a partout de type comac... dont on ne parle pas, because ya consensus autour, on n’ose pas, on voit pas... on pige rien. Seul le Pilier, grand psycho du pâtis, pas démago foireux pour un centime de flouze peut en causer... se permettre d’en révéler la présence. Pas d’entourloupe avec nous... on note ce qui est, voilà tout.

Le couffeur, le gaffeur, l’empaf donc, est un gazier qui a du ressort, de bonnes qualités, on pourrait dire de la graine de grand gazier si on s'emportait... mais une graine incomplète, fêlée du noyau... ho ho !!! Vous enthousiasme sur un moment, mais peut vous faire un pâté, un flan, une bourde juste après l’exploit... voire vous faire perdre le match à lui tout seul. A des postes particuliers, arrière, ouverture, demi de mêlée... sa faille est plus repérable. Au début on met ça sur le compte de sa jeunesse... au fil du temps on comprend qu’il ne changera jamais. Quand il vous tricote du bon, du meilleur, l’accroc du pire est dans la pelote... tout près... possible... derrière un coup d’éclat peut dévisser sur une couillonade. Des comac y’en a quelques... un peu partout... z’y peuvent rien... idiosyncrasique si voulez... un gène problématique dans le cortex. La vérité psycholo c’est que les gonzes manquent d’assise, tiennent maladroits la barre, ne gardent pas le cap... surtout quand ça chauffe... trimbalent du doute... jamais total libérés... un complexe sous jacent de koikès dont on se fout. En connaissez sans doute dans votre entourage. Donald est un de ceux là. Bon, avec un tel signifiant, sans Mc devant... porte une croix symbolique le gus... Arf ... Poitrenaud idem... les bons connaisseurs savent de quoi on cause... manque de caboche... Michalak n’en parlons pas... une vraie cata... les saveurs pigent... les autres vont se révolter, nous incendier... on pourra les identifier comac ces borgnes du jugement qui biberonnent au ronron, à la tisane, au bromure... à l'Equipe, ou autres folliculaires ! Arf !

Le couffeur n’a pas de nationalité particulière... tous n’ont pas non plus la même psychologie. Si les précédents manquent d’assise comme on dit, on se souvient d’un All Black, rusé comme une fouine, des cannes d’enfer, une vista du tonnerre, gros coup de pompe, capable de génie, qui lui ne manquait pas d’assise... plutôt nantis d’un je-m’en-foutisme déconcertant... ludique. Son nom Carlos Spencer. Pour ce genre on dira gaffeur... Sympathique le gazier, mais manquait de sérieux... a fait perdre du reste son équipe en demi finale de la CDM 2003 contre les Wallabies... vous balance dans les 22 adverses une passe trop longue, interceptée par Murdock si on se souvient bien, qui plante l’essai de la victoire. Les zavisés savent que lorsque l’attaque est proche de l’en but, très serrée, dans les 22 par exemple... qu’il y a du monde en défense, un pour un... on ne fait pas de longues passes avec des centres en face tout près, bien à l'affut... en sus quand tous les trois quarts sont de la partie, avec l’arrière intercalé, qu’il n’y a donc plus personne derrière pour assurer un quelconque rempart. Bref... à sa manière le génial Spencer était un gaffeur... on vous accorde, d’une toute autre trempe que les trois précédents. Un autre genre quoi... faisait sa star lui, en trop confiance on pourrait dire... on a plein d’autres exemples en tête... manquait de défense aussi... pas le cartonneur que son gabarit pouvait lui permettre... Bref... nous plaisait quand même, faisait des merveilles de passes inattendues... génial par moment... mais manquait de sérieux.

Donald donc out... le Pilier savait depuis lurette qu’il fallait le virer... l’œil acerbe ici, rien n’échappe au sagace gazier chaussant jumelles pénétrantes.
© Le Pilier

15 juin 2011

SUPER RUGBY

L'emprise des us
Zavez donc pigé !!! Ya le rugby, et le super Rugby... SR pour les fans d’acronymes... Ya le rugby d’icy... d’hexagonie... bouffi... plan plan, qui met des plombes à intégrer les règles, les stylèmes novateurs, embastillé dans ses us... ses fondamentaux pesants... exemple une grÔsseu mêlée qui pousseu du joug bien fermée, très happy quand elle fait reculer l’adversaire une ou deux fois... mais qui tient pas les 80 mn... des zavants qui percutent solo et s’épuisent comme des bourrins... façon Servat... hé oui... pourtant vaillant le gazier, sympa toussa... mais sans fluidité... fait l’unanimité chez les mateurs de bleu, manque sacrément de technique le gus, trop souvent seul en percu... s’épuise... se fait mal au final... d’ailleurs on le sort toujours avant la fin... Au regard d’un Mealamu ? Pas foto... le All Black ? Du Mozart... le Bleu ? Fanfare... pouêt pouêt et caisse en plomb...

Et ça cause encore et encore de rugby mÔderneu icy... tout en conservant les pesanteurs d’antan... un rugby de Mathusalem... quoique même pas... étaient plus futés hier nos gaziers eu égard à la transmission, aux passes, au culot, à l’audace... même si parfois trop hélas bordéliques... mais notre jeu mêlée est d’un vieux affligeant... manque de technique, de fluidité... de dynamisme... de règles jamais apprises... ya des figures en Hémisud qu’on ne s’approprie jamais sous nos clochers... JAMAIS. On pourrait en causer des plombes... ça ferait pas bouger le tracteur... on ne sait même pas comment récupérer... doser l'effort... on sait jamais faire ça !!!

Le super rugby, c’est nous... le rugby du Pilier, le rugby d’Hémisud... le modèle quoi... ya plein à apprendre en les matant... nous font encore découvrir des trucs les gaziers... on s’améliore à les regarder... nous filent des idées... nous affinent... mais pour les piger faut mater les détails... dab... Dieu est dans le détail disait le saint... malin. Et puis intègrent les règles immédiat les gonzes, pour jouer avec... pas contre !!! En France ovalie on cause-rabâche « nouvelleu règleu » pendant des plombes mais on se met pas à la tâche... ça nous effare... ça prouve l’inadaptation... l’emprise de l’us... on veut pas abandonner notre patrimoine gabegique... notre grÔsseu mêlée... notre poussée... notre joug c’est l’us... l’emprise des coutumes à cloches tintinnabulantes... ça cause rebondir, ça finit toujours dans les vieux schèmes éculés...à plat dégonflés !!!

A la tête des Bleus nous, on te révolutionne le pâtis... mais faudrait nous payer cher... ya que nous pour vigorer la nation... arf !!! Pas entraîneur... même pas... consulteur de tout... la dernière phrase à nous... sélectionneur solo... on oriente... on dit là... pas ci mais ça... on fait taffer... on repère immédiat les qualités nous... un bon gazier c’est un gazier à sa place... gestes adaptés... et puis on transmet... le rugby c’est pas que du rentre lard bordel... tronche en bas... on fait lever la tête... la tête ya rien de plus efficace... de plus beau quand c’est beau... le réseau intérieur, fluide, transmetteur... pour le collectif... tout pour le collectif... l’important c’est le cuir, que ça... le refiler, le livrer nickel... vivant... palpitant... pas de facteur Chabal avec nous qui balance le colis en l'esclaffant... quoiqu’on aurait sacrément amélioré ce gonze nous... on sait exactement quoi faire avec... avait des qualités intéressantes le gazier, nous plaisait... réduites à néant par le système foireux de nos zhuiles frelatées... ils l'ont gâché... comme d'autre joueurs...non non, on ferait sortir le meilleur jus à nos mastards nous... on te les augmente nous, les rassure d’eux-mêmes nous... on te les fortifie... leur parle en homme... pas carotte et bâton scolaire façon instit Lièvremonstrueux... arf... on te forge une légion gagnante nous... obéissante mais capable de l’ouvrir comme elle l’entend... le terrain c'est elle... pas restreinte, juste orientée... on lui apprend même à causer !!! Yeah !!! Comme à la fermer !! Ach ! © Le Pilier

14 juin 2011

RETOUR DE LA BAFFE ÉCLAIRÉE...

De la sombre vérité
Sus et fi donc de ces gobeurs de tout... enthousiastes du Top... ceuss parmi les ceuss qui vous changent l’esprit, vous le rendent plus modeste... restreint... moins peu... avec de la bénigne vertu mise au rang de modèle jusqu’au plus rien dans la substance.. Arf arf... la celle genre gazier adepte en gros des communes pensées... consensuelles... vaselinardes... gommeuses... supportaria tout crin... qui pane rien au rugby et vous promène la pantoufle avec l’élégance dosée d’une brosse à reluire dans une boite carton... qui secoue jamais rien jusqu’à bien laisser pourrir le fruit... encourageur de tous ballons pourvu quié du fanion... trouveur d’excuses pour s’excuser de ne pas être audacieux, frondeur, valeureux, tonique, perforant... qui vous diminue le monde pour le mettre à sa mesure minus. Le Pilier prétend que la faute majeure incombe à ce popu ronron, la décadence de notre rugby est à la mesure de cette exsangue volonté de conquête, au mépris du vrai combat et sa dose nécessaire de vérité... c’est l’ère sonnante du copinage des peurs !!! Arf arf !!! On veut pas se voir, sans même le savoir on se rechigne, on finit même par s’annuler.

Et puis les termes ressassés sont ressassés... respect, amitié, valeurs humaines, partage, rerespect... causent tous valeurs... vous les mettent aux sauces partout... à vider le fondement même. Quand ya dit "rugby", ya tout avec pour eux... livré paquet... systématique... Bonux plus blanc, le vrai cadeau. Mais respect au fond, pour ce rata, c’est du synonyme ferme clapet... se clore, s’arc bouter... pas une langue affirmée, non non, une juste dosée, mignarde, suante... voire même tenez, bien longue à fessier !!!

Sommes pour le retour de la baffe éclairée nous, réveiller nos pâtis et dire ce qui doit être dit. Sommes nuls de rien et de plus en plus... ça cultive le nul, ça plébiscite le nul, ça bouffe du nul jusqu'au noyau. Quand on repense à nos deux sélectionnés ouvertures, Trinh Trinh Duc et son wagon Skrela... ben on se dit :

"c’est quoi ce rugby ?" Juste un exemple à peine, un rien... zétaient tous les deux sur le terrain la semaine dernière... en face à se disputer de nullité... des comac exemples y’en a des mille... et ça fait du bilan fin de saison... contenté, ravis, épongé des scories !!! Ça va même rêver de trophée... hé hé... zallez voir ça... le CDM... sans vergogne... N’ont même pu droit de rêver, interdit... nous on vote une loi sur l’interdiction de rêver... on se met au taf, on transpire, on renie le fade, on attise le feu... des jeunes cannes... on les bichonne pas on les respecte vraiment, on les tanne, on leur fait sortir le jus... on fait pas du drop de fiotte dès qu’on approche l’en-but... on fait pas des chandelles à trop éclairer son impuissance pour se débarrasser du cuir, on le transmet aux copains, on l’avive, on le dynamise, on lui donne du relief... c'est ça le vrai respect: la transmission !!! Du savoir et du ballon !!! On apprend aussi les règles, on forme des zarbitres, des vrais, ya des fautes monstrueuses partout... pas étonnant qu’on se ramasse dès l’hémisud en face !!! Et personne ne dit rien...

- Calme toi Pilier tu vas péter les cables...
- Pas d’autres issues... ya plus dix zans que ça dure...  
y'en a raz !!! Et tous ces philistins qui ronronnent aux tribunes... ça aide pas !!! Les scribouilleurs de flan sur la toile faudrait interdire leurs Blogs... redonner du goût, du volume à la Nation, briller la patrie... nom d’un treillis... sans faux plis !!! Arf Arf !!!
- Tu vas te faire incendier l’ami... les mous sont légions...
- Faut les cuire aux marmites à court bouillon... bien salées, les ratatiner... faire évoluer nos us... déboucher la tuyauterie du consensus... moilà !!! Ah Ah !!! .
© Le Pilier

07 juin 2011

COUPABLE...

... d'innocence !
Ze principale occupation d’une carafe humaine est de s’ingénier à se leurrer. Hier causions de blog petit calibre qui nous promettait dans un articulet intitulé « Montpellier flair »... pas moins... « une finale excitante... » ... « ... parce que les finales de ces dernières années, toujours très disputées, nous laissent penser que le rugby d’aujourd’hui offre désormais quelques garanties à ce niveau » Dixit authentique, délirant d'hallu , le témoignage naïf d’un gazier quelconque du réseau, aux zinitiales intrigantes MD... s’exprimant dans un BBR (Beach Blog Rugby) où s’agitent deux Niçoises barboteuses... deux cocottes d’azur. Un Blog spécial pantoufle, rugby copaings, où ça vous cause respect, amicalité, brosse à briller... bref un lieu réservé à l’amicale des gens du cru qui vous refont le monde (communal), causent pâtis gros labour, ovalie de canton en sirotant du pastaga, regardant passer d’un œil bovin la modernité, comme Marguerite le TGV !!! Hé hé !!! Sympa sont, au demeurant, comme l’est de jeter un calot dans leur jardinet histoire de mieux comprendre les us de ce monde ancien... sentir la profondeur visible de ce bio cocardier... arf... fondement même de notre identité nationale !!! Ach !!! Au-delà de l’amusement, certes ténu, de mesurer la distance qui nous sépare d’eux, un trouble récurrent vient obombrer notre compassion pour ce terroir inébranlable. Pour dire uniment la chose, prétendons qu’ils sont une des causes majeures de notre décadence affligeante en matière de rugby !!! Pas moins !!! Le rugby qu’on nous sert en hexagonie est calibré pour eux. Sont eux qui matent, pas nous !!! Excités du moindre flan, un esprit critique luisant de vaseline, de leurre... ne voient du terrain que leurs 22, plébiscitent ce Top 14 raz pâtis en s’exaltant sur du pissenlit, remplissent les stades de leur ignorance, agitant leurs fanions décolorés sans jamais comprendre qu’un fossé gigantesque nous sépare de plus en plus du grand rugby. Peu technique, des fautes effarantes... à croire que les joueurs ne connaissent pas les règles, passes lamentables... des chandelles, des drops, un rugby vieux monde, peu d’essais... jeu pusillanime qu’on devrait tous boycotter... on voit que ça pour les faire bouger. Un rugby donc de cocottes d’azur, où la bronzette s’entretient au détriment du pur terrain... tsoin tsoin.
Ces zavaleurs de gobe tout n’encouragent pas au « bougez-vous ». Oups !!! En même temps p’têt ben qu’y panent rien au fond les gus... ont droit au p'tit loisir direz-vous.. faut comprendre ça... ok... alors ? Coupables d'innocence ? D’ignorance... rance... une évidence... dense !!! Arf !!!
© Le Pilier

06 juin 2011

SOUS TOP

Hexagonisme décadent
Ben mazette quel ennui !!!
80 minutes de perdues à mater un rugby de sous préfecture,
minus, 
veule, 
pachydermique, 
bordélique, saturé de fautes, 
chichiteux, mou, gabegique, 
rétrograde, cagneux, handicapé...
bref  un rugby d’hexagonie !!!
Le génial néologisme du Pilier qui dit bien ce qui est, que certains du reste s’approprient sans placer même un petit copyright à côté... arf, ach et spoliation ! Qu’importe !!!!  
Agonie lente et générale de nos pâtis desséchés par le manque de précipitations, de fraîcheur... pas même une petite rosée matinale... pas une goutte de génie, hors le coup d’éclat du Fidjien Nagusa ( ya qu’eux pour faire ce genre de truc)...  
un rugby d’hallali, 
syphilitique, blennorragique, sans fumaga triomphante, plus maladroit qu’une paire de moufle canadienne sur un violon se prenant pour Paganini avec de grosses raquettes aux pinceaux en tenue de manchot !!!! Ach !!!
Maraudions par ci de là sur la toile avant le match, quand trébuchâmes sur le palier de quelques blogs de petit calibre qui s’enthousiasmaient de cette finale, nous assurant que Montpellier sonnait le renouveau du rugby Français, néo blair... super flair... audacieusement volontaire, plein de vivacité... d'envie... hi hi !!!! Que maintenant le rugby moderne nous gratifiait de finales de haut vol... qui y’avait pas de soucis à se faire de ce côté... que le spectacle était assuré... Toutafait ça !!! Le flop 14 est donc à la mesure parfaite de ces zamateurs qui sans doute aucun contribuent au déclin du XV de chez nous. Un rugby donc concocté pour ce genre de tribune, calibré flan masse avaleuse du tout néant... brouteuse de raz pâtis... même s’il faut noter que le Stade de France était loin d’être blindé... y’avait du vide un peu partout dans les gradins... un gage de désintérêt pour ce rugby décadent ? Il serait temps !!!!
© Le Pilier

04 juin 2011

FINALE DU TOP

Tout à gagner
Le baratin c’est bien, mais le terrain c’est mieux. Les pronostics sont largement en faveur de Toulouse pour certainement de bonnes raisons. La seule manière de les vaincre est de jouer tout berzingue sans crainte aucune de perdre. Plein jus, audace et cœur vaillant. Pas de petit bras ce soir pour les Montpelliérains comme on le voit trop souventefois quand l’enjeu est important. Sur un pâtis du Top tout le monde a sa chance. Doivent surtout pas prendre ce match comme une finale... Voyons si les Languedociens seront à la mesure de tout le bien que certains pensent d’eux. On jettera un œil sans doute, histoire de les découvrir... mais rien n’est sûr... comme l’issue du match... même si Toulouse l'emporte !
© Le Pilier

01 juin 2011

BRENNUS GUERRE SAINTE

Pas de quartier
Alors comac ya du Montpellier en finale du Top !!! La ville frappadingue qui a bien failli inaugurer une statuette du gros déportateur d'empaf de Staline !!! Heureusement que certains ont élevé la voix. Pas assez semble-t-il, yaurait en commande celle de l’autre grand nettoyeur de consciences, l’inénarrable face de lune Mao, qui du reste admirait le petit père assassin de popu !!! Arg !!! Mais c’est quoi ce Bled de fantoches ? Zont en revanche balancé du coco Lénine en pleine place publique... bien vissé çuila... ya qu’eux pour faire un truc aussi délirant. Sommes au XXI ème siècle , faudrait les réveiller ils sont devenus fous !!!! Le grand n’importe nawak, pas le Languedoc qu’on affectionne en tout cas... une ville rayée des cartes désormais ! Yeah !  
Du Churchill, De Gaulle...  bien que pas neuf, normal et va de soi, on pige le truc quoi... mais ce n’est pas respecter leur mémoire que de les placer près de ces faucilleurs de tronches à marteau. Non non... faut déboulonner ces guignols. Elle fait quoi la jeunesse là-bas... elle connaît pas l’histoire ou quoi. Elle roupille en matant ces cocos qu’elle prend pour du Chanel ? 
Pas ce genre de stupiderie chez les Toulousains... non non, une belle croix Occitane sise en place du Capitole, un superbe Héraclès en place du même nom... des allées Jaurès, une cathédrale romane du tonnerre de St Sernin, une Garonne placide qui caresse la prairie des filtres... un canal de Brienne docile avec de grands platanes couvrant la voie des sept deniers d'Ernest Wallon... de beaux pâtis d’ovalie bien gazonnés... des gisquettes éveillées... bref une vraie capitale de France comme on les aime, qui fleure bon la violette, le cassoulet, la gagne... où même les mamies aiment la castagne !!!! Ach !!! Sur le papelard donc point d’embarras ! On le dira plus d'une fois !! 

Allez Toulousains, ratatinez ces poseurs de figurines Montpelliérains endormis, ces  pionceurs la carafe rétrogrades qui mélangent tout, rapportez le Brennus en terre sainte pour l'histoire... pour la raison !!!! 
© Le Pilier

29 mai 2011

PLIEZ LES TOUS !

Clermont sans talent
Le peneu s’est dégonflé... on savait... déjà l’année dernière on trouvait leur victoire en Top foireuse, en avions icy causé... rematez les archives yavait tout. Arbitrage plus que douteux, essai accepté hors limite... c’était contre Toulon... nous avait fait dire à la fin même de la demie que la jaunisse venait de gagner le pâtis et que le Brennus finirait chez Michelin. On ne s’était pas planté... une fois de plus. On ne peut pas rééditer la triche chaque année... sachant que Toulouse avait quelque peu laissé béton le championnat au profit de la chopine Heineken. Là, pas la même histoire, sont bien présents les Toulousains, 29 pions pas moins... 6 misérables pour le jaune lavasse... deux petits coups d’arpions à peine, tout ce qu’ils sont capables de faire ces Clermontois... tu parles d’une demie finale. N’avons pas maté la rencontre, mais force sommes nous de constater la régularité des occitans... toujours dans les phases finales les gaillards, au rendez-vous... pas des fiottes ces gaziers... la seule équipe du Top qui tient chaque année ses promesses. Chapeau les gonzes ! Allez pliez les tous, qu'on ferme la boite à Top, qu'on ouvre enfin le grand pâtis... des Tri !!! Arf !
© Le Pilier 

25 mai 2011

LE BEAU MC CAW

Mc Caw comme l’avions anticipé reste donc au pays après la CDM... pas étonnant prend son fade le gazier en pâtis Zélandais comme il l’exprime lui-même pour justifier son choix. Pas de meilleure raison en effet. L’envie de jouer, d’améliorer encore et encore son geste, plaisir au carton... là pas d’erreur ça vous rend imbattable sur un green. Savons tout cela des Blacks. Le contraire nous aurait sacrément surpris. En effet si la posture est telle, soucis de se parfaire, appétence à la chicore, plaisir, fun au partage, à la transmission, réelle envie... impossible de résister à ça. Connaissant ses motivations, le capitaine des Blacks se trahirait lui-même en venant batifoler chez nous avant la retraite. Une évidence donc qui fait de lui ce qu’il est... un joueur digne du panthéon Pilier... le plus apprécié de nos mousmés... le beau Mc Caw... comme elles soupirent en se pâmant !!! Ach !
© Le Pilier

22 mai 2011

LE PILIER INCENDIÉ

- Bon Pilar, t’es pas total manchot au toshibastringue mais tes histoires de greluches tu peux te les garder pour du week-end pluviôse. On veut du ruck sur du ferme pâtis nous, du cuir qui voltige, de la castagne, pas ton baratin Gœthéen pour minettes romantiques, ni tes sauts plumard, y’en a marre, on veut du rugby ! Fi du twitt, refile du beat...

Balancé franco par un gazier vénère, qui ne mâche pas ses mots. Après tout c’est un blog consacré au terrain, même si ne quittons jamais vraiment les lieux. Arf ! Nous za incendié le gus... la décence nous impose le retrait du pire, on vous sert le tout venant... vous passe le tord boyaux, les réprimandes les plus salaces !

- On s’faisait juste un twitt and shout pour dire que sommes là...
- Mouille ton maillot un peu, y’avait la coupe d’Europe... les phases finales du Top...
- Ouais ouais, parait même du sacré suspens pour l’Europe... les Irlandais ont fini par remporter la chopine... un fighting spirit du tonnerre...
- C’est tout ce que t’as à raconter ?
- Question cuir, quasi... on pourrait causer des Crusaders avec du Carter très habile des arpions... ont battu les Waikato Chiefs (25-19) avec pas moins de 20 points du p’tit Dan...
- Ben mazette tu te foules pas le cassis... tu redégaines du twitt là.
- Tu nous inspires toi... on attend les grandes marées nous, Tri, CDM... surtout les Tri du reste, alors pousse pas dans les cordes... tout le monde s’en balance de la Chopine Heineken, du Top n’en parlons pas... ya un paquet de gus saturés de rugby Français... on assure, témoignages et tout... aveux dégoûtés...  et puis c'est un Blog de saveurs ici, on peut pas trop leur causer du coin... non non, révolution du pâtis !
- Tu prends pas tes désirs pour des réalités ?
- Sans doute, mais on croise pas mal de gonzes qui n’ont cure de cette fin de Top. Commencent à comprendre ce qu’est le vrai rugby tu vois ? Rugby bobo d’icy c’est plus leur kiff... on rapporte juste ce qu’on entend c’est tout. Alors on veut les distraire un peu avec une dosette de prose... manière de patienter...de s'entretenir les paluches... On va p'têt mater les Barbarians...

- Alors tu vas pas causer des phases finales du Top ?
- Cool ma poule... ya des primeurs... des truc plus fun...
- Alors rien ?
- Don't know... faut voir... l'humeur, le feeling... la météo... la côte au Dunlopillo...
- Tu pousses un peu là Pilier
- Normal, roi du ruck...
- Tu t’en tires par une pirouette...
- Ça rime avec gisquette ! Arf !
© Le Pilier

19 mai 2011

TWITT EN PROSE

Une mousmé de fière allure inondait de sa présence un trottoir déjà sun. Un Pilier dionysiaque cogitait quelque équation, lentigrade, sémillant... soudainement saisi par cette apparition. D’un abord primesautier le chantre du ruck pénétrant s’engagea dans une conversation qui amusa l’élégante tant et si bien qu’à la fin ils échangèrent des liens... afin de se revoir en des lieux moins passants. De croquer ensemble une recette galante le gazier proposa, un repas fort honnête, dont il assura relief par une dialectique ondulante, abordant contrées neuves, esthétiques, bagatelles, tous sujets, qu’un gentleman de bonne éducation se doit de développer en improvisant... sans filets ! Ach !
Surprise dans l’abord, pour le dire uniment, la curiosité semblait prendre le pas sur l’étonnement, le temps s’éternisa, et la belle d’un esprit motivant organisa un jeu dont les règles épatantes firent si grand effet que le drôle envoûté en accepta les bornes.
Le grand aphrodisiaque est l’échange du bla, celui souple, lent, précis sans être enté de banales évidences, rythmé sans marteler tout l’espace sonore d’une seule parole... la valeur, c’est la dose, l’échange, et les couleurs secrètes engendrées par des vues différentes qui s’accordent au final d’en accepter l’effet quand elles donnent à penser, amusent, bousculent le commun. Arf ! L’ivresse s’invita, les langues divaguèrent, une ballade nocturne conclura la soirée. La lunaire rondeur brillait de tous ses feux, on fit le tour de l’astre, et la face cachée se dévoila mouvante au regard subjugué du gonze sulfureux. Oups!!! Les pâtis que l’on foule de fièvre volontaire ont le goût éternel des insondables liens, la tête envoûtée telle une bouche pleine aux ruisselants transports s’abreuve sans mesure... on résiste, on voudrait s’en défaire, conserver un brin d'aire ? On est cuit. Ach !!!

Le lendemain fut vide, plein de manque... et d’espoir sans limite... la nymphe s’envola vers un pays lointain où l’attendait son taf. Le roi du ruck depuis mate les volatiles d'acier sillonnant le plafond azuré en traçant des vapeurs inodores, la nuque est un peu lourde, le trottoir plus terne, il y manque un souffle... à peine les platanes s’agitent du bout des branches... BZZZZZZZZZ un message soudain vrombit dans le portable ! Yeah ! A suivre ?
© Le Pilier

18 mai 2011

CARTER AU PAYS

Après Mealamu, Mc Caw... v’la Carter qui décide de rester en NZ après la CDM. Pas d’année sabbatique donc en nos zeuropéens pâtis pour le génial ouverture All Black. La classe du gazier, n’abandonne pas sa patrie pour du grisbi... ne vient pas se gâter les arpions dans nos championnats minus. Non non, pour conserver ses cannes et parfaire encore son style, vaut mieux rester là-bas. Bon choix Carter... et les autres, qui ravit le Pilier.
© Le Pilier