09 septembre 2009

BLOG SYLVAIN MARCONNET : LE GROS PIED !


Du rugby hyper décalé
Un tout new... bien beau frais Blog rugby... sis en tribunes du Monde vient de sortir du ruck.
Un Blog de vrai pilier, pas des moindres, des internationaux pâtis, vaillamment alimenté par un sympathique gazier, joueur connu de tous, jouteur émérite, fort de rein, quia manqué la dernière CDM because maladroit des patins zalpins... mais un gonze au palmarès plus qu’honorable, bourré de sélections EDF... une figure majeure de l’ovalicontrée des clochers... structure fondamentale d’la panamienne mêlée, membre incontesté de la première ligne du Royaliste Stade Français... bref un homme qui en connaît... un authentique Sylvain Marconnet !!!
Gageons qu’avec Serge Simon, ancien pillar du p’tit royaume, pOète hyper audacieux comme nos gâteries en témoignaient, (cliquez ici, en haut à droite, selon, pour bien rire dans les foyers, avec de vrais morceaux d'extraits)... ils nous ravissent de leurs plus beaux témoignages, vues, considérations, spécus... sensiblerie, fib'e émotionnelle... tout ce qu’on ne sait pas, qu’on ne voit pas, tout ce qui nous échappe... plus précis, tout ce qui travaille un cortex de pro bastonneur quand il en a terminé avec le joug, qui s’enquille son moment confidence après sudorifique poussette en mêlée... bien fermé (le moment) !

Son Blog ? « pilier décalé »... hé hé... en effet... un programme annonciateur de merveilles, nous fait part en son avant dernière bafouille de justement comment rebondir après l’échec. Tout nouveau ça !!! Rebondir !!!! S’il n’est pas prisé ce phonème aléatoire. Ça rebondit beaucoup et de partout de nos jours en effet, dans toutes les coins, les milieux, mais ça finit toujours au même endroit... le pavé !!! Imparable Newtonienne loi , Marconnet ne dérogera pas à la règle... vous démontre qu’on peut  
causer de rien, sans dire grand chose... et que même s’il ne balance que des banalités vous file quand même la recette pour les exprimer. Ouach !
Question rebonds en effet c’est gagné... vu la prestation du week-end dernier... trop bavasser son rococo c'est ramollir son cuissot, c'est perdre son jus à balancer du flan, du vent, de faire sa coquette ! Fallait saisir, lire entre le soc, la charrue et les lignes improbables que la vacuité dessine.!!!

On vous invite donc à découvrir ces en-cas de formules ressassées... cette planche charcutière de poncifs... ce plat ordinaire d’insignifiance... ces desserts d’évidences... bref, en somme partageuse l’intime d’un gonze impavide au pré comme devant le clavier. Bienvenu dans la communauté des Blogs cher Sylvain, qui nous en rajoute la couche de vide néant, propre au sportif de Top niveau... sous pré, où la remobilisation du mental passe par de vrais moments d’autocritiques, (sic) hé hé .... en solo puis en groupetto...(soc) ho ho !!! Où le partageur ciboulot vous balance franco ce qu’il a de plus anodin, la baveuse ce qu’elle possède de plus lieux communs... où  l’art de ne rien dire en est désormais un !!!! C’est ici, en un clic savourez les banalitudes du solide penseur... ouisp !!!
© Le Pilier

07 septembre 2009

TRI NATIONS / FLAN OU SURSAUT ?

21-6 pour les Wallabies... Ok ! Bonne gestion, évidente stratégie, mise en scène attendue ? Flanby ou sursaut des Kangourous ?
Hop hop ! Sûr que si les Boks l’emportaient yu pu zu masse de gaziers pour mater la suite. Alors on régule, on conserve une semblitude de suspens... on augmentative la pressionite... on se figure du best, on modulationne notre appétit... en somme on se dit que les Blacks avec bonus lors des deux dernières bastons pourrons encore remporter les tri. C’est bien fait, bien mené, possiblement vrai, monnayable... d’une certaine manière inévitable. Les Aussies ont fait beaucoup moins de fautes, les Boks idem... quand on se bastonne moins on s’emporte moins, la copie est plus lisible, on y croit, le match du reste était agréable même si peu d’essais. Alors ? Propos délirants du Pilier, veut pu croire tout ce quié là sur le tabulaire écran ? Le carafon surchauffe ? N’a pu sa raison ? On ne la lui fait pas ? Pète un plomb ? Beni oui non ?
Pas de réponse péremptoire pour l’heure, sommes pas dans les arcanes... laissez donc cette possibilité au placard si voulez conserver vot' p’tit heur et considérez simplement que le Pilier en niant d’un trait souverain ce hasard bienfaiteur ne saurait en rien écorner la vérité du pré, détourner les ceuss qui croient encore total mordicus que la baston c’est toujours réglo. Ok ! Donc...

Le pâtis rien que le pâtis.
Match agréable, du sérieux chez les Aussies... de l’envie, moins de fautes, plus soudés, plus joueurs et deux essais à la clef en seconde période après deux précédemment et justement refusés.
De beaux placages aux jambes aussi, à noter, sinon aux chevilles, qui font tomber les plus gros gabarits comme une enclume sur un flan. Giteau nous a gratifié de cette figure, démontrant par le fait son hyper efficacité. Le placage aux cannes, chevilles, est imparable... n’apprécions pas vraiment ceux trop hauts, limite dangereux, trois gaziers sur un seul paltot... même si le prétexte est de subtiliser le cuir. Là, pas de bavure, tu te jettes comme un sourd aux chevilles, ça dégringole immédiat même le plus gros, sans bobo ni choc poitrinaire mauvais pour l’abattis sinon le cortex.
Maintenons que Barnes devrait passer à l’ouverture, même sa passe est celle d’un ouverture... semblable à celle de Larkham... longue, plus à l’aise avec de l’espace le gazier. Giteau fait n’importe quoi au pied, n'organise pas vraiment... serait mieux en 12.
Les Boks n’ont pas su contourner cette défense Australienne ciselante... acculés par une faim dévorante de cuir... ont même reculé en mêlée fermée... surprenant !
Dominateurs comme toujours en touche, de belles percées sans aboutir, des fautes lourdingues quand même, cf cette jetée de cuir de Du Preez n’importe où, qui occasionne un essai...
Agréable donc mais pas super cette rencontre... pas de génialité en attaque... gageons du mieux contre les Blacks en fin de semaine pour une vraie de faussement réelle quasi finale ? ACH !
© Le Pilier

05 septembre 2009

AUSTRALIE VS AFRIQUE DU SUD

Last ? But not least ?
... Midi le juste y compose de feux, la mer, la mer, toujours recommencée !
Les tri les tri à ne surtout pas manquer...
C’est p’têt’ même ben la dernier fournée !

02 septembre 2009

SANS COMMENTAIRES

Non pas qu’il nous en chaille de nous claquemurer en un virtuel donjon, monologueur forcé, anti copineur... voué au seul taf, consigné à distraire nos girondes muses de bel esprit, sans regarder l’autour... mais bavasser de XV avec méconnaisseurs n’alimente qu’ennui, affecte même notre appétit... autrement dit, s’enquiquiner not’ p’tit heur avec des palabreurs de seconde main n’est jamais bon pour le maintien.
Si clopinons les cimes en nos solos Zeppelins tel un pâtre soucieux menant ses troupes aux pâtis plus épais, nourriciers, denses, plus gras, c’est que le jeu nous amuse, le geste nous plaît, que le rugby en acte mérite une dialectique à sa juste mesure. Respect donc au jeu, à notre invisible lectorat qui se poile, bouillonne, nous gratifie parfois d’analyses pertinentes non dénuées d’humour en des lieux privés.

Pour répondre donc à la question posée dans l’antépénultième bafouille quant à l’ouverture de nos commentaires en notre phénoménal Blog es pâtis, (Cf : l’impénétrable bastion du 27 Août) rassurant par le fait ces liseurs fidèles nous conseillant de ne rien en faire, répliquons tout net, un NON sans équivoque :
Pas de commentaires chez le Pilier !
Il y a suffisamment de lieux ouverts pour balancer son avis. Le cyber monde est bien fait il y a de la place pour tous... à chacun son style, sa mesure, son pré.
Bien à tous.
© Le Pilier

29 août 2009

SPRINGBOKS SANS FAUTE


Leçon de choses
32-25 pour les Sudafs, avec du jeu, des essais (sept en tout) , un pack d’une densité imparable... des Aussies largement dominés en première période, vaillamment revenus dans le match sous l’impulsion notamment de Giteau auteur de 20 pions dont 10 d’essais pour talonner d’une longueur les Boks.
Mais trop tard le réveil... les Sudafs avaient pris de l’avance en livrant une leçon technique à la planète rugby. La maîtrise des avants est incontestable... soutien sans retard, très soudés, cocottes et rucks dans l’axe, hyper opportunistes et parfaitement réglés en défense. Fini la débauche d’énergie inutile, tout se joue autour du cuir, au plus près du cuir, pour le cuir... et là, pas photo. Un vrai festival durant la première demi heure... surpuissant les gaziers, du grand rugby avec des trois quarts lancés par un Du Preez phénoménal qui plante du reste un essai sur pénalité vite jouée au milieu de quatre où cinq mastards bluffés par son culot. Chapeau l’artiste. Quelle vista, pour récupérer le cuir en l’air, éviter une sortie en touche, combiner avec Habana, botter dans l’axe très up, orienter le jeu... d’aucuns diront qu’avec un tel pack protecteur c’est un vrai régal. Pas faut, mais ça ne minimise en rien la technique du gonze sans contredit le meilleur du monde à ce poste.
Avons apprécié une belle phase sur touche en quasi fond saisie par Burger, les deux lignes d’avants forcément se scindent en deux, Burger en l’air transmet le cuir à Du Preez lancé qui traverse l’alignement ouvert et pénètre la défense adverse... bien fait.
Toujours la même histoire au rugby, pas d’erreurs, facile de résumer ce match et livrer le pourquoi d’une telle domination des Boks. Pas une seule faiblesse dans le pack, hyper soudé, très présent dès l’entame. Pas le cas des Aussies souventefois en manque de soutien... transmission vive de Du Preez...
des trois quarts toujours lancés
quand ils reçoivent le cuir...
le B.A.B.A du rugby !!!!!!!!

Des passes plus précises que celles des Aussies à l’instar de Giteau qui devrait surveiller son geste... trop souvent mal ajustées ses passes. Continuons... une défense montante efficace, du suivi, du collectif, des phases sans doute travaillées à l’entraînement vitement et parfaitement exécutées (Cf : l’essai entre les perches de Jacque Fourie hypnotisant tout le monde... idem celui d’Habana).
Les Boks vont plus vite que tous, sont collectifs,
très techniques,
(on ne voit jamais ça chez nous... sommes à des années lumières de ce rugby là) récupèrent le cuir après placage sur leurs appuis comme personne, peu de fautes de mains... travaillent sans aucun doute énormément la vivacité, relâchent, récupèrent vite, sont très toniques, se livrent au bon moment... peu de perte d’énergie. Ont beaucoup moins tatané cette fois, savent planter des essais quand nécessaire... 4 pour cette rencontre... 1 point de bonus offensif... premiers des tri avec neuf pions d’avance sur les Blacks. On voit mal comment la cuvée 2009 pourrait leur échapper.
Merci pour la leçon... ya plus qu’à faire pareil !
© Le Pilier

WHO ARE YOU


Rien à voir avec le rugby sinon la dynamisante énergie. Avant Australie vs Afrique du Sud 12h tapantes... lecture du Gai Savoir... quelques mesures des Who, un jus bien noir, série de pompes... sommes dispos de la tête aux pinceaux.
© Le Pilier

27 août 2009

L'IMPÉNÉTRABLE BASTION


Quotidiennement des gaziers pleins d’enthousiasme nous taraudent le caisson pour qu’en un geste obligeant openions enfin les commentaires de notre monumental Blog. On veut poser sa griffe en nos lieux, livrer salades, opinions, bavasser son brin, son flou, humorales views ? Encenser nos biceps, encourager
le super gonze des pâtis
seul vraiment capable de balancer du jus vitamine dans cette ère par trop démago mollasse, bambine & décadente, voire même pour les plus farouches, critiquer la teneur de nos bagatelles,
planter au buffet le mastard ? Pas moins !
En somme, on veut investir l’impénétrable bastion pour sentir mieux l’effet dynamisant de son architectonique polemos.
Certains plus rapprocheurs encore, voudraient de plus copiner... qui boire un verre entouré de gisquettes nôtres, qui croquer du cuissot tournebroché, qui mater du XV à nos côtés dans une tribune choisie... qui même nous étendre au sun d’un yacht flottant sur reflets d’argent... si si ! A l’instar du Président Répu de notre tricolore village, on nous a même proposé une ondulation d'abattis, tongs aux pinceaux, crème aux dorsaux, sur une barque océane afin d’échanger propos divers, en dégustant liqueurs toutes sortes, servies parait-il par d’amples rondeurs, finement vêtues, épatantes, désireuses de nous mieux connaître,
de nous voir en chair.
Ouach !!!
Bref on nous veut coloriste d’un quotidien apathique, hâbleur intempestif, happy drille, rare capable d’embraser le prosaïque ennui, faire germer en couches nouvelles pinèdes verdoyantes sur terrains recomposés, divers, intellectifs.
Pas faux toussa. Même si un rien débordant, on reconnaît dans cette ébauche laudative de récurrentes vérités qui sans nous atteindre aux articulations comme au bocal, n’en sont pas moins amusantes.
Ouvrir donc les commentaires du monumental Pilier ?
On se gratte parfois... on oscille il est vrai... on suppute... tâtonne... à nous tomber directement sur le râble peut nous entretenir les cannes en effet, les rendre plus fermes, plus feinteuses, plus grosses, même si notre Blog ne recherche en rien l’audimat, se tamponne du plus, s’enjoue pour tout dire bien more d’affinités subtiles, d’esprits pénétrants si rares, que de records Guinness. Less is more, là itou !

Et puis comme l’avons répété, pléthore de Blogs petits gabarits permettent ce genre d’échanges, suffisent nous semble-t-il à balancer opinions plus zou moins curieuses, pertinentes un peu, drôles parfois... mais aussi naïves, trop
souventefois
sans jus, à l'instar du Blog salade de nos deux Niçoises. Quatre mains pour tenir un cuir démontre l'adresse des gazières, leur audace, leur courage, assurance, esprit d'aventure, moyens... premier Blog cependant national des clochers ça se travaille, on avoue. Faut aller faire son petit marché, déposer ses légumes au panier... patates douces, herbette à l'huile, cucurbitacées, margarine, poireau, pâtes à l'eau, démago. Jamais de carne, de Tabasco... pas de gigot. Aucune châtaigne ni marron frais... de franc parler... pas de sanquette, de sangliers, de plats gourmands... bref aucun piment, rien de vraiment solide à glisser sous la dent. Le fade c'est d'l'audimat,
le super plus, le goutu
c'est du rare et pour les seuls viandus...
bien connu.

Mais la pression est telle que la question se pose ici. Quel sésame inventif ouvrira les portes de notre singulier pâtis ? Quel intérêt pour nous de mieux connaître cet invisible lectorat, de toile insondable, qu’il nous plaît à imaginer pour la meilleure part, sans doute râleur, mature, probe, sémillant, curieux, ferme et délicat, goûteur de pralines, de bottées, de calottes, que nous saluons pour le coup, à qui modestement nous nous dévouons ? La réponse reste flottante même si la raison ferme. Abaisserons-nous le pont-levis de notre impénétrable bastion ? A suivre ?
© Le Pilier

25 août 2009

SANS RANCUNE


Désabus exprimé, avalé, quasi digéré. Comme n’avons que ça à nous mettre sous les canines on va pas non plus boycotter le seul tournoi qui nous astique l'occiput. Faut savoir ronger son frein parfois et puis les gaziers bouffent tant de cuir qu’on ne peut pas leur demander de pondre la Sixtine à chaque prestation. Sommes bon zig, pardonneur pour l’heure, attendons la fin pour balancer du bilan solide. Soyons magnanime, galamment de la tour Nîmoise à l’arène prisée des Dieux, la seule qui entretienne l’abattis, dynamise vos conduits... le suprême grand pâtis... du XV. Et puis les Boks nous ont gratifié de belles séquences contre les Lions, comme durant la finale indépassable du Super 14, la palme de Mai avec les Super Bulls.
On apprend de plus qu'Habanna ne vient pas s'amollir chez nous et reste en Sudafrique... bonne nouvelle, de quoi nous rassurer.
Samedi donc retour des Springboks chez les Aussies en plein midi. Ces derniers vont tenter de remporter au moins une joute pour pas baiser Fanny... qui dit en passant n’est pas le pire des supplices.
© Le Pilier

23 août 2009

TRI NATIONS : LA DÉPASSION


Trop de matchs,
trop de pompes,
trop de fautes,
trop d’ennui.

La cuvée 2009 des tri ne restera pas dans les mémoires ni sous les palais. Anti capiteuse, anti zèle, anti ivresse, anti joie, anti tout. Plusieurs scénarios possibles pour déterminer les causes d’un si petit niveau. Florilège ci-joint non exhaustif. Faites votre choix, soumettez-nous le vôtre si ça vous chante.

First : 9 bastons c’est tout much, ça tue l’intérêt, la dynamique, la vie, les zéquipes s’économisent pour durer...
Second : Les Aussies sont pas géniaux, c’est un fait... les Blacks sont sur le déclin... équipe vieillissante. Sinon comment avec quasi la même team d’hier oublient leur rugby de mouvement, font des fautes en veux-tu, tatanes comme jamais, ont de la vaseline dans les pognes, font des en-avants, des fautes tout le temps ?
Ça nous fige... Henry voulait moins d'arpions, moins de rendu de cuir... se plaignait même récemment sur Bibici de la tactique des Sudafs... Pack, défense, pompes... On se marre !!! Pourtant des rendus y’en eut plus que de raison... à l’instar de cette pine de Black Donald, alors qu’ils sont menés à cinq minutes de la fin du match ce dernier renvoie le cuir en plein centre, dans les bras d’un adversaire pour remettre les Aussies dans le jeu !!! Stupide et crétin... pas rugby la gagne, pas d’audace, petits bras gros zarpions voilà tout... rien dans la carafe.
Troisième raison. Les Blacks laissent couler cette année. Les Sudafs sont gros et forts... vont pas forcer les noirs, ça redistribue, pour le biz c’est bonus. Année sabbatique en somme. Pourquoi pas !
Quatrième : La dope use l’abattis... les Blacks sont cuits... Rokocoko n’a même plus de cannes... les cuissots sont morts. En sus ça ronge le cortex. Matez ce que Sartre Popol nous za pondu en suçant des amphétamines !!!
Du flan de logorrhée !!!

Font des erreurs stupides... à l’instar d'Elsom (la tof) dans les premières secondes du match, devant l’arbitre, comme un bourrin, fonce sur Mc Caw en l’air, pénalité... pareillement en touche s’est fait coincé le gazier... connaissent plus les règles ou quoi ? Ravagés des neurones ? La poudre de perlimpinpin n’est pas bio ?
On causera pas de Mc Alister qui s'explose la chetron deux fois tout seul, coule du raisin, un œil au beurre black, en percutant n'importe comment, solo, idiot du ciboulot. Trop dopé le gazier, voit pas l'obstacle, se croit panzer, en acier ?
Cinquième raison : Veulent plus se la donner tout le temps... vont en Europe, s’holidayent, perdent leur jus, pensent à l’artiche et basta.
Sixième raison : Le rugby c’est du spectacle définitif, faut gérer les flux, faire croire aux neuneus qu’il y a vraiment de l’enjeu... on cause Bledisloe Cup, on invente des trophées, c’est du ciné... ya des stars, un metteur en scène qui écrit le scénar avant le match... l’arbitre gère en balançant des pénalités parfois douteuses et contribue au suspens.
Septième : Nos bleues cocottes avé leur rugby d’icy, anémié, aboulique et bras petits ont refilé la grippe aviaire aux Australiens pâtis... Où les Français jouent, ça fout le blues partout.
Huitième : Le Pilier délire total... trop chaud sur le caillou, cuit de la carafe... s’est usé les connexions, a trop chanté Fernande, Félicie, Eléonore... est hanté par Lulu... a perdu son jus. Ouach !!!

En somme rapido-vrac, les Blacks gagnent 18-19 sans convaincre... un try only... les Aussies retrouvent leurs vieux démons... ne savent pas organiser une attaque digne de ce nom... 18 pions de pénalités ! Pas beaucoup mieux les Blacks... c’était mou, très lisible, hyper ennuyeux... des fautes à satiété. Du mieux avec Carter quand même. Robbie Deans vire Barnes on se demande pourquoi, blessé ? N’avons pas saisi. Bref un petit rugby qu’on aurait cru d'icy. Un comble, une gabegie apocalyptique, une fin du monde atomique,
une grÔsseu catastrophe. Reste plus qu’à pécho la grippe en automne et dodo ! Gasp !
© Le Pilier

21 août 2009

DE LA LUZERNE AUX GRANDS PÂTIS


Reparti les tri !
Enfin ! Quinze jours non stop sans XV entouré d’un quatuor de plantureuses, ça vous surblase un peu l’abattis. Trop confinée dans la ouatineuse con-figue la carcasse se ramollit, les amortisseurs en pâmoison féminisent vos rucks, la carlingue vous ivrogne les sens plus que de raison, vous baignez dans le coton... délaissant l’Achille talon. L’essence jaillit puis s’évapore, vous tombez chaussette et sans jus, z’êtes foutu pour l’empire... bref à trop brouter du fri on oublie les grands pâtis, des châtaignes, des coups, la baston, le charbon, on perd à trop se durcir ce qu’on gagne en émollients soupirs... et puis la zénithale artillerie c’est bien joli mais ça vide la carafe et vous éloigne des grosses baffes. Mourir au champ d’honneur c’est épatant mais le tournoi n’est pas fini.
Demain donc au plein midi d’Hélios, Australie vs Nouvelle Zélande en espérant plus de cuir en main, plus de jeu sans chandelles, plus d’audace et d’essais. Satonnez moins, conservez, transmettez, c’est la seule manière de contrer les Sudafs voire de remporter les tri car rien n’est encore écrit.
© Le Pilier