18 juin 2007

FLORIAN FRITZ AU REBUT...


Deux Princes oubliés,
quatre staffylos confirmés …

Pas la gomme Fritz ? Pas de jus ? De cannes ? Des nougats ? Florian ? Pas la frite ? Fritz pas le turbo ? Lui le meilleur Français à son poste ! Un coq dominant sa poulaille ouais… qui vous file le grand frisson dans l’intercale… La classe… Le coup de rein… La vista… (Savourez si voulez ce parfum d'audace) La passe… Solide, jeune, fort au carton, un grand ! Un roboratif dans un ramassis de STAFFylocoques…Une perle toulousaine dans la bauge des ANTHRAX ! Un prince Jolithorax… Aussi la brochette de cocottes anémiques, insanes, exsangues, Labinocle, Mazette, Nanard et Jacquy la Brunette, ne sait pas comment gérer cet animal trop subtil, élégant, racé… jalousent sa DOMINANCE et, comme tous les médiocrates en place, sabotent l’autour prometteur pour se venger de cette misère qui leur colle au croupion, aux sabots, au pyjama… Les zodieux… les fourbes… les vils… les zingras… Tartuffes… Dissolvants… Rognons… Orteils à peine… Fricots… !!! Mâches rata !!! Pouah !
Patience Florian, Neil Back, l’emblématique flanker et super Bif, fit lui aussi les frais d’occiputs au formol avant l’arrivée de Sir Woodward… au rebut comme toi était mis… on connaît la suite… Nous qui aimons le grand style, la passe élégante, la feinte, la tête bien faite au jeu… Sommes servis avec en sus la mise à l’écart de Castaignède... No comment !


Alors, peu surpris, que dire de plus devant ce quatuor d’entraîneuses sinon que le rugby ne s’arrête pas à La Porte des bleus… à contrario des balourds, des fadaises, des tantes Odile (même si Odile n'y est pour rien...), des volailles à court-bouillon qui aux murailles inébranlables de notre entendement caquettent ou finissent au plat.
© Le Pilier

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