19 mars 2025

SAINT DENIS MONTJOIE !!!

Sainte Chicore, déesse du débat et de la controverse qui attise le feu du cogito, comme elle impose un duel où l’esprit se plaît à éprouver la souplesse et l'assurance dynamique de l’entendement refusant la débine. En grec d’autrefois on causait d’éristique. Assurant la tension nécessaire à l’exploration des idées, ordonnant une activité des plus salvatrices, elle vous informe sur la sagacité de l’adversaire en sus de mobiliser les atomes analeptiques porteurs d’enthousiasme, d’effervescence, de fermeté, d’euphorie, de jouissance, sinon de joie. Sa fonction revigorante annule le roupillon comme stimule l’argumentation en poussant chaque interlocuteur à affûter son raisonnement, anticiper les objections, ajuster les positions, tout en affirmant la singularité d’un style. L’échange devient combat, un noble corps-à-corps, où l’attaque et l’esquive élèvent les duettistes aux marches imposées du discernement. 
Face aux traits acérés qu’un rival peut lancer, on pare, on contre, on forge un verbe affûté. Là où pionce la raison dans un calme trompeur, le choc des arguments éveille, mobilise, active l’intellect. Sans lutte ni refus, la thèse s’amoindrit, mise à l’épreuve de l’autre, elle éclaire l’esprit. Il en va ainsi du rugby comme du reste !!! 
La noble entité qui gravite en ce lieu de confrontations n’est pas le dernier à provoquer souventefois le Pilier en duel, sinon même lui quasi déclarer la guerre !!!! L’a dit comac durant le tournoi !!! King Frédo, pour le bien nommer, voulant étendre son royaume jusqu’en nos champêtres relâches, maîtrise l’art de nous chauffer la carafe comme personne, par aiguillonnage ciblé, se prétendrait même premier éradicateur fervent du consensus mou... si on lui laissait la place !!! Des clous !!! 
Placage au buffet comme mise à l’épreuve des idées, mêlée comme dialectique en tension, mais aussi jeu de passes comme transmission du savoir... sa panoplie héroïque n’a d’égale que la passion qui l’anime et l’honorabilité de son auguste fondement !!! L’effet couronne sans doute… alimentant la dynamique de l’esprit chevaleresque kon se plaît à perpétuer icy. 
Grimper dans les tours pour lui renvoyer pierres, poutres, poix, sable rougi, pastèques et rigodons... fait partie intégrante de nos délicatesses, résultante classique des électives connivences que le rugby affectionne, joie en force partagée, composante des maturités... turbulence assurée !!! 
Le tournoi clos, des vapeurs lénifiantes se plaisent à costumer un armistice de bon ton, et La chronique de King Frédo s’impose là comme tentative d’apaisement. On s’y soumet... le temps d'un partage de pichets !!! Hé hé... © Le Pilier


Ke les échanges
de coups de canon..... ke le maniement des estramaçons..... ke les duels et autres coups de poinçons... entre duettistes aux fiers blasons.... nouza fait perdre l’essentiel en notre nom.... portons toast au Pilier de nous zavoir remis les pendules comme alignées... brandissons Excalibur pour le féliciter... l’aura sa nuit avec déesses et succubes attitrées.... car ke noter de la victory globale des Frenchies.... d’avoir cassé l’élan des Guinness oui.... d’avoir brandi la cup aussi..... mais... mais... surtout d’avoir beaucoup donné de joie... et même de la Joie... tout autant que rien à voir entre le petit autre et le grand Autre, tout autant ke big schisme entre ti’ sentiment passager et vrai rapport au monde...... 
Pas de blabla existentialiste ni de spirituel bouddhiste ni de détachement stoïciste (le détachement souvent prôné par ceuss k'ont échoué)..... la Joie comme fondement d’un sujet.... ki s’y constate... la Joie comme développement de la puissance.. la Joie du Surhomme.... Saint Denis Montjoie l’était not’devise de nous les Francs du Royaume..... voilà..... ben ont remis l’église au milieu du village les gonzes..... ont remis en place feu de la Saint-Jean com’ont fait rayonné lumière boréenne.... celle qui dissipe et éloigne les ténèbres des cosmocrates tarsiens..... Beckett lui suffisait d’une bougie éclairée.... on préfèrera tous les jours le solstice de l’été.... 
Le paradoxe venant que Cette Joie peut-être plus importante d’avoir paumé contre les perfides de l’Albion.... com la preuve d’une altérité.... d’une humanité.... Big Moustach l’a jamais cherché la perfection car y a toujours préféré l’intensité et les émotions.... 
© King Frédo

17 mars 2025

VICTOIRE ET KIFF

Voilà c’est fait !!! Les Bleus remportent joliment le tournoi du coin 2025, avec au compteur un bon nombre d’essais, 30 pour les compter... une domination bien réelle, un plaisir de les constater volontaires, solidaires, déterminés, avec cette façon de jouer bien singulière dont l’impact majeur est de mettre en panique les défenses adverses.Tous les adversaires l’ont évoqué, sinon exprimé, à demi-mots parfois. Un fait avéré. Certes beaucoup de choses sont à travailler, mais le champ pour le coup est ouvert aux possibilités de parfaire un style pour le moins sémillant… tel vécu en l’occurrence par votre serviteur, et probablement d'autres mateurs !!!!



Il est à noter, ici et là, quelques insatisfactions sises en des lieux divers de chroniques ovales, commentaires entendus aux alentours des tribunes officielles, papelardons d’outre-Manche, marris pour bon nombre, de l’injustice vécue par les Scots, concernant ce brimborion d’échauffement reprochable, que notre talon Peato Mauvaka s’est permis d’exprimer. On se poile !!! Un fait d’époque pourrions-nous dire. Chacun y va de son jugement… méritait un rouge plein pif le vilainon doit pas faire ça, c’est pas bienil a foutu un coup de boule… entérinant même certains rapports d’experts attitrés de chénou... si si… n’aurait pas dû s’en sortir avec un jaune au banc, ratiocinent-ils en cris d’orfraie cisaillant les esgourdes, pour se faire bien entendre des foireux. 
Foutaises !!! Faux partout… ya rien !!! Le Scot fait du cinoche ke sé clair comme l’azur estival… Peato ne touche absolument pas la tronche du coquin… preuve en est quasi, l’arbitre était Bif en sus, tout près, les vidéos étaient là, pas de quoi fouetter Mauvaka avec un balai !!! Dit en passant... le père Ramos n'est pas étranger au câlin... si on regarde bien !!!! C'est même lui l'étincelle qui fait monter dans les tours le talon !!! Du reste le père White galopait deux minutes après la carotte, comme un lapin de pâtis, ainsi que le soulignait justement une amitié d'ovalie.
Alors bon vi, un brin chauffé à blanc le gaillard, cé vrai… mais re-pas de quoi faire la soudure pathético-moralisatrice avec une condamnation radicale que les minus habens s’égosillent à faire valoir, dopés ki sont de moraline anti-matière naturelle, crapoussins du conatus, qu’ils estiment nécessairement lisse et nickel comme un lavabo sans poil de cul !!! L’élan vital en boite, la volonté en équation, la force muselée, l’initiative dosée, la gaffe anéantie, l'écart keu dans les clous !!!! Arggg... l’instinct cadenassé… ainsi leur antienne affichée au temple des bisounourseries immaculées !!! Pas d’woke au cuir, jamais, net et dit, allez faire les dindons au poulailler de la doxa des freluquets, à picorer ça et là tous les abats de votre peu !!! Bim et voilà !!! Vont bien finir par nous ébranler la tempérance fraternelle ces coquins de pousse-au-crime sans alcool, à force de tapiner chez Tata et de vouer aux gémonies le moindre faux pas !!!!
Si on cause de ça, c’est aussi pour mettre le doigt sur un tas de discours mielleux, incapables de se satisfaire du cruchon 2025… du moment présent, dirons-nous. On y reviendra. Pour le p’tit heur du jour ké là, on dit félicitations les gars, merci pour la bravoure, ona kiffé net, avec un ti sus pour cette troisième ligne du tonnerre de Zeus, menée par un François Cros XXL, des gros k’ont permis aux arrières de perforer les cinq nations, sans barguigner, fermement et correctement exprimé !!! Le Big Slam d’un poil saboté on s’en souviendra comme d’un trophée tiens !!! Bravo les Bleus !!! © Le Pilier

11 mars 2025

FORCE D'OUVERTURE

Uniment dit : Bravo les Bleus !!!! Sans la tuile de Dupont, à qui l’on souhaite bonne retape et figure soutien appuyé, la fête était complète. Quel match les gaziers, quel engagement, quelle volonté !!! Victoire imparable de l’homme tragique sur la logique d’un système rigide, qui certes a fait preuve ces dernières années au niveau résultats, mais bien en peine devant l’incertitude débridée sur laquelle le groupe volontaire des Bleus a su parfaitement danser. 
La vérité structurelle ébranlée, passée au tamis d’une unité autoritaire, fantasque parfois, audacieuse pour le moins… traversée par certaines déficiences, des imperfections, des passions, qui non contentes d’ouvrir le champ des possibles, activent ce phénoménal enthousiasme, affirment la vie dans toute son imperfection, aurait dit Big Moustache s’il avait vu ça. 
Les Bleus ont mené la joute de main de maître, le cristal de la raison mécanique s’est brisé comme espéré devant la résonance du marteau sur l’enclume de la forge, activant la flamme du devenir. Pas moins. Pour l’anecdote, notre bla du matin, cf précédente bafouille, préconisait un certain détachement raisonné pour apprécier pleinement la joute dans son ensemble. Il n’en fut rien pour l’avouer. Ou du moins, un temps, fûmes parfaitement disposé à valider la raison pure un brin distante, embrassant la totalité du pâtis, des gestes, des poussées, la défense de fer, l’engagement radieux des deux équipes, mais très vite la passion prit le pas sur l’impassibilité du constat. Sommes devenu totalement bleu de coq, d’esprit combatif, enjoué… le XV de France dans ses retranchements, nanti d’une fermeté inébranlable, nous modifia la posture initiale, imposa son soutien total. Diablerie kona kiffé !!!! 
On s’est dit rapido, c’est bon !!! Vont rien lâcher !!! Cros du tonnerre de cisaille, pour ne pas les citer tous, on devrait du reste, symbolisait la détermination du pack. Les verts pouvaient marteler pathétiques comme ils ont l’habitude devant l’en-but, le bastion Bleu semblait inébranlable. Étonnante cette équipe, comme on l’avait constaté en Angleterre malgré la défaite. Le retour du French Flair avions noté… il s’est avéré qu’il en est ainsi. Formidables ces gaziers, et ce malgré des imperfections pour certains en défense… pour d’autres aux foirades quasi systématiques sous les chandelles… des passes pas toujours ajustées… mais bondieuserie une solidarité à toute épreuve, des coups intempestifs, un désir affirmé. Dupont en une passe clairvoyante envoie la Bielle dans l’en but pour le premier essai, après un beau travail des gros… des cavales matoises, des figures inattendues… une course de Penaud irrattrapable après l’interception de Ramos à l'affut... toujours impec aux pinceaux. Même s’il n’a pas brillé, ce dernier n’en n’est pas moins une pièce indispensable de l’ensemble. 

Jegou, qu’on avait repéré brièvement lors des highlights du Top 14... graine de grand. N’étions pas surpris de le voir au centre. Autrefois, le flanker palliait le manque de trois quart… normal… sauf qu’on s’est dit immédiat, va renforcer la muraille. Ce qui fut. Moefana avait déjà bien fermé les portes, le rempart était assuré !!! Pis matois le gazier Jegou, plante son essai de façon ajustée. Beau joueur, sans doute aucun, avec de la tête… c’est patent !!! Bon... ya la Bielle de Formule 1 Biarrey qu’est épatant aussi, faut le dire… concentré sur son match le jeunot, plaque, galope, ti’ coup de pompe débordement… essai… bim transformé !!! Penaud, piskoné dans cette dynamique nietzschéenne, c’est la désinvolture nécessaire… pouvez rien y faire. Lui souffler dans les bronches pour son papillonnage en défense ok, mais n’espérez pas modifier son tempérament. L’a des cannes sup, une manière désinvolte de se mouvoir, de se placer… certes, mais contribue à générer surprise, opportun cavaleur, parfaitement adapté à l’ensemble. 
Cohérente cette équipe… skon en dit… affichant sans contredit que le tout unifié est plus que la somme des parties disparates. Du vrai rugby… achalant comme le beau diable celui par trop empesé que martèle tout crin ceux qui oublient la tête, au dé-profit du beau jeu. Une pensée qui s’imagine achevée se condamne à la stagnation, celle qui embrasse l’incertitude s’anime d’un mouvement perpétuel. Onavu ça !!!! Bravo les gars !!! © Le Pilier

08 mars 2025

INCERTITUDE PASSIONNELLE

Point nous chaut l’idéal de certitude, sommes enclin pour l’heure à la célébration du devenir. Se plaire à ne rien anticiper c’est conserver en soi cette fraîcheur appropriée qui dispose du réel sans en subir la charge en réduisant notre cogito à sa portion congrue. Le verdict émotionnel, où l’intensité ne sert qu’à alimenter la déception ou l’euphorie, détourne l’entendement et réduit le champ perceptif. Sous l’emprise des passions le regard se contracte, on ne perçoit plus que ce qui conforte notre attente ou trahit nos espoirs. La raison est mise à distance, on ne baigne pas dans cette totalité qui enchante par immersion profonde, nous révélant tous les aspects aléatoires du jeu. 
Un match c’est deux équipes qui s’affrontent. Constater l’adversaire, comme sa propre équipe, démultiplie l’ampérage phénoménale… l’ouverture lucide à ce qui advient, prédispose à cette intensité totale qui se déploie dans toute sa richesse. 
Ainsi, entrer dans un match en célébrant le devenir, c’est habiter pleinement chaque instant du jeu, non pas comme un supporteur avide de confirmation, mais comme un témoin éveillé du spectacle de l’incertitude. Savourer la tension d’un ruck disputé, l’ingéniosité d’une combinaison bien exécutée, la fulgurance d’une relance inattendue, d’une passe au cordeau, d’un placage appuyé, d'une possible génialité, sans que ces moments soient aliénés par l’attente d’un dénouement prédéfini... même si... !!!! Cette posture enchante l’expérience, car elle fait du rugby non plus seulement un enjeu, mais une offrande. 
Finalement, la passion exacerbée obombre là où la raison éclairée enchante. Car c’est dans la clarté d’un regard libéré des chaînes de la partialité que le match devient pleinement jouissance : non plus un simple duel à trancher, mais une œuvre en train de s’écrire, une danse où chaque mouvement est à la fois accomplissement, promesse, enchantement. L'incertitude passionnelle comme entéléchie irrévocable relie en séries et en systèmes les données de l'expérience, la fonction discursive de l'entendement calibre la vérité pénétrante de l'analyse à venir !!! Hips !!!
Ya plus qu’à attendre le kick off et souhaiter que les Verts comme les Bleus confirment le meilleur de leur jeu. L’affiche est prometteuse, la tension heureuse, la joute équilibrée… même si les Français ont largement de quoi faire sauter l’axiome inébranlable adverse, pour peu qu’ils s’amusent... en oubliant l’enjeu !!! Allez les Bleus !!! Arf !!! © Le Pilier

05 mars 2025

ESSAI DIALECTIQUE

Zavez tous compris… amener le King à jubé va à l’encontre de son principe même d’autorité !!! Un King c’est un Roi et ça fait skeu ça veut. Kon lui propose, sinon intime, par missive officielle, de descendre de son trône pour nous causer tournoi d’icy, de coller à l’actu en somme, de refiler même des conseils aux Bleus pour ratisser les Verts, peine perdue !!! Zavez vu, lu… la trônesque entité conçoit sans doute et encore le tournoi, courtois com jadis… se battre pour sa belle… son kiff majeur... heaume en tronche, haubert, baudrier, chausses en acier, lance et toutim... alors pensez, celui d’ici, de nos gaziers qui se remuent la couenne sur les pâtis d’Europe... foulant l’herbe aux crampons avec maladresse parfois, qui attendent quelque soutien des tribunes… pas un semblant de regard en coin ne saurait nous faire avaler qu’il y prête le moindre œilleton... la moindre attention !!!! 
Au dessus des nues, planant tel un noyau cosmique à l’orée des champs magnétiques insubstantiels, il nous tartine du symbolique rationnel, abstrait, par lequel la raison soit disant se libère de la servitude du donné sensible immédiat ki transcende l’espace et le temps… un truc comac kon n’est pas sûr du tout !!!! La belle affaire !!!! Les décrets amphigouriques de King Frédo n’auront d’impact qu'immatériel, autrement dit représentatifs... de quoi ??? Le rugby c’est pas ça !!! On essore le maillot, on plaque au buffet, transmet le cuir dans de bonnes conditions, joue collectif, en impro, on dessine des trajectoires intempestives, on suit, on transpire, on gratte, on s'arrache, on passe, on aplatit !!! 

Mais afin de faire revenir sa majesté dans le rang, affable koné… thérapeute un brin aussi pour la cause amicale, quand le cogito s’alambique dans les méandres des affabulations métaphysiques, on s’est amusé à baguenauder dans son champ spéculatif, histoire de lui faire comprendre qu’il est pas tout seul dans son coin dominant !!! Fonction première de la thérapeutique en somme, investir la glossolalie du patient, parler le même langage en somme, façon délicate d’activer un lien rassurant, voire, par ce biais figuré, ramener la bestiole au pâtis commun !!! Pas gagné !!! Mais puisqu’il est descendant du père Frédo Hegel, comme l’avez constaté sur la dernière vidéo, on lui élabore un ti bla à la façon de son aïeul qu’il affectionne tant... histoire de faire copain-cochon avec l'autocrate !!! 



Savez tous que la phénoméno de l’esprit de Hegel décrit le développement de la conscience à travers différentes étapes dialectiques, jusqu’à l’esprit absolu et ke si on transpose cette progression dans le contexte du rugby kon aime... on pourra causer dynamique collective, confrontation et quête d’une unité stratégique tiens, histoire de voir où ça nous mène. Organisons l'essai !!! Hé hé !!!

Primo la conscience individuelle... le joueur isolé. Au début, ce dernier est un individu brut, limité à ses propres perceptions et capacités physiques. Il apprend à maîtriser les règles du jeu et ses propres compétences techniques, mais il ne comprend pas encore le rugby dans sa totalité. Cette phase correspond à la conscience immédiate chez Frédo Hegel... l’esprit ne voit que ce qui est devant lui, sans recul. 
Deuxio on arrive à la conscience de l’autre kon nommera opposition et dialectique. Le joueur prend conscience de l’adversaire et du combat physique sur le terrain. Il découvre la lutte pour la reconnaissance (dialectique du maître et de l’esclave)... soit il impose son jeu, soit il subit celui de l’autre. Ici, le rugby devient dialectique... chaque action est une thèse, rencontrant son antithèse dans la défense adverse... et cette dernière est thèse d'une action à venir... ainsi de suite... 
On poursuit avec la raison ki déboule… la stratégie collective !!! Le joueur comprend qu’il ne s’agit pas seulement d’un duel, mais d’un jeu collectif. Il intègre la structure d’équipe, la coordination et la tactique. C’est l’équivalent du passage à la raison... l’individu cesse d’être un élément isolé et se fond dans une organisation rationnelle. On arrive pas à pas à l’esprit objectif... l’équipe en tant qu’entité supérieure. Elle devient une force unifiée, dépassant la somme de ses joueurs. Elle incarne une volonté collective, intégrant les schémas tactiques, les interactions, l’histoire du club, celle des pâtis tricolores ou autres… de la joie, du partage aussi. Dès lors le rugby rejoint le concept de l’esprit objectif... une institution qui dépasse largement les individus, comme l’État chez Hegel. 
Cerise enfin… l’esprit absolu... le jeu total. À son apogée, une équipe atteint une forme de transcendance où chaque joueur anticipe les mouvements des autres, où la stratégie et l’instinct fusionnent. C’est l’essence du beau jeu, le moment où le rugby devient art. Cette dernière phase rappelle l’esprit absolu, où la totalité se comprend et s’exprime librement dans l’action. 
Le rugby, comme la Phénoméno de l'Esprit, est une progression dialectique... il passe d’un état brut à une maîtrise collective supérieure, où la confrontation est un moteur d'évolution. L’individu doit s’intégrer à une totalité en constante évolution, jusqu’à atteindre une forme d’harmonie stratégique. D’une certaine manière on pourrait dire passqu’ on fait skon veut, com le King sur son trône, que le rugby est la phénoménologie de l’esprit en mouvement, où chaque match est une nouvelle dialectique entre l’être et l’adversité. 

Ça c’est du bla conventionnel… ya pu k transformer l’essai… hé hé… mais à Dublin faudra rajouter du placage ferme, et le suivi des avants… passque chez les Bifs onavu des retards au soutien, et les gaziers en vert excellent à gratter tout ce qui tombe, à ralentir les sorties, à rien lâcher pendant 80 mn. Ski manque aux Bleus c’est une paire de centre de haut calibre. Point faible majeur de cette équipe. Quoiqu’il en soit, kon se travaille l’entendement à bavasser dans l’aire raréfiée des synthèses métalogiques, faudra une couenne épaisse pour encaisser la horde irlandaise qui vise le grand slam, comme une troisième victoire consécutive dans le tournoi, chose que personne à ce jour n’a encore réalisé !!! Ça promet !!! © Le Pilier

03 mars 2025

RÉSONANCES DE SCHUMANN

"Ne vous laissez pas tartiner la cornette avec l’être et l'étant les gaziers, pensez nouvelle cohérence, si l’esprit est libre, le cuir se contrôle !!! La résonance associative et combinatoire de nécessité ontologique ça n’existe pas... mais s’imposera paradoxalement comme fait extemporané de la conscience acquise sans chichi par inception factuelle, l'urgence !!!! Et là paf... la référence goethéenne circulaire de conséquence fortuite ne sera plus qu’un épiphénomène synesthésique d’impact négligeable, le symbolique y pourvoira !!! 
Pour accoucher d’une cohérence paradigmatique les gars, faut y mettre du sien. Le dasein des saucisses teutonnes, ne doit pas empeser la cohésion du groupe… car koi ? Comment ne pas être présent au monde ? Quand l’adversaire veut gagner votre en-but et fera tout pour y parvenir, le tropisme immédiat prendra le relais sans même vous matagraboliser l'épigastre  !!! Yaura des pics spectraux, de toute façon, des perturbations ionosphériques... c'est normal !!! L'ordre harmonique sera néanmoins respecté, les résonances prédictives au piano forte sinon au violoncelle, feront de Robert votre allié !!!!
N’enfoncez donc pas la porte ouverte du concept husserlien monocorde, il a déjà fait le taf... et ça n’a servi à rien !!!! Oubliez-le !!! Si la réalité médiée vous pose un problème, sachez que les atermoiements polyphoniques de chaque sujet, agiront sous l’égide attentive et bienveillante d’une mélismatique que même ce foutu schème instable ne saurait contrarier, le Pilier y veillera !!!! ( Ça fait quand même plaisir, ona un rôle à jouer !!!!!) La vérité de l'existence activera comme jamais la rupture des attentes par stupeur conséquentielle !!!!!
La sensibilité forte de précellence innée par fonction apodictique calibrée, d’un coup d’aile de pigeon marquera le pas, si et seulement si, la complexion métempirique par accrétion représentative, que tout le monde redoute, ne vient pas foutre le bordel dans la compréhension subjective du but recherché !!! 
Ne pas turbuler dans le camp adverse en revenant bredouille. Allez les gars, zavez pigé le message ? Tous au baston… en avant toujours… force 9, sans retenue, ni calcul discriminant !!!! C’est clair ???? "

Si vous n’y entravez rien, pas d’lézard sommes là pour vous éclairer. En sus de vous livrer ci-dessus le discours éventuel de vestiaire du King aux commandes de nos Bleus avant la joute de Samedi, pour bien les motiver… on vous figure en images ce que donnerait sur le terrain une telle envolée roborative…. en vidéo ci-dessous. Vous y verrez son aïeul Frédo Hegel en capitaine du temps jadis, kan il mouillait encore la redingote, dont le King est resté totalement admiratif, qui a grandement organisé ses connexions premières et fondé sa philosophie ovale !!! Transposez-le au méta-rugby que vous affectionnez, et vous aurez en substance brasillante la teneur, le style, la pertinence dés-affectée, l’empirique fractionné, transcendant et ontologique de la rencontre que nous attendons tous avec espoir non semelfactif !!! Si nos Bleus se ramassent à Dublin, c’est que La Chronique de King Frédo, ci-dessous apparente in extenso, parfaitement authentique, simple et pragmatique, n’aura pas fait son boulot !!!! © Le Pilier 


Pour conclure ti nodule de clausule de notule...... tout symbole est fonctionnement, il n’y a que du progrès dans le Symbolique,  pour un des pères des chocolats viennois toute opération symbolique en suppose d’autres comme fondement, le symbolisé est toujours çui d’un niveau inférieur, y’aurait donc un symbolisme originel, premier, archaïque, ké pour lui l’Archè, l’Angoisse koa.... l’hêtreélétang nous les brise pareil avec l’Angst dans la découverte de l’existence authentique, serait icy le moment le plus radical comme accouchement du Dasein... ferre ensuite l’Erstaunt mais (com souvent ?) lève pas le filet..... bah oui si le Dasein instab, imprévisib, ki se donne uniquement par l’ouverture, par l’irruption de kekechose de neuf forçant le sujet à chausser des nouvelles lunettes sur sa réalité (toujours par lui médiée).... n’évoque-t-il pas sans s’en rendre compte lui-même la fameuse surprise..... qui syncrétise de manière bien plus sympa tout à la fois l’Evènement et l’Etonnement, et sans passer par l’Accident !!!! 

Après oké on déroule.... focus sur la vérité de l’existence..... perception de l’authentik..... réaligner..... repositionner..... et que ça soit ou pas nécessité ontologique n’a aucun intérêt !!!!! Observons la référence goethéenne circulaire en conséquence, où l’émotion esthétique passe souvent par une rupture des attentes, par un moment de stupeur ou d’émerveillement – de surprise koa – ki alimente l’esthétique la nourrissant en retour..... 

Le pitch final ké où le bouton de la sonnette ??? résonance means amplification..... distorsion..... démultiplication....Comment on la déclenche ? en associant... en combinant... l’efficacité et la beauté ou la puissance et l’élégance ??? non, plus fin, un savoir et une saveur, le Beau et le Vrai..... tiens le Pilar qui fait rimer Ethik et Esthétik tout à fait de propos kon lui attribue les palmes zacadémiques.... crazy Spencer faisait vivre le cuir le faisant rebondir avec ses genoux ou d’une aile de pigeon..... changeait les classes d’utilisation de son corps pour aller toujours plus loin toujours plus en avant..... pour accoucher de quoi !!??? et ben d’une nouvelle cohérence comondirait nouveau paradigme...... la surprise naît donc des conditions polyphoniques apparemment disjointes que chaque sujet, seul ou en bande, se plaît à développer...... dingue on arrive pas loin de la mélismatique chère à Mister Prop..... 

T’es bien gentil Frédo.... mais t’oublies quand-même que toussa dans l’urgence.... avé des ro’méchants qui veulent te découper...... regarde Richie.... y’avait des tonnes de gonze qui voulaient litteraly lui arracher le portrait..... haha !!!! T’as pas compris kicé le bô McCaw.... c’était juste un grand sensib..... au sens étymo comme le concluait Clausewitz encore..... la sensibilité forte cé pas ce kon croit..... cé pas égal aux émotions fortes, cé conserver l’équilibre sous le coup de ces émotions les plus fortes...... on reformule la sensibilité cé, malgré la big storm force 9, intérieure com’extérieure, réagir toujours avec la même subtilité.… © King Frédo