27 février 2010

LA QUEEN COUINE

Le trèfle jubile
Belle victoire des Irlandais sur le pâtis mollasse de Twickenham... 16-20... face à des pines de Bifs gavés de bouillante eau fadasse, de maladresses, pesanteur gras du bas, de la carafe, du mollet... pratiquant un rugby d’antan,  
lourd devant, rien derrière !
Bon c’était l’heure du thé, faut pas leur en demander trop... ça sentait le pudding au ketchup haricots à la crème blanche... feraient mieux de faire jouer des gaziers culottés, jeunes, tempétueux, genre Cipriani pour donner du vent frais au lieu de les laisser partir en Australie !!!! Ça manque sacrément de génie dans les rangs... pas dans leurs cordes dab, on sait, mais là ça dépasse nos désespérances... Une blague qui trottine plus vite que les trois quarts de la triste Couine :  
En Angleterre, 
si c’est chaud c’est de la soupe, 
si c’est froid c’est de la bière !!!
Ouarf ouarf, poilant !!! Savent plus tâter du cuir ces empafs, pas bon pour nous ça... pour le coup même si loin de nos habitudes les pronostics, on ne voit pas comment les Bleus pourraient laisser échapper le grand Slam. Sommes hyper supérieurs dans tous les domaines... total out les Tommies, lents comme des chenilles processionnaires... se passent le ballon sans jamais cadrer un adversaire, galopent en travers... essaient lamentablement de transpercer une défense Irlandaise impénétrable en percutant comme des bœufs, et devant, des zenclumes sans caboches. Pour l’anecdote, à dix minutes de la fin est apparu sur l’écran une statistique, 19 placages pour les Blancs, 96 pour les verts... ont du p’t’êt’ ben se planter un brin... mais ça dit tout. La bande à O’Connor a superbement joué le coup... hyper hargneuse dans les rucks, maligne en touche... clôture sur un bel essai de l’ailier lancé fond les cannes pendant que les avants Anglais laborieux, labouraient encore le green de leur insatiable entêtement à jouer sur des vieilles combines... bouffer du green dans des rucks de vieille école. En sus n’ont plus de pack performant pour ça... Alors ? Faut les pilonner ferme, pas de quartier... même si un match jamais ne se gagne sur le papier, parions sur une ratatinade sans quartier. Avons des gaziers d’un autre calibre tout à fait capables de leur donner une leçon. Si la Couine n’est plus en mesure de nous tenir tête, faut lui aplatir la couronne... ya pu d’Europe sinon... Allez les Bleus, laminez-nous toussa, sinon on finira par croire ces mauvaises langues qui racontent qu'en Angleterre,
rien n’est fait pour les femmes... 
même pas les hommes. ACH !!! 
Pour clausule, une palme au gonze de tous les diables auteur d'un match d'enfer, le troisième ligne centre Jamie Heaslip... sur la tof... belle bestiole l'Irlandais... avec O'Connell, O'Callaghan et consorts... ont O'pressé l'épine de rose à lui faire rougir la lune comme un croupion botté !
On reviendra sur notre victoire contre les Gallois sous peu... allons tout dab flatter du pralinet avec nos gisquettes, faire sauter le bouchon en préfigure de grand Slam ? Vlam !
© Le Pilier

26 février 2010

GALLES 20 - FRANCE 26

OUF !!!!
La question Bibici d’hier, sise en son site.
Can Wales derail the French Grand Slam bandwagon ?
Les poireaux Gallois peuvent-ils faire dérailler les Blous wagons avant la gare victorieuse du grand Slam ? Réponse non...
S’en est fallu pourtant de peu pour que les Rouges ne réitèrent le match poursuite contre les Ecossais... Une minute trop tard pour espérer gagner, l’hyper sup Shane Williams, le grand petibonum du Millénium plante quand même son 50 ème essai en match international en trompant pas moins de quatre Bleus. Un record derrière Campese le phénoménal Australien et ses 64 tries. En sus est partie prenante sur l’essai de Halfpenny avec une superbe passe ajustée de plus quinze mètres... un sacré joueur le gonze... 1,70 m pour 80 kils.
Quand on nous tartine le cortex avé ce rugby moderne des gros gabarits, ça nous poile les abattis. Le rugby c’est de l’évitement, de la vista, du beau geste, de la technique... en premier lieu.
Les Bleus remportent le match 20-26... mais dominaient à la mi-temps 0-20.
Qu’est-ce qu’ils ont foutu ?
Faut-il qu’on en cause Lulu ?
© Le Pilier

25 février 2010

LE GRAND PETIBONUM...

... du Millenium
Julie retapée, consolée, fermeté retrouvée, une douceur timide accompagne quelques ondées éparses de saison, dévalant régulières l’azur, préfigurant le printemps tout neuf et son cortège d’éclosions. Sophie bonne fille, n’a pas lésiné à mettre ses menottes à la pâte... feuilletée... s’enticher du réconfort de la revenue, badigeonnant greffier de savantes et mesurées palettes... et par le fait avenu, assurant l’essor vibratoire de sonorités libératrices. Yep !!!
A la mesure des attentes communes, en première ligne du grand ruck, d’évidence Pilier comme doit tint son rang, zénithal, bla libéral... va-ça-vient périodiques, grand jus, pirouettes, funambulisme, concélébration des fuites pleines de grands sentiments vigoureux !!! Ach !
Bilan des échanges ? Harmonie des mélanges, retrouvailles de Julie avec les fondamentaux existentiels, débarrassée pour un temps de ces incommodes spéculations qui obombrent l’enthousiasme, taraudent cogito, détournent l’esprit de la Dionysiaque vertu, la raison du droit chemin, le pilon du baldaquin... tsoin !

Toussa bien beau mais demain soir ya baston. Comme savez tous nos Blous affrontent les Gallois au Millénium. Prenables nous semblent ces derniers eu égard aux précédentes joutes. Même si le match contre l’Ecosse fut rebondissant, incroyable question suspens, les Red poireaux sont loin du grand Top. Sans Shane Williams auteur d’un match remarquable, de tous les bons coups, replaçant son groupe dans le sens du vent favorable... sans les cartons jaunes Ecossais, les blessures de Paterson, de Parks, celle grave de l’ailier Thom Evans et autres anicroches engendrant l’abattement des Kilts en tête toute la durée du match, la donne eut été différente. Shane plante même l’essai de la victoire après la trompette finale. Au Millenium Stadium... gaffe au petibonum !!!
Mais les matchs se suivent et ne se ressemblent pas forcément. Nos cocottes ont largement de quoi rivaliser avec ces poireaux en baisse régulière depuis leur dernier grand slam. Un bon test pour l’adage... jamais deux... sans T !!! Hips !
© Le Pilier

20 février 2010

TWITT A TOUTE HEURE

Reviens, va-t'en !
C’est l’hivernal frimas. Plus de pâtis où livrer sa baston, de quoi poser l’abat, refaire son jus, nutritif, pensif, pause holly. Yep !!! Julie, de retour professionnel d’une longue virée, s’enquit d’apposer ses intimités at home, because yavait lurette qu’elle n’avait pas tâté du zénithal dialecte, re côtoyé enfin ce qu’il y a de plus matou, de plus pur, supra tout... le concubineur magistral, l’aussi dur attentif dans tous les moments doux que la lune au lupanar est un soleil sans flou... arg... qui cause, impose, écoute, s’enquiert, conserve du sang froid même quand l’Hosanna du sanctus sous rebonds vibraphoniques ébranle jusqu'à la sacristie. Yep !!!
Envoyé... c'est l'extase ! Allez Lou... ya de quoi !!!
La bestiole ondulante, thèseuse es pâtis, d’assise patentée, d’épatante amplitude et de souffle tranquille, au rein solide à supporter ce Blog, en prit l’attentive mesure et reçut comme doit la féminine bouille en manque de relief. Fatiguée disait cette dernière des poussives analyses, des petits bras chétifs, des minus, des plats, démagogols, finasseries oiseuses, fiottes, petits gonzeurs, les ceuss qui font du lard avec des riens de Blous, qu’ont peu dans le matos, ces Mickeys sans logos qu’ont que l’oreille dressée, tous ces pompeurs d'idées qui viennent jusqu'ici faire leur petit marché !!!! Bref de beaucoup épuisée, elle exprima d’un coup :  
« C’est plus sympa chez toi 
que chez partout... 
T’es majeur, 
t’es même quasi tabou 
tant t’es tout !!!! »
Un sic de chez dixit que ne contredirons pas, même si n’avons pas saisi totalement la teneur parfaite de la saturation ! Quelle vie la Julie a-t-elle mené sans nous ? D’où vient ce raz fondamental somme toute inévitable quand le regard est critique, la raison éclairée comme ça transpire chez cette merveille d’atouts ?
Bref, pas du genre patho-modeste à copiner avec les somaties néphrétiques du baladin Brassens s’excusant quasi d’être ce qu’il est, laissant l’entourage niais abuser de sa bonté, écoutant les sornettes, ultra gêné le bonhomme du cirage excentrique répandu en son autour... savons mettre la distance nous, faisons la part des choses, acceptons ce qui est. Sommes zapparu sur la bloue rondeur pour respirer fermement notre quota ! Assumons donc ces vérités émises par ycelles honorées, car c’est nier un sujet que de n'point considérer la joie de ce qu’il entrevoit !
Pour dire quoi au final ? Pas plus qu’un twitter instant de vie, quand la luzerne embaume de retrouver son huis, qu’on laisse tomber le cuir, balance ce qui débarque en opinant du chef sur la valeur du lieu, de la toile qui dévoile l’indéniable et vibrant territoire... hors le temps... de ces reviens, va-t'en, qu'on déguste en soufflant... allez allez, éteins une à une les lumières... tatoue-moi dessus... la peinture au couteau c'est beau... quand la lame est nue*. Hue !
* Boris Bergman
© Le Pilier

16 février 2010

PARRA BELLUM


Un sacré petibonum
Fulgence Bienvenüe... pater du trom de Paname... l’autre Fulgence, Ouedraogo... flanker des Blous... Fulgence, le fulgurant en latin... ça lui va... encore du maître signifiant qui transpire son influence... savamment sur le moi... qui comme le savons tous, d’un point de vue topique s’enquiquine souvent la vie avec un surmoi querelleur, exigeant son quota moraliste, alors qu’en tant que protecteur des intérêts du gonze, le moi dynamique nanti d’une énergie pulsionnelle de tous les diables et d'une raison suffisante, devrait aisément détourner solo du pré-conscient ronron, ce processus primaire déréel, afin d’obvier à toute déprédation compulsive, paradoxale, empêcheuse, orienter les spécificités adaptatives du corrélat fondateur que la représentation prédispose au service optimal, autonome, favorable... quand elle est habile bien sûr... Ach !!!!
Hey... pète son câble le Pil...  retournons zaux pâtis...
Oui !
Donc un pack de sons frappants, gagnant, même si faible en touche... bien mené par un jeune Parra (la tof)  qui assure les transmissions, tient ses gros, ne fait pas de couffe et cerise, habile des agassins. De l’assise pour son âge. Graine de capitaine si continue dans ce sens... du Parra Bellum de petibonum... Ok pour lui. Sa passe même si pas des plus vives est précise, style classique, un peu léger pour faire le ménage mais possède d’autres qualités. Le père Dupuy devra se remuer le croupion s’il veut le supplanter. Rassurant d’avoir deux gonzes potentiels de bonne tenue à ce poste.
A l’ouverture sommes plus mitigé. Certes Trinh Duc possède des cannes solides, une vista pour prendre les trous mais ne lève pas la tête... on l’a vu au ralenti, sous toutes les coutures, les angles, ne pense qu’à lui dans la course... n’a pas su conclure les superbes percées. Le rugby c’est du collectif. Encore jeune le gonze... dès qu’il s’approche de l’en but ne pense qu’à sa pomme. Pas bon du tout ça. Avions remarqué sa propension à vouloir y aller solo. Et puis manque de pied. Renvoie trop souvent le cuir dans les bras adverses... sans chercher les transversales... faire galoper l’arrière. Non, non, Samedi c’était bien, mais un ouverture c’est beaucoup plus que ça. Gardons réserve, la suite nous dira. Reconductible d’évidence, on ne voit personne de mieux à ce poste pour le moment... et puis s’est bien entendu avec Parra... l’essai de Poitrenaud ressemblait à celui de Sivivatu cet automne. Bonne transmission Parra-Trinh Duc... sautée pour Bastareaud, superbe passe en canalisant l’adversaire du parisien, du beurre pour le Toulousain qui plante sans problème. Bel essai.

Les Zirlandais nous semblaient quand même un peu éteints. Complexe ? Froid ? Gagner le grand Slam une fois c’est bien, on n’est pas hégémonique pour autant l’année qui suit. Normal... pas l’habitude d’être au top, on est fébrile. Quand même peu inspirés derrière les verts... certes bouffés devant... mais on attendait mieux des champions d’Europe.
O’Gara ? O’garage et fissa.
Plombe son équipe l’ouverture... n’a rien organisé... une paye qu’on prétend qu’il est fini.
En sus ont vraiment eu du bol de ne pas jouer à quatorze le restant du match. Le geste de Flannery n’est pas limite, il est tout simplement inacceptable. Ça frisait le rouge, n’a même pas eu son p’tit jaune... non mais... pas santé l’arbitre. D’autant que le Palisson nous semblait en jambes malgré une prise de risque limite dans ses 22... s’en est parfaitement tiré... du cran... 20 minutes c’est pas assez... hope le revoir contre les Gallois du coup.
N’oublions pas la bonne défense Bloue, ainsi que le peu de fautes commises dans les rucks. A noter. Merci les gars, mais ce n’est qu’un petit pas. Faut réitérer la chose, duratif quoi... deux victoires c’est bien, quasi rien... les adversaires n’étaient pas énormes... Remember l’automne contre les Blacks. Super wait and see. Limitez le bla... assez causé d’ambition tra la la... concentrez-vous sur la connivence... le suivi, le collectif... Malzieu n’épate pas, Clerc n’est pas en super forme... Poitrenaud mi-figue... parions plutôt sur Médard nous, à l’arrière. Mais on s’en balance de nos sélections, attendons la suite et matons. Hips !
© Le Pilier

15 février 2010

SERVAT & CO

De beaux avants
Seconde victoire des Blous dans le frais pâtis d’Paris... savez toussa... pas du grand art de rugby... ni d’l’épatant, faut deux super niveaux pour ça, mais des gaziers vaillants qui ont tenu leur rang, avec un pack du tonnerre de bête, qui piège les Zirlandais sur leur propre terrain... hors en touche. Bon, un D’Arcy plus cocu de chez cornes d'auroch, avec plus de bol, le match aurait sans doute pris une autre tournure. Qu’importe.
Première ligne impec menée par un Servat de tous les diables... En sus manque Barcella, qui pour le coup ne manque pas... ach... ya donc du monde au front du ruck... de bon augure... chapeau Mas et Domingo... très bon boulot.
Secondes poutres Papet-Nallet nickel... preuve que sans Milo ça roule mon Julot... à noter que Chabal ne manque absolument pas, peut continuer à vendre des peluches, d’la savonnette et du sparadrap... les autres nous semblent moins épars, plus soudés au jeu... se fondent dans le collectif plus que Chabal dont tout le monde attend le tampon, l’envol des cheveux longs, l'exploit solo quoi et basta.
Troisième ligne de super gaziers hé hé... Dusautoir au laminoir... oups, le gonze de chez cisaille... quelle bestiole... plus technique encore pourrait postuler chez les Blacks... fort de partout avec un cœur puissant. Au four, au moulin, au grain, au cuir... indispensable.
Et puis l’épatant superbe Imanol. La classe du gazier des Biarrotes... des signifiants au bandeau blanc, l’Harinordoquy possède des phonies étonnantes en adéquation parfaite avec cet instinct gracile, cette élégance toute lui, qu’avons toujours appréciée. Au-delà du jeu à proprement parler, même s’il fait partie intégrante du système, savourons ce plaisir de style pur, course, manière de mouv, d’occuper l’espace... kinesthésique pour les Nimbus, de tenir un cuir, de sauter... la mouvance quoi. Une connaissance nôtre a même baptisé, il y a huit ans, son rejeton Imanol... c’est dire. Pas du béret pourtant le nordiste, ni très rugby... de l’est en sus, côté sapin des montagnes arrondies, mais ce nom l’a fasciné immédiat (sic et total authentic).
En sus joue de mieux en mieux le basque... motive, encourage par son allant, impeccable sur les chandelles, vaillant au jeu, habile des paluches... un vrai plaisir de le mater. Un gonze de pack dans cette posture classieuse... avec un nom d’enfer... Olivier Magne en était aussi... dans un autre style... classe itou... idem le patronyme des familles. Hé hé l’identité nationale c’est aussi du phonétique évocateur qui résonne et sent bon le terroir, Basque en l'occurence... y’en a des quelques comac... Imanol a toujours épaté les ceuss, ycelles, qui aiment l'envol ! Du reste on voudrait bien en connaître la signification si ya ! C'est quoi un Harinordoquy sinon un bon joueur de rugby ? Mais faut revenir au pâtis là... ok ok...
A suivre donc.
© Le Pilier

12 février 2010

PARRA TONNERRE

Baratinage express
Deux seuls degrés sur le green du Stade de France prévus pour demain. Faudra sortir les mitaines, pas les moufles et balancer la couette sur le pâtis cette nuit... le Celsius tombera sous zéro, moins cinq précis. Pour garder d'la souplesse au gazon
Calfeutré dans une interview avec probable coussins, bibine, entourage badeur, Parra tonnerre déjà contre les Zirlandais soi-disant tricheurs (sic). Ach ! Ralentissent le cuir parait-il, se retirent en retard de l’impact après placage... imposent un faux rythme pour casser l’ambiance... mais engrangent les victoires, 12 successives... avec ces vilaines magouilles de vieux briscards !!!! Les Français font plus de fautes mais sont honnêtes et droits... l’arbitre est très vilain avec eux et ne les lâchent pas d’une semelle. Faudra jouer contre seize. Voilà en substance les propos du demi de mêlée de l’EDF, gonflé au gaz rageur... une discute sise en un site de balivernes, bien connu. No comment !!!
Le trèfle appréciera... de quoi se fendre les abattis... toujours les mêmes infatigables rengaines. Gardez la baveuse en poche les gaziers, fi du bla, du n’importe quoi qu’on vous impose... Allez allez, tête froide, concentrée sur le seul jeu... la vérité sort toujours du pâtis comme la saveur d’un fruit... mûr... et pour le déguster, faut la fermer !!!! Ach !
© Le Pilier

11 février 2010

QUE DU FEU

De la braise aux pâtis
Gel des paluches à prévoir ce week-end de Tournoi. Si les blous gaziers sont aussi peu loquaces au jeu que le sommes au Toshibastringue, ça préfigure un ennui à pioncer du calot sous la duvette couche. Peu d’attaque il est vrai, comme le remarque justement une certaine Ondine, sommes de l’hibernation rétive plus que de l’enthousiasme béat. Justine ni Sophie ne sont pas mieux. Emmitouflées dans un romantisme de saison, elles épousent si bien le sofa qu’elles se confondent avec les coussins. Pas moyen de les faire sortir, elles se planquent, grognent, ondulent, s’édulcorent dès qu’une action bénigne pourrait les obliger à mouvoir leurs arpions. On se cache le blair, on rumine, on entretient les braises en attendant l'printemps. Déjà ça !
Les buches sont fermes et crépitent au fourneau... Totoche au Medrano tient son rang... on ponce le Pilier d'la base au chapiteau ! Si ya du blanc sur les niches, ya d’la lourdeur sur les miches... mais quand d’aventure on s’expatrie du canap, la glaciale atmosphère nous saisit l’abattis et toute notre énergie se concentre sur la chaleur des reins, des bras, des agassins, si bien qu’n’avons que peu d’allant pour les pâtis figés.
Bref c’est l’frimas du bulbe, de l’intention, d’la même passion. Peu nous chaut ce tournoi semble-t-il... même si n’avons pas encore vu les Zirlandais... mais à trop compter sur un seul réchaud on risque de garder la tête au frigo. ?????. Voyez le niveau...

Palisson est au charbon, ok, porqué no...
On a quand même du mal avec l’absence de Picamoles que l’on croyait blessé mais ne l’est pas ! Nous fallait un solide face à des verts désireux d’une doublette de Slam. Mais qu’importe au final laissons les huiles pour ce qu’elles sont. Des huiles !!!!
Ya quand même l’épatant Imanol, le super Dusautoir au croupion d’un pack qui somme toute nous inspire entrain sinon espoir. Derrière il manque toujours un centre d’élégance, matois, preneur d’intervalles, openeur d’espace... rare item dans toutes les équipes du reste, sinon cette paire d’Irlande qu’on ne présente plus O’Driscoll & Darcy.
O’Gara sur la sellette avec ce jeune Sexton qui le concurrence de sa jeunesse neuve, est parait-il plus vert (pardi) comme affûté. A suivre. Un souhait de saison s'il en est pour un belle affiche ?
Ne voir que du feu !
© Le Pilier

07 février 2010

DU P'TIT PÂTIS 2

Ron ron, bzzzzz bzzzzz ! 
Faut mater les matchs au Dunlopillo maintenant, entouré de gisquettes pour ne pas avoir l’impression de perdre son temps.
Rugby donc sopo contre les "Blacks de l’hémisphère nord" (dixit Lièvremont). Victoire des Blous 9-18 sur des Kilts un peu limite. Pour le coup sommes bien coton après cette prestation de 40 minutes. Plus la peine de jouer deux mi-temps... une suffit, l’effet Invictus sans doute... rugby cinoche, sans relief... qu’en dire ? La critique nous semble vaine, l’analyse trop évidente, l’enthousiasme bien ténu. A noter quand même le coaching très judicieux de notre triplette pensante... l’entrée de Michalak (pourquoi ?) en fin de match dont on a immédiatement apprécié le style exsangue... passes molles... sur Nallet (bon match çuila) à l’épaule, grosse chandelle de ses 22 n’importe où... on en passe... et surtout cette superbe audace en fin de match qui ne joue pas le ballon gagné... tatane directement en touche... pardi c’était fini !!!!! Chouette ! 
© Le Pilier

06 février 2010

DU P'TIT PÂTIS 1

England vs Wales 30-17
Un tournoi qui débute pantoufle... rugby Européen de jardin... lambin, lentigrade et sans génie bitouine des Bifs et Gallois prélisibles comme des Anglais. Equilibré dans l’ensemble. Du kif au même de style, et d'impuissance. Closerie sans lilas. À noter un bel exploit de Hook qui ramène les Rouges à trois points des Blancs après transfo... 20-17 à 9 minutes de la fin du match. Les Gallois semblent capables de planter un autre essai... mais Armitage, un peu à contre temps, sur une passe minable de Stephen Jones (une plaie ce gonze) intercepte, passe à Flood, puis Tait qui mène bien sa course et envoie le flanker Haskell (pour la deuxième fois) à l’essai. Homme du match pour les Bifs. Matez ici l'action libératrice. Wilkinson aux arpions s’impose... un sans faute, passe tout impec... 13 points... pour ce qui est du jeu à la main à proprement parler... rien de nothing de que dalle à noter. Score final 30-17 pour les roses bien Bifs ! Armitage n'a pas brillé... Stephen Jones est à virer...
Sommes habitué aux Tri... Quand matons ce Tournoi avons l’impression de voir des matchs de championnat... un rugby sans surprises, lisible, bien lourd, peu tonique avec des rucks pesants, lents, d'antan, des attaques sénatrices... des transmissions de la mêlée aux ailes, apathiques; en somme donc du p'tit pâtis... ya pas tof. Des wagonnets de retard nous séparent de la grande loco Sudiste.

Lièvremont aurait dit que les Scots sont les Blacks du nord !!!! Ouarf ouarf !!!! Hollywood là... nous zépatent ces empafs... trouvent toujours du poilant à balancer sur les zondes... Lièvremont, le chantre du Disney rugby, le fumeur de pâtis...  
sur vos zécrans TV cet après midi... en trois D... Ding, Dingue et Dong ! Ouisp !
© Le Pilier