11 mai 2011

SELECTION INFIRMERIE

Une liste de trente deux gaziers attendue par les fervents supporters... les sélectionnés CDM. Toujours un temps de retard nos entraîneuses... ya plein de plâtrés dans la team... un Barcella en pleine réduc quia pas joué un seul match cette année... du Domingo récemment opéré... Rougerie à peine sorti de la table pour une cheville rompue... plutôt que de faire appel immédiat à Fritz par exemple... à des joueurs en pleine bourre pour filer du jus,  
on sélectionne l’infirmerie. Du temps que l’info atteigne le neurone adéquat du sélectionneur on aurait le temps de lapider un aze à coup de figues molles !!! Ach !!! Quand on sait ce que demande le rugby de niveau international, une forme du tonnerre de Zeus, on ferait mieux de faire une croix sur ces joueurs en leur souhaitant bon rétablissement, temps suffisant pour une bonne récup et les remplacer tout de suite par de frais nouveaux gonzes plein de tripes et d’envie. En sus nous balance du Marty au centre. Merci Marco pour cette adaptation. On attendait pas mieux... sommes pas déçu. Et du Yachvili de mollasson la pantoufle... valait mieux un Dupuy en maillot Paris pécul, qu’un Dimitri la savate certes habile, mais de passe poussive sans parler du reste... pas du cuir qu’il balance, mais de la mousse çuila. Bref. En même temps Dupuy n’avait qu’à rester en Angleterre, l’exil lui allait bien... faisait des progrès là-bas. On le lui avait suggéré avant son transfert. A préféré rejoindre sa bobonne au Dunlopillo au lieu de taffer comme un pro... avait de rares qualités l’empaf, juste un brin de je m’en foutisme que la rigueur Anglaise contenait. Soit.
Retrouver Heymans nous convient... peu à dire sur les avants, hors nos pilars blessés, ce qu’il y a de mieux en France ? Sans doute ? Chabal absent ? Les mamies doivent être déçues... Piccamoles est de toute façon un meilleur choix... Lakafia est parait-il en pleine bourre. Bien comac ? Du Skrela encore... choix stupide au demeurant, mais existe-t-il un autre gazier capable d'occuper cette place ? Depuis dix ans on n'en a pas vu l'ombre d'un seul.  Vivement que cette triplette de sélectionneurs débarrasse nos pâtis et retournent à leur canapé en sirotant leur Kro. Hips ! De toute manière on pourrait leur mettre n’importe quels gaziers dans les pattes ils seraient infoutus de nous pondre un système efficace.
Alors ? Faudra compter sur les seuls joueurs en leur souhaitant une entente parfaite. Pouêt ! Ya que ça, la surprise... qui pour le coup nous couperait le souffle ! Ouf !!! Et ferait même pousser des dents aux cocottes de nos campagnes ! Arf !
© Le Pilier

08 mai 2011

BEHAVIORISME BINAIRE

Ballade radicale
Blater*, chers lecteurs, est un trait spécifique de comptoir et la passion aveugle d'un supporter une marque si distinctive des agitateurs de fanions qu’elle finit par phagocyter toute possibilité d’éveil, nous invitant à croire mordicus cet acronyme emblématique, popularisé par le premier behavioriste Watson : SR. Autrement dit stimulis-réponse. L’américain voulait faire de la psychologie une science objective, se concentrant uniquement sur le comportement observable. Autrement dit point de spécu sur les motivations premières, de déterminisme justifiant, t’appuies là, tu obtiens ça ! Une psycho dynamique et réductrice aux dires de certains, écartant toute référence à la conscience, faisant fi de la moindre introspection. Ainsi les postulats radicaux du ricain, bien décidé à mettre en équation simplifiée de l’homo carafon ses agissements. Le behaviorisme exprimait précisément Watson, devait exclure de son vocabulaire scientifique tous les termes subjectifs comme sensation, perception, image, désir, but, et même pensée et émotion dans leur définition subjective. Soit !

Deux séides, plus connus peut-être des néophytes, suivront cette voie enthousiaste, le délicat Ruskoff Pavlov, popularisé par ses clebs aux babines coulantes, et le plus radical de tous, l’autre bannière étoilée, Skinner, dont le chant même du nom évoque les grâces poétiques, le délicat parfum des nuances printanières qui inondent l’azur de fragrances légères, le bruit sourd d’un ruisseau sur la mousse, ce moment suspendu où la nature est douce, les collines ayant des lys sur leur sommet !!! Hé hé !!! .

Sans trop forcer on imagine ce qu’on peut tirer d’une telle approche, la psychologie définie autrefois comme la science de l’esprit, devient avec la triplette enchantée un enchaînement de réflexes conditionnés. Le concept de conscience devient par effet indéfinissable, inutilisable, juste un mot pour causer de l’âme d’autrefois... mais personne n’a touché une âme, n’en a vu dans un tube à essai, dixit Watson...  Arf ! Foultitude de gaziers ont décrié cette vision restreinte, et notamment Chomsky nautique, le linguiste surfeur des grammaires génératives et transformationnelles. Le "Verbal Behavior" de Skinner reçut dans ses flancs la révolution cognitive Chomskyenne... plus modulaire, plus souple, affinée... même si forte à l’impact quant aux nouvelles conceptions émises sur le fonctionnement de l’esprit.

Ainsi un brin d’histoire de la pensée contemporaine. Outre les limites de ses approches dans l’abord radicales qui peuvent glacer l’échine de certains quand a leur utilisation à des fins collectives, force sommes nous de constater, en chaussant des montures moins jouteuses, qu’il y a bien d’la graine behavioriste dans nos comportements, même si une graine ne fait pas le printemps, ni ne recouvre tout le champ cognitif de sa percutante proposition. Une graine disons nous... on insiste.
Le père Freud aurait bien du en prendre (d'la graine) quand il définit certains patients d’hystériques. On y reviendra... Le Pilier plus mesuré que le chantre de l’anti baise, qui du reste s’est permis de nous boursoufler les connexions avec ses trois essais hélas transformés par tous les frustrés de la planète sur la théorie de la sexualité. Pensez, un cocaïnomane suant dans ses grÔsseux pompes autrichiennes, impuissant à vous étoiler un Dunlopillo, branque dans l’abord d’ycelles aux voluptueuses intentions, infoutu de vous conquérir primesautier une poitrine battante... qui vous ratiocine des énormités Œdipiennes sur le désir des uns, la perversion des autres... pour au final ne parler que de ses propres frustrations. On en apprendra mille fois plus sur l’efficacité, les joies, l’évidence de  la simplicité du désir dans une seule conquête d’un Don Juan, d’un Casanova... que dans les oeuvres complètes  du psycho babilan Sigmund ! Oups !!! Bon encore ses complexes qui lui jouent des tours sans doute,  avec des idées comac ça n’augure pas de sémillantes fantaisies sur la couche. Du moi pas roi en sa propre demeure ? Du surmoi héritier d'un complexe mystifiant le mythe de la destiné ? Un pôle pulsionnel fondant comme banquise en guise de ça ?... Miko sans bâtonnet ? Hé hé !! Et puis tenez... une sucrette pour l'abandon définitif du divan : La psychanalyse disparaîtra car le désir est plus fort que son interprétation... mon Gaston !

Mais retournons za nos moutons des tribunes, au grand SR sus décrit et prenons des exemples pour éclairer notre intention.

Tu files une baffe à Bakkies Botha... selon les critères Watsonniens, il tend l’autre joue. Hum... enfin presque... renvoie plutôt la caresse... en somme... on devine sa réponse.
L’équipe d’un supporter gagne (On parle du total supporter, maquillé, fanions, trompinette,  calé sur trois couleurs, pétards... cannettes... enfin tout l’attirail esthétique) il est content... par définition, si elle perd il geint, s’enivre, pleure sa maman... parfois jusqu’à la castagne.  L'arbitre siffle en sa défaveur il éructe, ne voit qu'un seule couleur, restreint son champ de vision. T'aime pas le Bleu il méprise... l'adversaire tente une pénalité il fait houoooooouuu, siffle, suffoque, prie le ciel !  
Prévisible toussa non ! Dans 99, 9999 pour cent des cas. Donc il y a bien du behaviorisme dans ces veines réactives ! Arf ! Il y a du... mais il n’y a pas que... voilà où l’on veut en venir. De même qu’il n’y a pas d’hystériques au sens permanent du terme (sauf pour quelques neuro plombés) mais bien des moments d’hystérie !!! Une nuance légère qui sans y paraître change sacrément la face des choses. Cela évite de mettre obligatoirement les individus dans une camisole psychololo, dont foultitude de psychiatres et psychanalistes en herbe se plaisent à coudre les jointures, très affectant pour le diagnostiqué. Une manière donc de radicalisme, dans le sens où celui qui perçoit avec son calepin près du divan faisant mine de vague réflexion, cherche à priori , déjà, à caser le patient dans quelques lieux étudiés, bien bornés, afin de prétendument mieux le saisir. Si ya ça, ça veut dire ça... ça se place dans telle catégorie... ça va dans cette case... s’il dit ça... c’est qu’il est fada ? Ha ha !!!

Pour clore finir notre bafouille dominicale, en réponse à certaines propos échangés lors d’une surprenante partie festive, où la chaleur n'avait d'égale que la légèreté des corsages, il y a chose à saisir dans certains partis pris radicaux. Le behaviorisme tient sa pertinence dans la lecture d’un espace cognitif particulier. Quand il déborde de ses frontières il se fourvoie... radicalement. Arf ! Tout n'est pas à prendre... ni à jeter !!! N’est-ce pas là le propre même de toute pensée maîtrisée, que de savoir dans quel cadre restreint ou plus étendu, elle tient sa véracité ? L’art de cultiver la nuance c’est faire du monde son territoire tout en repérant les marécages... pour n’y pas mettre les pieds. Ouarf !!!
* Blater : Palabrer tout berzingue... à la vitesse d’une blatte... en passant du coq à l’aliboron sans grande réflexion !
© Le Pilier

07 mai 2011

PILIER DES NAUTES

Bla d'internautes
On nous dit cuit du râble, mou du bulbe, qu’à se dorer la couenne sous l’ultra sun printanier on s'évertue, entouré de gisquettes qui nous huilent les pores avec des crèmes choisies, pour assurer notre teint maître nageur avant les grandes baignades de Juillet......qu’on a plus de cannes, qu’on tient plus la distance pendant que les gaziers des pâtis d’hexagonie se la donnent, n’en finissent pas de clore ce championnat à rallonge... qu’on n’a pas maté un seul match depuis lurette... bref  qu’on est plus dans la course. Ach !!! Ya même des pires qui nous enjoignent à fermer ce Blog, que c’est la fin du règne... qu’au mieux on devrait s’open un petit Blog farniente, un article par mois, pour conter nos incapacités, avec du twitt bien noeud, lieux communs, bla dégoulineur, banalismes petit cru, à l’instar de ceux qui répandent leur manque de tout sur la toile en pensant tout haut des stupideries qu’ils feraient mieux de taire.

Pilier retraite
Pilier serviette, 
pelles et râteaux...
Pilier d’aboulie, 
Pilier sans abdos
Pilier fini !!!

Voilà en substance ceux que d’audacieux carabistouilleurs nous balancent dans notre intime petite boîte à mails !!! On répond d’un souffle à toussa... Niet !!! Nenni !!! No !!! 
Et même, tout est faux !!!!

Alors comac on veut écorcher le mythe ? On veut nous faire choir du piédestal es grand pâtis ? On vient crachoter des insanies au seuil même de notre épatante empyrée ? Hé hé !!!
Mais les gaziers, il en faut plus pour déboulonner la colonne vent d’hommes supérieurs, le grand Nietzschéen 
Tristan Tzarathoustra, supra gonze des philos à grands coups de crampons, descendu de sa montagne pour éclairer, distraire, les quelques ceux qui ont de la feuille, des connexions fluides dans le cassis, une acuité hors des communes montures, bref le chantre des saveurs qui peuvent lire entre les lignes, comme transpercer un rideau défensif aussi ravageur qu’une tranchée de quatorze... comme extirper un arpion embastillé dans une chaussure de ski !!! Oups !!!

On vous passe la kyrielle d’annonceurs qui veulent déposer en notre incomparable donjon des vidéos Chabal, des peuneus d’autos, des pubs toutes sortes moyennant grisbi sur l’ongle en vue de la CDM !!!  
Comme si Thor possédait 
un marteau "Casto"
Arès un sabre "Bic" 
Dionysos une chopine "Heineken"!

On nous assure en feed back qu’on sera vu partout, lu bien plus... aimé beaucoup... certains rajoutent qu’on doit du reste moderniser ce Blog trop terroir, sans flux rss, sans facebook, Twitt et autres comptoirs partageurs de bla, sans communauté tangible que toute engeance bien connectée se doit de posséder pour se sentir visible, exister, se faire accroire qu’elle compte pour un paquet de cortex, que le chiffre PLUS est la garantie du mieux être... que capitaliser sa fibre amicale c’est dissoudre la solitude en faisant partie du grand tou ! 
Mais sommes bien entouré nous, de muses nous, en toges légères, qui savent nous prémunir contre l’insolation des solitudes écrasantes, en nous susurrant aux pavillons des lauriers savantes harmonies incomparablement plus pérennes que ces affinités numériques. Oups !!! Le vrai plus c’est du moins... encore faut-il qu’il soit beau !!! Le Pilier des Nautes, colonne monumentale gallo romaine, veille encore sur le pâtis d'ici, l'œil au loin... espérant on ne sait quelle passion inconnue quand viendra de ce coin la lumière subite ? Arf !
© Le Pilier

27 avril 2011

SCHENGEN : LA FERMETURE

“I am very grateful to the New Zealand Rugby Union, the Blues and Auckland Rugby and their respective management teams for all the work they have done with me and for the unconditional support they have shown me and I’m delighted to be staying in New Zealand.”

“Loyalty is something I believe in… and I have always hoped I could repay the support I have been given, by showing my continued loyalty to New Zealand,” he added.

Singulières paroles sorties de la bouche du génial et féal hooker Mealamu. Malgré de nombreuses et vénales sollicitations, le super All Black décide de ne pas se gâter les cuissots sur les terrains mineurs Européens quand de l’après CDM sonnera la retraite internationale. Fidèle le gazier à sa patrie, son master rugby, à sa NZRU... son coin pâtis plus que le grisbi. Une attitude à souligner, même s’il n’est pas le seul. Souvenez vous Mc Caw qui malgré des ponts d’or préféra fouler sa luzerne et s’enivrer les naseaux de l’air roboratif de son île pacifique, celle des grands guerriers que le ductile cumulo surligne comme un toit protecteur, empyrée sans doute des Dieux du master XV. Quand on possède de telles divinités dans l’azur infini, on ne vient pas vendre son âme au pays des trompettes de la randonnée spéculative... des posters d’aoulpés... des parfums publicités... on préserve son geste, on fortifie son râble en croquant des gigots nourris à l'herbette bio... on jubile du Haka, poumon sacré de l’emblématique nation des suprêmes bastons. Oups !
Bref, un exemple ces All Blacks... du reste notre présidence serait bien avisée de revisiter la convention de Schengen en effet, de fermer la porte aux étrangers des pâtis... arf... comme l’avons souventefois exprimé en ce lieu, afin que le rugby conserve sa pure identité en affirmant le style de chaque contrée. Formons nos jeunes, n’attisons plus les convoitises des étrangers avec notre artiche, et bâtissons un vrai style capable de rivaliser un jour avec l’hémisud. On leur doit bien ça !
© Le Pilier 

11 avril 2011

FRITZ CARTON... ROUGE

Vu lors du quart chopine Heineken contre Biarritz... remporté par les Occitans... 27-20, ce week-end.
Pas du bouchon de liège. Non non... un beau carton solo, frontal, sans bavure... comme on aime... un bien ferme à la Fritz sur Magnus Lund. Belle figure du centre Toulousain dont on ne comprend toujours pas son écartement de l’équipe nationale.
Où est le problème ?
Bien meilleur qu’un Marty, qu’un Traille... qu'un Jauzion...
Pas gentleman le gazier ? Il semblerait... p’t’êt’ ça ? Pourquoi ce carton rouge EDF ? En fait, savons pas... rien... nothing... flou...
Si quelqu’un veut bien nous éclairer sur son cas, sommes preneur.

07 avril 2011

RADIOACTIFS / RADIOPASSIFS

Printemporalité
La calou begins. Sont tous au fun, because le sun ! Surtout les gisquettes, sapées déjà light... à montrer ce qu’elles ne peuvent plus cacher. Arf ! Sympa les grands rayons printaniers, le blou du ciel entier, les paires de lunettes qui changent de montures... les talons... les guipures... les moulés... déhanchés... la suasion voluptueuse qui pousse à l’échange d’affinités... au consommé... mais du 30 Celsius en sud hexagonie, ya quand même de quoi se dire que les temps changent.
L’été quasi en début printemps, le vieil adage « en avril ne te découvre pas d’un fil » n’a plus d’emprise. Le fond de l’air effraie... ya des particules sournoises qui s’immiscent, des zeaux salées dévastatrices... faudra bientôt la combi palmée, bien étanche, pour barboter quelques minutes dans la mare des estivales décompressions, au milieu des poissons transmutés, des zalgues hallucinées, du plancton grassouille, que le cœur du Mox dans son infini générosité nourrit, sans lésiner sur les doses qui vous secouent les noyaux cellulaires !!!  

Ainsi l’état des lieux sombrement éclairant !!! 

Question cuir du coin, pas mieux. Un pilier solide, blessé aux ligaments croisés qui ne pourra sans doute pas participer à la CDM, Domingo... une grosse perte... comme son compagnon d’infortune le Biarrot Barcella, rupture de l’Achille talon. Deux gabarits manquants dans cette première ligne maîtresse du pack, bien affectée par ces accidents. On leur souhaite bonne retape, comme il se doit, en leur intimant de prendre leur temps, se fortifier la carcasse patiemment, car le rugby ne s’arrête pas à la CDM. Bonne santé est mère de longévité.

Question nous, avons délaissé les pâtis d'icy un temps, on se mate du Super XV pour conserver la patate... ça cogite ferme, s’organise impec dans les tuyaux, ondule au Dunlopillo... on s’épate quasi d’être au top malgré tant d’actifs. Ach ! Ceci pour rassurer nos fans qui s’impatientent parfois quand ils n’ont rien d’autre pour se distraire que du petit Blog rugby de bas pâtis,  encore radiopassif... mou du râble, poussif, comme ya pléthore sur la toile, plus enclin aux croyances naïves qu’à la raison fortifiante.
Le Pilier en adéquation avec son temps, à la pointe... acérée, radioactif, veille au grain, à moudre, sans déchets, diligent, attentif, ultra présent... préférant aux rayons insidieux du soleil, ceux   plus réconfortants de supermarchés ! Osez osez Joséphine... plus rien n's'oppose à la nuit ! © Le Pilier