08 juillet 2010

NEUVIEME SYMPHONIE ...






















Pour les rois du pâtis
«Le Tri Nations est la compétition la plus difficile du monde... » Dixit Graham Henry l’entraîneur NZ. Rien à ajouter. Ci-joint les deux meilleurs zéquipes de la compète qui vont s’astiquer le râble ce week-end. Mils Muliaina est de retour à l’arrière comme Nonu au centre... alors que Tialata n’est même plus dans le Squad... une bonne chose à notre avis. L’a eu sa chance le mastard, mais trop mou, trop lourd... peu tonique... épais mais manque de rein...ya lurette qu’on prétend qu’il n’a pas sa place en première ligne. Henry suit enfin nos conseils...
Un œil sur les charnières... Cowan est désormais l’incontestable titulaire au cul des gros... le demi de mêlée NZ a fait de réels progrès... plus régulier... moins de fautes... n’est pas sans rappeler Justin Marshall... le match de l’automne dernier contre les Bleus d’ici en témoigne.  
La neuvième symphonie Ludwig Van des Blacks... à savourer au petit déj avec vos gisquettes pour bien commencer la journée... sinon entre deux parties de ça-va-ça-vient pour motiver la bestiole. Bref... Une merveille de précision de vitesse, d’élégance, de vivacité, d’intelligence... matez si pouvez ya tout dedans pour comprendre le grand rugby. D’ailleurs on se repasse en boucle cette rencontre pour s’entraîner avant le grand jour. On dira pas que le Pilier ne peaufine pas sa prépa... rugby pro nous... d’l’orange mécanique au réveil pour les vitamines bien C... ondulations corporelles pour assouplir le rein... pompes régulières... Beethoven pour l’ambiance... astiquage des luzernes... études expérimentales... théories du raisonnement déductif élémentaire pour l'entretien du cassis...bref 
la panoplie habituelle des boutes-en-train qui prennent les joutes estivales très au sérieux. Ach !

Avec Carter les Blacks possèdent la meilleure charnière des Tri sachant que les Boks sont privés du génial Du Preez pour cause de shoulder mâchée... Januarie n’a pas le niveau du maître... pourtant prometteur il y a deux trois ans, il nous semble s’émousser un brin... ne fait pas toujours les bons choix ... lent parfois dans la transmission... se fait bousculer... moins Pitbull en somme qu’à ses débuts dans la team Bok... plus canin ordinaire... moins méchante teigne... presque gentil... non non, faut se bouger l’ami... maigrir un peu... siroter plus de jus roboratifs... on l’apprécie très vilain le gazier nous... À moins qu’en l’absence de l’autre il retrouve ses crocs pour servir son acolyte Morne Steyn. Très habile des agacins çuila, comme chacun sait... un ouverture qui vous balance des coups de pompes kilométriques dans tous les angles... entre les perches... précis pour ça... mais pas vraiment décisif dans le jeu à la main... préférons Piennar... de la tête ce gonze... qui hélas peut jouer à plusieurs postes. On dit hélas pour lui, car les polyvalents trop souvent doivent se contenter de débuter la rencontre comme remplaçants... puisqu’ils n’ont pas un poste attitré à proprement parler. Mais comment se passer d’un Steyn métronomique de la savate à ce niveau ?

Sur les 14 Tri depuis 1996, les Blacks ont remporté 9 fois la mise... les Boks 3... les Wallabies 2. Du Beethoven on vous dit ces Blacks !
© Le Pilier

All blacks
Le pâtis: Mils Muliaina - Cory Jane, Conrad Smith, Ma'a Nonu, Joe Rokocoko - (o) Dan Carter, (m) Jimmy Cowan - Kieran Read, Richie McCaw (cap) - Jerome Kaino - Tom Donnelly, Brad Thorn - Owen Franks, Keven Mealamu, Tony Woodcock.
La Banquette : Corey Flynn, Ben Franks, Samuel Whitelock, Liam Messam, Piri Weepu, Aaron Cruden, Richard Kahui

Springboks
Le pâtis: 15 Zane Kirchner, 14 Jean de Villiers, 13 Jaque Fourie, 12 Wynand Olivier, 11 Bryan Habana, 10 Morné Steyn, 9 Ricky Januarie, 8 Pierre Spies, 7 Francois Louw, 6 Schalk Burger, 5 Victor Matfield, 4 Bakkies Botha, 3 Jannie du Plessis, 2 John Smit (capt), 1 Gurthrö Steenkamp.
La banquette: 16 Chiliboy Ralepelle, 17 BJ Botha, 18 Andries Bekker, 19 Danie Rossouw, 20 Ruan Pienaar, 21 Butch James, 22 Gio Aplon..

05 juillet 2010

ÉTAT DES LIEUX COMMUNS

Un Pilier transcendant entouré de voluptés sous une frondaison épaisse aspirant au frais du jour... au-delà de tout prosaïsme andoxal, sans claquettes ni trompinette la joie...
un Pilier maître es pâtis... saveur des principes évidents (pour lui) que la connaissance induit... qui se plaît par dévotion à ravir ces ycelles enthousiastes aux révolutions du sémillant occiput, directif, précieux, sans fadaise, insuffleur d’ivresse... de don de soi...
un Pilier épatant des nues, si proche en sa présence, si lointain par sa quête et son rang... modeste et simple comme vivant...
un Pilier qui n’oublie jamais les fondamentaux quand l’action impose sa pleine vérité... superbe attentif aux ondulations des modules euphoriques...
un Pilier très entouré de fascinations, d’élans savoureux, de volontés élévatrices du zénithal élément...
Une volonté de puissance maîtrisée, un logos affirmé, une tenue correcte exigée...
un Pilier de savoir comme il respire, qui conserve toute sa tête quand il transpire... n’est qu’un Pilier normal ! Ach !

Tout se prépare, rien ne s’oublie au royaume des enivrants pâtis... le cuissot s’entretient, le souffle se régule, on vous rassure... Pilier tiendra la distance jusqu’au kick off prochain sans feindre la moindre panne, le plus vil ramollo !
J donc moins 5 avant le grand jour d’été, All Blacks VS Springboks en ouverture des suprêmes Tri Nations. Enfin ! On commençait à se lasser ferme de ces petits ébats Européens qui ennuyaient les plus délicats d’entre nous. 9h 30 samedi on Sky... les Mc Caw boys auront cœur de revanche face aux incontestables tenants du titre Sudafs, qui dit en passant n'ont perdu qu'un seul match lors des dernières Tri. Une espèce de finale introductive en somme... on voit mal en effet les Aussies rivaliser avec ces deux mastardes d’équipes, ultra hégémoniques en sublunaire ovalie.
© Le Pilier

02 juillet 2010

PILIER D'ÉTÉ
























"Pilier tu dois vacancer ! Faire comme tous au troupeau... te détendre les zarpions... polir ta bronze... mettre voile... aux zécumes des mers raviver ta prose, les lunettes perdues vers l’intégrale ceinture des horizons d’ailleurs ! Arf arf !!!
Ce charme élusif et changeant d’un cortex qui s’évade à rêvasser l’azur fera du bien à tes tuyaux... redonnera vigueur à ta plume, allonge à ta foulée... tonicité à tes crochets. Pour conserver ton prolongé sur la gent rugbyphile, petits blogs de XV amateurs qui broutent l’herbette sur les pâtis de France... rien de mieux que de prendre un peu de recul, d’air aux zembruns d’une mare à dauphins... et vu le sun brise nuque qui semble s’éterniser tu serais parfait en panama à nous faire la conversation en sirotant des jus. Aussi, te proposons voguette avec quatre copines toutes prêtes à badigeonner ton cuir d’huiles plus essentielles encore pour le bien être de tes cuissots que tes vapeurs de philo qui sur-activent ton ciboulot !!! Comme les gaziers du terrain 
tu as droit à ta serviette de bain ! "

En substance voilà Paulette et Julie qui se pointent et nous balancent franco la propos'. Pour nous détourner du taf sont imparables ces deux... avec quatre gisquettes en sus... de quoi nous ébranler not’ fondement cognitif, not’ volonté d’assagir les passions, notre détermination de rester loin de tout... sommes pas des rayons nous... l'obombrée du sous bois est notre grande joie ! Hips !
Et puis laisser choir le Toshibastringue... la raison bio, nos systémiques travaux ? Pour des goguettes estivales alors que s’annonce la plus rude saison de l’année, le seul tournoi des grandes giflées... Tri Nations mon Gaston, là, à deux fois rien de brin d’horizon ? Pas question... même si les deux s’assument sans pâlir en fait. S’entretenir le poumon par de savantes génuréflexions avec sirènes iodées une semaine avant les belles peignées ne peut nuire en rien au maintien du grand gazier... bien au contraire... on ne mate pas du Blacks vs Boks en ouverture sans prépa à la mesure du défi !!! Alors ?  
Pourquoi pas OUI ?
© Le Pilier

30 juin 2010

CHICKEN RUN

Entropiquette de Bleus
Ça discutaille, parlote, bonnit, jacte... les staffeuses menacent... babillent des crétineries... comme dab après les ratatinades... ça papille, ça bavasse... mais ski faudrait dire vraiment n’est jamais exprimé... et ça cause encore de cette victoire d’automne contre les Boks... que génial c’était que... que super on sentait la force du groupe que... que chouette c’était du capital confiance (sic)... que magic ultra c'était bien parti... répétant que c’était encourageant de vaincre les  
"Champions du Monde entier"...
qu'on a un Chelem cette ânée... mais que  
Giga Flop on s’est ratatiné ensuite contre les Blacks de façon lamentable... puis les Boks at home... puis les Pumas chez eux... On ne comprend donc jamais ski s’passe les spatules ?  
On fait les chicken run... 
les lapins ? 
Stupides et neuneus ?  
Les deux mon n’veu !

Ya pu ka rebondir !!!!  
Reconstruire les terrains !!! Arf Arf !!!
Hé hé la formule des crânes d'air... des ballons cognitifs... des zultra bovins de troupeau de bêtes... Ach !!! On s'enivre à l'entropiquette en hexagonie... jusqu'au bout... pituite... ultra flou... on peut se tartiner le caisson de lavasseries fumeuses jusqu'à la fin des temps co(s)miques nous... on est capable de tout !!! 
On reviendra fissa sur le rugby entropique de nos cocottes, zallez voir... comme sur l’asinien discours qui le sous-tend !!!! © Le Pilier

27 juin 2010

LA GRANDE FESSÉE

Un puma dans le poulailler
Ben les gaziers on pouvait pas mieux consacrer la dernière bafouille du super Pilier, celle d'hier, que par cette somp-tueuse débâcle de nos cocottes face à des Argentins bien décidés à clore une série d’échecs... 41-13 ma sœur Thérèse. Une ratatinade de premier plan. Une franche giflée ! Certes la fessée est un art... savoureuse il parait...  pour qui la reçoit... mais à trop répéter la figure, gaffe à vos croupions les gaziers, pourriez y prendre goût !

Pour dire uniment la chose n’avons pas maté la rencontre... savions déjà tout... pardi on arrête pas de vous balancer des vérités, cette clausule de carnavalesque tournée manège était inscrite dans nos tablettes... et si faire le Cassandre a son coût ne sommes pas d’attaque à en supporter tous les désagréments. Jamais. Refusons fermement d’acquitter toute la rançon du savoir. Faire du monde une copie fidèle nous plait pour autant qu'elle insuffle fermeté dans l'agir... et bidonne les cortex de quelques saveurs... peut-être... sans doute... mais pas question de s'épuiser à convaincre.
Vaincre nous va ! Prosélytisme des clous !!! Pas gourou pour un kopeck... pas donc quêteur de zéros comme notre compagnon d’enthousiasme, Nietzsche, l’exprimait jadis.Trop systémicien pour ronger son seul nonos à s’en faire péter les mandibules sans jamais atteindre la moelle, à boucher ses tuyaux avec de vieux procédés moutoniers, cent fois délavés, qui vous font apparaître dans la communauté des mutiples corniauds comme un des leurs pour vous sentir moins seul en agitant vos fanions !
Non le Pilier c’est l’ultra modernité, le souffle O² vaporisé avec mesure, doigté, simple... aéro, hydro, logodynamique... pas perso, pas coco... altruiste dans la donne... ferme au ruck... limpide comme un cuir en impesanteur !!! 
Dire ce qui est pour ne pas taire le reste ! Hips ! On ne fait jamais d’azes des coursiers d’hippodromes. Chacun trottine donc à sa guise, exprimons juste ce qui est là... moins fatiguant que faire pieds de mains en bavassant sa misère, espérer ne pas être vu dans son réel état, entretenant sa baveuse en bois d’ébène pour finir en bellepou !!! Savoir est duratif...et ce qui est nous « va »... car ce qui est là... c'est qui doit être... puisque c’est là... Ach ! Aussi le comment nous commande plus que le rabattu pourquoi ci ? Pourquoi ça ? Très facile le pourquoi, avec ce parfum d'innocence béate qui transpire la débâcle... ne pas y aller trop vite si voulez... un pourquoi c'est toujours bien commode... ça peut discutailler des années sur des pourquoi... ya même des divans pour ça... c'est plus confortable vu le temps qu'on y passe. Hé hé... mais ça ne résout rien jamais rien, passque ça ne considère JAMAIS la réelle intentionnalité... comme les vraies incapacités... (Ps: pour les grands séminaires du Pilier, adressez un mail à notre agent )
Sommes gouverné par le comment nous... s’y prendre, changer la donne... quels effets peuvent modifier leurs propres causes... et si l’inévitable pourquoi s’impose... répondre dans quel but ???? !!! Hé hé !!Plus responsable ça, plus vrai, moins bambin...
Mais gagner ce temps, trouver la bonne parade, s'orienter vers du mieux faut commencer toujours par la vérité nue... crue pour les plus Tao ! Oh oh ! Rien de plus beau que la vérité pour pouvoir tout poser.

Tel que te montres, tu es ! Pour ceux qui savent lire s'entend, ya tout là !...pu qu’à mater pour comprendre, assumer ce qu’on voit, donné, livré, proposé, tartiné, reluisant d’ultra répétition qui nous fait bien dire sans jamais nous planter : "si tu n’y panes rien c’est que tu n’en es pas..."et basta !
Arrêtons de causer de match piège, d'arbitrage douteux, de froid ci, de fatigue là... de, faut mater la vidéo... faut rebondir... faut avoir faim... faut construire... faut changer de lacets... faut surtout bannir le cirage ouais !!!...
Fi donc des incessants baratins, mauvaises raisons font que du foin !
© Le Pilier

26 juin 2010

VIEILLE EUROPE RATATINÉE

Hors les Bifs qui gagnent à l’arrache les Aussies la semaine dernière... d’un petit point... toutes les équipes de la vieille Europe du vieux rugby se ramassent bien francs et perdent toutes les rencontres en hémisud. Normal... dans l’ordre des choses... une évidence... deux planètes bien différentes. Le Bif se fait même plier par le Maori NZ 35-28 cette semaine... à l’heure du thé. Bref pas besoin de grandes analyses pour tirer les conclusions qui s’imposent. Avons dix ans de retard question broutage des pâtis... transmission du module... compréhension du jeu. 
Les Gallois today perdent contre des Blacks qui gèrent pépères 29-12... les Zirlandais rentrent bredouille la nouille... idem, battus par une équipe d’Australie qui aura quand même du mal à rivaliser avec les Blacks et Boks lors des prochaines tri séries.  
"Cooper inspires Wallaby victory"
titre un Blog rugby d’outre-Manche... la chose en effet à retenir... les Aussies tiennent là un bien beau gazier en place d’ouverture. Auteur d’un remarquable essai de grande classe, cadrage-débordement-crochets-pointe de vitesse-vista... de bien belles passes... du pied grand champ... comme le disions... de la graine de grand. A suivre avec intérêt aux prochaines joutes. © Le Pilier

25 juin 2010

RUGBY NÉGUENTROPIQUE

Black système
On va faire hyper light et simplex afin de préciser à ceuss qui rouspètent ce qu’évoquions sans le dire...

Tout dab, le rugby des Blacks, néguentropique... En systémique la néguentropie se définit comme une force de cohésion (pour faire short) Avec les Blacks sommes servis. L’important pour eux c’est le cuir. Objectivé, il maintient chaque entité vers un seul et même but... le transmettre pour le mettre... en en-but. Le cuir devient le but et chacun s’oriente en ce sens. Aussi le gazier qui le porte est en quelque sorte moins important que le cuir lui-même... c’est le mouvement du module qui prime... chaque gonze en connaissant bien son rôle contribue à sa vie. Chaque membre du groupe libéré de sa subjectivité au profit d’un être de collectivité, une sorte de méta sujet si voulez, défend ce principe... le gazier fonctionne dans, pour un système qui le positionne comme membre de l’entité-groupe tout en respectant sa singularité. L’organisation dans la tentative de désorganisation adverse engendre de l’organisation because le but est fondamentalement intégré, toujours là, présent, la raison d’être du mouvement de l’être-groupe et n’est quasi jamais perdu de vue. Black c’est une force de cohésion engendrée par la compréhension du rôle, l’acceptation du rôle... la mesure subjective au profit d’une objectivation dans l’être-groupe... comme si un joueur se sentait le bras, l’autre le mollet, l’autre la cuisse, le suivant biceps... etc... Autrement dit réellement membre et partie de l’être-Black.

En hexagonie sommes au rugby entropique... gabegique, sinon bordélique... pour la rime et le fun... Pas la même conception du jeu. Avec ses avantages et ses nombreux inconvénients.
A suivre rapido.
© Le Pilier

24 juin 2010

LE COURRIER DES LECTEURS

Yaka piger
Quelques contrariés, sortis sans doute de la patte d’un vague Chantecler, se sont plaints de l’avant dernière bafouille du Pilier, prétextant que le signifiant introducteur néguentropie ne correspondait pas à la teneur des divagueries... qu’on se laisse couler... qu’on se foule vraiment pas l’index... ni la carafe... que nos intellectualités abscondes n’amusent que nous... qu’on ferait mieux de revenir à des choses plus tartines, plus pâtis, moins élucubrantes... qu’on se donne des airs pour rien ! Envoyé c’est pesé !!!
Ben mon lapin faut qu’on surveille nos propos !!!! Quel abus en effet, quelle audacieuse psyché s’amuse à balader un entendement somme toute responsable en lui jouant des tours de manivelles pour lui faire perdre pied ? Hé hé ! Pourtant il ne s’agissait là que d’un brin de vacance dans l’insondable prolifération des variables introspectives que le moindre citron se doit d’alimenter en balançant son jus... comme un gazier du pré fait ses tours de terrain pour son maintien poumon ! Comme dirait l’autre il faut cultiver son propre pâtis, conserver la dynamique des variations subsymboliques par projection du discontinu sur le continu, première condition de l’intelligibilité du monde... comme chacun sait... aussi vital que poser son pied dans une mer de songes en faisant son lacet pour éviter la chute ! Ouarf ouarf !
Quelle saine occupation en effet d’engager librement sa parole dans le champ ondulatoire des entités sémantiquement interprétables pour le plaisir de s'y trouver... en se perdant de vue ? Arf ! La sémiotique sous jacente mise à jour par l’effet de la rencontre sujet, objet-monde, révèle l’être à sa propre conception dès lors qu’il en assume la limite, happy d’en favoriser l’essor (de la dite assomption) pour autant qu’il en kiffe et se veut bien à lui.
Fais ce que doit, ce que veux, assume le décalage et prolifère jusqu’à l’étreinte objective valorisant ton effort. Tout ça n’est bla que pour autant l’on se défile, mais si l’on s’engage dans le ruck énonciateur avec la volonté d’y paraître à son avantage, alors chiper le module encatalyseur devient le miroir de sa propre maîtrise au sens où partout règne un symbole à saisir pour peu qu'on aime ce jeu. Autrement dit même dans le ruck le plus bordélique il y a toujours un cuir à convoiter ! Hé hé !

Mais revenons za notre néguentropique mouton d’avant-hier. Afin de montrer que tous ne sont pas rétifs à nos propositions, qu'il y avait bien un lien marqué entre le titre et la première phrase, découvrons ce commentaire, comme exemple parmi d'autres, de la bafouille incriminée par une Ondine des grandes écoles, qui nous livra ceci : Néguentropie au sein de l'équipe de Rugby New Zeland (NZ : le meilleur des Mondes !) Dextérité dans le jeu, efforts des joueurs, persévérance d'une équipe bien construite laisse entrevoir et sous-entendre un "modelage" structuré, réfléchi, étudié de ladite équipe sportive de rugby NZ par un coach et entourage averti que l'hémisphère sud doit "préserver". Equipe avec laquelle il se doit de communiquer, d'encourager ceci afin de permettre le maintien de l'évolution et de l'épanouissement de l'équipe !
Et de rajouter : Facts do not cease to exist because they are ignored ! (Aldous Leonard Huxley )
Voilà pour Ondine et bienvenu dans la team de ceux qui relèvent la tête pour saisir le module et le transmettent à leur tour ! La passe assurée, l’essai est à portée... une formalité de le transformer non ?
© Le Pilier

23 juin 2010

LE LAST DU LEAST

Fin des tournées manège
Australia v Ireland, 12:05
New Zealand v Wales, 9:35
Voilà ce qu’on trouvera samedi qui vient de plus intéressant pour clore la saison Européenne des petits... en attendant le coup d'envoi de la saison rugby des grands... tri nations series qui débutent le 10 juillet bitouine All Blacks et Sudafs. 
Fini le flanby... regoût au pâtis...
pour les saveurs. Ronron pâté de sable, bronze couenne, copaing pastaga, parasol, claque tong, repos pour l’amateur de Brennus, soutien cocottes, neuneu du fanion... jouisseur des petits brins de XV du coing, essoufflé d’avoir balancé tout son peu dans les tuyaux de sa trompinette olé... et qui mérite partant du repos tout bord d’eau avec bobonne, niards et canin ! L’été c’est fait pour ça et c’est parfait comac... ça laisse de grands espaces vivifiants, car ça concentre le vacant, le néant, la banane, la nouille, le Jacques, la godille, le crâne, la fleur de nave dans un même lieu... approprié. A nous les grands prés, les fleurs de l’Empyrée, les bastons éclairées des grands gaziers du sud, quintaugrammes d’hommes étalons qui vous transforment Sèvres en grÔsseu Babylone d'une simple poussée ! Hé hé !
© Le Pilier

22 juin 2010

NÉGUENTROPIE

Divagueries
Question organisation collective le rugby NZ est le fleuron des pâtis. Le match de Samedi dernier contre Galles en fit preuve, si tant est, bien encore, que la forme en relève aux dormeurs la vivance et qu’au refoulement vaincu, l’être s’énonce en son désir d’en valider l’effet. Contempler, apprendre, voir, tenir pour acquis dès lors qu’on s’active, l’évidente matière inspirante, celle qui tonifie l’esprit d’une clarté digne de l’espoir orienté en son point directif, celui de n’être pas dépossédé de sa guise quelles que soient les mouvances probables qui désarçonnent un entendement voué ferme au maintien. Ach ! Le signifiant Black s’injecte en la veine nourricière et le flux s’accommode des ruptures, reconnaissant dès lors, impavide, l’Héraclite fondement, qu’hier s’énonça tel : tout bouge ! Hips ! Liés pour un cuir, condition unifiante que le symbole impose, les tous en un font une belle toile que le mateur réforme à chaque prestation... l’art diffuse un nombre incalculable de rapports, dévoilant sa vertu : tout se tient dans l’agitation, tout s’organise quand on croit ! Paradigme du monde clos, structuration des carafes enfiévrées, ici, tel qu’ailleurs, le prétexte s’empare des palpitations, captive les temps multiples en un lieu d’unique gestation ! Plon ! Si opportunément déclarons comme prélude au triomphe d’un fait, l’apparence avouée d’en servir de tenant, rien, ni l’amer, ni la crise, ni la prétendue vanité du dire aux baveuses des sots n’entameront l’impartiale intention d’attester sa volontaire griffe comme preuve tangible qu’un gazier bien mené trace une voie royale pour peu qu’il s’y découvre ! Ach !  Tenir c’est orienter sa perte en mesurant l’effet. Du format sacré sourd la pleine retenue de se croire éternel en étant qu’une paille qui aspire au final à consacrer sa joie de n’être en sa limite que l’infini prétexte ! Chouette ! On reviendra dessus.
© Le Pilier