09 décembre 2010

LE SCOOP SIDÉRAL

Nos systèmes périphériques en latence délaissent un temps d’une inflexion neutralisante, l'excitation réduite à sa part menue, accentuant de fait la désinvolture des mécanismes cognitifs centraux. Passage indiqué, nécessaire, géoposture favorable pour le souffle reprendre, à l’orbe des grands pâtis tournoyer en attendant le supra kick off.
Délaissant les afférences pulsionnelles d’une intention mesurée, le Pilier repus sillonne l’espace éclairé d’un savoir sans limite... que son désir. Viser la Jupitérienne comète nécessite maîtrise agogique, un premier temps, comme celle digestive que la pause sous-tend. Ach ! Au travers du simple hublot capsulaire de son intention spéculative, distant, fringant, notoire, l’œil attentif considère le système global des croyances et la conscience amusée dénoue les écheveaux de l’andoxale parlote, sans trop en dire, sinon activer la loupiotte pour les ceuss désireux d’éviter la grégaire et commune affirmation, trop endormie pour comprendre ce qui se passe. A ruminer des évidences on se lasse, à phagocyter l’indifférence, encore, on s’emploie. Ouah !

En offrande à nos liseurs indéfinis, comme sucrette des avents,  
le Pilier cosmique livre céans un scoop épatant, sidérant, soufflé par un compagnon astrophysicien, chercheur émérite en l’I.A.S. Si l’on n’a pas esquivé l’impact d’une percussion australo-sudhémisphérique ratatinant ce brin d’espoir naïf chez les plus borgnes des mateurs d’ovalie... en revanche avons, il y a peu, échappé à la percussion imprévisible d’une comète sauvage, kilométrique, juste passée entre la terre et la lune à tout berzingue. Imaginez le ruck destructeur si elle avait frappé le râble de notre sublunaire rotondité. Ouille !!!
Étonnement, ou pas du reste, n’avons pas eu vent de cet évènement incongru... du moins sur les gros sites popus de la médiasphère.
Pour dire que certains modules peuvent en loucedé pénétrer notre espace vital sans être scannés par nos veilleurs télescopiques qui surveillent la galaxie. Les plus attentifs ont repéré le caillou débineur deux jours à peine avant son passage près de notre stratosphérique canopé. Ach !  Tout peut donc arriver... 
même le pire... le meilleur aussi !
Ouf ! On vous en dira plus... bip... si infos transmises... bip !
© Le Pilier

07 décembre 2010

SYSTÉMIQUE DU PÂTIS

C’est parti ma Julie... ça cause Pilier, ça veut copiner, ça nous sollicite pour refiler du sus analytique... arf... donner du cours magistral en chaire d’amphi sorbonnard... ça s’épate à la lecture de nos bafouilles anciennes... ça découvre un nouveau monde... pardon un pâtis... ça veut palabrer avec nous... ça s’éveille un brin... ça écrivaille un peu partout que c’est le système qui coince, mais ça ne connaît pas les solus. Hé hé... les fameuses solus. Pilules qui changent tout, vous feraient passer de plume à plomb... ou l’inverse... oups... en une seule déglutition. Mais les gaziers, mettre à plat ce n’est pas assurer le relief... encore faut-il savoir par où commencer.
Primo piger ce qu’est un système... délimiter le champ actantiel... doser, borner... et ça c’est pas gagné. Celui qui sait délimiter saura limiter... arf arf... limiter c’est orienter... orienter c’est déjà organiser un nouvel ordonnancement... partant, attendu, d’évidence un changement. Et puis quand ya d’l’entropie ya aussi d’la gabegie... arf arf... pour un bon long temps... et s’il y a irréversibilités des phénomènes physiques, ya toujours possibilité de détournement, de recadrage à des fins bien plus favorables. Pour éradiquer ces schèmes interactionnels générateurs, reproducteurs de problèmes, faut du zest, de la touche, s’en tenir plus au fait observé, objectivé, qu’à sa cause. Houlala... sortir du schéma século-andoxal des linéarités causales n’est pas donné au commun ça... rendre élastique la posture monadique... ça demande de la grÔsseu maturité ça... de l’assomption, du responsable état... imparable vertu qui favorise la condition même de possibilité méta. Et là, n’y sommes vraiment impossiblement positivement pas. Ouah !
© Le Pilier

06 décembre 2010

BAA-BAAS VS SPRINGBOKS 26-20

Pilier majeur
Pas foultitude de mateurs aux Twickenham gradins mais de vrais amateurs... de jeux, assurément. Une première période ultra dynamique côté Barbarians, très Aussie côté fougue avec du O’Connor en place d’arrière, supra véloce qui plante son try... idem son collègue Mitchell... un Genia bien déchaîné... en sus plein centre un Ashley-Cooper en cannes... et surtout un Nonu qui vous distribue du cuir en veux-tu... génial le gazier... pour un bilan sans appel en première période... 19-3 pour les Barbarians pleins d’enthousiasme et d’envie. Les Boks en seconde période après un gros soufflon du coach De Villiers, sans doute, se ressaisissent... au final 3 essais partout... mais les Baa-Baas remportent l’amicale baston 26-20.

Belle clausule de saison 2010 en attendant les ribotes à sapins. Vacances méritées pour les grands gaziers du Sud venus pour donner une belle leçon de rugby à cette vieille Europe.
Le Pilier savoure le bla bilan de nos analystes poussifs du coin... on y serait presque mais le retard reste immense... tout ce qui est dit partout, était écrit ici depuis des lustres... rien de nouveau donc pour nous, pour vous lecteurs attentifs, sinon un soleil éclairé qui semble inonder de rayons fringants le renouveau des pâtis Australiens... de bon augure pour l’année qui vient.
Un salut à Robbie Deans l’entraîneur Australien, qui a su trouver les bons gaziers, bâtir une stratégie perforante avec un groupe promu sans contredit à bel avenir. Qu'il ait écouté l’imparable Pilier nous parait dans l’ordre des choses... ach... Nil admirari* comme disait l'Horace... nos conseils se sont avérés comme d’accoutume judicieux... notamment (car point seul) quand avons aperçu, quelques instants seulement, pour la première fois Cooper à l’ouverture, en insistant immédiatement sur le déplacement de Giteau en premier centre... et d’autres pertinentes pré-visions. Dès lors le rendement fut totalement différent. Cela peut paraitre aux néophytes épiphénoménal, c'est pourtant primordial... et ça change tout. Le bon gazier à sa juste place, une loi qu’on ne saurait ignorer. De Villiers devrait faire idem et virer fissa Steyn de l'ouverture. En remportant le grand chelem des analyses qui font du Pilier  
le premier Blog rugby de l’ovale galaxie, on pourrait croire que le XV hexagonal possède en son terroir une carafe avisée, seule capable de sortir nos cocottes du marasme ambiant. Mais nul n’étant prophète en son pays... notre patrie pour l’heure reste le grand rugby, sans fanion, trompinettes, ou flonflons ! Oups ! Merci à lui !! Hips !
*Nil admirari : Horace, livre I, épitre VI, vers 1 : "ne s'étonner de rien".
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04 décembre 2010

AFRIQUE DU SUD VS BARBARIANS

Allez, un petit dernier avant la descente au sapin tavelée de bouboules et lampions, godasses à cadeaux... pantoufles à pieds chauds... dindes partout... en clausule amicale des bastons automnales Sud Afrique vs Barbarians, à Twickenham... juste de quoi passer un bon moment avec le bel esprit Barbarian.
Ci-joint la compo, 15H30, sur Sky.
© Le Pilier

Barbarians: 15 J O'Connor (Aus), 14 J Rokocoko (NZ), 13 D Mitchell (Aus), 12 A Ashley-Cooper (Aus), 11 M Nonu (NZ), 10 M Giteau (Aus, capt), 9 W Genia (Aus); 8 C Bourke (Chiefs), 7 M Williams (Wales), 6 R So'oialo (NZ), 5 C Jack (NZ), 4 A Van Zyl (Stormers), 3 N Tialata (NZ), 2 S Moore (Aus), 1 S Perugini (It).
Replacements: 16 K Mealamu (NZ), 17 J Yapp (Wales), 18 Q Geldenhuys (It), 19 D Braid (NZ), 20 A Ellis (NZ), 21 S Donald (NZ), 22 S Rabini (Fij).

South Africa: 15 P Lambie, 14 O Ndungane, 13 A Jacobs, 12 A Strauss, 11 L Mvovo, 10 E Jantjies, 9 F Hougaard, 8 R Kankowski, 7 J Smith (capt), 6 W Alberts, 5 A Hargreaves, 4 B Botha, 3 CJ van der Linde, 2 A Strauss, 1 C Oosthuizen.
Replacements: 16 B Maku, 17 T Mtawarira, 18 W Kruger, 19 F van der Merwe, 20 K Daniel, 21 C McLeod, 22 G Aplon.

03 décembre 2010

LIEVREMONTANISME*


De l'irrationnel au réel 
"Marc Lièvremont, comment expliquer une telle déroute du XV de France ?"
"Je ne comprends pas... C'est difficile évidemment de trouver une explication rationnelle à cette débâcle. "
Du Lièvremonte-pente pur jus de cortex avec pépins... saisi au vol en quelque lieu métaphysique où l’on comprend immédiat que l’ordre linéo-discursif se chicore quand même avec le syhthético-intuitif, que ça provoque des nœuds dans les tuyaux, et qu’une méthode purement déductive à partir des notions de cuissots, masse, liaison, inertie... foutoir, bordel, gabegie, anti-stratégie, incompétence, nullerie... ne saurait en rien contraindre 
l’assentiment vers un pâtis tangible... car l’irrationnel inondant la zone de conflit noie toute possibilité explicative, l’intelligible sous branchies s’écaille et partant nie d’évidence toute appartenance au principe même de raison. Ach !!!
Bilan... faut trouver des outils adaptés pour bien comprendre ce qu’il nous est arrivé !!!! Yeah !!! Donc si le rationnel est inaccessible, c’est encore plus le bordel !!!!! Passqu’avec les carafes qu’on nous assigne on ne va pouvoir se rassurer le fanion. Pourtant un autre philosophe bien coincé dans l’écran plat, en direct durant la rouste, tenta une explication tout à fait acceptable, visionnaire, profonde, réfléchie, même puissante dans cette volonté farouche d’atténuer les effets ravageurs par une cause dosante qui agirait comme un dictame sur les consciences atteintes de découragement : « ça va trop vite !!!! »
Hé hé, c’était du Galthié... toujours là visiblement le gazier... pour nous éclairer la clarté... hé hé... « Ça va trop vite » mais bon sang c’est bien sûr... limite correcte même cette célérité des Wallabies... on ne s’attendait pas à ça, même si « on se doutait qu'on allait retrouver un rythme énorme, avec beaucoup d'intensité » encore du Lièvremont tout cru. On attend encore ce fameux match au rythme mini sans zaucune envie, du reste... hé hé... toujours le même baratin... mais passons... donc si on pige bien le problème c’est l’énormité qui a glissé vers l’irrationnel... Ouarf !!!! Pendant que l’intensité, elle, débordant finalement le cadre même de l’apriorisme nous za totalement accéléré le réel, plus qu’on ne pouvait s’y attendre... la psyché régressive et bien essoufflée subissant les assauts primitifs s’est donc retrouvée totalement débordée par la vraie réalité !!!!
C’était tout simple, fallait juste y penser !!!! Ach ! Reste le Score, bien rationnel : 16-59... ouf ! Une chose enfin qui subsiste avec, abstraction faite de toute les conditions subjectives de l'intuition...  
la vraie débandade des croupions!  
*Lièvremontanisme : Néologisme du Pilier, de Montanisme, croyance dans l'intervention perpétuelle du saint esprit !!!! Arf !
© Le Pilier

02 décembre 2010

LE TROPHÉE...

...du joueur de l’année décerné par l’International Rugby Board revient pour la troisième fois consécutive au Cap'tain Mc Caw... le préféré de Julie dès qu’il foule un pâtis.
Ach ! Bon, les distinctions de salon du genre meilleur gazier des prés n’a pas grand intérêt dans ce sport, collectif s’il en est... savons tous ça... même s’il est vrai que personne ne contestera ce choix tant le gonze est un exemple de correction, de vaillance, de générosité... qui n’attend pas la saint glinglin pour s’arracher les tripes sur le terrain. Avec ses Mc Caw boys, nous gratifie chaque année de superbes bastons... toujours à s’améliorer, à parfaire, peaufiner, usiner un style imparable sous la direction du génial Graham Henry élu pour sa part meilleur entraîneur de la sublunaire ovalie.
La seule et unique CDM digne de ce nom serait de battre plusieurs fois d’affilée ces mastards zélandais... puis les Sudafs, puis les Aussies. Voilà une idée qu’elle est bien, tiens. Chaque année le vainqueur des cinq nations est l’invité d’honneur des Tri Bastons... et là il se prend les trois grôsseu team sur le râble... un peu comme dans les îles Britanniques cette année. Car ont du cran nos voisins... pas comme nous... ont jouté quand même avec les trois gros Sudistes eux, sans complexe. Alors qu’ici,  
en prépa, cé vré, faut bien dire, le préciser, de la CDM...arf... on ne s’est mesuré qu’aux Aussies. Déjà dans l’organisation on est mini... pensez donc sur le pâtis. Pendant que les autres jouent au rugby, nous, on se prépare... pardi.
Merci aux Blacks en tout cas et bonnes vacances en attendant le super machin et les grandes tri bastons 2011... en somme les grands terrains ! Tsoin !
© Le Pilier