13 mars 2010

GROSSE FATIGUE

Le mièvre, le mollasse et le superbe ennui...
On jette l’éponge... pas de rugby ce week-end... la vie est trop précieuse pour perdre son temps à mater du flan... chandelles à tout va... transmissions évidentes, blocages inévitables en attaque... mou, plat, rata, nouilles... pas de surprises, du pareil au same, toujours, mot pour mot... bref ça joue pas... du sans tête, sans audace, sans joie... rugby sosie d’une semaine à l’autre...du monotone, imitable comme un babil de re !!!! Pourtant deux essais en première période des Irlandais, but on s’endormait tellement ferme que personne n’a réalisé... étions tous unis au ronron... avons tenu 44 minutes et basta.

Lisez les autres blogs, venez plus chez nous on a tout balancé, tout dit, répété tellement de fois que saturons ferme du cortex... Jonhatan Davies, désabusé on Bibici semblait de l’idem mood...

Le rugby d’ici 
c’est fini !!!!
© Le Pilier

O'DRISCOLL O'CENT BOUGIES

O'mage & souvenir
Centième sélection pour l’épatant O’Driscoll meilleur centre Européen sinon mondial de la dernière décennie. Du genre comac n’avons pas eu depuis des lustres de part chez nous... bon ça ne court pas les pâtis non plus ces bestioles de grands centres gaziers... en paire en sus, c’est carrément introuvable. Affectionnons particulièrement cette position, centre, p’têt because tout merdillon avons maté émerveillé en live moult fois Maso, quand trottinait à Narbonne avec Sangalli... en fin de carrière donc... avait la grande classe le gonze faut avouer... certains l’appelaient la danseuse mais savouraient son style... ne nous sommes pas privé de l’astiquer en tant que manager permanenté des blous cocottes, mais question joueur là on s’incline... un vrai grand bogoss d’affûté... notre idole d’antan... pas très défense quand même, mais des cannes de feu, une vista, une passe du tonnerre, fixant l’adversaire avec une élégance toute lui, coup de rein fabuleux, intervalle à griller l’opposant dans un mouchoir de poche... ça on adorait, le grand frisson pour nous... rien du platane Jauzion si voyez l’allusion. Les zenclumes au centre ? Pas du tout de jamais notre kif ça... tout gafiot déjà on détestait les gros lourdingues quand on foulait l’herbette... les sans génie... avec des passes de plomb... impardonnable... avons toujours kifé sur les têtes habiles... les zélégants à ce poste,  
les zéviteurs, 
jamais les percuteurs !!!
Comac on est... comac on pense le XV. Non non, ya plus de ça chez nous... Fritz nous évoquait un peu cette manière de jeu, mais ne savons pas ce qu’il trafique... n’est jamais sélectionné... un mystère ce gonze... semblait prometteur... là, on pige nib ! Qui sait ?
Hommage donc à ces gaziers de trois quarts centres affûtés qui ont su nous titiller l’échine, les Maso, Sangalli, Codorniou, Guscott, Greenwood... on en passe... et celui du jour, mais dans un autre style tout différent des sus nommés, plus complet ce dernier, l’infatigable O’Driscoll. Standing O’vation pour un birthday qu’on espère à la hauteur éclairée des cent bougies. Plier du poireau après le Bif... tout à fait O’possible... mais ne vendons pas la peau de l'O'possum avant la fin du capharnaüm !!! Ach !
© Le Pilier

12 mars 2010

SUPER


Irlande vs Galles 15H 30... Demain... la meilleure affiche du week-end ?
Suivra du Bif tout rose... morose... chez le Scot... à la triste rigueur...
En nos pâtis les Berlusconi, pour ceux qui aiment les macaronis...
Chouette !
© Le Pilier

08 mars 2010

AVATARS

Rugby grand ciné
Alors comac on nous zégratigne, nous zamenuise, nous zanicroche patte, nous moque parfois... prétextant que nos paginettes sont trop éparses, plume erratique, de temps en temps, par ci...  
qu’on pourrait tenir ce Blog majeur plus quotidien, avec de vrais morceaux de jeux sinon d’analyses proches des terrains terroirs... qu’on pourrait donner notre avis sur le Top, que c’est fendard de nous lire mais qu’on se foule plus trop la citrouille à ne causer que des grÔsseux bastons...  
Bref qu’on pourrait faire du plus, 
voire du mieux 
à causer plus du coin !
En somme on voudrait que Mozart compose pour l’accordéon java, le bugle et la trompinette Olé... que le Pilier chausse le béret, l’espadrille et sirote son pastaga en refaisant le monde avec des brins de championnat ? Avec des flops de Top genre Toulouse-Toulon 3-6 en fin de match et sans cassis ? 
Avons saisi la requête Ginette, mais en ces temps de fraîche saison l’index est un peu gourd, le majeur minus, l’annulaire rétif, le pitchou bien planqué avec ses congénères dans les poches profondes près du gîte à bijoux, où la chaleur diffuse son lot d'électrons caloriques. Le pouce idem fait sa pose afin de savourer un repos somme toute nécessaire pour récupérer des chicores d’hier, tenir la saison entière sans blessures majeures. Sommes donc pépère au Toshibastringue... on va pas balancer non plus tout le jus avant les finales et les tournées manèges d'été. En sus on se tape les Tri nous, sous un soleil de chameau, plein Juillet, quand tous les gaziers de Navare se la coulent grassouillets en tongs et moule paniers voire total aoualpés en sirotant des mousses
sous des huiles de palmiers 
au bord des zeaux salées 
.... de l'été !!!
Alors calmos les aficionados !!!
A trop tâter du pré on risque la déchirure des ligaments... on fatigue les cuissots puis on se retrouve indispos à remplir les infirmeries comme bon nombre de joueurs outre-sollicités par un calendrier épuisant. Sommes pas payé par les clubs, sous la bottine de la ligue, ni au service de la FFR... saviez toussa... pas gladiateur nous, pour des sous... juste l’enveloppe charnelle nous zimporte aussi mesurons nos efforts. Faut se préserver si on veut durer, rester toujours numéro un... comme disait la chanson !!! Et puis savez que peu nous chaut le mini golf, baby rugby, et autres loisirs qui nous hibernent plus qu’ils nous fouettent les sens.

On apprend que le match France VS Angleterre prochain sera diffusé dans certains cinoches en 3D... amusante l’idée... manquera plus que la combi avec les capteurs pour sentir bien les coups...  
Au pâtis comme si vous zy étiez !!!! Dans quelques années les mastards ne seront que des avatars qui pourront s’entrelarder sans retenue en évitant les bobos. On ne distinguera pas qui du vrai, qui du faux... les bastons seront scénarisées avec metteurs en scène et producteurs à la clef, ce qui du reste semble parfois être le cas.  
On ne dira plus 
composition de l’équipe,
mais casting des gaziers !
Du vrai spectacle on vous dit sans amoindrir l’abattis... le rugby ciné est arrivé avec de vrais faux morceaux de moments vrais, de faux vrais mensonges de vérité,
de vraies fausses chicorées plus saignantes que des plaies !!!
Yaura du produit dérivé tous gabarits... peluche on a déjà, celle à Chabal... bientôt le lacet Michalak... le fourre précieuses Marconnet... le vide bonbons Tartempion... Et puis bien sûr des zoscards pour les plus belles peignées... déjà le centre Jaque Fourie de Sudaf Production vient de recevoir de L’IRB le trophée Bonux du plus bel essai de l’année ! Hé hé ! N'importe nawak !!! Merci pour le collectif !!!! A quand la palme du brushing le plus résistant après placage perforant ? La crème qui colle pas aux crampons après piétinage des filets mignons, gratignage du croupion ?  
Le pâtis le plus en feu avec de vraies gouttelettes de Lisieux ?
© Le Pilier

03 mars 2010

RUGBY FANFARE

Et XV symphonique
Pas la première... ni la dernière ? fois qu’Hook le couffeur balance une longue passe quand la défense adverse est très proche... envoyant cette fois Palisson à l’essai tout fait. Quel empaf !!! Deux interceptions pour les Bleus, deux essais. Certes les Français dominent devant en première période, même en touche, c’est dire le niveau des adversaires. Avec un ouverture de fermeture comme Stephen Jones qui leur plombe tous les matchs, hors les agassins, des centres sans aucun génie, les Gallois ne peuvent rien construire de bien surprenant. Lisibles, font toujours les mêmes figures en attaque... hors Shane Williams... et ce depuis leur dernier Slam. Pourtant les Blous se déconcentrent, rament en seconde période dans un océan de rouges déchaînés qui finit par déborder la digue... 
Hors les interceptions, pas génial notre collectif... on se retape du drop en début de match, heureusement loupé... (On dit ça because s’il le met, nous en rebalance deux ou trois de plus)...
des chandelles inutiles en veux-tu... aucune attaque dangereuse à proprement parler, construite, ferme, tacticienne... rien de toussa. Un peu lourd ce rugby... sommes bien en Europe. Plus pépère, plus bermuda, plus lent, plus bob, plus flottant, plus gabégique, plus flegmatique, plus tong, plus camping, plus liquette, plus string qu’évidemment le rugby des masters du grand Sud... plus pétanque en espadrilles que déferlante en escadrille ouach !!! Ça y est, sommes au niveau du bas chapeau avec nos vannes Cinzano.
Un rugby fanfare donc...
pas du XV symphonique...
sympa le dimanche, roulements et trompinettes olé... ça mumuse un temps... mais si tu préfères la 9ème de Beethov, si tu kifs son quatrième mouvement tu peux pas vibrer sur les timbales de la clique... le bordélisme comme en seconde période, la décomposition du groupe tel qu’on l’a vu... bref, ces couacs en veux-tu sont impossibles chez les grands compositeurs de pré... Non, non, c’est quand même un peu léger toussa... des deux côtés de la manche... sympa, mais tournoi quoi. 
© Le Pilier

28 février 2010

DU GRAND CHELEM

Pour nos cousines
Les Bifs ne manquent pas d’humour... on les apprécie entre autre, beaucoup pour ça. Les vannes sises en notre bafouille d’hier étaient le fait de véritables fils de couine authentiques qui n’hésitent pas à se poiler d’eux-mêmes, validant ce Tommie’s spirit comme sel de conversation, gage d’intelligence, mise en relief distanciée d’un quotidien prosaïque...et tartines d'autres choses.
Un gazier de tous connu, pitaine des vainqueurs de la CDM 2003, coach officiel de la team Rose Bif actuelle, bien fendard, nous gratifie d’une merveille de lucidité à se faire péter l’abdominal ceinture en nous décapant les zygos. Johnson, son nom de star et de comptoir, lors d’un interviouve d’après joute contre l’Irish, s’exprimait ainsi : « C'est le genre de rencontre où les deux équipes peuvent l'emporter et qui laisse le perdant effondré.  
Dans un jour humide comme celui-là,
on a peut-être eu le tort de trop jouer. On a perdu de nombreux ballons.  Il faut jouer du rugby efficace,  
pas du rugby sexy !!!!!» (Authentic sic).
Du rugby sexy ???? Ouarf ouarf mazette et goupillon de chez dilatation des rates.Tu parles Charles du rugby sexy des Britons. Ce doit être la joie au Dunlopillo dans les foyers Anglais... pas foto là... elles ne peuvent se contenter de ça... impossible... faut absolument faire quelque chose pour ces dames les gaziers de France. Allez hop,
jouons du mirliton pour ces minouches en manque de tout... enivrons ces ycelles au gragratouillis chignonnet... faisons tétiner le père François... destinons extrêmes onctions à ces luzernes abandonnées... brandouillons ces monticules au groin... moulinons ferme, il ne sera jamais dit qu’un Français de race délaisse les fondamentaux quand le jour est humide comme une fontaine de Vénus !

En Angleterre en effet, rien n’est fait pour les femmes... pas même les hommes. On savait pas toussa. On comprend pourquoi les pauvrettes reluquent de l’autre côté de la manche, pays mondialement reconnu pour son hégémonie en matière de concélébrations, rêvant du french lover quand elles s’adonnent aux joies frotti-frotteuses que la solitude impose comme ultime distraction ! Ach ! Et puis l’intro tubesque d’All you need is love des Beatles, c’est bien une chansonnette du coin non ? Marseillaise et trompettes... à nous la palme gracieuse, ainsi l’évidence, la reconnaissance mondiale de nos vertus ! Yeah ! 
Tous aux dames !!!
Presentez pilum !!!
Jouons leur du grand Slam à faire pousser des cornes à leurs Jules qui s’empâtent encore sur la couine couronnée d’innombrables lustres... montrons leur que notre tour Eiffel en acier trempé est largement plus pérenne que la prétentieuse Big Ben aux clochettes flapies !
Notre réputation est en jeu...  
faut gagner le Chelem 
et rapatrier ces bergères en perdition !
L’Europe c’est aussi et avant toute chose  
la solidarité,
la fraternité féconde des pâtis...  
le devoir de rassasier les appétits !  

Ce qu'est le rugby sexy ?
Le rugby gagnant... tous les cœurs pardi !!!
A bons entendeurs les grands sonneurs !
© Le Pilier

27 février 2010

LA QUEEN COUINE

Le trèfle jubile
Belle victoire des Irlandais sur le pâtis mollasse de Twickenham... 16-20... face à des pines de Bifs gavés de bouillante eau fadasse, de maladresses, pesanteur gras du bas, de la carafe, du mollet... pratiquant un rugby d’antan,  
lourd devant, rien derrière !
Bon c’était l’heure du thé, faut pas leur en demander trop... ça sentait le pudding au ketchup haricots à la crème blanche... feraient mieux de faire jouer des gaziers culottés, jeunes, tempétueux, genre Cipriani pour donner du vent frais au lieu de les laisser partir en Australie !!!! Ça manque sacrément de génie dans les rangs... pas dans leurs cordes dab, on sait, mais là ça dépasse nos désespérances... Une blague qui trottine plus vite que les trois quarts de la triste Couine :  
En Angleterre, 
si c’est chaud c’est de la soupe, 
si c’est froid c’est de la bière !!!
Ouarf ouarf, poilant !!! Savent plus tâter du cuir ces empafs, pas bon pour nous ça... pour le coup même si loin de nos habitudes les pronostics, on ne voit pas comment les Bleus pourraient laisser échapper le grand Slam. Sommes hyper supérieurs dans tous les domaines... total out les Tommies, lents comme des chenilles processionnaires... se passent le ballon sans jamais cadrer un adversaire, galopent en travers... essaient lamentablement de transpercer une défense Irlandaise impénétrable en percutant comme des bœufs, et devant, des zenclumes sans caboches. Pour l’anecdote, à dix minutes de la fin est apparu sur l’écran une statistique, 19 placages pour les Blancs, 96 pour les verts... ont du p’t’êt’ ben se planter un brin... mais ça dit tout. La bande à O’Connor a superbement joué le coup... hyper hargneuse dans les rucks, maligne en touche... clôture sur un bel essai de l’ailier lancé fond les cannes pendant que les avants Anglais laborieux, labouraient encore le green de leur insatiable entêtement à jouer sur des vieilles combines... bouffer du green dans des rucks de vieille école. En sus n’ont plus de pack performant pour ça... Alors ? Faut les pilonner ferme, pas de quartier... même si un match jamais ne se gagne sur le papier, parions sur une ratatinade sans quartier. Avons des gaziers d’un autre calibre tout à fait capables de leur donner une leçon. Si la Couine n’est plus en mesure de nous tenir tête, faut lui aplatir la couronne... ya pu d’Europe sinon... Allez les Bleus, laminez-nous toussa, sinon on finira par croire ces mauvaises langues qui racontent qu'en Angleterre,
rien n’est fait pour les femmes... 
même pas les hommes. ACH !!! 
Pour clausule, une palme au gonze de tous les diables auteur d'un match d'enfer, le troisième ligne centre Jamie Heaslip... sur la tof... belle bestiole l'Irlandais... avec O'Connell, O'Callaghan et consorts... ont O'pressé l'épine de rose à lui faire rougir la lune comme un croupion botté !
On reviendra sur notre victoire contre les Gallois sous peu... allons tout dab flatter du pralinet avec nos gisquettes, faire sauter le bouchon en préfigure de grand Slam ? Vlam !
© Le Pilier

26 février 2010

GALLES 20 - FRANCE 26

OUF !!!!
La question Bibici d’hier, sise en son site.
Can Wales derail the French Grand Slam bandwagon ?
Les poireaux Gallois peuvent-ils faire dérailler les Blous wagons avant la gare victorieuse du grand Slam ? Réponse non...
S’en est fallu pourtant de peu pour que les Rouges ne réitèrent le match poursuite contre les Ecossais... Une minute trop tard pour espérer gagner, l’hyper sup Shane Williams, le grand petibonum du Millénium plante quand même son 50 ème essai en match international en trompant pas moins de quatre Bleus. Un record derrière Campese le phénoménal Australien et ses 64 tries. En sus est partie prenante sur l’essai de Halfpenny avec une superbe passe ajustée de plus quinze mètres... un sacré joueur le gonze... 1,70 m pour 80 kils.
Quand on nous tartine le cortex avé ce rugby moderne des gros gabarits, ça nous poile les abattis. Le rugby c’est de l’évitement, de la vista, du beau geste, de la technique... en premier lieu.
Les Bleus remportent le match 20-26... mais dominaient à la mi-temps 0-20.
Qu’est-ce qu’ils ont foutu ?
Faut-il qu’on en cause Lulu ?
© Le Pilier

25 février 2010

LE GRAND PETIBONUM...

... du Millenium
Julie retapée, consolée, fermeté retrouvée, une douceur timide accompagne quelques ondées éparses de saison, dévalant régulières l’azur, préfigurant le printemps tout neuf et son cortège d’éclosions. Sophie bonne fille, n’a pas lésiné à mettre ses menottes à la pâte... feuilletée... s’enticher du réconfort de la revenue, badigeonnant greffier de savantes et mesurées palettes... et par le fait avenu, assurant l’essor vibratoire de sonorités libératrices. Yep !!!
A la mesure des attentes communes, en première ligne du grand ruck, d’évidence Pilier comme doit tint son rang, zénithal, bla libéral... va-ça-vient périodiques, grand jus, pirouettes, funambulisme, concélébration des fuites pleines de grands sentiments vigoureux !!! Ach !
Bilan des échanges ? Harmonie des mélanges, retrouvailles de Julie avec les fondamentaux existentiels, débarrassée pour un temps de ces incommodes spéculations qui obombrent l’enthousiasme, taraudent cogito, détournent l’esprit de la Dionysiaque vertu, la raison du droit chemin, le pilon du baldaquin... tsoin !

Toussa bien beau mais demain soir ya baston. Comme savez tous nos Blous affrontent les Gallois au Millénium. Prenables nous semblent ces derniers eu égard aux précédentes joutes. Même si le match contre l’Ecosse fut rebondissant, incroyable question suspens, les Red poireaux sont loin du grand Top. Sans Shane Williams auteur d’un match remarquable, de tous les bons coups, replaçant son groupe dans le sens du vent favorable... sans les cartons jaunes Ecossais, les blessures de Paterson, de Parks, celle grave de l’ailier Thom Evans et autres anicroches engendrant l’abattement des Kilts en tête toute la durée du match, la donne eut été différente. Shane plante même l’essai de la victoire après la trompette finale. Au Millenium Stadium... gaffe au petibonum !!!
Mais les matchs se suivent et ne se ressemblent pas forcément. Nos cocottes ont largement de quoi rivaliser avec ces poireaux en baisse régulière depuis leur dernier grand slam. Un bon test pour l’adage... jamais deux... sans T !!! Hips !
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20 février 2010

TWITT A TOUTE HEURE

Reviens, va-t'en !
C’est l’hivernal frimas. Plus de pâtis où livrer sa baston, de quoi poser l’abat, refaire son jus, nutritif, pensif, pause holly. Yep !!! Julie, de retour professionnel d’une longue virée, s’enquit d’apposer ses intimités at home, because yavait lurette qu’elle n’avait pas tâté du zénithal dialecte, re côtoyé enfin ce qu’il y a de plus matou, de plus pur, supra tout... le concubineur magistral, l’aussi dur attentif dans tous les moments doux que la lune au lupanar est un soleil sans flou... arg... qui cause, impose, écoute, s’enquiert, conserve du sang froid même quand l’Hosanna du sanctus sous rebonds vibraphoniques ébranle jusqu'à la sacristie. Yep !!!
Envoyé... c'est l'extase ! Allez Lou... ya de quoi !!!
La bestiole ondulante, thèseuse es pâtis, d’assise patentée, d’épatante amplitude et de souffle tranquille, au rein solide à supporter ce Blog, en prit l’attentive mesure et reçut comme doit la féminine bouille en manque de relief. Fatiguée disait cette dernière des poussives analyses, des petits bras chétifs, des minus, des plats, démagogols, finasseries oiseuses, fiottes, petits gonzeurs, les ceuss qui font du lard avec des riens de Blous, qu’ont peu dans le matos, ces Mickeys sans logos qu’ont que l’oreille dressée, tous ces pompeurs d'idées qui viennent jusqu'ici faire leur petit marché !!!! Bref de beaucoup épuisée, elle exprima d’un coup :  
« C’est plus sympa chez toi 
que chez partout... 
T’es majeur, 
t’es même quasi tabou 
tant t’es tout !!!! »
Un sic de chez dixit que ne contredirons pas, même si n’avons pas saisi totalement la teneur parfaite de la saturation ! Quelle vie la Julie a-t-elle mené sans nous ? D’où vient ce raz fondamental somme toute inévitable quand le regard est critique, la raison éclairée comme ça transpire chez cette merveille d’atouts ?
Bref, pas du genre patho-modeste à copiner avec les somaties néphrétiques du baladin Brassens s’excusant quasi d’être ce qu’il est, laissant l’entourage niais abuser de sa bonté, écoutant les sornettes, ultra gêné le bonhomme du cirage excentrique répandu en son autour... savons mettre la distance nous, faisons la part des choses, acceptons ce qui est. Sommes zapparu sur la bloue rondeur pour respirer fermement notre quota ! Assumons donc ces vérités émises par ycelles honorées, car c’est nier un sujet que de n'point considérer la joie de ce qu’il entrevoit !
Pour dire quoi au final ? Pas plus qu’un twitter instant de vie, quand la luzerne embaume de retrouver son huis, qu’on laisse tomber le cuir, balance ce qui débarque en opinant du chef sur la valeur du lieu, de la toile qui dévoile l’indéniable et vibrant territoire... hors le temps... de ces reviens, va-t'en, qu'on déguste en soufflant... allez allez, éteins une à une les lumières... tatoue-moi dessus... la peinture au couteau c'est beau... quand la lame est nue*. Hue !
* Boris Bergman
© Le Pilier