11 décembre 2008

PROSE & CROUPION


Une sensibibilité à fleur de cuir
Hé Hé !!! On veut sa poésie bien ovale, on jubile à l’idée d’un Pilier découvreur de grands talents ? On veut son surplus d’émotion, son rafraîchissant gazon ? La surdose qui vous palpite plus que jamais ce petit cœur réceptif à la beauté quié partout mais hélas pas chez vous ? Son écrivain Hugo déniché sous un ruck qui vous surprend de ses facéties ? Un de ces grands poètes proclamés des pâtis, chercheur d’azur, body bien buildé du lampion, qui se décarcasse la calebasse, pour vous démontrer définitivement 
qu’un pousseur a du cœur, qu’un mastiff a du kiff... pour les lettres... une sensibilité à fleur de cuir ?

Ben ouais !!! Cet Hugo du pâtis, en effet, l’avons déniché... par hasard, pour vous, quand une connaissance vague dans une librairie soignée, très enthousiaste à l’idée d’un rapprochement de nos natures pourtant inconciliables, un genre d’admirateur désirant copiner, nous proposa la lecture immédiate de ce bijou d’émotion, ce livre incomparable qui une fois la surprise digérée, vous plonge dans un sommeil méditatif que seuls de simiesques initiés peuvent appréhender, apprécier, un livre qui répond sans l’ombre ténue d’un doute à la question qui taraude chaque rugbyman à deux pinceaux de la retraite... 
Oui ! Ya bien une vie, un avenir après le joug, la châtaigne et les coups !!!!

Un beau demain sans doute, littéraire, pour celui-là. On sait désormais qu’un poète sensible, un acteur délicat, un créateur en herbe de bovin, peut très bien se cacher derrière n’importe quelle nature humaine spéculant sous le joug, pourvu qu’on lui prête une oreille, qu’on l’émerge, la montre, la bouge, la remue, l’encourage, la secoue devant un objectif, derrière un fond de teint suffisamment épais, qui, figure d’engrais et masque de rien, fera germer ce profond talent ne demandant qu’à être vu, encouragé, reconnu, sinon aimé !
Serge Simon en témoigne. L’avons maté sur l’écran durant une coupe du monde Australienne il y a quelques zannées. Le connaissons pas plus que Jules, mais savons qu’il était pilier chez Guazzini, p’têt en calendrier, sinon à la mêlée, comme il nous invite à l’approcher dans son ouvrage d’une sensibilité sincère et sans filet. Cette merveille à plusieurs pages, s’intitule frontalement, «la mêlée» pour bien savoir où on en est, dès le kick off !
Sensible Serge, nous dévoile ouvertement l’intimité suave de ces corps transpireurs qui se côtoient si prochement qu’on pouvait pas laisser ça sous silence, tellement que c’est beau de le partager, comme on partage une souffrance muette dans un regard complice... comme une gamelle s'amourache d'une louche pour enchanter un bol !!! 
Ya du touchant dans tout ça, de l’élégance idiosyncrasique qui cherchait la sortie, l’a trouvée, sympathique, franche, peut-être prophétique !!! Un genre de pilier gracile de 125 kilos qui d’une envolée tonique vous fait des entre-chats avec l'air serein d'une enclume en tutu !
Un livre donc comme le disions, totalement saturé d’émotions, vivement recommandé pour les fêtes sapins, entre la dinde et l’ennui, le croupion et la panoplie de grands sentiments qui submergent nos soirées décembre, tel un tsunami de bien être vous emporte dans un courant de félicité, que-du-bonheur-dans-les-souliers. Un livre que l’on peut aussi lire tout seul dans son vestiaire, avant que la Velpeau n’enserre votre onirisme créatif au profit pragmatique d'un conditionnement spécial affrontement, peu enclin aux tendres alexandrins, que le camphre ne supplante la rose qui a vécu l'espace d'un seul matin, mais sourd entre vos lèvres son restant poétique tel un soleil couchant avant le sombre combat... Ach !

Bref un livre plein d'évidences, 
comme la neige est blanche et le gruyère à trous ! 
Bientôt donc ici des extraits... des vrais... à vous ratartiner de franches poilades jusqu'à l’étouffement ! A suivre impératif.© Le Pilier

08 décembre 2008

LE CADEAU DU PILIER


Promesses donc faites, 
promesses tiendrons...


Le Pilier poète de l'avent, vous présentera sous peu une icône de la littérature de première ligne, découverte par ce fameux hasard qui fait si bien les choses, dans un lieu de lettres inattendu... 
Un livre improbable, nouveau même p’t'êt bien !
vu à la télé, mais dont on ne parle pas assez...

Un livre de pelotes emmêlées, un livre touchant, frais-naïf, plus que fion, un livre bourré, jusqu'à presque saturé d’émotion !
Un livre en attente des académiques palmes, 
en vraie plume de palmipède érudit...
Un livre très rugby, initiatique, pour travailleurs d’abdos en période de fêtes... et zygomatiques gaillards !
Une poésie musclée qui cause du vécu comme on se livre à un ami sourdingue... de la confidence en passant par la transcendance des Alpages à cheptel brouteur de pâtis, un livre longuement ruminé, écrit par un auteur massif, tendre, bien connu, qui nous dévoile sa touchante expérience du joug... une vraie personnalité pleine de valeurs sûres et certaines, dans un recueil imparable. Un impavide gaillard délicat, qui se lance dans les lettres comme il encaissera les gifles. Un livre bien sincère, plein d'émoi, qui va donner la pêche au prochain tournoi !


Alors, pour vos cadeaux de dernières minutes, suivez donc 
les conseils de maître Sapin !

Une guirlande de poésie à déposer sous les aiguilles si voulez vous venger de quelqu’un !!!
Comme la sardine est à l’huile, le ronflement au plumard... le crâne d’un grand poète s'active très bavard... Celui-là se dévoile toute honte bien bue, tête nue, frondeuse, livreuse de vers moulus, à la baveuse courante... une imagination à grands moulinets, très appréciée des liseurs d'alphabet !!!!
Enfin, notre rugby Français possède son auteur attitré, comme le vilebrequin son foret, la guimauve sa fermeté ! Ach !
Sous peu ici !
A bientôt !
© Le Pilier

04 décembre 2008

BARBARIAN RIEUR


Pas tous les jours qu’ils joueront l’un contre l’autre en match international ces deux là.
C’était hier, lors de la rencontre, Barbarians vs Australie... victoire des Aussies 18-11. De nos jours une telle équipe de Baa-baas n’a plus grande chance de vaincre une équipe nationale bien organisée. Hors le fait de voir un Tuqiri plaquer Gregan, un Habana échanger avec Rokocoko de belles connivences, un Collins copain comme lardon avec un Burger déchaîné, ce genre de rencontre ne suscite pas un enthousiasme débordant.
Très engagée cependant la joute, anarchique quand même, mais avec de bons moments... du côté des Baa-baas par exemple, qui n’ont pu aboutir, faute évidente de cohésion. Sinon Steyn à l’ouverture ? Pas la classe... déjoue même, aucune organisation du jeu, peu passeur, tente des drops de 60 mètres... tendre le gazier, 2008 n’est pas une grande saison pour lui, doit se reprendre s’il veut jouer aux côtés de Jacobs chez les Boks... mais il est jeune, a de quoi briller et griller De Villiers ? Donc l’essai tarde à venir chez les blancs et noirs... L’éveil arrive avec une belle accélération de Shane Williams, qui entre en seconde période, transmet à Collins très suiveur qui plante son try mérité... gros match le flanker. Il doit s’ennuyer à Toulon, devrait retourner dans son bled, partant participer à la prochaine CDM... pas bien de traîner en France pour l’artiche... on n’y apprend rien, s’y gâtifie, s’amollit... alors qu’il a du jus le mastard... on savait ça bien sûr, mais n’a rien à faire chez nous. France rugby c’est du Toulon pompon, copineur avec ses voisines très disco, Nice rugby, saturday night sans fever, transat et parasol, démagoulis, pas de gros fer dans les connexions, les neuronales à charbon, du mou de partout, de la pantoufle et du pouf... du très vite contenté... de l’écran plat comme leurs analyses... du jus d’air, très Montgolfière... sont d’ailleurs au top gaziers des Blogs de mous... et comme des mous y’en a partout... sont premiers des Blogs de mous de partout... bref !
Revenons au rugby. De l’autre côté, défense monumentale des Aussies comme des bastilles, des tranchées... avec une équipe bien jeune (Deans ayant procédé à 10 changements) mais très joueuse, ça cartonnait franco et promet un avenir plutôt sun pour la relève. Deux essais marqués par les kangourous finaliseront ces atouts. La tof est à l’image du match... un Burger volontaire comme on sait, total frappadingue et défonceur... une défense intraitable des Australiens, liés. Bel effort poupon !!! Mais manque de bol va y laisser son tendon d'Achille... un peu plus tard et sortir sur une banquette de civière... en fin de tournée, c pas k do... Bonne retape pillar.
© Le Pilier




02 décembre 2008

DÉSOLÉ POUR LA ROUSTE !


Fin de partie... Les Blacks ont tout remporté sans encaisser un seul try... idem les Boks... L’Aussie achoppe sur le Taffy... c’était le moins bien fourni de l’hémisud... Le dernier match des All Blacks fut cocasse. Des cartons jaunes en veux-tu-voilà, les Bifs se sont retrouvés plusieurs fois à 14, sinon 13... Les Blacks ont attendu que l’équipe soit au complet pour planter des essais... Bravo !!!
Classe et vraiment sport !

Un scénario remarqué plusieurs fois par le Pilier. A partir de la 60ème minute Carter trouve une touche monumentale dans les 22 adverses, à partir de ce moment les essais pleuvent comme des perles enfilées. Cette fois, idem, ne trouve pas la touche mais le Tommy pressé renvoie comme il peut le cuir en toute petite touche... les essais suivront. Score attendu, 6-32.
Il est évident que les Blacks n’appuient plus comme des fous, tout le match durant... avec l’hémisphère nord c’est du rugbyzness, mise en scène, timing, organisation, on prend son temps... à sa guise pépère... pour que les spectateurs ne quittent pas le stade trop vite, que les écrans ne s’éteignent pas dans les chaumières... que les pubs aient le temps d’être matées... préserver si on veut durer. Sinon des Blacks qui plient et ridiculisent le nord à chaque match dès la première période c’est pas du favorable au boursicotage... à l'audimat.
L’hémisphère sud surdomine le nord comme jamais. Malgré la bonne et dernière prestation des Gallois devant l'Aussie pas top, l’Europe nous semble de plus en plus à la traîne. L’argent lui permet d’acheter les joueurs du grand sud... elle va en perdre son rugby en substituant ces gros joueurs à ceux du coin...

Le Pilier annonçait la décadence de notre rugby un peu avant les débuts Laporte. Ce dernier par sa totale incompétence accéléra la descente... la nouvelle triplette nous semble dans les mêmes dispositions... vieux rugby, pas de stratégie notoire, de vision moderne, pas futée, structure vermoulue, copinage, entrejambons, saucisson, artiche, mais pas de génie... la France habituelle des perruques Louis sun, qui mire ses fanfreluches dans la grande galerie de l’involution, se pâmant au ressouvenir d’exploits passés. Le french flair est bien mouché... façon blair coulant des naseaux souffreteux... mise en avant de joueurs sans épaisseur au look fashion pour gisquettes et neuneus... péri pathétisme, des tribunes aux pâtis en passant par les ondes, commentaires et analyses édifiantes de stupidité... noyades permanentes de vacuité... journaleuses sottises insistant lourdement sur notre dernière victoire entendue, archi volée contre les Blacks... Suprême loi du mensonge parant les entendements ténus d’illusions diverses, pour quel gain ? Bref, le quotidien d'ici ! On finira comme les manchots Britanniques, gros clubs européens, mais inexistence aux zinternationales compètes. France Disneylandes, parades Mickey-Chabal... blabla de tof... rata du moche... rugby de poche ou p’têt ben grand tocsin ?

On s’en moque. Avec les équipes du grand sud le rugby conserve sa rareté, toute sa beauté. On jubile de les voir... bien assez pour nous. Jamais n’avons maté telle évolution, profitons du fait pour saluer le génial Graham Henry pour son adaptation permanente, renouvellement, qui place son équipe au premier rang mondial du grand XV... Jake White itou, a su, chose remarquable, détourner la violence bourrineuse des Boks au profit d’un jeu de mouvement, plus réfléchi, incisif, rapide et inventif. Son remplaçant Peter de Villiers est tout à sa mesure. Les Aussies sont plus mineurs, mais attendons la suite.
Tout est bien qui clôt comme prévu cette tournée d’automne. L’Europe est ratatinée, hors les Gallois qui pointent un bi de bout de blair, bien loin encore du grand azur pour prétendre atteindre les cimes. Le Pilier à l’instar des Blacks reste monumental, sans égal, très entouré des muses, conditionné tout savoir, esthétique, élégance, prestance, notoriété... comme affidé, au sens noble, à la vérité du pré.
© Le Pilier

LES MAILS DU PILIER


De notre envoyé spécial Manu... en quasi direct from Australia... impressions enthousiastes, à chaud, datées du Dimanche 30 Novembre.
Un courriel qui montre bien ce que l’on doit panser !!! Ach !!!
"Bon, je pense qu'on a vu le même match! Même avec pléthore d'actions laissées en route (au moins 3 essais tout faits gâchés!), les Blacks leur ont mis 32 pions, n'encaissant que deux pénalités. Et Carter, affreux au pied, aurait pu corser bien plus l'addition! 4 cartons jaunes pour les Bifs, tous plus mérités les uns que les autres... Complètement dépassés en défense, les petits jaunes leur sauvent 1 ou 2 essais! La grosse satisfaction: Nonu-Smith en centre ! Quelle paire ils forment ! Nonu qui te tape un sprint de folie sur son dernier essai (70ème). Servi par...Mealamu le talonneur, qui avec 70min dans les pattes aussi fait encore un cadrage-débordement accélération raffut! Pfiouuu... Et pour le dernier match d'une saison bien remplie, s'il vous plait! Carter, malgré ses pompes à l'envers, a été splendide en attaque et défense, dangereux à chaque prise de balle. Et quelle passe sur le 2ème essai de Muliana! C'est beau... 4 matches, 4 victoires, 115 points marqués, 24 encaissés, 12 essais pour, 0 contre! (Sans compter le match contre l'Australie le 1er novembre!) Tout est dit je crois... Heureusement que le PdG sauve l'honneur de l'hémisphère nord contre des Australiens hors de forme en cette fin de tournée. Sur ce, 2.40am, je vais me coucher l'ami ! Mais pour un match comme celui la, n'est-on pas prêt aux plus grandes folies ? "
Manu

30 novembre 2008

DANCE AVEC LES BLACKS



Tournée close, victoire des Blacks sur les Bifs... nous y reviendrons... nos compagnes s'impatientent... juste cette photo glissée en cachette, avant compte rendu plus cuissu...

27 novembre 2008

TARTINE DE CHOSES


Chose une :
Coup d’envoi : les Wallabies vont jouer le pire match de la saison...
Malgré de nombreuses fautes, ils gagnent, 18 à 13... Sœur Thérèse !
Les Bleus veulent un coupable... on prendra Skrela... lui-même se condamne... s’il avait mis les pénalités on gagnait, s’écrient les borgnes au grand mépris des règles d’interactivité... Tout est bon pour faire oublier les vraies raisons de la défaite... Faire penser ce qui n’est pas, pour occulter le reste... Air connu... Ya donc un coupable... faut
le délivreur, l’espoir de demain !

On sort donc Mickey de sa boite... Chabal... la couche ripolin... satiné frais qui tient ses 80 mn en gardant tous ses tifs... Paraîtrait même, selon de plumitives inspirations, que l’hypertrophié pilaire aurait changé en un seul match de dimension !!!
Pas moins ! Pas plus, non plus... mais c’est déjà ça ! Beau comme la modernité scintillante, supracomique comme le n’importe nawak contemporain... la bêtise n’est pas plus de Cambrai que l’andouillette de Troyes... tout est démocratiquement réparti...... tout se partage personne n'est démuni...
tous égaux devant le flanby
!!!!
C’est pas du rugby, c’est tout autre chose, mais ça stimule la mumule à foin qui broute son pipole quotidien en rêvassant d'azur... Bon, ya matière à se poiler, on va pas le leur reprocher !!!

Chose deux :
Oui !!!! Pour beaucoup les zarpions de Skrela plombent la rencontre, mais pas ceux des pénalités !!! Justement !!!!! On s’en tamponne des ratés d’entre-perches... Non non !!!!
La minabilité du gazier se situe au niveau de la gestion du match... des chandelles sans éclat... à ultra répétition... du pinceau, de la savate, du crampon... que ça, que ça, à vous bousiller un esprit somme toute conquérant.
En effet la figure que l’on retiendra en témoigne... le volontarisme, la détermination farouche d’Harinordoquy allant chercher le cuir pour la mêlée gagnante... il en veut le troisième ligne, ça se voit sur son visage, se sent, il encourage sa troupe, ça respire la volonté de plier l’Aussie... un beau moment... ça tenait le kangourou dans sa poche... Ach !!!
Mais la mule de dix ne comprend pas l’enjeu... embastillé dans son rugby d’avant... peut-être par les directives des staffylos dirigeants ??? Aussi ? Encore des drops quand on domine, au lieu de tenter l’essai... une plaie de joueur... de stratégie... de fiotte à mini rugby...
Hé Hé... mais veut se dédouaner le Skrela, amnistier ses vraies erreurs comme on enlève sa pompe, en nous proposant la fixette sur les pénalités !!! Des clous !!!! C’est l’autre jeu au pied qui déjoue... c’est la faute monumentale et supra anti tout, c’est le rugby à neuneu, c'est une tête à gros noeud !!!
Le Pilier adore la comédie... mais quand personne ne lui impose à quel endroit rigoler.

Chose trois :
Avec Chabal, on nous refait le coup de Merle... ou quasi... Chabal est un peu plus rugby kan même... mais du mythe idem... pour beauf... de la tof... mais question rugby, s’esclaffe comme un rentre dedans pathétique... s’épuise sottement, dernier quart d’heure sur les rotules... il percute une dernière fois pour du nib... plaf !!! Chaussette !!! à bout portant total plaf... au moment où faudrait justement en mettre un gros coup ! Un module isolé... pas de continuité avec le groupe... passe son temps à se remettre les douilles en arrière... rien d'autre à faire de mieux ?
Souvenez-vous de ce fashion article... mais surtout ne tient jamais un match... JAMAIS !

Matez Mattfield... ne percute pas toujours, contourne, choisit ses moments, sinon distribue le cuir... se place dans un tout... gère, en fin de match fait plus mal encore dans les impacts... avons vu ça lors de la dernière rencontre... évite ou fait un rien de travers, percute frontal juste quand nécessaire... ou le super Botha qui empêche un essai Bif presque fait, après une superbe course de troisième ligne... galope comme un trotteur... c'était du super tonnerre de Vulcain ce match Boks vs Bifs.

Choses quatre & cinq
Ok Ok !!! Change en effet de dimension avec Chabal... plus pipole encore, plus flan, aux œufs frais, plus symphonie des pipeaux... plus foto... Tous en veut... sa tof... la totof à Chabal, la totof à titifs en plein vent des châtaignes, comme celle qu’on vous refile céans, pour bien vous faire voir si pigez pas encore... Chabal le rugby des avents, en boule à neige dedans... Du Chabal en chocolat, santon, noël, sapinette, avatar, big Jim à poupée... à gisquette, à tévé... pour les journaux c'est inespéré, comme ya pas grand chose qui fait rêver dans le rugby de clocher.
Et pour le bilan repassé ? Bilan mitigé.... comme l’assure un paquet de crémeux du cortex qui sévit un peu partout.
La tournée manège d’automne
?
On a gagné contre deux petites zéquipes montrant notre évidente domination... on a perdu un seul match, montrant nos belles prédispositions !!!! Faut attendre le tournoi... Hé Hé on l’oubliait encore celle-là... Faut toujours attendre quelque chose ici bas... qui est pourtant déjà là.
© Le Pilier

25 novembre 2008

TARTINES, MENSONGES & GÉLATINE

La symphonie des pipeaux,
Des pipelines !!!!

Delirium en cirage majeur
de l’après France Australie...


Une comédie qui attend sa claque !!!

Avec tirage de bilan...
Grattage de croupions...
Baratin,
repassage des faux plis...


Un match animé par le Pilier...

Avec en cadeau,
plus tard dans la semaine,
une trouvaille littéraire
rugby & poésie
à vous tortiller les branchies.

Sous peu !
A savourer sur ce Blog...

© Le Pilier

BLACK ÉTOUFFE TAFFY


Une tof pour pas trop causer de la classe des Blacks... Kaino balle en main... nous fait sans problème oublier Collins.
L’hyper quick résumé du 9/29 ?
Première mi-temps les Blacks laissent venir les Gallois. Comme dab bien vaillants ces reds, mais pas très inspirés. Encore trop de tatanes... trop de cuir rendu... ridiculus... Pas de donc gros danger pour les visiteurs. Dès la reprise, le NZ étouffe le Taffy... keuf keuf... totalement écrasé par ces accélérations connues et imparables, le poireau se dissout dans la marmite du Millenium.
Score sans appel... sans outrageant vouloir dominateur des Blacks... sans essais pour les locaux. Encore du Bif pour le NZ ce week-end en quête de grand Chelem, puis retour au pays du long nuage blanc. Merci pour la visite.
© Le Pilier

23 novembre 2008

SPRINGBOKS AU TOP


Boks on the green... ça turbine. Plient du Bif… coupent du tif... razibus... 42 points à 6 virgules... autant dire à couper le souffle... à presque nothing... un peu cabane du chien tombée sur le cochon dans le maïs transgénique et la bauge émétique... bref une belle déculottée... avec la manière... et de beaux essais.
Que dire ?
Depuis le début de la tournée d’automne, l’hémisphère sud n’encaisse pas d’essai du petit nord... c’est un fait qui en dit long... comme d’autres, si bien que pour ne pas se répéter, pourrions tout à fait reprendre nos articles précédents d’hier, d’avant, de Mathusalem... et vous sortir les mêmes commentaires... ce sont en effet les mêmes figures qui reviennent, les mêmes erreurs commises, les mêmes schémas gagnants. Pas de grands mystères, sinon l’insondable flottement au sein des cortex rugbymen d’icy, entraîneurs et toutti quanti... des vides parfaits qui ne semblent pas faire la différence entre une pantoufle et un crampon sans arpion, entre une moufle et un violon... entre la dénégation innéiste des misocartésiens et l'harmonie préétablie d'un transat on the beach qui veut son parasol...

Tea time with a gentleman...

De notre côté, discutions saturday avec un Bif authentique, de très bonne tenue, distingué comme un Anglais melon, dans une brasserie rugby... venions juste d’enquiller les Boks et les Blacks sans broncher... sans remplaçants, sans coaching, un petite heure de battement à peine pour récupérer entre les deux bastons. Le cousin d’outre-manche, un brin défait par le ratatinage de ses troupes, nous convia à échanger nos points de vue devant une chopine de belle mousse, nous décrétant très vite hyper fin connaisseur en matière de castagne et d’ovales figures, nous demandant même d’où sortait une telle vista... un tel aplomb sagace, qu’il n’avait jamais vu ça... qu’étions sans doute de quelque académie M.I.T et patata et patati... so on and confettis.
Il ne savait pas en effet, ce fils de la Queen au grand God, que derrière cette innocence feinte, ce ton distant et mesuré, cette élégance amusée se cachait le monumental Pilier qui sévissait sur la toile en maître absolu, sans adversaire potentiel que cette ennuitude sournoise, tout à fait elle capable de lui faire courber l’échine, voire de clouer grand bec à son logos impérial.
Bon... prenions en effet de court la doxa pantoufleuse, celle des regardeurs sans acuité, des avaleurs de tout sans broncher, mais pas plus que dab... juste de quoi tester ce locuteur à la mesure faut bien dire acceptable, du temps que nous lui accordions.
Un grand amateur de XV cet Anglais, que la passion n’avait fait que fortifier, sans porter atteinte à son jugement, sens critique, vérités sans ambages exprimées quant à l'état de la rose team, entendement complet... ton régulier... de quoi alimenter une raison de bel équilibre qui lui donnait prestance et simplicité... avec en filigrane cet humour tout British, tant apprécié du Pilier... un homme de mesure, pour dire uniment le fait, pensant juste et bien, chose si rarissime qu’elle doit être soulignée... c’est fait.
« Mais pourquoi donc en Europe commet-on toujours les mêmes erreurs ? Qu’est-ce qu’on attend pour s’inspirer de ces grandes équipes ? Pourquoi sommes-nous aussi faibles de rein quand on les joue ? Pourquoi depuis si longtemps que ça dure ? It’s total amazing... de la green gelly... du vilain pudding !!! Tell mi, what do you think, you qui seem vraiment en connaître plus qu’un morceau de vérité ? ».
La question appelant son because, posée par notre compagnon éphémère, nous agit, et notre lippe immédiatement amusée esquissa un sourire... un sourire insondable, impénétrable, saveur* imparable... la prudence qui suivit trouva son réceptacle... accordé. « We don’t know !!! » nous exprimâmes-nous.
L’Anglais apprécia, fit tinter nos verres dans une ivresse franche de connivence légère... il s'enjoua, nous sourit car la question n'en était pas... et de réponse n'attendait. Santé !!!!
A suivre...
*Saveur: qui sait... comme on sait !
© Le Pilier