02 mars 2011

TSEU PÂTIS

« Du positif pour l’avenir »
« Encourageant pour la suite »
« Je ne suis absolument pas inquiet »
« Un grand match »
" Des progrès"
Un succinct florilège de bla saisi un peu partout sur le flux... après le match contre les Bifs.
Ben voilà... si on prend pas une rouste avec une vingtaine de points d’écart, sommes happy dans la défaite moindre. Là, chapeau !!! C’est philo... bien vu les gaziers... après tout, pas sotte la posture.   Donc tout est pour le mieux 
dans le meilleur des pâtis ! Ach.
Ça promet de grandes jubilations, niveau Tao là, c’est clair, on rayonne. Tenez encore un sus du là haut Tseu, patiné de Pilier.
Qui se plie restera entier
Qui s’incline sera redressé
Qui se tient creux sera rempli
Qui subit l’usure se renouvellera
Qui se fait ratatiner remontera
Qui ne bouffe que pâtis 
conserve son appétit !
Qui boit la tasse sans chichi
met du sel dans sa vie !!!
Qui dans la rouste prend son pied, 
dans la soute reste éclairé...
Allez oups de arf, en voilà veux-tu, du nothing en bâtonnet vertu !
Le sommet on vous dit... les Bleus défient les cimes... ce mode de l’ultra présence spirituelle, irréductible aux formes de la présence corporelle, plus intime, plus enveloppante qu’une subjectivité, plus pérenne qu’une responsabilité, la giga transcendance des pâtis vous assure un paradis bien au-delà des prosaïques cantons du savoir... de l'assommante vérité... de la douleur du pré ! Yeah ! 
Rien gagner c’est ne rien perdre... 
Ne rien paner c’est jubiler... 
S’enfumer c’est conserver 
chaleur dans la teuté !!!!
© Le Pilier

01 mars 2011

DU GREVISSE AU GREVIN

 "Romantic Lievremont got it wrong.
How many years will it take French coach Marc Lievremont to decipher the difference between romance and reality? 'The Caveman' might light up the billboards but at Twickenham, he was more apparition than star attraction" etc.

Hé hé... bagatelle extraite d’une petite chronique Anglaise transmise par un pote... en substance c’est du quasi nous, à quelques signifiants près... between romance et reality... on aurait plutôt dit bitouine plâtre, béton, ciment, mortier et réalité nous... mais les Bifs c’est connu, ont plus de tact que le Pilier... Arf ! Question, how many years ? Là on lui répond sans crainte,
jusqu’à libitum mon petibonum !!!
Du reste devrions revenir sur cette notion ridiculeuse s’il en est « d’impact player » ! La figure la plus crétine de ce dernier lustre !!! On en causera later. On pourra apprécier le « light up billbords »... bougie Grévin... mais le cousin n'est p't'êt' pas au courant... ignore not'e propension au panthéonisme Disney qui modèle des poupées de cire ne sachant faire qu’un son : Paf ! Sinon crounch... grrrr... ga !
Jamais dans l’histoire du rugby n’avons vu une telle absurdité sur un pâtis... dont la notoriété frise l’indescence au regard de cette figure moult fois rapportée, visible on youtube, qui a pathétiquement contribué à ce délire édifiant. Quand l’empaf brise la machoire d’Ali Williams... bouche en sang.
Pas ça le rugby !!!! On aurait viré cette vidéo du net nous... degré zéro ! Au-delà de la dialectique expressionniste, guerrière, pratiquée en ce lieu, ou ailleurs, à des fins colorées, sinon ludiques... le rugby n’est, ne sera jamais, filer de grands coups de boules à l’adversaire... percuter comme un sourd sans soucis du collectif. Voir foncer un gazier bien droit dans un mur défensif... systématiquement, sans jamais de never tenter le moindre évitement, la moindre transmission de cuir, n’est certes pas un exemple pour nos moutards. Au-delà du gonze à proprement parler, le symbole investi par la meute populaire nous éloigne encore un peu plus des grands pâtis et partant contribue à la mise au rebus de ses valeurs fondamentales. Du Grévin certes, pas du Grevisse... Arf !!! Chabal ne sera jamais cité en exemple dans la grammaire du rugby. Hips ! Sinon dans la colonne, anti-rugby pré-hystérique. Celui des hommes caverneux à poils drus, matant inquiets des ombres dans le fond de leur bauge, enchaînés à leur ignorance, qui n’accèdent jamais à la lumière du jour. Ach !
© Le Pilier

28 février 2011

LA VÉRITÉ

Nuls !
Sommes nuls...
Densité... Fraîcheur physique... réactivité... bla du taf : Mensonges.
« Un grand match de rugby » dixit Lièvremont...  
Mensonge !
Ce qui nous fait penser à la longue que le gus n’y pane rien à ce sport, qu’il ferait mieux de siroter sa cannette en pantoufles dans son saloon avec bobone, et ne plus saboter nos forces vives totalement éparses, s’épuisant dans un rugby anarchique, gabegique, stupide, raz du pré, un rugby d’amateurs... qu’on se demande bien si connaissent les fondamentaux même de ce sport !
On vous enfume, vous aimez ça ?
Pas nous !!! Les Français n’y panent plus rien au rugby !!! C’est dit !

Qui sont donc les lecteurs du Pilier ? Des saveurs ? Pas possible autrement... sinon viendraient pas !!! Zêtes ok les gaziers non ? Sinon kès vous foutez là ?
On affirme : en sommes toujours au même point... ça ne peut changer because on connaît pas les fondamentaux. Simplex et définitif !!! On sait même pas faire une passe correcte... trois quarts lancés tout berzingue... cherchez pas...  pas que... on ne connaît pas les différentes manières de plaquer... on ne joue JAMAIS collectif... semblent paumés les gaziers quand reçoivent le cuir. Totalement nuls ! Tout le reste épiphénoménal à côté ! Impossible d’ébaucher même un semblant de système de jeu avec ça... où sans... c'est selon. IMPOSSIBLE !
Quand on voit un Poitrenaud, un Chabal... ne sachant pas réceptionner une simple chandelle.. bras contre la poitrine... D'ailleurs sa couffe passe en boucle sur une TV au Chabal... on l'a vu dans un rade. Des pros ça ?
Muscu en tronche, calendrier la fiotte... là sont rodés, pour le geste macash !!! Rien au cassis. Fini le geste, ya keu la frime !!!! Des pines !!!! Des truffes !!! Des bons à rien !
Passes, placages, collectif... 
transmission... tout oublié
comme la vérité. Plus rien à ajouter. S’il n’y a pas toussa, y’aura jamais rien. Si... un exploit parfois d’un seul, qu’on attend désespérément, qui vient de moins en moins souvent !
En sus, les Bifs étaient prenables... pas mieux pour nous... baby rugby toussa... si l’empaf d’Ashton prend à contre-pied Clerc au lieu de faire une passe foireuse c’est la re bérézina. Si vous aimez ce rugby tournoi ne cliquez plus chez nous... cassez-vous... on vous veut pas... allez chez tous les autres, les mateurs de flanby... les mous du rachidiens... les blogs minus de partout, les pantoufles, les cloches à merle... les foireux... les naves... les lépreux du bulbe... les zandouilles... les moules... les frigos !!! Ya pu que l’exil pour nous... via grand sud.

Quand on repense à ces contre-attaques dans nos 22 en se débarrassant systématiquement du cuir à grand coups de tatanes n’importe où... ça nous rappelait le rugby des Irlandais jadis... nuls, sommes nuls de chez Canal croupion. C’est pas du rugby, c’est une honte... une catastrophe... une décadence... une humiliation... voire même un péché ! Arf !!!!
© Le Pilier

27 février 2011

26 février 2011

AUX ARMES !!!

Fi du bla, des manques... même si la blessure de Médard est un sacré mauvais coup... là faut sortir les tripes et pilonner ferme. Allez les gaziers, pourfendez-nous ces Bifs... ratatinez l'épine, piétinez ces râbles, ces jambons gavés probablement de bouillante eau... qui parait-il donne un exquis goût à tout... même à la défaite ? Arf ! Allez allez, une rasade de Panoramix potion et faites sauter les casques !!! Faut plus barjoter là... on fait couiner la Couine là... que Dieu la save s'il veut, on lui file un coup de main,...on te la fait monter  au septième sans ascenseur ! Ach ! On fait courir ces gros dont on nous tartine les esgourdes avec leurs gabarits... Tindall en confettis... Ashton bien au buffet... faut les sécher !!! Aux cannes les plaquer... pas jouer la chippette du cuir... dab on les fait tomber... net... après on dispute la balle... toutafait prenables sont... allez allez... on leur fait jaillir le houblon des artères...vous nous les tuez dans l’œuf... mais correct... hé hé... on s’en balance de savoir qui va gagner, tant que c’est nous !!!!
© Le Pilier

25 février 2011

MISE AU POING

Ce ne sont que des Bifs !!!
... pas de quoi s’esbaudir donc... ni se laisser impressionner ! En avions vaguement causé après leur premier match contre les Gallois : Affreux ! Un match lourdingue, pesant, stupide et fat... sans attaques sans rien ! Un des pires jamais vu... Archi nuls les gaziers d’être aussi moches !!!!  Des murs dans des murs... Alors vont pas nous frimer non plus. Pour nous, sur du bristol, sont tout à fait prenables... si on était à la tête du groupe, verriez ça un peu... pas de mystère pour contourner ces masses à pudding... on te les cloue nous à chaque rencontre, on connaît leurs points faibles... comme eux les nôtres certes... et là sont plus malins c’est vrai que nos gaziers pas très futés de Marcoussis... le jour... et du Crazy... la nuit... Ach ! Bref. Le rugby c’est une question de tête... il en faut au moins chez les centurions... on a que des casques nous... oups !!!

Notre mêlée fermée tient la route... tout le monde l’archi répèteu... le problème c’est justement qu’elle est bien fermée... on ne doit pas se contenter de ne faire que la tortue. C’est fini ça... c’est rugby papy ça. Sommes rassurés en hexagonie de ce défffi physiqueu !!!! Ça fait partie de la tradition... on aimeu ça... on se régaleu quand ça bétonneu... ligne Maginot voyez ?   
On jubileu, on pousseu tous au cul des gros avec enthousias-meuh !!!! 
Les joueurs aussi se plaisent dans cette phaseu à s’astiquer le râbleu. Mais c’est un moment bref... ya d’autres figures tout aussi importantes voire plus à travailler. Question technique, dynamisme, enchaînement, suivi, déboulée, soudure... vivacité d'exécution... dans les rucks... les sorties, open, fermées... ça achoppe sacrément. On s’épuise dans les regroupements... ya débauche d’énergie dans tous les sens... on est chaque fois effaré de voir ça... on ne sait pas récupérer... on ne sais pas doser... soutenir parfaitement dans l’axe... pardi on manque de caboche, de technique... de poumon ?  
Les gaziers sont dans le rouge du reste dans le dernier quart d’heure... sinon avant. Foutoir... et le cuir ne sort pas vraiment net. Comme le disions dernièrement, Parra doit souventefois l’arracher aux pattes des gros... ya pas salon devant lui... pas vraiment soudure nickel non plus... ya bordel. Pathétique notre jeu si on veut bien y regarder... on a du mal à bien enchaîner... à faire circuler devant, sans tomber la balle... avec aisance... répétition. Dusautoir est sympa, en défense... mais balle en pogne est un peu limite... pas une flèche quand même. Ok c’est vaillant... ok ya du cuissot... en première ligne du rein... mais ya tant d’autres figures à travailler. C’est justement because la mêlée bien fermée a du râble que les manques à côté sont flagrants... inacceptable !

Techniquement en sommes à la charrue... et là on assure quia du taf... ça vient du Top 14 toussa... on le dit répète, sommes archi loin des grands terrains... c’est pesant cet amateurisme... cette vieille mentalité qui phantasme encore et toujours sur ce qui est lourd, gros, et non pas fluide... plein d'aisance... vivace et perpétuel... Arf !

Bon n’avons pas vu les Bifs contre les Macaronis... pas not’ kif ces grands écarts... ces matchs à records pour tronches d’os... le plus d’essais pour cézigue... la plus grosseu gifle pour çuila... et puis les Berlusconi sont trop nuls de toute manière... ça plombe le champ Européen... chaque équipe va se rassurer chez eux... même histoire chaque tournoi... c’est pas les 59 pions qui nous impressionnent. Du flan toussa... à la bouillante eau avec un nuage de lait... de chèvre... à jeter dans les choux ! Oups !
© Le Pilier

24 février 2011

CRAZY HORSES

Que le Pilier dans cet élan badin, figurant certaine excitation avant le Crunch annuel, s’emploie pour motiver la troupe à balancer quelques vers de râble hyperbolique, sans pour autant atteindre les cimes Delphiques, ni rivaliser avec les maîtres du genre épique... que de fait, à surseoir notre astiquage ciblé on délaisse un instant la fonction nécessaire, ne saurait faire croire que le calot critique s’aveugle derrière cette passion naïve soumise à l’agitation du tricolore fanion, annihilant toute froideur qu’un esprit bien tempéré en passe de conquête, se doit de perpétuer, quelque soient les remous de la pré-réalité... surtout quand la baston est là, que l'assaut est tout proche. Arf !!!
Qu’on divague, qu’on s’enjoue, qu’on feigne l’espérance, ne taira pas non plus qu’un désir de victoire n’est point en l’orbitale conscience du gazier, bien que, plus que trophée, nous importe la forme, la manière, le progrès... maîtrise dans la durée. En somme, sans dépaler de notre voix critique on diminue la voile juste avant l’ouragan. Un temps pour tout.
Etions de cet état quand un gonze avec qui partageons des regards pour les kicks off majeurs, nous apprend que les Bleus, pour se distraire un peu, en groupe vacancier sont sortis pour mater les gisquettes légères du Crazy Horse à plumes, un soir décompressif. Oups !Tu parles d’une prépa... non mais, bonjour philo... le culturisme beauf pour des citrons minus. C’est pas ça qui va faire progresser notre quinze. Fada les canassons, vont y paumer du jus en sus de s'abêtir. 
Une troisième mi-temps 
avant même la joute ?
Mais bordel ya des milliers d’activités plus propices à l’éveil... à la préparation... à la concentration... la fluidité acerbe du transit neuronal... à l’affirmation d’un logos percutant... à l’emprise intentionnelle de la conscience mûre sur l’incertain demain ! Oups ! Déjà question carafe, qu'n'ont pas le feu sacré. Yaka les écouter... feraient mieux de se taire... pas des fusées les gonzes... des parangons d'esprit...  sont plus près de l'enclume que du fer Nietzschéen... toute une éducation à faire en ce domaine... et ya taf, on assure... ça peut pas nuire au jeu que cultiver sa tronche !
Que l’hors pâtis ne soit notre tasse de thé, va de soi... mais que les gonzes se divertissent dans ces boites légères avant le grand combat... non non, on ne s’étonnera pas après que
ça flotte au paquet... que les Bifs plus Spartiates remportent une fois de plus la bataille du Pénéloponnèse... ouarf !!! Une loi proposons pour mettre un terme à ça. N’auront droit aux fringantes mousmés, que les vainqueurs du pré... mais avant : abstinence et fermeté. Tous consignés dans la chambrée à lire des bouquins pour le maintien premier... les pieds, le machin, le râble les cuissots, ok, mais jamais sans la tête !!!
La détente aux gisquettes... après l’échauffourée !  
Et encore, si victoire.
Sinon rien ! Tsoin !
© Le Pilier  

23 février 2011

PLUME A BASTON

Alexandream
Que le raisin inonde les tuniques tommies,
Sous les coups martelés de la troupe ennemie,
La couine a des pâleurs sous le maillot diaphane
Et la rose s’étiole, elle plie, elle se fane...
L’épine se ramollit, l’ergot du coq se pâme
Ferme, impitoyable, éventre Twickenham !

Ouarf ouarf... Poésie de vestiaire dans un rêve improbable. Délirant, mimions le grand poète des légendes saignantes du siècle Alexandrin... tsoin !!! Prémonitoire cet élan poétique ? A voir...

C’était la nuit dernière sur le Dunlopillo
Le pilier entouré de ses deux nymphes, au chaud,
Rêvassait de chicore, de baston poétique
Sur la luzerne en feu de l’île Britannique.

La couine éperdue, dans un râle profond
Supportait vaillamment l’assaut de nos gaziers...
Mais nos rucks intraitables comme des éperons
Pourfendaient sans répit la reine surchauffée.

Sous les ondulations de la croupe solide
La sueur inondait le sol brûlant, torride...
Un nouveau jour brillait, la terre était vivante
Twickenham pliait, le cœur plein d’épouvante.

Se rebiffant timide de pâles javelines
Ne traversaient pas même l’azur de nos poitrines...
Le Bleu était partout, monstrueux, intouchable.
Comme un aigle en son aire d’un œil impénétrable
On dominait la plaine et le soleil brillait... yeah.

Mouais, bien beau le sommeil d’Austerlitz et sa poésie lourde mais l’espoir n’est pas tout. Faudra sortir la tripe, le bicorne, l’épée... ne pas se contenter de faire la tortue avec ce pack bien lourd, les roses Bifs nous attendent en gare de Waterloo... avec ferme intention d’repiétiner Napo ! Hips !!!
Gare aux Gorilles !!! 
Assaisonnons l’histoire 
de ce chant national, que la garde ni ne meurt, ni ne s’ébranle... mais laisse sur le pâtis une empreinte bestiale. Que les bras, les cuissots, les carafes, le cuir, composent une victoire comme une trompe épique claironne dans l’azur...
Ô bastons ! Ô dragons qui dans l'ombre nous lèchent...
rayons le ciel immense d'un ouragan de flèches... Ouarf !!!
© Le Pilier

22 février 2011

LIEVREMONT / LE PILIER... INTIMES !

- Driiinnng... Allo ... Pilier ?
- Yes... tiens salut Marco...
- Tu exagères avec tes critiques, t’arrêtes pas de m’astiquer... de javelliser les Bleus...
- Mouais... sommes juste soucieux... patriote quoi... et puis comme on dit... qui aime bien... tatata. Veillons au grain, voilà tout !
- Tu pourrais apporter un peu de levain alors...
- Ben mazette c’est ce qu’on fait non ? Tiens regarde... t’as fini par mettre Médard en 15... tu mets du temps mais commences à piger... Clerc à l’aile... pas mal...
- Ouaip j’ai suivi ton conseil en effet... mais je sens que tu vas encore t’échauffer sur Yachvili... suis sûr de ça... sinon Chabal...
- Pardi... t’as pas mieux dans les cartons ?
- Tu causes toujours de Dupuy, mais son pied est trop incertain... dernièrement n’a pas brillé avec ses copains rose croupion... irrégulier le gonze...
- En effet avons entendu ça... puis ne l’avons pas vu jouer... mais Yachvili c’est du mou... on connaît...
- Que Parra n’ait pas brillé c’est un fait...
- Tu parles Charles... en même temps on doit reconnaître que son pack ne lui déblaye pas suffisamment l’espace... ne le protège pas assez dans sa zone... ne lui sort pas le cuir proprement... doit souventefois l’arracher dans les pattes du ruck... ça aussi occasionne du retard à la transmission. Bordélique souvent cette phase... On a vu pas mal de bras irlandais le gêner... faut mettre un terme à toussa. Que les avants fassent loi chez eux et bichonnent le lutin quoi. Pour ce qui est de Chabal, maintenant qu’on le voit partout empublicité*... immortalisé Grévin, on pige que t’as obligation de le sortir de la boite. En huit tout manière c’est du mieux en effet... mais sommes pas très fan...
- Alors, tu nous encourages ?
- On fait ça tout le temps si tu savais lire nos bafouilles... d’une manière particulière en effet, sommes là pour pousser au croupion... à coups de lattes un peu... certes... mais dosés... avec précision et grande attention... puis n’avez pas besoin du Pilier pour faire des sacrifices au grand Dionysos... sinon à Mars quoi... sommes qu’un œil vigilent !!!
- Ben justement si... tout est bon pour se taper le crunch...
- Ok... tu veux du punch, c’est ça ? Ta dose d’amphétamine Pilar ? C’est bien pour te faire plaisir... mais ça reste entre nous alors... va pas raconter partout que tu nous a téléphoné pour te refiler du jus avant les Bifs...
- Ok, je garde ça pour moi.
- Bon... alors... selon la formule consacrée Pilier...
Allez les Bleus !
Allez les coups !
Allez les zhématomes !!!! Ach !
- Merci Pilar !
- De rien Marco.
- On se prend un jus après la baston de samedi ?
- Ouaip... si tu gagnes ok ! Sinon je sors l'artillerie lourde...
- J'en attendais pas moins...
- A ton service Marco... toujours un plaisir...
-Bip... Bip... Bip... Biiiiiiiiiiiiip !

En substance, une intimité partagée ce matin avec Marc Lièvremont. au bigophone.. juste après l’annonce de sa compo EDF. Ça reste entre nous bien sûr !!! Voulait se rassurer le gazier... avoir nos faveurs... notre soutien. On pige ça... Et puis ce n’est pas because on aime les Bifs qu’on ne doit pas les ratatiner... en faire de la mayonnaise à pudding... toujours selon la formule... qui aime bien, occit bien... dans le bon sens du terme... il va de soi... aussi loin que sommes concernés. Ach !!!
*Empubliciter : Couvrir de pub. Réduire un volume en affiche... potiche... le voir partout... le rendre objet. Hips !
© Le Pilier

21 février 2011

LE PILIER ANGLOPHILE

Nous z’y voilà !
La grÔsseu baston du week-end... du tournoi... le test match Européen... la chicore des familles avec nos cousins d’outre Manche. Tout le monde y va de sa petite phrase... les Bifs nous astiquent... de bonne guerre toussa... les autres zéquipes du tournoi espèrent une défaite Anglaise, semble-t-il... au dire de certains... Lièvremont affirme comme beaucoup de Frenchies ne pas les aimer... bref on pourrait croire que l’Eurovalie européenne entière poussera derrière le quinze de France.
Certes il est de bon ton avant le fameux Crunch de se chauffer la carafe. Poilante, dynamisante, cette tradition met sans contredit du sel dans ce tournoi mi-figue... autrement dit ça fait partie du spectacle... on aurait tort de s’en priver. Pourtant, certains fâcheux prennent la chose très au sérieux, et réellement n’apprécient la rose épine que dans un vase étriqué, bien fanée, sinon piétinée par une horde de Gaulois déchaînée, encore et toujours revancharde de Waterloo ! Ach !
En bref, ne sont pas en odeur de sainteté dans beaucoup de citrouilles ces Bifs,  et l’humour n’est pas la vertu première de ces tempéraments par trop cocardiers, qui leurs reprochent cet air vaguement coincé, calculateur, spécieux, sinon hautain... toujours enclins à nous faire un sale coup. Balivernes s'il en est... même s'ils ne se privent pas d'alimenter cette réputation sans nuance. En somme, on n’aime donc pas le rosbif du côté d'ici, c’est comac... obligatoire, historique, quasi génétique... mais pas très malin, sinon stupide, quand c'est du sérieux... n'est-il pas ?
Nous plaisent bien à nous ces Queen Guys que personne n’encourage... heureusement qu’ils sont là du reste pour nous secouer le prunier, nous remettre à notre place, nous maintenir en vigilance orange dès qu’on se croit plus que l’on est. Et puis sans eux... pas d’Abbey Road... de Zep... de Lotta love... de Pop, de Rock dignes de nos pavillons. Ont de l’esprit... du tact... du flegme... de la classe pour certains. En sus ont inventé Shakespeare et le rugby... Arf !!! C’est dire, respect oblige... sont futés. On en restait à la soule nous... entre patelins... anarchiques et pastaga... sans lois... ni règles ! Hips !
Un vrai morceau de chance nos cousins pour notre maintien ! Merci donc aux Bifs d’être ce qu’ils sont : nos meilleurs ennemis... qui du reste ont toujours su résister vaillamment à l'envahisseur... à l'instar d'un tempétueux village Gaulois d'autrefois, peuplé d'irréductibles gaziers ! La prochaine joute changera-t-elle le cours de l'histoire ? Sans doute pas !
© Le Pilier

14 février 2011

PAS L'PAF... ENCORE DU TAF

Du mieux ?
Match approximatif des deux côtés... 3 essais Irlandais... 1 seul pour les Bleus... fautes au sol à répétition... O’Connell moult fois sanctionné plombe le score... son ailier McFadden pas mieux... mais pas qu'eux... ne parlons pas du jeu de leur médiocre arrière... les blessés Irlandais ont pesé lourd par leur absence. Des Bleus forts en mêlée... on sait... mais pour le reste... ya encore du taf. Pas la peine de s’étendre... sommes tous ok pour pointer les failles. Un demi de mêlée lentigrade*... un ouverture mi-figue... un Traille très moyen... un Poitrenaud égal à lui-même... toujours idem... manque d’assise...des fautes... instable... ne s'améliore pas le gus. Quand il sort, un espoir !! On se dit,  
super !!! Médard en 15, puisque Clerc débarque.  
Pardi ma Julie... son poste de prédilection nom d’un piston... ça fait pas un pli, s’intercale sur une excellente course de Rougerie qui perfore la défense et envoie la perle Toulousaine dans l’en-but. Magnifique essai comme n’en avons pas vu depuis des lustres chez les Bleus. Certes D'Arcy ou O’Driscoll, on se souvient pas, est dans les choux, mais pour un excellente raison. Rougerie est bien lancé... sa course est droite, imparable... Sa passe est nickel... les cannes de Médard idem.  
On le dit répète ici. Ya pas de grands secrets au rugby... si t’es lancé, t’as plus de chance de perforer. Enfin une lueur d’espoir, ténue, mais là. Qu’est-ce qu’attend cet empaf de Lièvremont pour piger que Médard est un arrière ? Que tout le monde soit blessé ? Que les titulaires achoppent outrageusement ? Souvent le cas... on fait de bons "choix" en Hexagonie par défaut... pour avoir la bonne configue faut que les circonstances les imposent... pour ça que ça prend du temps de constituer une bonne équipe. Quel enfer !!! Attendre la bonne équation... qu'elle tombe du ciel quoi.
Pipe de staff !!!

Rougerie fait son coup à chaque match avec Médard... sa pompe judicieuse lors de l’Ecossaise joute en témoigne. N'étions pas fan du gazier à l’aile... mais là, hors défense où doit sans doute trouver ses marques, devons reconnaître qu’il se tient très bien. Aimons ses trajectoires, droites, bonne lecture, nous plait. Un peu seul. On le verrait bien au côté de Fritz... mais c’est une autre histoire. On te vire Traille nous, sans verser une larme.

Le vrai bon moment du match cet essai... ce pourquoi on insiste. Puis aussi en seconde période un long enchaînement des avants Bleus... dominateurs... qui a foiré au final, mais la séquence était belle. On se demande ce que vient faire Chabal... enfin si, on pige. Ya plein de pubs avec ses poils à la mi-temps, faut le sortir de la boite... montrer qu’il est là. Ok !!!

Trouvons que les demis de mêlée Européen sont bien faibles. Ils transmettent mais ne pèsent pas sur le jeu... ne regardent pas vraiment... n’alternent pas de façon judicieuse. Bourrins de tête.
On le voit. Avant d’arriver au cul des gros doivent connaître la position de leurs trois quarts... l’adversaire ne doit pas savoir où va jaillir le cuir... Gareth Edwards à côté c’était l’Einstein du pâtis... hips... matez... ça tient toujours la route... même si le quantique a le vent en poupe, la relativité n’est pas encore débordée... Arf !!! Il alternait, regardait la position de la défense... se baissait derrière son pack... renversait par des passes qui n'existent plus !!!! Oups.
Un bel exemple sur la vidéo ci-jointe... à la 9'14s... et les autres passes, précises... les renversements inattendus... et puis le souci de transmission des gaziers... même si ce sont les meilleurs moments choisis... cé bo... le geste... la cavale... le collectif. Et n'oublions pas l'évitement... le fondamental du rugby, de même que le placement pour réceptionner le cuir... ya toussa dans la vidéo mon Julot.

O'leary plante avant la pause mais lisible... manque de tête. Quand son pack arrive devant les perches Françaises... ya du boulevard Haussmannien parfois d’un côté ou de l’autre... mais traîne... ne pense qu’à ses gros... ça s’emplâtre, se fatigue au ruck... c’est moche... alors que les trois quart attendent. Parra ne vaut pas mieux. Lui, on se demande parfois ce qu'il attend pour sortir le cuir des pattes à gros ?

Tant d’essais possibles 
qui ne sont pas réalisés... 
Tant d'aurores 
qui n'ont pas encore lui... hips !

Parra bol au pied posé, hé hé...ok... mais on te balance Dupuis nous... sans hésiter. Remplaçant Parra. Hop... Donc des Bleus de grÔsseu mêlée chez nous, avec ses avantages... et quand même de l’inconvénient. On y reviendra dans zune approche anthropolologique.

On gagne 22-25... Chaud du croupion... à la Bif d’avant. Des gros devant, de l’agacin profitant des fautes de l'adversaire... qu'on sucite aussi... un seul essai. Si les verts ne se précipitent pas comme des frappadingues dans leur dernière attaque... on rentrait rétamé ! Mais avec des si on mettrait le divin Pilier en bouteille millésimée...
comme un génie des zindes Vishnu. Arf !!!
* lentigrade : Néolologisme.. Qui  rame tortue comme une limace... 
© Le Pilier

12 février 2011

CUILLÈRE DE BOIS

La vraie question du tournoi
Qui remportera la cuillère de bois ? Le Scott ou l'Italien ?
Dit en passant, les Français sont les plus anciens « gagnants » du trophée... depuis 57 on touille mêmes nos pires gamelles qu’avec de l'acier !!! Yeah ! Pas mal les gaziers !
© Le Pilier

Nombre de cuillères depuis le premier tournoi de 1884. Précisons que les Français n'ont intégré les joutes qu'en 1910, les Italiens en 2000.

Irlande 1884, 1885, 1886, 1891, 1895, 1909, 1960, 1977, 1981, 1984, 1986, 1992, 1998
Écosse 1902, 1911, 1914[1], 1947, 1952, 1953, 1954, 1968, 1978, 1980, 1985, 1994, 2004
France  1910, 1912, 1913, 1914[1], 1920, 1925, 1929, 1957
Angleterre  1899, 1901, 1903, 1905, 1907, 1972, 1976
Galles 1889, 1892, 1990, 1995, 2003
Italie   2001, 2002, 2005, 2009

[1]  Le Tournoi des cinq nations 1914 a été remporté par l'Angleterre. Le match France-Écosse a été annulé après la rupture des relations entre les dirigeants de deux équipes. D'où la cuillère de bois partagée.

11 février 2011

PILIERS DE COMPTOIR

Tontons zingueurs

Bob  - Quand t’as pas d’goût tu te contentes de tout !!!!
Max - C’est pourssa qu’les neus sont heureux...
Bob  - Dès que t’agites un lampion...
Max - Philo...
Bob  - Ouaip, ont vraiment de quoi prendre leur fade... tout pour eux...
Max - Plus masse, normal...
Bob  - Normal...
Max - Et ce week-end tu mates les Bleus ?
Bob  - Je latte les bœufs...
Max - Hum...
Bob  - Suis rien sûr quoi...
Max - Le seul match à voir tout manière
Bob  - Si j’ai pas l’goût, ouais... ils me fatiguent... du mou...

Un temps, ça engloutit la cervoise et p’tit jaune pour Max qui reprend après s’être mouché dans le tissu. Ya du bruit, on n’entend pas tout mais on saisit ça... inattendu.

Max - Hé...Tu connais le Pilier ?
Bob  - C’est qui ?
Max - Un Blog
Bob  - Rugby ?
Max - Ouaip...
Bob  - Bien ?
Max - Ouaip... barré le mec... des fois je pige pas... du TAO qu’il aime... mais il enquille.
Bob  - TAO t’es King façon...
Max - Roi du pâtis qui dit...
Bob  - Pâtis ?
Max - Où ça broute quoi... le terrain si tu veux...
Bob  - Pour les bœufs...
Max - Les Bleus...

Un rien de moment dans un rade, du vrai de chez authentique à se marrer d’écouter ça. Pas facile de retranscrire à la lettre... mais l'essentiel est là. Etions à côté on lisait du Witt... Deux piliers de comptoir qui causaient cuir. Les noms on les zinvente, on connaissait pas les gus. Funny time. Pige pas tout le gazier ? Qu’il se rassure... nous parfois non plus. Ach !
© Le Pilier

10 février 2011

TROMPE L'ŒIL

Twittime
De même que le courant linguistique au râble anomaliste ponctionne toute relation transcendantale entre le monème et la chose au profit d’un simple accord d’usage, le Pilier du jour, affirmatif pénitent, dans son intransigeance ludique, s’autorise à penser que si croyance est mère de tout, voyance n’est que lecture des faits présents... sous tendus par le su des modèles passés, moult fois répétés. Ouarf ouarf !!! Hé hé !!!

Quel donc lien suffisant unit de telles propositions ? Aucun, sinon l’audace de manipuler de vagues signifiants comme jongleur de cirque en pompes démesurées espérant que nulle volatile massue ne lui tombera sur le blair, occasionnant de fait la remise en cause d’une expression qui se cherche un espace élastique  
pour sortir du carcan des figures imposées !
Yeah ! Comment fuiter le joug indemne et battre les pâtis en prenant la mesure de son autonome volonté ? Comment se départir d’une règle tout en restant borné ? Comment s’épater de contourner le moule sans pour autant se perdre à gagner la distance qui engendre non sens... sinon foutoir collectif des sonores entités ?

Que signifie ce bla ? Quelle décompo s’enlise ? Quel sentiment logique peut sourdre d’un tel état ? L’essor épistémologique qui modifie le champ même de rigides estimations, ne saurait, dans la mesure soucieuse de n’être pas perdu, seul établir des connivences fermes avec un arbitraire qui coince les tuyaux ! Non non ! Faut du plus... du sus. L’activité cognitive devra du nœud gordien trancher ferme l’amas... ya que ça. Ne pas s’en laisser compter, ne jamais s’avilir, ne pas voir derrière ce qu’on raconte toujours un sens caché. Même s’il y est, le malin s’offrira en guise de trophée, perspectives nouvelles en se disant ma foi,  
du délire peut germer une forme.
S’il ne tient donc qu’à vous de bousculer tonique cette croupe équivoque, il nous incombe ici d’en proposer l’offrande, sachant qu’à tout rhéteur une muse est entée, et qu’il ne la partage qu’avec ceux qui convoitent l’acul de ses atours, sans pour autant se perdre aux touffeurs de son puits ! Hips !
© Le Pilier

09 février 2011

JOUTES EN STOCK

Mise au point
Que partageassions par la force intraitable du réel, avec le gazier Laporte le temps d’une bafouille, quatre signifiants en guise critique de l'évident état de nos troupes, que nul esprit retors même n’oserait contredire tant il est vrai que nos cocottes n’atteignent, ni n’ont moyens de chatouiller les cimes, n’indiquait pour autant connivence suffisamment profonde entre nos deux natures pour picheter au comptoir d’un rade, bibine en pogne, et trinquer plus que soif à l'improbable rencontre de nos propos communs. Hips !!! Faut pas pousser Marcel.
Mais les faits, plus forts que le bla, connectent parfois inattendus des modules inconciliables... Yep... et puis le rugby comme on dit est une grande famille, même si on ne ribote pas tous à la même nappe... même si d'esthétique ne sommes pas tous fondus... même si ne peuvent se mélanger aux grandes catégories... les petits pâtis. Ach !!! Simplex !

Un gazier de bonne mine, avec qui partageons quelquefois nos maillots dialectiques après joutes importantes, s’insurgeait lui du culot de Laporte. Qu’il était sacrément gonflé de causer comac, qu’il se prenait pour qui... qu’il n’avait de toute façon pas fait mieux... que même toussa était aussi le fait de son piètre héritage... qu'il n'a pas le droit de balancer ça comme... que c'est un manque de respect... et tatati tatata. Qu’il n’ait pas fait mieux ? Sans doute... qu’il soit ce qu’il est, idem... arf... mais a tout à fait le droit de causer, de balancer son jus à sa guise, avec forme sienne. Là, point de censure. Qu’il ait raison ou tort. On s’en balance... On aime bien ces prises de positions fermes, directes parfois, en tout cas, d’une évidence nécessaire en ovalie. On ne peut se contenter au temple des bastons de baveuses mollasses, circonlocutives comme des couleuvres de marécage... de ces petits mollets sans poil qui gigotent des flanelles en balançant du « respect » à toutes les saucières pour s’excuser de n’avoir pas de tripes, qui n’insufflent aucune vigueur aux carafes, rigueur aux tuyaux, ne veulent que du mou, à l’image de leur moi, de peu, sans prou...de frégate, de tata, de zazou !!

Respecter au rugby c’est affirmer, empoigner, chicorer, occire, dans le bon sens du terme s’entend ... arf arf... dans le respect rigoureux des lois fondamentales. Tamponner ferme l’adversaire est preuve de son mérite, de notre féal dévouement... dire les choses comme elles sont est un souffle vivifiant même s’il est rare que les vérités trouvent écho dans un temps réduit chez les huileux cortex du staff.
Apprécions donc le franc-parler, la gifle, 
le soufflet... seules vertus dialectiques qu’il nous reste quand, mâchés des abattis par le temps, les coups, le rentre-lard, le grisou... ne foulons plus le pâtis des crampons, que d’un œil... plein d’envie. Arf !
© Le Pilier