31 mars 2010

CINÉ PILIER 2

Du plus
Buck Rogers est un homme ordinaire qui s’aventure un peu partout dans tous les coins du siècle. En appuyant sur un bouton banal, il parcourt le temps et l’espace qui va avec. C’est un homme tout à fait comme vous zé nous, la carafe simplement posée sur deux épaules mouvantes mais solides.
Le film du Quizz dont on va vous tracer les grosses lignes jusqu’à l’en-but de la découverte du titre semble ne rien avoir avec... fait pourtant mine d’intro... fortuit ?
Indices
Ça bouffe des pils à longueur de temps... pour tenir au taf... probable, supporter tout prix cette vie bien Bonux. Tous idem dans la même tenue, c’est plus humain. Pas de galons, de pins, d’autorité visible hors les caméras... tous idem dans la même tenue... Blancs tondus ! Tous ? Pas tout à fait. Des cyber-gaziers graciles en cuir de peau noire limitent avec "mesure" et calme les déviances, font respecter la loi. Robert le héros sous l’influence de son Eve coloc, qui brin manip le TV dinner, retrouve son instinct premier et s’embrase avec la belle dans cet acte semble-t-il interdit. Dès lors, son désir retrouvé, la liberté l’aguiche... il n’aura de cesse de chercher le grand sun, respirer plein poumon vers une vie nouvelle, lui qui ne connaît que les néons des plafonds.
En substance concise, voilà l’histoire du film. Reconnaissons que les soft repros ne balancent pas d'évidentes infos, pour les néophytes... qu'il faut donc se creuser un brin le ciboulot avec les indices sus proposés, qui mélangent réalité et fiction.  
Alors, quel titre ? Et le réal qui découle ?
Le héros est un indice qu'il faut savoir interpréter.
Réponse totale au prochain épisode.
© Le Pilier

30 mars 2010

CINÉ PILIER 1

Un premier Quizz du Pilier en guise de distraction pour tous, pour Dupuy qui se ronge la carafe en attendant le retour au pâtis. Malgré ses recours la sanction reste ferme, pas de rugby jusqu’en Mai pour le demi de mêlée du Stade Français... pu qu’à digérer les 23 semaines de suspension après le coup de fourchette un peu trop lourd pour un pro du pré. La prochaine fois prendra pas le pâtis pour un banquet !!! Arf !

Donc une repro... saisie dans un des films cultes du Pilier, voire le number one dans sa catégorie, écrit, réalisé par un gazier connu, qui n’a jamais plus atteint ce tel niveau dans les productions suivantes... mineures pour nous, ultra majeures pour un grand nombre de mateurs de péloche... de ciné flan !
Pas évident pour le néophyte, plus facile pour les croqueurs de toiles... produit par Francis Ford Coppola, un film bourré de sédatifs, minimal, bande son impec avec de vrais morceaux d’humains et quelques cyber gonzes tranquilles comme de fermes autorités. Pas un gros succès à sa sortie, n’en est pas moins top... niveau 2001. Tourné avec peu de moyens mais en totale liberté... bien que la Warner qui n’aimait pas le film imposa des coupures que le réal n'a jamais digéré... encore un !
Tout est là qui préfigure ce qui viendra, ce qui est déjà, dans nos sociétés kleenex.
Un vrai bon film de SF, jadis interdit aux mineurs.Trouvez son titre vous serez récompensés en le matant pour ceuss qui ne l'ont pas vu, amusé pour ceux qui affectionnent ce genre de cinocherie !
© Le Pilier

28 mars 2010

NOUVELLE HEURE...

Nouvel heur ?
« Pilier tu charries ! Tu causes only rugby, et quand ya pas d’internationales bastons tu ronronnes, disparais, t’éclipses, comme la ronde nocturne en fin de cycle maraude on ne sait zou dans l’insondable cosmos... tu pourrais faire un geste pour nous montrer un peu que t’as pas que du cuir à tanner, que t’as autre chose dans le cassis que l’ivresse des châtaignes, le bien être des gisquettes, bref que tu t’actives un peu culturel et nous en faire part ! »

Ben Ripolin c’est envoyé !!!!
Un parmi les mails reçus de ces insatisfaits à qui faut toujours du sus pour prendre son kif. On en veut pour son fric quoi, on paye sa connexion chaque mois, on exige après son taf, sinon pendant, du souffle nouveau, brin d’azur sans carbone, baveuse sans bois, happy joie... le pâtis ne suffit donc plus on veut brouter d’autres luzernes, savourer les élucubrations de l’insondable gazier du coin... on veut sa vigorette plein poumon, son jardinet de belle saison, en somme si on est là on n’a k se la donner d’avantage et causer parfois d’autres choses pour distraire un lectorat visiblement critique, fidèle à nos bafouilles, vouleur insatiable du toujours plus, d'un zeph plus qu'azur, d'emportées, de voilure !Ach !
On pige la revendiquette !
Même si pensions que le pré suffisait, on remarque qu’à trop tondre la pelouse il n’en reste pas assez pour brouter permanent, ruminer son saoul, s’enjouer quotidien... on comprend le volitif espoir, et respectons le fait.
Aussi, afin d’obvier à toute plainte nouvelle, en guise d’hobby glisserons parfois en ce Blog impérial des figures diverses dans d’autres domaines que l’ovale passion nous impose. Fidèle au jeu, vous proposerons en premier lieu un florilège des ces culturels objets qui alimentent notre leurre dès la sortie des vestiaires. Oui le Pilier fait autre chose dans la vie que mater du cuir, honorer ses mousmés, dormir ou croquer du gigot d’agneau Zélandais, sur TAO léviter... mordre, rouspéter... sniffer l'air du temps !
Exemple donc, point seul, matons des mouvies et vous soumettrons sans doute, erratique, épars, inattendu, entre les gouttes de sueur des mastards du XV, ce qu’il y a de mieux en 7ème Art, de même qu'une lecture épatante des navets. On causera donc cinoche, entre autres, dans "Le crampon et la plume". Arf !!! Roi de l’échappe, de l’esquive, dissoudeur d'andoxas zavariés, Le Pilier se targuera d’éviter jusqu’à la faute de goût, impardonnable pour un homme fait. Bientôt, ici même
Ciné Pilier conservera l'ambiance, l’esprit du lieu, son rythme, la souplesse du feu et montrera au cybermonde qu'il y a une vie au delà du ruck ! Hips ! Nouvelle heure donc, nouvel air wick pour nos plus grands liseurs.
© Le Pilier

26 mars 2010

VÉRITÉ

Une stat piochée par un gonze à nous qui en dit beaucoup. Les Bleus tatanes ont choisi 45 fois le jeu au pied ! Aveu d’impuissance ? ... A elle seule, la charnière Parra-Trinh-Duc l’employa 31 fois (18 pour Trinh-Duc !) contre 14 fois pour la charnière anglaise, dont 4 seulement pour Flood, l’ouvreur. Chouette Paulette ! Là on pige bien l’amertume des anciens, des plus jeunes aussi, de beaucoup, d’un paquet de gaziers déçus que « les Bleus se mettent à jouer comme des Anglais » sic... de quasi tous.
Vrai que durant le match ça sifflait parfois le Blou... pouvons pas le nier maintenant... Trinh Duc nous exaspérait tous... Parra derrière sa mêlée renvoyant moult fois le cuir dans les bras d’un Bif, idem. Pas du rugby panache de grands futés ça... aussi l’happy joie n’était pas de mise au final.
Pas nouveau ! Ne savons plus jouer derrière depuis des années... on s’ennuie ferme à mourir Francis. Les passes de Blous ? Parmi les plus moches de rugby moderne... non il nous manque du centre racé... des attaquants hyper lancés... on ne sait plus faire... quasi jamais de belles surprises... un Jauzion qui platane bien raide le premier rideau, on peut voir... puis basta... parfois passe un bras... résiste un brin, bloqué, tombe et c’est tout. Aussi pour répondre à la question sus proposée  
« aveu d’impuissance ? ».
Sans contredit oui !
Mais bonne stratégie... de l’avoir compris, assumé, d’avoir joué en fonction pour gagner. Certainement pas N’Tamack qui va leur fluidifier les tuyaux derrière... pas un grand classique çuila sur les pâtis jadis... une lumière étoilée non plus, faut quand même l’avouer... sympa le gonze Milou, pas de problémo... mais pour l’apéro... avé les potos... pas pour la direction des légions véloces... là faut du crâne, avec des softwares inside, du jus pour alimenter toussa... non, non... faudrait un entraîneur avisé, tout frais, avec une vraie tête qui s'active... qui les fasse bosser, toniques, propres, figurés... un connecté quoi... ça doit bien exister non en hexagonie ? Sinon un étranger... sont bien en défense les Bleus, c’est le Bif Ellis qui s’en occupe non ? Cool... faisons idem en attaque... prenons un Bok sinon un Black... ce sera toujours mieux que ça ! Pasque là, yavait rien de nothing de vide néant... pas une seule fois n'avons créé du danger près de la ligne adverse... pas une de demie quart de fois... un comble pour un grand Slam... jamais vu ça... un record sans doute... d'où la joie sans doute mesurée des Français !
© Le Pilier

25 mars 2010

TRIO DE CHOC


Mur de briques

La chair est forte Mas, solide comme un bouquin...tsoin !
Cuissot beau Domingo, pas minot...
Entre les...
Un Servat qui pourfend, tonique, percutant...
Ces trois gonzes ressemblent au Caucase grondant
Des Atlas où jamais une roche ne tremble
On les voit rugissant au pâtis triomphant
Sous l’ombre palpitante d’un cœur qui nous rassemble. Ach !
Ils se dressent, jetant l’ombre immense aux campagnes
Ces hommes viennent à nous de la part des montagnes...
Hips !
© Le pouêt pouêt Pilier

24 mars 2010

NEW FRENCH FLAIR ?

Un pack de quinze
Avec cette édition nouvelle de Slam, née de la puissance d’un pack, gaziers de beaux râbles, tronchards de premier front, jus tonique, bel épais tel le vôtre, humble forçat du Toshibaston, Pilier gentilhomme supra maître es pâtis, incompa-râble dans le ruck, pillo-dunlo, stupéfiant dans le cadrage des formes mouvantes... la France pourrait se croire sur la voie des grandes conquêtes, comme elle se plait, trop déjà chez certains à anticiper la sublunaire hégémonie... Ach !
Trop vite en besogne que de rêver cette permanence zénithale, ya du taf bien avant, des mises au point qui s’imposent. Un cheptel de bestioles même s’il est fondamental pour espérer vaincre partout n’en demande pas moins une coordination fluide, conniventielle, rigoureuse dans le lien, généreuse dans la transmission, complète partout, fédérée hé hé tous pour un, le seul cuir ! Imposant ce grand Tou majeur bien plus grand, plus pressant, plus stratège, plus cibleur, plus mature, plus Monsieur que la somme aléatoire de ses parties s'évaporant aux azimuts. Oups !
Comme l’anneau des annulaires entérine l’union, celui du solidaire canalise les passions, les forces, l’énergie vitale, oriente les atomes, affirme la soudure... et si la bagouse victorieuse s’arbore comme preuve du lien elle impose plus que tout le respect du féal parti d’en perpétuer les vertus, d’en assumer la séculaire mixture:  
pour le pire et surtout le meilleur !

Les Bleus gaziers ont donc remporté le titre suprême du coin. Comme le disions, un brin par défaut mais qui n’enlève rien à la qualité des mâles. Pas très compliqué de plier les Scotts (quoiqu'on y reviendra), les Gallois, les Buitonis n’en parlons pas... plus majeur à peine d’effeuiller jusqu’à la tige le trèfle des vertes pâtures, d’émousser l’épine de la royale Couine.
Divers avis avons entendu après cette dernière victoire, des anciens notamment, déçus des seuls impacts, rétifs à ce  
rugby plombant comme ils le nomment, tout en force, ultra violent, sans grande fluidité, où les trois quarts ne servent qu’à défendre, ne sachant même plus mettre le feu dans les remparts adverses, tatanant plus que de raison laissant à l’adversaire l’initiative, le soin de proposer des figures audacieuses, ce qu’ont du reste accompli les Bifs.
Le jeune ailier Ashton, (la tof), aurait même pu figurer parmi les héros du jour s’il n’avait pas commis cette erreur qu’évoquions en clausule de notre dernier papel !
En effet, il s’échappe sur l’aile, n’ayant comme dernier rempart que Poitrenaud, pour cette fois bien en place. Notre arrière est à plus de dix mètres, Ashton au lieu de se rapprocher de lui, de balancer son coup de pompe au dernier moment, trop excité le donne certes dans l’axe parfait, mais trop loin du défenseur. Si bien que Poitrenaud a le temps de se retourner, démarrer en trombe, chose toujours délicate quand on connaît ce poste,  
de lui griller la politesse au final... 
de sauver la patrie !
Lancé comme il était, il suffisait au Bif d’attendre un brin, de retarder la course de Clément en s’approchant de lui et ce dernier n’aurait pu rivaliser avec l’ailier, qui rappelons-le aux néophytes, possède une course suffisamment longue pour conclure une telle action, hyper lancé qu’il était. Dommage pour les Anglais.  
Cool for us. Bonne défense de Poitrenaud. Un Blanco, un Carter, un Larkham n’aurait pas raté ça... Ashton est encore jeune... à bons entendeurs les avisés pratiquants.
Pour ce qui est de la dépassion ressentie par les anciens sus évoqués, même si comprenons parfaitement leur propos, ne partageons pas cette fois leur amertume.
Moult fois dans l’histoire les Bifs nous ont gagné de cette manière.  
PFP... Pack, fautes, Pied...
Quasi jamais n’avons vaincu de la sorte, sans faire d'erreurs, de faute, la provoquant chez l’adversaire sous pression... faisant bien gaffe toute la partie de ne pas faire botter Flood ou Wilkinson... preuve que le pack est très fort... n’a pas même paniqué devant les coups revitalisés des Bifs en seconde période... maîtrisant parfaitement son sujet. Cette victoire de deux points, sans attaques, sinon flotteuses comme souventefois dans le tournoi, nous rassure en un point : serions-nous enfin capable de prendre les Bifs à leur propre jeu, les frustrer sur le fil par quatre coups de pieds, en contenant parfaitement leur fougue qui pour le coup nous plu ? Sachant que, même dans les dernières minutes sentions bien que les Bleus en avait sous la pédale les Bifs n’ayant même plus la possibilité de s’implanter pour un drop dans nos lignes. Pour tout dire n’étions pas vraiment inquiet.
Dieu sait bien qu’apprécions comme beaucoup l’envol, l’audace, la perforation des défenses par des centres véloces, la fougue, la finesse des trois quarts, les figures inattendues que savions jadis accomplir sous matricule de French Flair, les passes au cordeau, vives, au plexus, les gaziers lancés quand ils reçoivent le cuir... mais cette fois il est bon de reconnaître qu’avons fait preuve de sagesse... c’était une option, pas la seule, mais elle a assuré la victoire d’autant plus plaisante qu’elle renvoyait aux Anglais une copie trop souventefois avalée par nos précédentes équipes.  
Une autre manière de French Flair ?
Et pourquoi pas ! Même s’il n'y suffira... mais l’alternance a ses vertus que seuls les grands stratèges dosent... comme des magiciens.Tsoin !
A suivre les manques... et pas des moindres.
© Le Pilier

21 mars 2010

GRAND CHELEM, PETIT PLAT...

... Mais costaud
Les donc zenfants de la patrie ont bien battu les gros Tommies...en jouant comme eux. Pas si bête Paulette... pas mal vu Lulu. 12-10... un score certes brin d’hélas de finale du coin, mais le travail est accompli, les Blous remportent le 9ème grand Chelem de l’histoire avec un scrum de bonne tenue, base fondatrice de toute grande équipe chatouillée par l’ambition.  
No scrum no fun comme dit par suggestion...
No scrum no win quand on shakespearise comme la couine... Oups !
Pas mécontent que sommes de voir notre signifiant majeur tenir son rang dans le ruck, la close mêlée, le gratte cuir, la belle peignée... nous sentons moins seul pour le coup. Un supra dominant Pilier, hégémonique en la blogosphère des chicores, sans concurrent à l’horizon dégrafant même ceinture, c’était ben prose... une première ligne d’enfer sur la pelouse c’est quand même plus aguichant pour affronter les mastards des sublunaires terrains.  
La plume c’est bien poilant... 
la vraie baston, enivrant !
Ya du beau grognard en hexagonie... et pas qu’un... c’est là le bol du moment... vraiment de quoi faire... rare un tel cheptel de bestioles capables... soudées en sus, sans lumière particulière sur une tronche à mag lèche croupion. Vu le nombre de blessés qui ont leur place dans ce groupe d’avants on peut se détendre à penser qu’un Chabal ne sera bientôt plus du voyage, supplanté sans problème par les Nallet, Papé, Milo, Pierre, Paul... ou Jacques. Une aubaine pour tous, enfin pour les amateurs patentés du vrai cuir sans dentelles et délires.   
D’abord le groupe, toujours le groupe. Fi des starlettes à douilles flottantes pour les gueux et les enfants, retrouvons un pack uni où chacun se fond dans la masse percutante, joue son rôle en coordination parfaite avec ses partenaires. Le rugby c’est comac... à l’instar des Blacks, même si certains sortent un rien du lot par la fourbe starisation des trisos du torche fion, sinon leurs qualités en effet sup, on pense, investit, avalise, reconnaît, voit une équipe avant tout, un groupe cohérent, dont la valeur suprême est  le collectif, la soudure ! Le cas pour ce club de Bleus, qui même s’il ne séduit pas (encore ?) question jeu de mains, n’est pas pour autant vilain. Comme le disions à l’automne, malgré la leçon infligée par les Blacks, prétendons que les gaziers sont là, même derrière, où d’autres nombreux blessés à l’instar de Mermoz pourront sans problème rejoindre la Bloue Team, prendre la place enfin de certains platanes, proposer du feu dans ces lignes d’arrières encore bien ternes et maladroites. Il ne tiendra qu’aux entraîneurs de coordonner le tout, de faire jaillir le meilleur de ces jeunes en mal de performance. Chez les valides ya du super Médard dont on prédit en poste d'arrière un bel avenir... si on arrête de lui gonfler le mou... du Heymans... du Dupuy, s'il se concentre un peu plus sur le jeu et ne se repose pas sur des lauriers trop frais... comme d'autres belles cannes.

Bilan ?
Il y a certes beaucoup de choses à dire sur la partition 2010 du Tournoi... pas du Ravel Boléro ni de la symphonie Ludwig... sommes en Europe après tout... aujourd’hui on gagne un grand Slam par défaut, du fait de la faiblesse des autres... sommes pas au Tri Nations là... avec matchs allez retours équilibrés... bref.
Nous reviendrons sous peu à celui d’hier à proprement parler, près du pré... où les Français n'ont quand même jamais effleuré la ligne d'en-but adverse... mais savourons tout dab la victoire.
Boudons pas ça ! Repos des braves !   
Un temps pour chopiner, 
un temps pour percuter !!!! 
Pour clausule immédiate cependant, saluons ces Bifs qui sans les gros puissants d'avants Vickery et consorts, ont quand même pratiqué un rugby d’attaque, à la « Française »... parfois plaisant... avec un très bel essai... des passes vives... un jeune arrière prometteur... un fluide Flood... qui sans une grosse erreur de jeunesse de leur ailier véloce Chris Ashton, eurent pu nous priver du grand Slam... mais n'ont pas !
A suivre donc.
© Le Pilier

20 mars 2010

CARTE BLEUE

Aux zarmes citoyens!!!!
C’est l’heure des baffes, de la chicore et du raisin. On laisse un brin le désabus... on oublie le bla, le flanby, les zimpers, les cumulos qui obombrent notre dionysiaque allant... on chausse le gourdin, on affûte les crampons, remotive la troupe... on part à la baston le cœur plein de bons sentiments. Boutons les Roses Beefs hors de France !!!! Perforons leur défense, pilonnons leurs abattis, accueillons dignement nos cousins d’en face...  
faisons danser la couine sur un air de java !!!!!
Allez les gaziers, que pas un preux ne chôme... pourfendons à la régulière... sans interruption... à grands coups de tampons... 
On veut des tueurs sur le green... 
dans le bon sens du terme !!! Arf !!!
A la régulière, pas de tatanes, de coups bas, de mignardises... on balance une partition symphonique, avec de l’agogique pénétrant, du phonétique extravagant... du mélodique chatoyant... bouchons tempérés, double croches dans les mandibules, clef de sol en tartine à leur faire bouffer du foin par le tony blair... noir dans le ruck... 
on arrose les blanches de rouquin... hé hé... donnons des couleurs à cette engeance trop palôte, impardonnable de ne pas être au top... allez allez, une tournée de jetons, quelques chopines de claques, une fricassée de ratatouille, un zest de viandox, écharpons le tweed et 
retour à Buckingham en pleur chez mamie couine à l’heure du Lipton avec les biscuits en miettes !!!!...
Souvenez vous d’la petite Jeanne partie au ciel trop tôt, sans avoir connu le septième... ça mérite une correction là... c’est la goutte d'eau qui met le feu aux poudres là... plumons la rosette et balançons les pétales aux quatre coins du pâtis... faut se vidanger les tripes là, pasque si on gagne pas... on a perdu ! Arf... et s’ils nous prennent pour des jambons, on va être bien sec, on va pas se faire fumer et ils prendront l'air du pays dans les naseaux !  
Allez allez les gaziers, vous avez carte Bleue !!!!
© Le Pilier

17 mars 2010

JOHNSON VS LE PILIER

On the phone
Trouvez ci-joint l’échange bigophonal entre le coach Johnson et le Pilier... suite à la bafouille d’hier. Ce dernier un rien colère nous est tombé sur le râble au clair matin. Sirotions un noir de Colombie avec nos gisquettes en prépa pour une dure journée de labeur à travailler toujours plus pour des clopinettes. Vous retraduisons l’échange quasi verbatim pour le plaisir de notre lectorat incrédule.
DRING..... DRIIIIIING..... DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIG......
Le Pilier - Arg !
Johnson - Hey froggie de Pilar ? 
- Yes... qui sur la combinette ?
- Johnson...
- Johnson ? From Queenland ? Le coacheur de la rosette atone ?
- N’en rajoute pas l’ami... on va vous pilonner ferme ce week-end... mais je n’appelle pas pour ça... sais pas si t’es au courant mais ya pas d’Hodgson dans les rangs... pas même remplaçant...
- C’est bon de nous lire pas vrai ?
- Wilko est suffisamment retapé pour être remplaçant... tes carabistouilles tu te les coinces où je pense...
- Où tu penses ? Là, mystère mon gaillard...
- C’est Flood qui entrera en scène dès l’entame... un autre calibre... Jonny je le ménage pour vous balancer le drop gagnant en fin de partie...
- Ah tu vois... on peut s’entendre... mais Cipriani quand même, t'es pas love avec...
- C’est une danseuse...
- Mais elle danse bien...
- Qu’importe... t’avais pas besoin de me traiter de poutre comac...
- Poutre c’est du solide non ? Mais fallait pas prendre la mouche mon grand... on voulait pas que tu te plantes c’est tout... on veut la meilleure team contre nous... déjà que ce tournoi est plutôt raz du pâtis... que vous n’ayez pas d’excuses valables pour justifier de la ratatouille... si ya...
- Croyez qu’on va vous laisser croquer du Slam sans vous balancer d’la poutre dans les rayons de la mobylette ?
- Ho ho cousin, t’as l’air en pleine bourre là... viendez viendez les Bifs... pour les biceps n’êtes pas en reste, mais faudra du cortex en sus pour nous vaincre... zêtes un peu venteux question subtilités... semblez abuser de la bouillante eau les filles, ça carbure pas vraiment dans les synaptiques réseaux... coincez des neurotransmetteurs là... jouez comme des amateurs depuis le début du tournoi...
- T’inquiète la grenouille, on a de quoi sous la pédale... on se réservait pour vous plier...
- Des preuves l’artiste... on demande pas mieux que d’avoir du répondant en face... c’est à la valeur de l’adversaire qu’on peut mesurer sa force... et savourer le trophée... si tu nous ratatines tiens, on te paye une Guinness avec deux pailles... mais attention on veut la manière... pas que d’la tatane à tout va...
- Ok vous avez de bons joueurs... avec un entraîneur étranger genre White pourriez rivaliser un jour avec le Sud... n’y êtes pas encore... as so far as I’m concerned...
- Pas faux, c’est ce que nous nous tuons à répéter... ça ferait un bien fou à nos clochers un gazier d’ailleurs... mais là tu vois c’est aussi improbable que de mélanger du thé avec du pinard... chaque fois qu’on balance l’idée on se fait tamponner !!! Sommes jamais prophète en sa patrie... tu connais la song... trop open le Pilier, avant-gardiste et tintouin...
- Ecoute je te laisse, je dois finir mon Lipton before de galoper avec ma légion rose...
- Ok Jo... on se retrouve à la tri time ?
- Prépare l’artiche... en livres...
- J’amène la pommade...et le Kleenex... en papier...
- Wait and see comme on dit chez nous
- Ouaip, pas rôtir le Bif avant de l’avoir écharpé...
- Ouarf ouarf !!! (Preuve de l'authenticité de l'échange... big Johnson lit le donc Pilier et lui chipe même son épatant champ lexical)
Bip bip bip bip bip bip....
© Le Pilier

16 mars 2010

MARTIN JOHNSON : POUTRE EN TÊTE

OUARF !!!!
Sont pas mal de l’autre côté de la Manche. Rien à leur envier visiblement question gras des huiles pensantes.
Wilkinson est blessé... cf le match de bourrin de samedi dernier contre les Scots... l’entraîneuse Martine Johnson fait appel à l’inénarrable ouverture Charlie Hodgson qui a plombé la team couine des années post CDM 2003. Ouarf ouarf !!! Souvenez vous Jonny était blessé, plus de trois ans à l'infirmerie... les Bifs jouaient comme des savates en bois avec ce gonze de Charlie out of game, lourd du cortex comme un bottin. Bravo la pertinence du choix... éclairé le coach Briton, quelle audace, open mind... quel bide, coffre, stomac... pignouf !!!! Les Tommies possèdent un joueur talentueux Cipriani, mais n’aiment pas visiblement son côté people, dandy parait-il... qui fait le mur et file en boite de nuit quand l’équipe nationale reste confinée dans la caserne avant la baston à venir. Pourtant un bel espoir cet ouverture... quelques faiblesses en défense... pas encore total grand organisateur, mais jeune et bien en cannes, habile des agacins, vif dans les petits espaces, bon crochet, malin, de la tête, une belle passe... bref un Bif gazier qui a de l'allure, de l'initiative en attaque, de la classe même, un rien Latin... d'où son nom... c'est une aubaine pour les raides Britons... et puis ça ne court pas l’herbette un ouverture racé au rugby... matez chez nous, plus de dix ans d’absence de ce genre de module... et toujours rien à l’horizon. Trinh Duc est sympa, mais n’a pas la classe d’un grand 10... Au moins on lui fait confiance, déjà ça... n’est pas un branque non plus... on le fait jouer, le reconduit, lui laisse le temps de se connecter à Parra... c’est bien... et puis n’avons personne d’autre. Cipriani est incomparablement plus avisé que cette enclume d’Hodgson. Qu’est-ce qu’ils foutent ces Bifs à laisser partir ce bijou comac en Australie, écoeuré qu’il est de ne jamais être sélectionné en équipe nationale ?
A moins que toussa ne soit qu’intox, que Wilkinson gavé de bouillante eau (qui donne parait-il un exquis goût à tout), tartines de Ketchup, pudding tomate à l’œuf mayo, fish à l’huile de morue sur vinaigrette et lardons soit en fait en pleine bourre, prêt à nous ravir ce plaisir de big slam somme toute à la portée de nos poings ! Ça n’enlève en rien cette stratégie ridicule du coach, hier il est vrai grand gazier de seconde poutre... qui pour le coup lui bouche encore les calots et prend toute la place du néocortex ! Arg !
© Le Pilier

15 mars 2010

GA BU ZO MEUH

Avons maté 44 minutes de jeu entre les Irlandais et les Gallois... comme le disions dans notre avant denière bafouille... un rugby copié collé de la part des Gallois... on reprend les mêmes joueurs, les mêmes figures, on change les zéquipes en face on a les mêmes manières de procéder. Coups de satons dans les bras de l’adversaire, mêmes tentatives cloisonnées de l’ouverture Stephen Jones qui s’enferme sur trois défenseurs... rate toujours son coup... mêmes transmissions laborieuses des gaziers... même blocage en bordure de touche... même tout... si bien que chaque fois que le cuir s’échappe du pack, on anticipe déjà la fin du mouvement... on sait d’avance... on voudrait se planter, on souhaite, espère... mais on ne se plante jamais !!!!! Laborieux !!! Idem les Bifs, idem les Scots... un rugby aussi paf donne envie de filer des baffes !!!! Pas de têtes... gros du biceps... solides du râble... musculeux tout partout mais question circuits des carafes, black out complet... tous pareils ! Jamais n’avons vu de matchs aussi lamentables à répétition. N’y sommes pour rien... pas X man survisionneur de l’espace temps, pas décrypteur cognitivo percutant l’avant scène, pas supra futuro anticipateur de tous les mouvements non plus... à peine observateur attentif, hyper affûté aussi sans doute... génialement lecteur du jeu p’têt ben... moui moui... mais avant tout, simple spectateur qui ne prend que ce qu’on lui montre, saturé de ces répétitions affligeantes, un rugby de raz pâtis qui ne génère qu’ennuitude, lassitude, et tangente.
N’avons vu que les dix dernières minutes d’Ecosse vs Angleterre... même topo... les Scots sont sots comme des Bifs... lisibles comme des poireaux... bourrins, très percutants...Wilkinson en a fait les frais comme son ailier sur civière. Pour l’engagement pas de problème... mais question finesses... jamais rien vu d’aussi tarte à l’image de Parks à cinq mètre de l’en but avec tous ces trois quarts placés à sa droite, pack dominant, tape direct dans l’en but ou l’arrière Anglais bien placé reçoit le cuir dans ses bras... c’était archi visible, hyper prévisible, totalement nul. Aucun gazier ne relance sans tataner des zup and under en veux-tu-voilà-on-vous-en-refile-des-boites-entières-de-paquet-de-quinze-à-la-douzaine... puis on perd le cuir... les autres en face font la même chose... sinon percutent comme des idiots... rugby d’omelettes, de cageot, d’enclumes, de pipeau, de picrate, de rata, de tout ce qu’on aime pas !!!! Bref ça nous pompe la bobine, nous épuise le timbre, nous tritamponne le chou !

Le lendemain France Italie imposé par un compagnon de baston qui tout prix voulait jeter son œil sur nos cocottes... Nul !   
Ennui total !!!
Des Buitonis inexistants... des Frenchies bordéliques, sans grandes belles actions sinon des petits coups à travers une défense totalement exsangue, indigne du Tournoi. Faut arrêter de se la jouer avec ses matchs pièges comme une certaine engeance laborieuse se plait à les définir... du flan toussa... rien de piège que celui de se laisser aller à écouter des sornettes, mater 80 minutes de ce rugby spaghetti... sans Bolognaise !!!  
De qui se moque-t-on ?
Avons tenu 20 minutes... et basta ! Trop affreux, trop rien, trop passoire, trop pine de babiroussa même si ne connaissons rien de la bestiole ! On se demande à quoi ça rime ce bla... qui s’intéresse à ce rugby décadent ? Ceux qui n’y panent rien assurément !
A ce dont se satisfait l'esprit on 
peut mesurer l'étendue de sa perte
disait l'Hegel. Bien vu le philogus !
Pour en finir, un lien envoyé par notre compagnon sus évoqué.
Une analyse d'Alain Penaud, qui dit parfaitement la chose, en plus policé, précis, doigté, mieux d’évidence... que l’impertinent Pilier qui n’a même plus de jus pour affiner ses propos tellement que c’est évident de chez pesanteur Newtonienne à ne jamais décoller de la glue. Pas sot le Penaud... en voilà un qui en connaît un rayon... et que nous saluons pour le coup ! Seule différence notoire avec nous, sa prudence "obligatoire"... il doute encore... pas nous ! Lisez, bien dit, avec mesure, pertinence, même s’il n’osera jamais balancer qu’on s’ennuie ferme en ovalie d’ici... comme on s’afflige du reste à nous relire tellement qu’on se répète dans une prose lamentable, lourdingue, pastagueuse, lasse, pelle à tarte... mais parfaitement à la mesure du sujet ! Arf !
© Le Pilier

14 mars 2010

GUERRE DES GAULES

Allez Popol !
Veni, Vedi... mais pour Vici faudra quand même se lever mâtines les Buitoni... avec une à peine Centurie de rien du tout, un brin de Manipule, une Cohorte de maladresses à la transmission pouvez quand même pas espérer reproduire l’exploit de jadis aux portes d’Alésia... révolu ce temps les Césarion... avec la dixième Légion passe encore... même avec ce pack de jolibonums pouvez toujours vous accrocher au pilum... faudra sortir le mercurocrum et vous protéger le sternum !!!! Ou alors les Gaulois manquent de Calcium et là ? Adieu le podium !!!
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13 mars 2010

GROSSE FATIGUE

Le mièvre, le mollasse et le superbe ennui...
On jette l’éponge... pas de rugby ce week-end... la vie est trop précieuse pour perdre son temps à mater du flan... chandelles à tout va... transmissions évidentes, blocages inévitables en attaque... mou, plat, rata, nouilles... pas de surprises, du pareil au same, toujours, mot pour mot... bref ça joue pas... du sans tête, sans audace, sans joie... rugby sosie d’une semaine à l’autre...du monotone, imitable comme un babil de re !!!! Pourtant deux essais en première période des Irlandais, but on s’endormait tellement ferme que personne n’a réalisé... étions tous unis au ronron... avons tenu 44 minutes et basta.

Lisez les autres blogs, venez plus chez nous on a tout balancé, tout dit, répété tellement de fois que saturons ferme du cortex... Jonhatan Davies, désabusé on Bibici semblait de l’idem mood...

Le rugby d’ici 
c’est fini !!!!
© Le Pilier

O'DRISCOLL O'CENT BOUGIES

O'mage & souvenir
Centième sélection pour l’épatant O’Driscoll meilleur centre Européen sinon mondial de la dernière décennie. Du genre comac n’avons pas eu depuis des lustres de part chez nous... bon ça ne court pas les pâtis non plus ces bestioles de grands centres gaziers... en paire en sus, c’est carrément introuvable. Affectionnons particulièrement cette position, centre, p’têt because tout merdillon avons maté émerveillé en live moult fois Maso, quand trottinait à Narbonne avec Sangalli... en fin de carrière donc... avait la grande classe le gonze faut avouer... certains l’appelaient la danseuse mais savouraient son style... ne nous sommes pas privé de l’astiquer en tant que manager permanenté des blous cocottes, mais question joueur là on s’incline... un vrai grand bogoss d’affûté... notre idole d’antan... pas très défense quand même, mais des cannes de feu, une vista, une passe du tonnerre, fixant l’adversaire avec une élégance toute lui, coup de rein fabuleux, intervalle à griller l’opposant dans un mouchoir de poche... ça on adorait, le grand frisson pour nous... rien du platane Jauzion si voyez l’allusion. Les zenclumes au centre ? Pas du tout de jamais notre kif ça... tout gafiot déjà on détestait les gros lourdingues quand on foulait l’herbette... les sans génie... avec des passes de plomb... impardonnable... avons toujours kifé sur les têtes habiles... les zélégants à ce poste,  
les zéviteurs, 
jamais les percuteurs !!!
Comac on est... comac on pense le XV. Non non, ya plus de ça chez nous... Fritz nous évoquait un peu cette manière de jeu, mais ne savons pas ce qu’il trafique... n’est jamais sélectionné... un mystère ce gonze... semblait prometteur... là, on pige nib ! Qui sait ?
Hommage donc à ces gaziers de trois quarts centres affûtés qui ont su nous titiller l’échine, les Maso, Sangalli, Codorniou, Guscott, Greenwood... on en passe... et celui du jour, mais dans un autre style tout différent des sus nommés, plus complet ce dernier, l’infatigable O’Driscoll. Standing O’vation pour un birthday qu’on espère à la hauteur éclairée des cent bougies. Plier du poireau après le Bif... tout à fait O’possible... mais ne vendons pas la peau de l'O'possum avant la fin du capharnaüm !!! Ach !
© Le Pilier

12 mars 2010

SUPER


Irlande vs Galles 15H 30... Demain... la meilleure affiche du week-end ?
Suivra du Bif tout rose... morose... chez le Scot... à la triste rigueur...
En nos pâtis les Berlusconi, pour ceux qui aiment les macaronis...
Chouette !
© Le Pilier

08 mars 2010

AVATARS

Rugby grand ciné
Alors comac on nous zégratigne, nous zamenuise, nous zanicroche patte, nous moque parfois... prétextant que nos paginettes sont trop éparses, plume erratique, de temps en temps, par ci...  
qu’on pourrait tenir ce Blog majeur plus quotidien, avec de vrais morceaux de jeux sinon d’analyses proches des terrains terroirs... qu’on pourrait donner notre avis sur le Top, que c’est fendard de nous lire mais qu’on se foule plus trop la citrouille à ne causer que des grÔsseux bastons...  
Bref qu’on pourrait faire du plus, 
voire du mieux 
à causer plus du coin !
En somme on voudrait que Mozart compose pour l’accordéon java, le bugle et la trompinette Olé... que le Pilier chausse le béret, l’espadrille et sirote son pastaga en refaisant le monde avec des brins de championnat ? Avec des flops de Top genre Toulouse-Toulon 3-6 en fin de match et sans cassis ? 
Avons saisi la requête Ginette, mais en ces temps de fraîche saison l’index est un peu gourd, le majeur minus, l’annulaire rétif, le pitchou bien planqué avec ses congénères dans les poches profondes près du gîte à bijoux, où la chaleur diffuse son lot d'électrons caloriques. Le pouce idem fait sa pose afin de savourer un repos somme toute nécessaire pour récupérer des chicores d’hier, tenir la saison entière sans blessures majeures. Sommes donc pépère au Toshibastringue... on va pas balancer non plus tout le jus avant les finales et les tournées manèges d'été. En sus on se tape les Tri nous, sous un soleil de chameau, plein Juillet, quand tous les gaziers de Navare se la coulent grassouillets en tongs et moule paniers voire total aoualpés en sirotant des mousses
sous des huiles de palmiers 
au bord des zeaux salées 
.... de l'été !!!
Alors calmos les aficionados !!!
A trop tâter du pré on risque la déchirure des ligaments... on fatigue les cuissots puis on se retrouve indispos à remplir les infirmeries comme bon nombre de joueurs outre-sollicités par un calendrier épuisant. Sommes pas payé par les clubs, sous la bottine de la ligue, ni au service de la FFR... saviez toussa... pas gladiateur nous, pour des sous... juste l’enveloppe charnelle nous zimporte aussi mesurons nos efforts. Faut se préserver si on veut durer, rester toujours numéro un... comme disait la chanson !!! Et puis savez que peu nous chaut le mini golf, baby rugby, et autres loisirs qui nous hibernent plus qu’ils nous fouettent les sens.

On apprend que le match France VS Angleterre prochain sera diffusé dans certains cinoches en 3D... amusante l’idée... manquera plus que la combi avec les capteurs pour sentir bien les coups...  
Au pâtis comme si vous zy étiez !!!! Dans quelques années les mastards ne seront que des avatars qui pourront s’entrelarder sans retenue en évitant les bobos. On ne distinguera pas qui du vrai, qui du faux... les bastons seront scénarisées avec metteurs en scène et producteurs à la clef, ce qui du reste semble parfois être le cas.  
On ne dira plus 
composition de l’équipe,
mais casting des gaziers !
Du vrai spectacle on vous dit sans amoindrir l’abattis... le rugby ciné est arrivé avec de vrais faux morceaux de moments vrais, de faux vrais mensonges de vérité,
de vraies fausses chicorées plus saignantes que des plaies !!!
Yaura du produit dérivé tous gabarits... peluche on a déjà, celle à Chabal... bientôt le lacet Michalak... le fourre précieuses Marconnet... le vide bonbons Tartempion... Et puis bien sûr des zoscards pour les plus belles peignées... déjà le centre Jaque Fourie de Sudaf Production vient de recevoir de L’IRB le trophée Bonux du plus bel essai de l’année ! Hé hé ! N'importe nawak !!! Merci pour le collectif !!!! A quand la palme du brushing le plus résistant après placage perforant ? La crème qui colle pas aux crampons après piétinage des filets mignons, gratignage du croupion ?  
Le pâtis le plus en feu avec de vraies gouttelettes de Lisieux ?
© Le Pilier

03 mars 2010

RUGBY FANFARE

Et XV symphonique
Pas la première... ni la dernière ? fois qu’Hook le couffeur balance une longue passe quand la défense adverse est très proche... envoyant cette fois Palisson à l’essai tout fait. Quel empaf !!! Deux interceptions pour les Bleus, deux essais. Certes les Français dominent devant en première période, même en touche, c’est dire le niveau des adversaires. Avec un ouverture de fermeture comme Stephen Jones qui leur plombe tous les matchs, hors les agassins, des centres sans aucun génie, les Gallois ne peuvent rien construire de bien surprenant. Lisibles, font toujours les mêmes figures en attaque... hors Shane Williams... et ce depuis leur dernier Slam. Pourtant les Blous se déconcentrent, rament en seconde période dans un océan de rouges déchaînés qui finit par déborder la digue... 
Hors les interceptions, pas génial notre collectif... on se retape du drop en début de match, heureusement loupé... (On dit ça because s’il le met, nous en rebalance deux ou trois de plus)...
des chandelles inutiles en veux-tu... aucune attaque dangereuse à proprement parler, construite, ferme, tacticienne... rien de toussa. Un peu lourd ce rugby... sommes bien en Europe. Plus pépère, plus bermuda, plus lent, plus bob, plus flottant, plus gabégique, plus flegmatique, plus tong, plus camping, plus liquette, plus string qu’évidemment le rugby des masters du grand Sud... plus pétanque en espadrilles que déferlante en escadrille ouach !!! Ça y est, sommes au niveau du bas chapeau avec nos vannes Cinzano.
Un rugby fanfare donc...
pas du XV symphonique...
sympa le dimanche, roulements et trompinettes olé... ça mumuse un temps... mais si tu préfères la 9ème de Beethov, si tu kifs son quatrième mouvement tu peux pas vibrer sur les timbales de la clique... le bordélisme comme en seconde période, la décomposition du groupe tel qu’on l’a vu... bref, ces couacs en veux-tu sont impossibles chez les grands compositeurs de pré... Non, non, c’est quand même un peu léger toussa... des deux côtés de la manche... sympa, mais tournoi quoi. 
© Le Pilier

28 février 2010

DU GRAND CHELEM

Pour nos cousines
Les Bifs ne manquent pas d’humour... on les apprécie entre autre, beaucoup pour ça. Les vannes sises en notre bafouille d’hier étaient le fait de véritables fils de couine authentiques qui n’hésitent pas à se poiler d’eux-mêmes, validant ce Tommie’s spirit comme sel de conversation, gage d’intelligence, mise en relief distanciée d’un quotidien prosaïque...et tartines d'autres choses.
Un gazier de tous connu, pitaine des vainqueurs de la CDM 2003, coach officiel de la team Rose Bif actuelle, bien fendard, nous gratifie d’une merveille de lucidité à se faire péter l’abdominal ceinture en nous décapant les zygos. Johnson, son nom de star et de comptoir, lors d’un interviouve d’après joute contre l’Irish, s’exprimait ainsi : « C'est le genre de rencontre où les deux équipes peuvent l'emporter et qui laisse le perdant effondré.  
Dans un jour humide comme celui-là,
on a peut-être eu le tort de trop jouer. On a perdu de nombreux ballons.  Il faut jouer du rugby efficace,  
pas du rugby sexy !!!!!» (Authentic sic).
Du rugby sexy ???? Ouarf ouarf mazette et goupillon de chez dilatation des rates.Tu parles Charles du rugby sexy des Britons. Ce doit être la joie au Dunlopillo dans les foyers Anglais... pas foto là... elles ne peuvent se contenter de ça... impossible... faut absolument faire quelque chose pour ces dames les gaziers de France. Allez hop,
jouons du mirliton pour ces minouches en manque de tout... enivrons ces ycelles au gragratouillis chignonnet... faisons tétiner le père François... destinons extrêmes onctions à ces luzernes abandonnées... brandouillons ces monticules au groin... moulinons ferme, il ne sera jamais dit qu’un Français de race délaisse les fondamentaux quand le jour est humide comme une fontaine de Vénus !

En Angleterre en effet, rien n’est fait pour les femmes... pas même les hommes. On savait pas toussa. On comprend pourquoi les pauvrettes reluquent de l’autre côté de la manche, pays mondialement reconnu pour son hégémonie en matière de concélébrations, rêvant du french lover quand elles s’adonnent aux joies frotti-frotteuses que la solitude impose comme ultime distraction ! Ach ! Et puis l’intro tubesque d’All you need is love des Beatles, c’est bien une chansonnette du coin non ? Marseillaise et trompettes... à nous la palme gracieuse, ainsi l’évidence, la reconnaissance mondiale de nos vertus ! Yeah ! 
Tous aux dames !!!
Presentez pilum !!!
Jouons leur du grand Slam à faire pousser des cornes à leurs Jules qui s’empâtent encore sur la couine couronnée d’innombrables lustres... montrons leur que notre tour Eiffel en acier trempé est largement plus pérenne que la prétentieuse Big Ben aux clochettes flapies !
Notre réputation est en jeu...  
faut gagner le Chelem 
et rapatrier ces bergères en perdition !
L’Europe c’est aussi et avant toute chose  
la solidarité,
la fraternité féconde des pâtis...  
le devoir de rassasier les appétits !  

Ce qu'est le rugby sexy ?
Le rugby gagnant... tous les cœurs pardi !!!
A bons entendeurs les grands sonneurs !
© Le Pilier

27 février 2010

LA QUEEN COUINE

Le trèfle jubile
Belle victoire des Irlandais sur le pâtis mollasse de Twickenham... 16-20... face à des pines de Bifs gavés de bouillante eau fadasse, de maladresses, pesanteur gras du bas, de la carafe, du mollet... pratiquant un rugby d’antan,  
lourd devant, rien derrière !
Bon c’était l’heure du thé, faut pas leur en demander trop... ça sentait le pudding au ketchup haricots à la crème blanche... feraient mieux de faire jouer des gaziers culottés, jeunes, tempétueux, genre Cipriani pour donner du vent frais au lieu de les laisser partir en Australie !!!! Ça manque sacrément de génie dans les rangs... pas dans leurs cordes dab, on sait, mais là ça dépasse nos désespérances... Une blague qui trottine plus vite que les trois quarts de la triste Couine :  
En Angleterre, 
si c’est chaud c’est de la soupe, 
si c’est froid c’est de la bière !!!
Ouarf ouarf, poilant !!! Savent plus tâter du cuir ces empafs, pas bon pour nous ça... pour le coup même si loin de nos habitudes les pronostics, on ne voit pas comment les Bleus pourraient laisser échapper le grand Slam. Sommes hyper supérieurs dans tous les domaines... total out les Tommies, lents comme des chenilles processionnaires... se passent le ballon sans jamais cadrer un adversaire, galopent en travers... essaient lamentablement de transpercer une défense Irlandaise impénétrable en percutant comme des bœufs, et devant, des zenclumes sans caboches. Pour l’anecdote, à dix minutes de la fin est apparu sur l’écran une statistique, 19 placages pour les Blancs, 96 pour les verts... ont du p’t’êt’ ben se planter un brin... mais ça dit tout. La bande à O’Connor a superbement joué le coup... hyper hargneuse dans les rucks, maligne en touche... clôture sur un bel essai de l’ailier lancé fond les cannes pendant que les avants Anglais laborieux, labouraient encore le green de leur insatiable entêtement à jouer sur des vieilles combines... bouffer du green dans des rucks de vieille école. En sus n’ont plus de pack performant pour ça... Alors ? Faut les pilonner ferme, pas de quartier... même si un match jamais ne se gagne sur le papier, parions sur une ratatinade sans quartier. Avons des gaziers d’un autre calibre tout à fait capables de leur donner une leçon. Si la Couine n’est plus en mesure de nous tenir tête, faut lui aplatir la couronne... ya pu d’Europe sinon... Allez les Bleus, laminez-nous toussa, sinon on finira par croire ces mauvaises langues qui racontent qu'en Angleterre,
rien n’est fait pour les femmes... 
même pas les hommes. ACH !!! 
Pour clausule, une palme au gonze de tous les diables auteur d'un match d'enfer, le troisième ligne centre Jamie Heaslip... sur la tof... belle bestiole l'Irlandais... avec O'Connell, O'Callaghan et consorts... ont O'pressé l'épine de rose à lui faire rougir la lune comme un croupion botté !
On reviendra sur notre victoire contre les Gallois sous peu... allons tout dab flatter du pralinet avec nos gisquettes, faire sauter le bouchon en préfigure de grand Slam ? Vlam !
© Le Pilier

26 février 2010

GALLES 20 - FRANCE 26

OUF !!!!
La question Bibici d’hier, sise en son site.
Can Wales derail the French Grand Slam bandwagon ?
Les poireaux Gallois peuvent-ils faire dérailler les Blous wagons avant la gare victorieuse du grand Slam ? Réponse non...
S’en est fallu pourtant de peu pour que les Rouges ne réitèrent le match poursuite contre les Ecossais... Une minute trop tard pour espérer gagner, l’hyper sup Shane Williams, le grand petibonum du Millénium plante quand même son 50 ème essai en match international en trompant pas moins de quatre Bleus. Un record derrière Campese le phénoménal Australien et ses 64 tries. En sus est partie prenante sur l’essai de Halfpenny avec une superbe passe ajustée de plus quinze mètres... un sacré joueur le gonze... 1,70 m pour 80 kils.
Quand on nous tartine le cortex avé ce rugby moderne des gros gabarits, ça nous poile les abattis. Le rugby c’est de l’évitement, de la vista, du beau geste, de la technique... en premier lieu.
Les Bleus remportent le match 20-26... mais dominaient à la mi-temps 0-20.
Qu’est-ce qu’ils ont foutu ?
Faut-il qu’on en cause Lulu ?
© Le Pilier

25 février 2010

LE GRAND PETIBONUM...

... du Millenium
Julie retapée, consolée, fermeté retrouvée, une douceur timide accompagne quelques ondées éparses de saison, dévalant régulières l’azur, préfigurant le printemps tout neuf et son cortège d’éclosions. Sophie bonne fille, n’a pas lésiné à mettre ses menottes à la pâte... feuilletée... s’enticher du réconfort de la revenue, badigeonnant greffier de savantes et mesurées palettes... et par le fait avenu, assurant l’essor vibratoire de sonorités libératrices. Yep !!!
A la mesure des attentes communes, en première ligne du grand ruck, d’évidence Pilier comme doit tint son rang, zénithal, bla libéral... va-ça-vient périodiques, grand jus, pirouettes, funambulisme, concélébration des fuites pleines de grands sentiments vigoureux !!! Ach !
Bilan des échanges ? Harmonie des mélanges, retrouvailles de Julie avec les fondamentaux existentiels, débarrassée pour un temps de ces incommodes spéculations qui obombrent l’enthousiasme, taraudent cogito, détournent l’esprit de la Dionysiaque vertu, la raison du droit chemin, le pilon du baldaquin... tsoin !

Toussa bien beau mais demain soir ya baston. Comme savez tous nos Blous affrontent les Gallois au Millénium. Prenables nous semblent ces derniers eu égard aux précédentes joutes. Même si le match contre l’Ecosse fut rebondissant, incroyable question suspens, les Red poireaux sont loin du grand Top. Sans Shane Williams auteur d’un match remarquable, de tous les bons coups, replaçant son groupe dans le sens du vent favorable... sans les cartons jaunes Ecossais, les blessures de Paterson, de Parks, celle grave de l’ailier Thom Evans et autres anicroches engendrant l’abattement des Kilts en tête toute la durée du match, la donne eut été différente. Shane plante même l’essai de la victoire après la trompette finale. Au Millenium Stadium... gaffe au petibonum !!!
Mais les matchs se suivent et ne se ressemblent pas forcément. Nos cocottes ont largement de quoi rivaliser avec ces poireaux en baisse régulière depuis leur dernier grand slam. Un bon test pour l’adage... jamais deux... sans T !!! Hips !
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20 février 2010

TWITT A TOUTE HEURE

Reviens, va-t'en !
C’est l’hivernal frimas. Plus de pâtis où livrer sa baston, de quoi poser l’abat, refaire son jus, nutritif, pensif, pause holly. Yep !!! Julie, de retour professionnel d’une longue virée, s’enquit d’apposer ses intimités at home, because yavait lurette qu’elle n’avait pas tâté du zénithal dialecte, re côtoyé enfin ce qu’il y a de plus matou, de plus pur, supra tout... le concubineur magistral, l’aussi dur attentif dans tous les moments doux que la lune au lupanar est un soleil sans flou... arg... qui cause, impose, écoute, s’enquiert, conserve du sang froid même quand l’Hosanna du sanctus sous rebonds vibraphoniques ébranle jusqu'à la sacristie. Yep !!!
Envoyé... c'est l'extase ! Allez Lou... ya de quoi !!!
La bestiole ondulante, thèseuse es pâtis, d’assise patentée, d’épatante amplitude et de souffle tranquille, au rein solide à supporter ce Blog, en prit l’attentive mesure et reçut comme doit la féminine bouille en manque de relief. Fatiguée disait cette dernière des poussives analyses, des petits bras chétifs, des minus, des plats, démagogols, finasseries oiseuses, fiottes, petits gonzeurs, les ceuss qui font du lard avec des riens de Blous, qu’ont peu dans le matos, ces Mickeys sans logos qu’ont que l’oreille dressée, tous ces pompeurs d'idées qui viennent jusqu'ici faire leur petit marché !!!! Bref de beaucoup épuisée, elle exprima d’un coup :  
« C’est plus sympa chez toi 
que chez partout... 
T’es majeur, 
t’es même quasi tabou 
tant t’es tout !!!! »
Un sic de chez dixit que ne contredirons pas, même si n’avons pas saisi totalement la teneur parfaite de la saturation ! Quelle vie la Julie a-t-elle mené sans nous ? D’où vient ce raz fondamental somme toute inévitable quand le regard est critique, la raison éclairée comme ça transpire chez cette merveille d’atouts ?
Bref, pas du genre patho-modeste à copiner avec les somaties néphrétiques du baladin Brassens s’excusant quasi d’être ce qu’il est, laissant l’entourage niais abuser de sa bonté, écoutant les sornettes, ultra gêné le bonhomme du cirage excentrique répandu en son autour... savons mettre la distance nous, faisons la part des choses, acceptons ce qui est. Sommes zapparu sur la bloue rondeur pour respirer fermement notre quota ! Assumons donc ces vérités émises par ycelles honorées, car c’est nier un sujet que de n'point considérer la joie de ce qu’il entrevoit !
Pour dire quoi au final ? Pas plus qu’un twitter instant de vie, quand la luzerne embaume de retrouver son huis, qu’on laisse tomber le cuir, balance ce qui débarque en opinant du chef sur la valeur du lieu, de la toile qui dévoile l’indéniable et vibrant territoire... hors le temps... de ces reviens, va-t'en, qu'on déguste en soufflant... allez allez, éteins une à une les lumières... tatoue-moi dessus... la peinture au couteau c'est beau... quand la lame est nue*. Hue !
* Boris Bergman
© Le Pilier