10 juillet 2008

JANUARIE / UN BOK PAS TOC


Lui c’est Enrico Januarie… le pitbull… une teigne à la mêlée. Solide, impavide, tonique, accrocheur gnac gnac, nerveux et pas gentil du tout, parfois emporté… on ne lui laisse pas toujours le temps de finir les matchs… pour cette raison may bi… Aussi ? Moins de tête que Du Preez ? Il est vrai que ce dernier plus fin-précis possède passe la plus belle de la planète à ce poste… incontestable… fulgurante jusqu’au bout des 80 minutes, c’est dire… un must. Mais Januarie nous plaît car progresse, plus réfléchi lors du dernier baston, moins enclin à confondre vitesse et précipitation… de bon augure s’il veut supplanter le maître. En sus ya Pienaar qui talonne... doit se bouger. Pas stupide non plus çuila, capable de jouer quasi tous les postes en trois quart… une tête bien faite… mais attendra sur la banquette samedi. Tout ça pour dire qu’ont d’la bestiole en réserve ces Boks, comme les Blacks.

Une question. Savez pourquoi sont hégémoniques ces nations au rugby ? Parmi pléthore de raisons possibles, diverses et connues, une majeure quasi jamais évoquée, dévoilée en exclu par le Pilier : Là-bas l’air est moins pollué, l'autochtone plus exigeant… il n’y a pas ce ridicule sport de manchot dont on ne prononce jamais le nom… pas de grandes zéquipes… sont pas balaises au tricotage des zarpions, au pusillanime passe-pied. Imaginons qu’en NZ, jamais un ballon rond n’oserait esquisser un semblant circonspect de tentative de roulis timide à peine, sur le pâtis majeur. JAMAIS. Paraîtrait même qu’ils ne savent même pas ce que c'est. Des contrées sup vous répétons… on peut pas lutter !
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09 juillet 2008

TRI NATIONS D'APOLLONS


Bis repetita placent… re-baston bitouine Blacks & Boks… ce week-end, comme fête estivale pour nous, plus frigo en hémisud. Jubilons pour ne pas dire moins. Ça nous tonifie ces rencontres, nous roborative, nous affirme, nous stimule... la volonté, les cuissots... le cognitif ébat. Nos mousmés nouvelles ne semblent pas s’en plaindre du reste, au regard de sapides attentions mêlant ribotes et digestions lentes… lénifiantes postures et roulis corporels qu’elles se plaisent à élaborer pour nous garder en l’état, modelé-ferme, désirant, batailleur délicat, vouleur d’extase… gage s’il en est d'une noble présence en servitudes amies. Honorer du pâtis comme l’été foisonne, malgré la lourdeur du climat conjoncturel.
Du rugby donc, comme on aime, intelligent, rapide, collectif… des figures nouvelles… du jus… même ce rien de chicane lors de le dernière rencontre, quand les deux packs de huit ont fait sauter les capsules, échangé quelques prunes sans au-delà des limites… pour asseoir finalement une joute très attendue, évacuer le trop plein d’énergie, et replacer tout ce beau monde dans le sens du jeu... le respect des lois. On aime ça.

Un amuseur de troisième zone qui tartine ses impressions sur le XV en un lieu connu, sur le net, repéré par un proche… un plumitif (l’amuseur bien sûr) au cortex melliflue dans zune équipe poussive au lectorat somnolent, prétendrait que les tri nations n’intéressent que les sud hémisphériques humanités. Encore un qui se grise prophète dès qu’il émet un son. Un crâne d’œuf à la mesure parfaite des attentes vermifugeuses de ceux qui n’ont du rugby que vision tricolorée de bleu-noyade, de blanc-bec-à-pastis, de rouge-bourre-pif. Bref, un genre coquin de journaleux-sport, dont nos compagnes ne croiseront jamais l’existence tant poussive-exsangue est sa nature, fifils à maman gâteau sans doute, bernuda-tong, l’air tellement insuffisant qu’au final sa grâce transparente semblerait vertu... un flotteur de vide total, lui conservant son caractère physique et mental, quelque soit l'opinion émise, sans jamais en perturber l’homéostasie. Matez si voulez ce dessinateur zélé, qui sur deux planchettes, dit le bien qu'il en pense.
Tout ça pour dire que le gus en question ne côtoie jamais cette gente suprême, celle qui convole à l’esthétique pure quand cette dernière avec éthique ne font qu’un (dixit notre grand Ludwittgenstein) et regarde les tri nations comme on savoure un tableau de maître.
Apprécions inévitable le fait d’être un module inconnu de sa caste, et saluons par l’occase ceux qui partagent cette faveur. Notre pensée dernière ira donc à bon nombre de nos lecteurs, comme à ceux qui n’ont jamais cliqués en notre terrain mais apprécient le rugby par delà le Bleu et le moche.
A ceux-là souhaitons jouissance et fermeté, ces jamais en vacance, faisant leur la figure au frontispice du temple soutenu par le vaillant Pilier : Travail… Esthétique… Rugby… et belles compagnies... ces promeneurs lentigrades, péripatétisant au delphique espace-temps, sis au cœur des affinités improbables du cyber univers.
© Le Pilier

07 juillet 2008

TOFS EN STOCK


Salut So’oialo ! Premier capistonat en l’absence de Mc Caw : première victoire.

Tango à Wellington...

AUSTRALIE 40 FRANCE 10


Les Français donnent 40 points aux Australiens dont un cocasse… résultat d’une tendre empoignée, un maquillage halloween pour Horwill... p'têt' clin d’œil provoc à des coquelets bien lights ? Pas vraiment. Le cogneur, le vrai, d’un coup de remontoir de connaisseur, en plein calot, c’est Harinordoquy… croyons bien… quasi sûr… une belle pêche dans les lunettes du Wallab. Après l’équipée sauvage, n’a-qu’un-œil a chaussé Ray-Ban, encore tout étonné du calin. Bref ! Les Bleus jouent comme dab. Perdre n’est pas le pire… ce qui est remarquable c’est notre bagage technique. Sommes vraiment pas au niveau… pack épars… fautes profuses… tatanes de peu... pis que tout. Ya du taf sur la planche… n’avons pas vu se dessiner un semblant même de stratégie… Les Aussies ? On les jugera vraiment aux tri… sur le vrai pâtis.
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05 juillet 2008

TRI NATIONS 19-8 POUR LA NZ


Les Blacks bien sûr...
Ben voilà… la belle affiche… comme de bien entendu les Blacks l’emportent sans problème. La note eut été plus lourde si l’arbitre aléatoire n’avait pas sifflé un hors jeu imaginaire… par cette inconséquence brisa l’ambiance générale… Un rien décontenancés les Blacks gagnent quand même en dominant les Sudafs 19-8 sous conditions climatiques très difficiles. Prime Time, pluie battante de vaches trombeuses, pelouse patineuse, froid visible au regard d’un Habana, Carter et autres détremprés, soufflant dans leurs doigts gourds pour assouplir les phalanges… Blair tomate pour les plus flairs… bref ça caillait sa chair de cocotte. Les gaillards n’en poussent pas moins bidets, Habana plante son essai… Carter, quasi parfait en meneur impec oriente savamment le jeu… une perle ce gus… souple… fait des passes dans un mouchoir après avoir leurré la défense, que dire de plus sinon qu’il enquille quasi tout de la savate, soutient le reste avec la tête, parfait le tableau avec des cannes de feu. Ce qui manquait du reste aux Sudafs, un meneur de cet acabit… pas la même envergure Butch James… à ce niveau c’est fatal.

Belle rencontre donc très engagée, comme il se doit, entre les deux zéquipes les plus techniques de l’univers. A la pause 9-8 reflétait somme toute la bonne tenue des Bocks… Une belle passe d’Adrian Jacobs à de Villiers, ce dernier impec cadre et file le cuir à Habana lancé tout berzingue… loco sur des rails vapeurs… inrattrapable… 5 pions pour quasi la seule attaque vraiment dangereuse des Boks, les derniers du match pour eux. Mais beau & bien joué. De Villiers se bonifie... à noter. Moins bourrin qu'hier... de bon augure pour la suite. Jacobs nous plait... un noir au centre chez les Sudafs c'est plutôt rare... solide en défense comme en attaque. Sait prendre un trou... a de la vista.
Malgré ce côtoiement scoral, les Blacks sont plus solides et tiennent leurs adversaires à l’image de leur pack très soudé, qui démontre l’excellence d’Ali Williams, la subtilité de Kaino qui conclura par un essai la domination de ses cops. La classe ce 8 Black, qui du reste est l’auteur aussi, de l’essai refusé… suiveur, malin, solide mais éviteur comme on aime… pour sûr, même sans Mc Caw les Blacks ont du ressort et semblent imbattables. Ils enchaînent et transmettent vitement le cuir, des lourds souvent en position de centre… des trois quarts qui assurent le gain en mêlée ouverte… ça remue son jus et les figures diverses… variées… ça circule donc sans trop de fautes de main au demeurant… sinon Woodcock un brin maladroit, mais rien de bien terrible.
Steyn entre en milieu de seconde mi-temps et tente un drop des 50m qui passe un rien sous les poteaux… s’il lève moins son cuir, il passe pile au middle… quel saton çuila. Gageons qu’il remplace James dans l’avenir… a de la vista… peut trouver sa place à l’ouverture… pourquoi pas.

Le plus mauvais sur le pâtis, sans doute possible, est l’arbitre Dickinson, laxiste, flottant… ne siffle pas en effet quand le sauteur Williams se fait agripper en l’air par un Bok, puis siffle la fois suivante sur la même exactement figure… Des cravates pas sanctionnées, d’autres identiques pénalisées… Bref lui tailler un costume de fonctionnaire, lui refiler un petit sifflet de circulation au carrefour d’un bled dans l’Outback Australien… et ne plus le revoir sur les terrains majeurs.

A bienveigner* ces tri nous évertuons et savourons ce vrai rugby de mouvement, loin, très très loin du XV terroir, poum poum avants… trois quarts lisibles… re poum poum avants… re mêmes figures... bref ce rugby tricolore qui déchoit depuis l’ère Laporte et semble continuer son train train. Soit ! Pour l’heure joyeuse, à suivre donc la revanche Blacks Boks dès la semaine prochaine…
9h30 AM on samedi 12.

"Typical All Blacks, beat everyone in sight except in the World Cup" Un débat lancé sur Bibici... ça nous fend l'occiput, ça continue la délirium... Si on ne les volent pas, ils dévorent du Bleu, du Vert, du Blanc, du Rouge... comme en-cas.

* Bienveigner :
(au XVII ème) Faire bon acceuil à
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03 juillet 2008

TRI NATIONS J - 2


La composition des zéquipes du week-end tri nations. On notera le retour de Tony Woodcock à la place de Neemia Tialata, bon choix car ce dernier a du poids mais ne tient pas les 80mn, trop lourd, moins mobile que Tony. Smith et Nonu au centre… pas pour nous déplaire… quand on sait qui pousse derrière, super Kahui, dont nous disions tant de bien icy, on peut dire que les Blacks ont une ligne d’attaque à la juste mesure de leur rang. Sommes plus réservés pour les Bocks. Préférons Steyn à de Villiers… comme en causions lors de la CDM. Pensions que la blessure au bras de Villiers était une bonne chose pour les Sudafs… pas pour le gus il va de soi. Pensions qu’avec Steyn étaient mieux équipés pour gagner le titre… ce qui fut fait. Steyn est plus souple, moins bourrin que l’autre moins donneur de cuir, bien que des progrès dans sa transmission sont à noter. N’avons pas de fascination pour les centres percuteurs… plutôt prédilection pour les futés, les passeurs de bras, les preneurs de trous, les zéviteurs de chocs. Montgomery sur la banquette… ok… un super pied en moins dans le pré, mais Jantjes à plus de jus. Rendez-vous donc pour le match de l’année, tant espéré par le Pilier. Samedi 5 Juillet 9h30 AM… sans les mousmés. Pouvez en attendant vous entraîner à danser le Te Raupahara Haka, traduit en ce lieu, si vous chante... plus rude que le Sampa, plus mâle que le Cha Cha, plus sympa qu'la Samba.
Sa position est favorable. Son cœur est profond. Son don est généreux. Sa parole est fidèle. Son gouvernement est en ordre parfait. Ainsi la bonté des bastons, des tendres marrons, des généreuses transmissions.
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New Zealand: Mils Muliaina; Sitiveni Sivivatu, Conrad Smith, Ma'a Nonu, Rudi Wulf; Daniel Carter, Andy Ellis; Tony Woodcock, Andrew Hore, Greg Somerville, Brad Thorn, Ali Williams, Adam Thomson, Rodney So'oialo (capt), Jerome Kaino.
Replacements: Keven Mealamu, Neemia Tialata, Anthony Boric, Sione Lauaki, Jimmy Cowan, Stephen Donald, Leon MacDonald.

South Africa
: Conrad Jantjes; Odwa Ndungane, Adrian Jacobs, Jean de Villiers, Bryan Habana; Butch James, Ricky Januarie; Gurthro Steenkamp, John Smit (capt), CJ van der Linde, Bakkies Botha, Victor Matfield, Schalk Burger, Juan Smith, Joe van Niekerk.
Replacements: Bismarck du Plessis, Brian Mujati, Andries Bekker, Luke Watson, Bolla Conradie, Francois Steyn, Percy Montgomery.

02 juillet 2008

TRI NATIONS J - 3


Well Well… La grande saison du Pilier commence enfin. Du tri nations pour combler un manque certain d’enthousiasme subséquent au visionnage de ce XV vieille Europe, somme toute bien en deçà d’icelluy des masters sud hémis. Enfin de l’édifice majeur, de l’architonique rugby, de la belle passe, du grand frisson, de la vitesse, du pisse-ballon qui suturent puissance, tonicité, évitement, collectif, pour un plaisir maxi, une forme universelle copineuse du grand Art. Les Blacks débutent donc les grandes joutes contre les Bocks… la belle affiche. Le Pilier aux Sudafs livre céans cette petite recette pour croquer du Kiwi… si assez-zélés-forts sont pour l’estourbir. Samedi 9h 30 AM sur Sky ou Bibici... afin d'éviter les p’tites TV d’icy aux commentaires douteux, brouteurs de peu. N’oublions pas quand même l’épiphénomène Australie vs France, pour ceux qui préfèrent la tong aux crampons, le miko au jambon, le mikado... à la baston.
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30 juin 2008

AUSTRALIE VS FRANCE : 34-13


Si voulez le compte rendu d'Australie-France, lisez ceci, sur le blog de notre confrère sis au bout du monde... en lien à droite aussi... Trouverez en substance tout ce que pensons du match. Les Bleus sont bleus… les Kangoos moins sauteurs… On attend les tri nations pour nous remettre en appétit… dès samedi… et là, c’est pas du simili. Blacks vs Bocks… peut pas rêver mieux. La vraie finale CDM du Pilier. On s'entraîne ferme icy pour cette longue série de 9 matchs... une première... pas sûr que ce soit une bonne idée. Comme connu, trop est souventefois ennemi de bien. Mies Van Der Rohe, un de nos architectes fameux, en connaissait l'écueil et savamment répétait : Less is more... Pouvons pas dire mieux.
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29 juin 2008

TOULOUSE CHAMPION 2008


Dans sa précédente bafouille le Pilier dévoilait raison princeps de l’hégémonie des Toulousains sur les Pâtis de France… comme, dans d'autres, moins innocent qu’en paraissait, suggérait l’issue du match. On connaît la bête. L’œil du maître ce Pilier, c’est incontestable, et sa sentence était avisée, bien que ce ne soit pas la crainte seule finalement qui renvoie les jaunâtres dans leur volcans… toujours éteints. Sommes pas fan du Top… nos admirateurs le savent, mais saluons comme il se doit cette équipe Auvergnate qui a dominé le championnat en proposant du beau rugby selon les dires de proches, suiveurs de leur parcours. Mais dominer n’est pas gagner. Au rugby ce sont toujours les dernières minutes qui comptent double… faut tenir la distance… en garder sous la patte. Les Toulousains sont rompus à l’exercice final, savent gérer cette phase difficile comme personne en France, eu égard à ce 17ème titre… ont de plus tiré savamment parti de leur défaite contre le Munster et appuyé au bon moment pour s’assurer la victoire.
Hé hé, ya pas photo, les Toulousains sont plus beaux… car leurs femmes exigeantes sont de fières beautés qui ne sautent jamais au cou de qui ne les désire pas… Le mordant était Toulousain, c’est notoire, le désir affirmé, confirmé par la gloire… Ô Toulouse,
Ô Toulouse… pour sûr, la ville du rugby !
On y reviendra...
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27 juin 2008

Ô TOULOUSE


Place du Capitole n’est pas rien… les évangiles c’est st Sernin… Un canal qui sillonne plus vert aux ponts jumeaux où jadis les Rives, Skrela, Spanghero... tâtaient ferme le cuir sur le pâtis Wallon… La brique est rassurante, la tuile est si charmante qu’on croit qu’un ciel de rose est tombé sur la ville… Et la douceur des berges ? La grâce des Augustins ? La vieille rue du Taur ?
Un jus sur la Daurade… un ballon aux Blanchets, une ballade à Brienne… Des filles rue St Rome, au grand rond, à St Georges… il y en a partout ! La Toulousaine est fraîche, ronde, chatoyante et légère, subtile et délicate et quand ses grands yeux purs d’agate vous observent grands ouverts, on croit voir le ciel… pas l’enfer.
C’est pour cette raison sans doute que les Toulousains ont rapporté le Brennus plus que quiconque en France. Ont d’la caille à séduire, à honorer, à plaire. Est très exigeante la souris, comme fière et jolie… loute aux mille vertus… veut pas du simili, d’la tapette en tutu… lui faut du coffre, de la tenue, du poumon, de l’étreinte souple et ferme, du beau parleur mais kia son jus… Aussi les mâles du coin se la donnent vaillamment pour gagner ses faveurs.
Voilà raison princeps de leur hégémonie sur les gazons de France… quand l'Auvergnat, au doute institué, en est encore au pneu, au caoutchouc, à la roue... comme au volcan éteint. Le jaune un peu fadasse n’aura jamais l'éclat rouge et noir des couchants, c’est clair! Et puis au pays des violettes c'est bien connu, si tu cognes, tu gagnes... là-bas même les mamies aiment la castagne… Là-bas, la baston c'est idiosyncrasique, dans les veines si voulez... génotypiquement Toulousaine !
Ainsi, en substance, ce que nous rapportait un gaillard autochtone à l’allure radieuse dans un rade agité. Le Pilier modéré, d’un tel constat acquiesce, mais ne chanterait cependant pas trop urbi orbi les charmes de la rosette avant de l’avoir conquise, ravi, comblé...
Un petit sus altruiste... une manière d'offrande pour encourager somme toute ces pauvres canaris en mal de trophée, cette sentence ferme : L’homme n’a jamais que le degré de liberté que son audace conquiert sur la peur... de perdre en l’occurrence.
A méditer ?
Le tableau est d'Edouard Debat-Ponsant, né le 25 Avril 1847 à Toulouse, sis au Musée des Augustins, il vaut le détour. Comme Toulousaines... les contours.
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