19 mars 2009

CHABAL FLOU


A Chaballons perdus...
De mémoire de rugbyman n’avions jamais vu ça !
Un gazier qui passe sa menotte dans ses tifs avant d’envoyer le cuir derrière la mêlée ouverte à son équipier !!! JAMAIS !!! Nouille de la douille et du carafon !!! Pourquoi ? Pour y voir pardi, because penché en avant on fait la bête de somme... on a la vue bouchée... on porte œillères mais pas calots !!!! Du flou du flou... mais le rugby c’est pas du Floyd nom d’une face de dark side, d'une lune bien planquée !!!! Faut du clair autour pour que la transmission soit Interstellar Overdrive... tout au cuir, comme aux camarades... ça frise l’hermétisme, l’hérétisme, le clapier... Non mais c’est quoi cette histoire ? Vous parait dérisoire ? Épiphénoménal ? Banal ? N’y panez rien de nothing... ça prend une place ce genre de geste dans la carafe, ça bouchonne une connexion, ça occupe un zest de seconde, ça floute l’acuité... c’est pathétique, catastrophique... c’est même, pas malin !!!
Un symbole frappant, d'évidence. D’autant que la bestiole quand elle s’entraîne attache sa tignasse pour pouvoir bosser... on l’a vu à Marcoussis... mais quand ya la télé, elle fait sa coquette et nous joue sa psychédé babos... tamponne gros bœuf ... passe repasse ses doigts gourdins dans sa chevelure filasse... durant tout le match... puis poum, repoum, re poum poum et c’est marre... plus personne à la charrue... aussi, en sus de ça, nous fatigue la vue à jouer Chaballons perdus ! Car du cuir tombé y’en a eu, de ceuss qui causent des essais... replacent les Bifs dans le sens de l’attaque... comme on l’a vu dimanche, on y reviendra pas, savez tous ça ! Peut mettre sa bande velpeau, son bandeau néon quand même, faire sa petite queue de poney pour voir clair l’autour sans se peigner !!!! Plus ça pousse la douille, plus ça devient nouille son rugby à Chabal... facteur Chabal des tristounes conquêtes, des frêles notoriétés... anti subtil, nanti défaite de l'entendement, du beau cerveau pensant... bien trop flou pour le grand blou !

De mémoire de rugbyman n’avions jamais vu ça ! Un gazier des publicités juste attendu pour péter sa tronche droit devant, sans jamais, vraiment jamais chercher l’évitation, le crochet, l’intercale, la subtile transmission... aussi pardi s’épuise plus que quiconque...
Degré zéro
du XV quand, malgré les contacts nécessaires, l’évitement reste la clef maîtresse de ce jeu. Matez Ali Williams sacrénom... il contourne le gazier, il rentre lard aussi, mais alterne... Chabal ne fait qu’une seule chose, une seule cuir en main : fonce la tronche dans le mur... perd son cuir ou l'enterre... isolé dans son pathétique et inutile effort. S’épuise... très marqué du faciès si voyez ce qu’on signifie...
Qu’il gagne son oseille plus que de raison, c’est une aubaine pour un fraiseur tourneur... ok.... c’est d’époque... une mâchoire cassée c’est le poster assuré !!! Rien vu de plus cruchon sur le green... et les papiers gras qui en rajoutent des couches ripolin...
Quel impact !!! Quelle force !!! Quel entretien !!! Très bien pour lui toussa, pas pour le jeu. C'est le cuir qui doit vivre pas la starlette à lampions... Mauvais exemple, mauvais pâtis... pour les jeunes... pour Sophie... pour la nation !
Surtout pas d’erreur !!! Le Pilier ne cause que du joueur, pas du bonhomme qui fait ses courses avec bobonne au supermarché... qu’il fasse du ciné, du cosmétique, de l’auto, du papier derche on s’en balance le croupion, mais le pâtis c’est pas fait pour la comédie... le bourrin mon lapin ça vous coupe l’appétit, faut virer ça du terrain... très mauvais exemple pour les gamins... ça bousille, afflige,
ça sert à rien.


Un p'tit rappel ici sur les douilles de la défaite...

Le rugby, comme tous les jeux co c’est la soudure, la connexion... l’échange, la transmission, éviter pour grande lévitation. C'est pas du Chaballon perdu dans l'insondable pipolisme aux figures de roitelets sans couronne, sans état, sans jardin fleuri... Vilain modèle du genre humain, qui encense le faux, vous détourne du beau, fait croire au grand logos quand ya qu'un p'tit nonos... quand il n'y a qu'un rot.
© Le Pilier

17 mars 2009

LE PILIER SUPER BLOU


On veut du plus,
du sus, du bel humus ?
On plébiscite le Pilier, on l’augmente, l’amplifie...
On nous redonde, nous dilate, nous mastodonte...
On veut copiner avec le Maître es pâtis... des mails plein la boîte, des grands merci, des « zaviez tout dit »...
Des grands Mamamouchis !!!
On nous échafaude, nous trophise, nous propose des écrans plats, des tables, du gras d’oie... des zincs à plein gobelets, d’improbables zamitiés... on nous voit galonné pins diriger les troupes en perdition... on veut le grand systémicien... le cybernéticien au gouvernail du Fluctuat... on flippe du Mergitur... on implore sa voilure... on veut du zef, tout neuf, saturé d’O²... on veut son addictif nouveau... sa dopamine bio... son parler ferme, vision hyper logique... on implore son quota cognitif, sa raison, son big if, ultra kif... Pilier Doc Manhattan... Ultra Blou d’espérance, d’azur et de fermeté... on savoure sa belle vérité... On nous veut l’impact playeur, le parfait saveur, hyperconnaisseur... Supra tout, anti mou !
C’est donc ça ?
Mais le Pilier n'est pas Chabal... parfait pour les parfums, les zautos, les barbies à gogos... pour vous faire avaler du rentre lard à saturer vos artères... dialectique de l’esclave... tant va le cruchon dans le mur qu’à la fin se brise le croupion !!!! Vous voulez de la star, du spot, du lampion ?
Sommes pas d'la supérette à champion nous... pas du fanion cadeau qui cache le vilain pot... pas des pilosités éphémères nous, sommes de l’éternel pâtis...
un saveur ça cherche pas les zhonneurs, passque ça possède déjà toussa... dans son quantasoi !!!
Pas du gum chloro vite mâché, puis illico caniveau, pavé collant la semelle et vous empêche la pointe de vitesse zailée... pas l’affiche qu’on décolle au premier rayon du désabus, de l’ennui, du pas perdu... Sommes le duratif tacticien de fond qui observe, mesure, organise, impulse, valorise... pas le pipeau que vous berce les calots en vous faisant prendre des vessies pour des feux Prométhéens...

Pour être Hyper Blou, faut d'la connexion, du zazen, du phénoménal piston... faut travailler son cogito pour plier les pâtis, la matière à sa volonté... la violenter... la soumettre... bouger la grise pour faire émerger la blou ! S'ouvrir aussi largement que le ciel, sortir du monde connu, ne pas chercher là, se perdre ici... être de ne pas être... ne pas nommer, souple, sans je, sombre, profond... voir... prévoir... immersion... puis oser la définition...
du Grand Blou l'assomption !
On voit bien l’autour, ya du gus qui maraude sur notre terrain, fait son petit marché du matin... qui cause après comme nous, croit révéler tout quand tout était chez nous... 
Un petit clic sur le Pil c’est bien chic... mais ça suffit pas pour la stratosphère... faut creuser sa méninge les cocottes, son limbique endormi... ya du taf les gaziers !!! Encore et encore vous z‘en oubliez... vous zoccultez des faits qui révèlent bien les plaies... passage obligé si on veut cautériser...
Compter les bleus tout dab, balancer au tambour, programme long, enzymes très gloutons, secousses... au battoir... et quand ça mousse, bien tourneboulé, alors on sort les grand’zeaux... on vidange... on recommence... puis on balance du souplex si pas rétifs du cortex... sinon on vous laisse la vedette, on débranche... méritez pas not' confiance... ouarf ouarf !!!!
Mais sommes bon zig allez... encore, bien trop p’têt bien bon. Alors ?
On en reveut ? On aime son Pilier qui fait comme ci, mais dit tant comme ça ? On espère, on souhaite, on attend !!!
Oké Oké... On va vous en causer de la pas dernière gifle !
Montrez l’autre joue, on redira tout !
© Le Pilier

15 mars 2009

ANGLETERRE / FRANCE DIMANCHE


Ratatinade épatante !
Lièvremont : « On tombe de haut ».
Des clous mon gros loup !!! Zêtes bien en dessous depuis des lustres... pas de chute... non non... mais du plat de dab... raz de limande... sans têtes et sans les pieds... Avec un en face pro, impeccable, mesuré et bien tempéré, ça donnera toujours ça !!!!
Ce match est d’une lisibilité d’école, une aubaine qui devrait nous secouer le croupion. Merci les Bifs !!!!
Les stylèmes perdants devraient éveiller les bulbes endormis. Plutôt que de gloser comme des sourds sur le soi-disant dernier exploit des Bleus face aux Gallois, arrêtez les bobards, matez en boucle ce match... appelez le Pilier, balancez le grisbi... p’têt ben qui vous ouvrira les calots, vous rendra visible le minimum nécessaire si voulez comprendre la gabegie dans laquelle patauge notre XV depuis une trop grosse paye !
Avons tout dit depuis Mathusalem... re dirons quelques trucs... avec légèreté, pondération, zèle et vivacité... comme dab quoi.
Tout est faux dans l’entourage de nos bleus pâtis... même quand on se ratatine on n’a pas l’air de comprendre pourquoi... on voit pas, ça bobardise de partout, ça badernise, ça voit flou...
Personne à la barre,
au cerveau !!!
Ni le staff, ni ces vieilles zhuiles frelatées... ni les neuneus supporters crêtes à gallinace... ni les journaleux ( bon, eux c'est normal!)... ni Johnny (c'est normal aussi)... ni Justine (elle s'en balance)... ni Julie (elle aime la France du Pilier et les All Blacks... pas folle la guêpe !)...
Enfin bref ! Des zannées qu’on répète les mêmes choses, bande de rachidiens formolés... des prodromes gros comme des zéléphants dans un vestiaire de cocottes sur des boites de six... et pas un seul grand gazier pour mettre bon ordre dans le panier ! Sauf le Pilier.
On en dira more, sous peu.
© Le Pilier

14 mars 2009

SOLDAT SANS JOIE...



BASHUNG / THE END


N'osez plus Joséphine
Plus de footing au milieu des algues et des coraux, plus de tranchée repeinte, plus de pompes sur les restes d'un vieux cargo... plus de Vercors, d’élastique...
Gaby délaisse dans la nuit éternelle le superbe étranger au regard sombre, le rebel de nos villes de contrastes... qui n’en pé plou...
Bashung est mort.
Snif, regrets éternels l’ami... et grand merci.
Rendez-vous sur la lande...

A B.Bergman, à J.Fauque... sincères condos...
J'voudrais bien le connaître le sorcier pourri qu'arrête pas d'faire tomber la pluie...
© Le Pilier en deuil