01 mars 2011

DU GREVISSE AU GREVIN

 "Romantic Lievremont got it wrong.
How many years will it take French coach Marc Lievremont to decipher the difference between romance and reality? 'The Caveman' might light up the billboards but at Twickenham, he was more apparition than star attraction" etc.

Hé hé... bagatelle extraite d’une petite chronique Anglaise transmise par un pote... en substance c’est du quasi nous, à quelques signifiants près... between romance et reality... on aurait plutôt dit bitouine plâtre, béton, ciment, mortier et réalité nous... mais les Bifs c’est connu, ont plus de tact que le Pilier... Arf ! Question, how many years ? Là on lui répond sans crainte,
jusqu’à libitum mon petibonum !!!
Du reste devrions revenir sur cette notion ridiculeuse s’il en est « d’impact player » ! La figure la plus crétine de ce dernier lustre !!! On en causera later. On pourra apprécier le « light up billbords »... bougie Grévin... mais le cousin n'est p't'êt' pas au courant... ignore not'e propension au panthéonisme Disney qui modèle des poupées de cire ne sachant faire qu’un son : Paf ! Sinon crounch... grrrr... ga !
Jamais dans l’histoire du rugby n’avons vu une telle absurdité sur un pâtis... dont la notoriété frise l’indescence au regard de cette figure moult fois rapportée, visible on youtube, qui a pathétiquement contribué à ce délire édifiant. Quand l’empaf brise la machoire d’Ali Williams... bouche en sang.
Pas ça le rugby !!!! On aurait viré cette vidéo du net nous... degré zéro ! Au-delà de la dialectique expressionniste, guerrière, pratiquée en ce lieu, ou ailleurs, à des fins colorées, sinon ludiques... le rugby n’est, ne sera jamais, filer de grands coups de boules à l’adversaire... percuter comme un sourd sans soucis du collectif. Voir foncer un gazier bien droit dans un mur défensif... systématiquement, sans jamais de never tenter le moindre évitement, la moindre transmission de cuir, n’est certes pas un exemple pour nos moutards. Au-delà du gonze à proprement parler, le symbole investi par la meute populaire nous éloigne encore un peu plus des grands pâtis et partant contribue à la mise au rebus de ses valeurs fondamentales. Du Grévin certes, pas du Grevisse... Arf !!! Chabal ne sera jamais cité en exemple dans la grammaire du rugby. Hips ! Sinon dans la colonne, anti-rugby pré-hystérique. Celui des hommes caverneux à poils drus, matant inquiets des ombres dans le fond de leur bauge, enchaînés à leur ignorance, qui n’accèdent jamais à la lumière du jour. Ach !
© Le Pilier