05 septembre 2010

AFRIQUE DU SUD VS AUSTRALIE 39-41

Grands pâtis
Au réveil Justine fiévreuse insista pour que son gazier retourne dare à la luzerne... pianote avec ses doigts zélés encore et encore sur les touches sensibles... afin de rendre compte de la dernière partie du samedi 4... chaude et puissante... bitouine  
du Bok compresseur 
et d'l’Ausssie cavaleur. Hips !
Toujours disposé pour satisfaire un désir que seul l’épuisement pourrait mal atteindre sinon indisposer, soucieux de ne pas trop laisser en suspens cette gente avide de fraîches bagatelles, pertinentes et légères comme les profondeurs d’une psyché en orbite mouvante autour de l’ovalisphèrique contrée... altruiste que nous sommes sans lésiner sur le clavier dispos, nous acceptâmes donc la proposition, car il vaut mieux parler pour dire quelque chose que de se taire pour désespérer une attente que l'absence indispose ! Arf !

Du mastoc cette baston... deux styles bien différents pour au final récompenser quand même les plus impétueux, transmetteurs, fougueux... Aussies en l’occurrence... qui ont assuré la revanche, démontrant qu’ils sont tout à fait capables de pratiquer un rugby d’ouverture avec de vraies belles attaques audacieuses... parfois de leurs 22. Cooper nous a gratifié de superbes passes sautées, bien en avant du trois quart ultra lancé... comme on aime... accélérant la course même du gonze... figures invisibles en hexagonie... impossibles même ?

Une légère digression pour la cause. Une amitié discrète, manager de cadets dans un grand club tricolore nous assura dépité que les jeunes n’apprenaient pas à faire de passes... qu’ils travaillaient essentiellement des combinaisons, mais point le geste à proprement parler. On se doutait du fait en voyant le niveau technique de nos cocottes,  
de notre championnaze... mais là, dit et affirmé par un homme du terrain, plus le moindre doute... si tant est qu’il en exista l’ombre d’un fétu de brin d’un seul. Ach !!! Ya d’l’incompétence icy... les gonzes sont costauds mais ne connaissent pas les fondamentaux. Le geste en premier lieu, la passe, la transmission, le placage, la récupération... avant même de penser aux combinaisons !

Zavez vu cette élégance de Matfield, lancé, tapant d’un pied mesuré au dessus de l’adversaire, récupérant le cuir pour le refiler à son coéquipier Fourie qui aplatit entre les perches ? Jamais de ça chez nous. Une seconde poutre aussi avisée, technique, futée... qui joue comme un trois quart malgré sa grande stature ? C’était parfait, ça relança les Boks en fin de première mi-temps... peut-être même leur plus bel essai.

13-31 donc aux citrons. Pire que la semaine dernière... on a bien cru les Boks dans les choux. Pourtant remontent en force pour mener au score... rouleau compresseur... sans jamais donner cependant la part belle aux trois quarts, bien  
plus physiques que veloutés !!! Hé hé ! Non, malgré une seconde période difficile pour les Australiens, ont su résister à cette débauche épatante Sudaf jusqu’à planter un try alors qu’ils jouaient à quatorze pour cause d’éviction d’un avant.  
Bravo, fallait du cran... et surtout cette envie de transmettre le cuir à la main, sans tataner comme des bourrins, démontrant une nouvelle fois que c’est la seule manière gagnante, durative, l’essence même du rugby que la circulation aux paluches du module oblong. Merci encore les Blacks qui en imposant un super niveau tirent les autres équipes vers le haut. La seule manière de pouvoir espérer rivaliser avec eux. Semblent enfin l’avoir compris les Aussies... en démontrant qu’en ont tout à fait les moyens. De bon augure toussa... une distance plus grande prise sur la vieille Europe qui jamais ne produit un tel niveau de jeu pendant 80 minutes.  
Là, pouvons pas lutter, l’écart se creuse comme un gouffre amer duquel ne sortira que l’ennui, déception, ratatinades, dévolution... carbistouilles... ouille ouille !!

Transmissions vivaces, précises... cannes véloces... les figures marquantes de cette joute. Les demis de mêlées des deux équipes vous balançaient le cuir d’une rapidité effarante. Avec autant de belles passes, avons largement kiffé... presque suffisant pour nous la beauté de ce geste. Grand champ comme petits espaces... raz du pack... on adore... le vrai rugby... le vrai souci... imparable ça... ça vous désorganise l’adversaire... ça crée de l’espace n’en déplaise aux baratineurs qui prétendent qu’avec le « ruby » moderne ultra défensif, on ne peut plus voir de grandes envolées. Des clous les minus... n’y panez rien à ce jeu... 
Ya toujours quinze gaziers en face 
et le cuir ira toujours plus vite que le bonhomme !!!!
Matez les Tri nations... apprenez... s’il vous reste deux neurones pour encore piger les fondamentaux du collectif.

Au final donc l’Aussie l’emporte (avec cinq essais à la clef) dans les dernières secondes, d’un coup de pied magistral de leur arrière Beale. En face, les Boks possèdent un sataneur hors pair... faut l’avouer, mais qui les plombe tellement dans le jeu à la main qu’il ferait mieux de ne pas miser sur lui.  
Le problème de ces grands buteurs qui n’organisent rien. Comment s’en passer ? Ça nous rappelle le Gallois Neil Jenkins... recordman un temps du nombre de points marqués... jamais les Gallois n’ont aussi mal joué quand il officiait à l’ouverture... se faisaient ratatiner chaque années dans le tournoi... pour ceux qui ont bonne mémoire... nul dans le jeu, comme en défense, Jenkins plombait l’équipe qui misait sur sa botte... sans progresser. Steyn est moins pire, sommes ok, mais n’insuffle rien de déterminant balle en pogne. Ça les dessert au final... faudrait qu’ils pigent ça... même si difficile en effet de se passer d’un gonze qui passe absolument tout entre les perches... 100 pour 100 de réussite... tant pis... le jeu tout dab... le pied ne suffit pas ! En sus n’ont pas de centres malins... leur style tout en force retombe peu à peu dans les travers d’avant-hier. Pas comac qu’ont remporté les tri la saison dernière, ni la CDM.  
Alors De Villiers ?
Qu’est-ce tu ronronnes ?
Pas tiré les leçons des victoires ?
Not easy ça de saisir pourquoi la gagne !!! La classe sup des grands généraux ça !

Faudrait causer de certains joueurs très en vue comme  
le flanker-gratteur-défenseur du tonnerre Australien Pocock aux biceps d’acier... sacré match le gonze... faudrait causer plus de chaque... du jeune O'Connor qui se bonifie au fil du temps...un match comac c’est du roman trépident... mais ça prendrait des plombes.
A suivre alors ? Contre les Blacks samedi... assurément !
© Le Pilier

31 août 2010

DELTA BLUES


Delta groove au réveil d'l'abattis... sous la douche... telle l’humeur du Pilier en prise avec les muses vivifiantes. Mississippi song des blacks guys qui transpirent le swing... même sans cuir entre les paluches. Connexion des membres qui vous assure parfaite mobilité... hé hé. Savourez ! © Le Pilier

29 août 2010

PLEIN GAZ

Le film du match
Tu parles Charles d’une entame de feu. Genia plante son essai suivi d’O’Connor... 14 zéro après quatre minutes à peine de jeu pour des Kangourous à ressorts. Réfutant l’assommoir, les Boks répondent illico par un essai du génial flanker Smith 5 minutes after. Sur le renvoi de Cooper, Habanna couffe à la réception, fait un en-avant qui profite O’trépident O’Connor, re-try, re 14 pions d’avance. Les Boks ne se démoralisent pas, Steenkamp à la quatorzième aplatit. Après un quart d’heure de jeu cinq essais au tableau d’affichage un peu surmené.  
Vont lever la patte les gaziers ?  
Des clous Marilou... à la 26ème le seconde poutre Wallab Mumm engrange son essai. Loin d’être abattu, Spies après un beau mouvement de son demi de mêlée, lancé comme buffle s’écrase dans l’en but, entre les perches. C’est la 32ème minute.  

Score aux citrons 28-24, tout épaté étions, souffle court... peu habitués à ça. Ouf !!! Vont pas tenir 80 minutes les mastards... nous non plus !!! La suite prouva le contraire, étions vraiment d’attaque hier... comme la nuit en témoigne...  
vrai Pilier zénithal de ces dames...
faut dire qu’on a du Tri dans les cannes nous depuis Juillet... pas farniente le gazier... les poumons ventilent éoliens... les secousses nous font mousser sans perdre pied... c’est quand même pas une première ligne de trois girondes déterminées qui va émousser le flon-flon du Gaston... au ponçage du goupillon maîtrisons savamment l'élévation. Ach !!! On reprend son souffle. Les filles en pâmoison devant l'intraitable pilon savourent la suspension... on s'active aux citrons... vitamines bien C... retour au pré !!!! Hips !
Seconde mi-temps.
Dix minutes à peine et deux pénalités encaissées de chaque côté, François Steyn conclue une grosse domination Bok par un essai bienvenu. Tous les essais le sont direz-vous, mais ce dernier redoubla la confiance de ses potes qui passent en tête. Les Wallabs accusent le coup. 31 Toulousain aura raison de leur débauche... ne bougeront plus au score. D’autant que Steyn le François à nouveau, cette fois des arpions, passe une pénalité des 55 mètres et donne de la marge aux locaux. On s’est dit les Aussies assis sont cuits... vont payer ce début de match percutant. Pas vraiment... refoncent de plus belle mais font de vilaines erreurs en touche dans les 22 Boks qui leur coûteront très cher. Ces derniers tiennent bon dans leur en-but quand l’ailier Pietersen après une course de feu assomme définitivement les marsupiaux jaunes de fatigue

Quel match de folie. On peut remercier les Blacks d’avoir placé la barre aussi haute... même si moins affûtées, moins collectives en fait... les deux équipes ont fait circuler le cuir, sans tataner comme des sourdingues à refuser le jeu. Non, yavait d’l’envie ma Julie... même si Habanna n’est plus vraiment dans ses meilleurs jours... pour sa défense on dira que jamais durant ces Tri n’a été servi décemment. Son homologue adverse Drew Mitchell ne sait toujours pas se placer. Trop proche, ou trop en retard sur le porteur de balle... un détail qui dit bien ce qu’il doit. Pas un ailier le gonze... doit apprendre le B.A.B.A du placement... à ce niveau c’est impardonnable.
Les Boks ont trouvé un demi de mêlée du tonnerre, complet... Francois Hougaard... digne remplaçant de Du Preez blessé... incontestablement supérieur à Januarie. Sauva même sa team d'un essai quasi fait en faisant tomber le cuir des paluches de Ashley-Cooper à deux mètres de l'en-but. Belle figure.

Le Pilier à l’instar des gazelles résista à tous les assauts, intraitable, score gagnant... le thermomètre au beau fixe enflamma la chambrée, pour sûr un très beau début de fin d’été. Mais la messe n’est pas terminée... Samedi qui vient, revanche en Afrique du Sud avec les mêmes... retour donc au terrain majeur pour tous... au Dunlopillo pour les plus vaillants esquimaux qui ne fondent jamais avant le coup de sifflet final... aux malignes ondulations des plus palpitants fourneaux... Mouarf ! © Le Pilier

28 août 2010

AFRIQUE DU SUD VS AUSTRALIE 44-31

Tri grosse baston
Mazette quelle épate, quelle défonce, quel entrain... fallait du souffle pour suivre ce match du tonnerre de Bok... avec de l’Aussie batailleur comme une teigne, qui a bien failli créer la surprise tant l’entame était gloutonne... avec deux essais en apéro après 4 minutes de jeu pour des kangourous plus vifs que des gazelles. Fallait être très fort pour résister, remonter, vaincre la déferlante Aussie. Au final les Boks l’emportent 44-31... Mais quelle baston les gaziers... on se demande comment peuvent tenir un tel engagement avec des phases qui n’en finissent plus et ce durant 80 minutes !!! Sommes un peu d’la rotule... vu la soirée gisquettes qui se prépare faut qu’on se retape l’abattis pour clore un samedi vigoureux qui n’a pas encore fini sa folle danse des cuissots. Hips ! Dimanche bienvenu, faudra impératif conter ces frasques à pâtis sans omettre les figures majeures, les mouvements, les heurts, les élégances, les p’tits heurs. Faudra... impératif !
© Le Pilier

TRI NATIONS SUITE...

Et faim...
« Lorsque François Steyn jouait en Afrique du Sud, c'était le meilleur arrière du monde... ce n'est plus le cas. Je suis très inquiet au sujet de Frans parce que le niveau de jeu là-bas est très faible... Les gonzes qui jouent en Europe ne sont pas dans le rythme de ceux qui évoluent dans le Super 14 » Hé hé... Dixit et authentique Peter de Villiers coach des gazelles Sudafs.
Ben mon lapin voilà du langage sans faux col...  
franc du collier, clair, net... et manifestement correct. Sauf en un point. Steyn n‘a jamais été un excellent joueur à l’arrière... là tu pousses un peu Peter... meilleur arrière du monde entier de la planète ? Tu t'emballes les connexions mon Gaston !!!
Mais pour le reste, qu’il se gâte le cuissot et l’arpion sur nos pâles pâtis n’a rien de surprenant. Faut pas venir chez nous les gaziers... à la retraite passe encore... car on y perd son rugby à batifoler dans le Top. Tous l’ont dit. Pour les vacances pourquoi pas... une année sabbatique, artiche aux fouilles... mouais...  
mais pas plus. On prend des risques à ce niveau... plus de cannes après la baguette, le cassoulet, Bacchus pichets, clacos bien louchés... les artères sont moins fluides, les belles passes sont oubliées, les gestes techniques tronqués... faut tout reprendre à zéro... arrêter le Cinzano... se remettre à l'eau.
Savez toussa, on va pas s’étendre.

Donc Steyn (François) revient dans la sélection Sudaf pour affronter les Wallabies et tenter de remporter une première victoire dans ces Tri bastons 2010. Chose tout à fait probable après tout. A noter aussi le retour de Cooper la classe à l’ouverture Aussie, un vrai plaisir... Giteau en premier centre c'est mieux mon n'veu.
A 17 heures donc, en direct d’Afrique du sud, une belle peignée en perspective... gageons que les Boks ne ratent pas passer l'occase de croquer les marsupiaux en civet !!! Arg !!! Doivent quand même bien avoir les crocs... impérativement gagner pour fêter la centième sélection de Matfield... conserver la tête de De Villiers ?
Rude partie en prespective pour les Wallabies, même si Rocky gets ready for the Boks. Znort !!!
© Le Pilier

24 août 2010

SPRINGBOKS EN PEINE

La déveine
Ouaip... le Bok doit quand même battre sa coulpe après ces dérouillées successives. S’amochir de la sorte tout soudain pourrait poser questions bien agaçantes. Car enfin !!! Vainqueur total en 2009 de toutes les rencontres en tri nations, royaux contre les Lions Britanniques... et là, paf... ça gougnafe, s'amollit, prend du jaune à répète, se vire Botha du groupe, recopine avec les vieux démons de la violence et l’ennui... même si la dernière rencontre nous za gratifié d’une vraie bien belle baston, digne de leur second rang du moment, surtout devant... comme en défense... même si derrière toujours le même problème que ressassons icy depuis lurette. Manque de fluidité, d’intelligence, de collectif, de grandes envolées.
Quand ne possèdent pas un centre de classe sup, capable de recadrer, créer des espaces... avec en sus un ouverture Steyn, habile des agaçins mais bien agaçant question jeu de pognes, les Springboks n’offrent qu’une partition rude, mais sans génialité. Habana ne reçoit jamais le cuir dans de bonnes conditions... a dû s’ennuyer ferme durant ces joutes... De Villiers du centre est costaud mais quand même bien bourrin du ciboulot... arf... l’arrière tatane des chandelles au zénith de son inconsistance... etc...  
Du violent dans les chocs, mais pas de grâce grandiloque ! Oups !!!

Souvenez-vous notre soulagement quand Jean de Villiers abandonna la CDM 2007 pour cause de chicane au biceps. « Maintenant ont de quoi les planter quasi tous !!! » nous étions écrié dans un élan d’intuition propre aux saveurs de haut vol, qu'un simple détail éveille, dont l’escadrille à réaction ne copine jamais avec les biplans du commun. Ne nous fourvoyons pas du reste sur le score tranquille de cette finale bien terne... lors des séries éliminatoires les Boks avaient planté quand même 30 pions à zéro de nothing à nos Bifs d’Outre Manche.
Si on ne nous avait pas spolié la vérité du pré pour causes artificielles, c’était contre les Blacks que les Boks achoppaient, comme ils l’avaient fait le mois précédent en tri dans toutes les rencontres. Mais des Blacks qui gagnent en 2007 avant de recevoir en leurs pâtis la planète ovale en 2011, c’est too much pour entretenir un suspens et laisser du grain d’illusion à moudre aux autres équipes moindres, qui faut l’avouer uniment sont quand même à des années lumières de leur niveau de jeu.

Non les Boks ne sont pas raides morts... un bon nombre de gaziers de haute stature manque dans la team majeure pour cause de vilénies, violence endémique occasionnant du jaune carton, blessures diverses... ce qui engendre toujours une désorganisation dans cette mécanique au demeurant bien huilée. Car nous ont quand même gratifié de superbes moments juste avant ce début de tri... hélas contrit ! Hips. N’ont pas tout perdu en deux mois les gaziers, faut pas pousser, aussi gageons que les deux prochaines rencontres contre les Aussies sauront, malgré un effectif diminué, les remettre sur la voie du succès... car il faut espérer selon toute attente qu’il retrouvent leur niveau pour quand même rivaliser avec les maîtres es pâtis, les divins All Blacks du long nuage blanc. Troupe qui possède un pack remarquablement soudé... distributeur permanent de cuir en veux-tu à ses trois quarts affûtés, emmené par un Capitaine Mc Caw au souffle épatant, un hooker Mealamu fascinant... sans jamais zomettre que causer d’un ou deux joueur NZ, c’est parler de tous, tant possèdent un sens du collectif, une solidarité volontaire, hors des communes espérances. Le tout nouveau Dagg est plus que prometteur... Nonu et Smith font la paire... les ailes, sans Sivivatu, planent légères sur le pré... même si Rokocoko n’a plus ses cannes de vingt ans... Muliaina assure les arrières... Carter tranquille rassure son groupe, même si moins d’exploits solos... Thorn un donjon... Woodcock un pilon... bref plus encore qu’hier peut-être, et ce malgré la perte de grandes figures telles Hayman, Williams, Jack, Collins... c’est le collectif qui a primé... une évidence pour eux, pour nous, puisque là, est première vertu du rugby. On ne peut mieux faire... mieux jouer, mieux dire. Le tout, une nouvelle fois, plus que la somme des parties.
A bons entendeurs !
© Le Pilier