18 avril 2008
TICKET CHIC PAS CHOC !
Pédale douce
Bon ok… on dit le choc du Week-end bitouine Toulouse & Clermont… Mouais ! Faut pas pousser mamie… ya pas d’enjeu notoire et les Toulousains doivent plutôt se concentrer sur la Coupe d’Europe… être premier ou second du 14 c’est kif… le must important c’est qu’il n’y ait pas de casse chez les Occitans. Sans doute aucun ce sont les deux meilleures zéquipes du championnat qui se retrouveront probable en finale… comme on souhaite. Alors une entente en coulisse devrait sourdre pour que le spectacle soit à la mesure des attentes de fin de saison… Serions Noves, on mettrait pas l’équipe sup… Serions Clermont on jouerait sans excès de zèle… disons sans trop cartonner la seule team qui puisse prétendre au titre Européen… Le scénario indiqué. Pour les neuneux, on peut vendre du gros titre en insistant sur choc… quand ticket chic s’impose et va de soi.
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16 avril 2008
DANSE AVEC LE CUIR
Pas l’entrechat en tutu Garnier… ni boléro des moulinets… sinon rigodon des cuissots… ou mieux, baston des bostons pour un cuir convoité dans l’air tournoyant d'un pâtis Sud Hémis. Une contredanse du Weekend dernier, entre Highlanders et les Sharks lors de la 9ème ronde du Super 14… le Super championnat sublunaire…
Les Sharks l’emportent à peine 19-17, comme savez si étiez zo bal. Pas du cotillon d’ici, ni d’la capucine mais bien de la gaillarde à ravir l’Empyrée… « Je ne peux croire qu’en un dieu qui aimerait la danse » disait en substance le monumental Nietzsche…
Du temps que régnait le Grand Pan, les Dieux encourageaient les figures, sous l'égide Dionysiaque, divinité du délire, de l'enthousiasme, du corps... partant de l'esprit vivace et volontaire. Pour sûr les Grecs étaient vernis. Ce que reproche du reste Nietzsche à l'Occident, de s'être fourvoyé en s'éloignant de ces derniers. La tête Apollinienne a pris le pas sur le corps, se détournant d'un rapport premier à l'univers. Le rugby en ce sens, par la force du rite, danse géométrique, trajectoires ondulantes, prunes frontales, modulations collectives, évitements, stratégie du grand leurre, enlacement corporel tonifiant, rend grâce aux Dieux des mythes insondables, perpétue l'ab origine. Sommes partant.
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15 avril 2008
BOUDJELLAL : LE FRAIS PARLER
Un Toulonnais
pas langue de poche...
Ho Ho ! Il a du jus le bonhomme… nous plaît… pas la baveuse-mollasse-démago-cire-tatanes… Pour tout dire ne connaissions pas l’animal sinon par les criticailleurs petits bras, qui geignent de ci par là sur le net ou radiophonies diverses… minus désapprouvateurs qui n’y panent bien souvent rien au Rugby, affublant le président du RC Toulon de misérables brocards, à la mesure de leurs balourdises-pastis-Ô-mètre, seules vapeurs qu’ils inhalent avant de balancer leurs avis maladifs pour occiputs naves et réac, dans les cyber forums, estaminets, folliculaires, écrans divers… bords de pâtis… tribunettes... terroirs sopo… jusque dans l’air hexagonalovaliste plus vicié de sottise que de CO2.
Mais laissons de côté cette pléthore de rogatons profus, broutant l’ovale pâtis de leur misérable entendement et saluons céans ce Mourad Boudjellal dont on parle tant, qu’avons découvert tout récemment sur la vidéo ci-jointe, après bastons visiblement appuyées lors du match Pro D2… Pau-Toulon, en Mars dernier.A mater pour du frais.
Bonne tête, franc du collier, nous nous fions sans hésitation aucune à ses dires, estimant que la vérité transpire de son propos comme de sa binette contrariée... « ça sent trop bon pour ne pas être vrai » dirait l'adage. Ses critiques font échos à certains de nos propos, sa langue chante un air qui sent bon… pour sûr il a du cran, de l’aplomb, du frais parler. Certes son équipe est solide, bien entouré en somme… a du ressort… de la volonté… du souffle... s’en sort très bien tout seul. Le Pilier ne porte pas moins son appuyé suffrage à ce qui nous semble être voix roborative dans un monde où la coutume ressassée s’acharne à réduire tout élan novateur, toute inattendue posture, tente de dissoudre les moindres critiques acerbes dans sa bauge historico-traditionnelle faisant fi des singularités, du new sun, du temps présent, des enthousiasmantes et justes perspectives d’évolution… de la soif d'équitable... du désir de mieux.
Va-zy l’ami, t’es pas solo à penser tout haut ce qui dérange les murmures copineurs des vestiaires structurels, les mous du bulbe, les philistins de toutes confessions sectaires qui dans ce domaine comme partout s'embastillent dans leurs prérogatives, n'ayant de l'horizon que l'épaisse vision de clocher, tintinnabulant leur conscience du cru.
Pour causer du siffleur à petit jaune et gros rouge cartons, avons souventefois dénoncé qu’un match de rugby dégénère quand l’arbitrage est exsangue. Boudjellal est en droit d’exiger le top car l’on doit souhaiter selon toute justice que les incompétents en la matière comme ailleurs n’accablent plus de leur présence virale, le corps solide et ferme de ce jeu voué aux frictions dont la stricte application des règles, code fondamental à respecter pour d’équitables peignées, est le gage incontestable et majeur du plaisir d’en découdre, de l’émergence du beau jeu… comme saveur des bastons honnêtement menées... de la justice vraie. Sans respect des lois c’est la gabegie, le foutoir, la grÔsseu panique, le n’importe nawak… l’ennui… la foutaise… la colère sinon… le dégoût. Sans la fermeté, la probité de l'arbitre... plus de beau combat... de policé... de civilisation... de République... de rugby digne de son noble idéal.
Souhaitons au Sieur Boudjellal souffle long et courage, comme affirmons notre soutien.
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12 avril 2008
KANKOWSKI IMPÉRIAL
Puissance Natal
Le gus du match Sharks – Highlanders c’est lui… Ryan Kankowski…avions déjà repéré l’animal durant la coupe du monde… une accélération du diable… crochets, puissance, vista… plante son essai en maître sur une interception en touche… Les Boks ont perdu Spies, disions là, because un raisin trop épais d’hérédité pesante, ont gagné Kankowski… de fond… Une bestiole très joueuse, inspirée, des cannes de feu, dans un match trés tonique en première mi-temps…
Les Highlanders d’Otago ont résisté faisant la course en tête, menant 14-3… puis se sont écroulés de justesse 19-17. Les Natal Sharks restent invaincus d'un poil.Le gus du match Sharks – Highlanders c’est lui… Ryan Kankowski…avions déjà repéré l’animal durant la coupe du monde… une accélération du diable… crochets, puissance, vista… plante son essai en maître sur une interception en touche… Les Boks ont perdu Spies, disions là, because un raisin trop épais d’hérédité pesante, ont gagné Kankowski… de fond… Une bestiole très joueuse, inspirée, des cannes de feu, dans un match trés tonique en première mi-temps…
Steyn réussit une pénalité des 55 m... bien meilleur au centre qu'à l'arrière çuilà... trés beau joueur, perçant, solide... prend les espaces mais manque sa passe en finition... dommage... Pienaar pas génial à la botte… Michalak sans intérêt pour un ouverture qui n’organise rien… l’Afrique du Sud, s’il était besoin, le révèle tel qu’en lui-même enfin… exsangue à ce poste… deux trois coups de pompes dans les bras de l’adversaire… comme dab… pathétique.
Devraient changer de 10 les Sharks... planteraient plus de pions avec les centres qu'ils ont.
Conseil pratique... sinon apodictique !
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07 avril 2008
USAP : LA PLAIE CATALANE
Toulouse sur la bonne voie
Un œil distrait mais suffisant avons jeté sur les pâtis du weekend Européen…
Un œil distrait mais suffisant avons jeté sur les pâtis du weekend Européen…
Pas de quoi sauter au paf ! Les Perpignanais sont nuls… nous ont rappelé un certain XV de France de jadis quand sévissait un quatuor qui restera dans les mémoires comme le pire de l’histoire du bleu monde ovaliste… Du reste, quand avons vu la trombine à moustache de l’entraîneur, avons tout compris. Même scénario que chez les bleus…
En première période, l’USAP domine devant… sont proches de marquer… Pénalité en leur faveur… au lieu d’accentuer la pression et de jouer la pénaltouche pour envisager un essai, préfèrent assurer trois petits points. Nous nous exprimons à ce moment précis: « Ils ont perdu !! » La suite nous donna raison comme toujours. Pas une attaque, pas de stratégie, rugby mou, nul, maladroit, exsangue… un club qu’on a déjà oublié.Côté toulousain, du mieux mais pas l’extase non plus. Pelous est bien Pelous, Jauzion un vrai platane comme le surnomment les journalistes.
Malgré un score sans équivoque pour cause de petite prestation de Cardiff, une entame tonitruante, belle attaque et vista du centre Fidjien, essai de Médard, première minute de jeu… Le reste du temps pas folichon… Il a fallu attendre l’effondrement des Gallois en fin de match, pour voir d’autres essais toulousains... Elissalde n'a pas de gros moyens, pas grand ouvreur... on sait ça, néanmoins insuffle un superbe essai en fin de match... Il a de la tête ce joueur, de la vista, on peut pas lui enlever ça... il sert Heymans parfaitement après feinte de passe, Cédric fait de même fixant le défenseur, pour envoyer Clerc à l'essai imparable... Trés belle action.
A partir de là, d'autres essais suivront pour la gagne méritée. 47-17 et place en demi finale.
Bonne retape à Fritz que nous attendons avec impatience. N'oublions pas Poitrenaud...
Toulouse reste ce qui se fait de mieux dans l'hexagone et peuvent faire si sérieux, la doublette.
Clermont-Ferrand ? en pleine bourre dit-on. N'avons pas vu.
Pour l'heure somme toute ennuyée, retournons au Super 14… le grand hémisphère de l’ovalie, pour un tout autre rugby.
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28 mars 2008
ESTHETIQUE ET CHOC
19 mars 2008
DES GAMELLES ET DES BILANS
Brêve revue de Bleus
Avons donc prétendu un bilan pas comme tous… l’item qui dévoile l’arrière boutique… le pas commun qu’on ose pas s’avouer ? La dosette à révélation ? Le folichon ?
Ben non, frères de luttes !!! Rien à venir de scoop… pas d’arcanes éventrées… de vestiaires espionnés… simplement un « disons tout », ce qui est là, sans ambages ni langue boiteuse, mais souplement pendue… sans plus… rien que les saveurs ne savent… que la réalité ne montre… que la vérité n’affiche. Pas d’extra, de trouvaille épatante… tout était là… sans mystère, yavait qu’à voir.
Disons alors uniment que le rugby Français n’a rien de mieux qu’un style modeste… la mine un peu pâlotte... tirez la langue faites Haaaaaaaaa !!! Pas la forme des grands combats... de super big players… pas de sortis du lot… de triplette transcendante à nous faire sentir que ces têtes connexionnées aux meilleures options, transpirent une vision systémique et coercitive autour d’une stratégie novatrice.
Par contre et comme dab, pléthore blablateuse… on essaye tout… on libère le jus… des petits frais sur pâtis… de l’envie qu’il faut redonner… Mais pas d’attaques dignes… pas de grandes envolées sinon individuelles, binaires au plus… un pack pas paquet soudé de huit… pas de grandes palpitations. La triplette a laissé grande licence aux joueurs pour s’exprimer !!! On a vu le résultat. Hors deux trois entités… Toulousaines pour le coup… pas grand-chose pour s’exalter… Faut du cadre bien structuré pour se laisser aller, un vrai système avec de vrais morceaux de choix que sous tend une vision globale, rassurante, fédératrice, comme anticipatrice, afférente autour d’un cuir qui circule vitement, se conserve, s’arrache, fait le lien entre chaque, univoque.
Bon, ont essayé dit-on… des gus de partout… fallait voir… tâter… mettre en acte… dans le bain tièdeux d’un tournoi des familles, rassurant...
Pourquoi pas !!! Mais ça cause trop… on sent pas la maîtrise… et puis sommes du cortex unique nous… pour diriger… le meneur sup… celui qui concentre… oriente… oui aux généraux, d’un général… sus au diffus, pour le féru, la directive avisée de l’entité monocordiale, savante, visionnaire. L’un pour tous en somme… même si en réseau connecté avec d’autres savoirs. Mais la vision c’est du propre, singulier, modulaire… jamais du commun.
On a vu donc… en vrac… épars… que de première ligne il n’y a pas… que sinon Nallet ya rien d’assuré… que Picamoles prometteur un jour, peut se détendre après…
Que Parra, de la tête, certes, mais doit travailler presto sa passe… mater Du Preez, sinon Phillips pour la vivacité de transmission…
Elissalde sympa, futé, mais trop lent et mou comme la limace Yachvili… faut plus le faire jouer çuila, ça sert à rien… très habile des pinceaux sans doute, mais vous ramollit un paquet d’avants rien qu’en lui refilant le cuir.
Skrela, sera jamais ça, plaque bien mais s’enferme, déjoue, pas de vision, c’est un bon petit joueur de club c’est tout… Trinh-Duc… sommes pas convaincus…même si du tonus. Beauxis nous semble plus posé, plus juste à ce poste… le seul qui nous inspire pour l’heure en dix.
Sinon pas de centres, grandes pointures… Sans Fritz pas de salut… sinon peut-être ce David… pas assez vu, mais nous semble prometteur… à suivre.
Traille et Jauzion ? Vraiment pas le pied… toujours le même jeu hyper lisible… Le platane comme certains journalistes surnomment le Toulousain, c’est du costaud, pas du beau, ni futé… le signifiant lui va comme un gant… nous n’y sommes pour rien… la vérité transpire même de la bouche des plus innocents… la poutre aussi… si voulez. Quant à Marty, faut l’oublier.
Clerc, Heymans, ce qu’il y a de mieux derrière… on y ajoutera pas.
Rougerie ? Peut pas progresser… faut le virer… petits exploits quand ya rien en face… mauvaise défense comme finition… pas de tête… d’autres à placer.
Malzieu… on dira plus tard…
Floch, bien pour du club mais pas la classe internationale. On sent ça comac.
En résumé, pas de Parisse, de Sheridan, de Martin Williams, de Lee Byrne, de Phillips, de Cipriani... de Castrogiovanni... dans nos troupes... Certes, pas une revue de toute la chambrée… on oublie du monde... c'est pas encore le 14 juillet... dans le fond aussi, on s'en balance. Pour nous esthètes de l'ovale module, le rugby ne s'arrête pas à la porte hexagonale... notre vaste territoire s'étend par delà le mol et le blou, le fol et le flou, et ne manquons de rien en d'autres hémisphères... ou d'autres moments, choisis, des coins d'icy.
Ce qui marque donc ? C’est que pour l’heure, pas de progrès… manque de piliers, de paquet, de zélés, d’affirmés… de grande nouveauté… de figures travaillées, imposées, pour jeu improvisé emballant enthousiasme et audace.
Alors que penser ? Faut zapper… en attendant l’été, et donner du temps au temps, qui attend son moment, regardant passer l'heure, les jours, les mois, les années...
© Le Pilier
17 mars 2008
TOURNOI 2008 : LA FIN
Bon alors ? Ok ? On veut son bilan ?… Son quoi dire, pour quoi penser définitif ?… Voire aussi son détail… anamnèse… forage… ses inductions savantes… les tous points délicats ?
Lundi, l’après tombée de fièvre, le tournoi terminé, on attend le diagnostic final du Doc la vista. L’expertise du seul immaculé tablier blanc Bonux & partial, l’hippocratique chirurgien des infirmités malignes que l’Homo Rugbylis développe quand le cerveau n’a qu’un rôle secondaire dans le fonctionnement du corps mouvant… qui l’air de rien, le savoir du tout, repère, jauge, expertise, préventive, annonce parfois, apporte beaucoup, observe et voit… pense, dit, dévoile pas tout mais saisit…ampute, cautérise, soigne, greffe, immobilise les contentions douloureuses mais encourage les celles d’esprits… le maître du bistouri qui anesthésie la sottise, le lieu commun, vous tond razibus l’élan moutonnier… vise, tient, isole la tumeur, dissout le tissu nave des plus chancres mous et vous réanime un dubitatif qui n’attend que l’éveil pour se lancer corps perdu dans la critique assumée et crier son petit avis !!!
C’est donc ça qu’attendez dans vos silences mitigés ? Qu’allons-nous penser icy de ces débauchées à peine hivernales d’après CDM, de ce petit tournoi vieille Europe où l’erratique enthousiasme n’eut d’égal que les mots ondulants pour l’insuffler, l’entendement muselé pour y croire ? Enfin disons qu’on pouvait s’attendre à tout et ne se pas tromper… comme ne rien espérer et se plaire au chiquer de rares envolées.
La cuvée 2008 n’a certes pas enivrée les boussoles les plus magnétiques, les bobines les plus dynamiques. Qu’une engeance petit bras s’exalte à la moindre échappée… au soporifico-barratino-suppo-copino-grata des zuns, us coutumiers démagos et rataves que les folliculaires légions se plaisent à diffuser dans des colonnes pas même vertébrales… au ridiculogos qui d’un rien veut faire croire au grand partage, élan, tout neuf, futur très sun, qu’une vessie est un phare d’Alexandrie, comme ici… au conseil préventif et répété : « Faut attendre, c’est un début… stratégique… tout voulu… projet ambitieux... du mieux... », que ce joli monde agite donc dans la mare ovaliste son petit croupion, égrainant coin-coins et gloses bruitistes, remuant la vase à sensations, on connaît !!! Et si en rien ce mælstrom spectaculaire ne vient perturber l’impassibilité monumentale du Pilier, c’est que le signifiant maître nanti de fondations profondes, n’a cure de ces dires aléatoires, possède tout un cortex indé, s’active à bien saisir
cette forme qui révèle le fond.
Qu’avons à dire de plus que n’avons pas exprimé ?
Ces petits détails qui font les grandes vérités ?
Ok ! A suivre donc...
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16 mars 2008
UN CHELEM, DEUX WILLIAMS
Deux joueurs en vue parmi les vainqueurs du grand Chélème… Martyn Williams l’un des flankers le plus flanker du tournoi... et Shane l’ailier le plus Williams des trois quarts, mais tout autant Williams que Martyn, marque le premier essai de l’euphorie… Martyn tout comme Shane, enfonce le clou, à la Williams, seul entre les poteaux et donne grand souffle au Pays de Galles.
Victoire Galloise 29-12 contre des Français dont on trouvera mille excuses pour ne pas les accabler quand une seule suffirait...
Les Gallois remportent le dixième grand Slam de l'histoire du tournoi...
Politiquement correct...
Pour l’heure laissons Gallois désaouler… suivra l’analyse des matchs du week-end…
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14 mars 2008
SATURDAY LAST FEVER
Encore un menhir à livrer
Pas du grand cru ce tournoi… peut dire ça ! Pas saoulés de bon gros rugby à ventre repu... à nous dresser l'échine... à faire mousser les copines. On est ici... pas au paradis.
Les Bifs nous plient mais sont inconstants. Nous mettent Cipriani à la place de Wilkinson pour attirer le chaland... moui !!!... ça fait un peu sauce à pudding pour relancer le marché... aussi loin que sommes concernés.
Les Irlandais n’ont fait qu’un beau match, certes contre une moindre équipe, les Scots… Le reste du temps ? On pourrait croire qu’ils n’ont plus l’envie… s’amusent plus ? Manquent de Perpetual Motion Food eux aussi ? Savons pas.
Les Ecossais gagnent les Bifs la semaine dernière ? Sans essai bien sûr. Une entente ? Ou pas ! Pense ce que dois… t’es assez grand pour ça… ou p’têt pas !
Les Gallois peuvent gagner le grand Slam… oui… ont bien débuté contre des bifs déjoueurs… pas exceptionnels non plus… Ont de bons zéléments quand même, mais trop parfois, manquent de jugement.
Les Zitaliens de Pizzaïolie… moui … attendent une petite victoire contre les Ecossais.
Profitons du fait quand même, pour balancer un bon gros spot sur le troisième ligne Sergio Parisse… excellent la semaine dernière contre les Français… fort habile, le Romain… une palme méritée… nous plait le gus… un grand vaillant. Le joueur du week-end dernier… un des meilleurs du tournoi.
Les Français ? Sont Français ! S’ils peuvent gagner les Gallois ?
Ya madame sommeil pour ça ! Et du folliculaire en veux-tu-voilà, avec blabla sur tout et même gratos en stock, du sus de n’importe quoi ! Comme le disions ici ou là.
Samedi le tournoi c'est fini... Saturday Last Fever sans Bee Gee... sans simili... ni biribi. D'la vraie châtaigne, du beau jus, urbi et orbi... vous prie !!!!
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