10 mai 2009

LEICESTER 24 - 10 BATH


Guinness Premiership Semi-Final
C’est fait... Leicester en finale Guinness Premiership & H Cup... après avoir battu Bath de belle manière... la doublette comme on dit... superbe équipe assurément... sérieuse au jeu... Dupuy dit-on voudrait retourner en France la saison prochaine... cause bobonne... devrait pas... beaucoup plus à apprendre chez les Bifs que sous nos clochers... la Ginette ? Après les matchs... primo le XV pâtis, later le couple d’ennui... pas sérieux ça Dupuy... commence a prendre de l’allure et croit que c’est déjà gagné... s’améliorer primo, toujours encore... devenir imparable... va se ramollir ici... Bobonne ? Pas une raison suffisante... des mousmés y’en a sous tous les duvets... l’a k faire les cuivres si pas capable de voltige en d’autres contrées... la châtaigne tout dab, ensuite le saint office... le bénitier... le goupillon... la septième lune... l’extrême onction... la pomponnette... broute pâtis... le démon de midi... la manne céleste... le paradis ?
© Le Pilier

08 mai 2009

LE MATCH DU WEEK END


1/2 finale chez la Queen
Pas tous les jours que pubons* franco pour un gazier de l’hexagone. Faut dire qu’il y a super lurette, multi lustres si voulez, que n’avons pas vu un demi de mêlée aussi enthousiasmant. En sus un gars de chez nous !!!... L’aubaine, le bénef, le paquet de chance, le profit... hé hé !!! Un neuf de neuf comme on les aime, avec de la tête, affûté de l’œil aux pieds... Pas un Jules de chez Smith d’en face, non non, un quia pas la berlue... un subtil qu’on se plaît à mater sur un pré... quasi que lui... comme jadis tout minus, bien minot, attendions
Le
geste... La percée... La passe... d’un Maso, d’un Codorniou... quand pouvions les voir en vrai sur un terrain de Garonne, d’Aude ou Catalan. Une action, un seul geste suffisait pour nous combler... dresser les poils d’échine... on attendait ça comme un chien son os à moelle... le super cadeau du Dimanche, la vraie gran messe des apparitions, avec des Dieux bien en chair à qui nous serrions parfois la pince à la sortie des vestiaires embrumés, odorants des cuirs abimés, bandes Velpeau camphrées, nos doigts disparaissant dans ces mâles paluches, maîtresses es Ovalie, grandioses, superbes... quand le regard déférant de l’enfance extasie le monde, réenchante plein d’hallus l’ordinaire, prenant ces hommes pour des entités sur-réelles, indestructibles, belles comme des songes, ultra fascinants guerriers au calme épatant (pardi, c’était l’après match des rotules avachies, des abattis mâchés...).
Un beau geste donc, plus une main serrée était mieux qu’un Noël des sapins, qu’un rêve d'Aladin... une grosse aubaine, un nouveau monde, un cœur enchanté. N’en sommes plus là d’évidence, sinon pour le geste qui nous fait même effet sur la colonne... quand il est beau.
Mais revenons z’au Nunc. Pour les ceuss donc qui apprécient comme le Pilier ce Julien Dupuy des nobles pâtis, puisque que c’est de lui qu’il s’agit, pourrez mater ses guiboles on saturday neuf Mai, 4 PM lors de la demie finale Guinness Premiership, Leicester contre Bath, comme l’indique l’affiche sus répétée... avec le gazier en action.
On Sky Sport c’est du sûr en direct !
* De puber : faire de la pub... néologisme certifié académie Pilar. Arf !
© Le Pilier

07 mai 2009

TIGERS GAGNENT BLUES 26 / 26


Un Français la classe...
Oh ! Oh ! Nous plait ce gazier Dupuy... ne l’avions que peu vu jouer... un brin de rien cet hiver, pas plus. Avions flairé la densité. Tout Pilier ça ! Un instant, hop hop, saisit la valeur ou l’incapacité d’un gus... un œil ça comme, y’en a peu dans le XV... on vous l’assure. Preuve ? Ya qu’à mater autour... pas photo... personne au niveau... mais sommes pas là pour nous reluire. Revenons au pâtis.

Pas déçu du voyage. Il a de la classe ce gars, une tête bien faite, une vista... jamais précipité, de l’assise (loupe en effet ses 3 premières pénalités, insiste et assure tout le reste...) à l’origine du premier essai... sa passe est précise, son pied habile. Comme il regarde, il voit... le jeu... lit en somme, et là on jubile. Des qui lisent, y’en a si peu en hémisnord !!!!! Bref un genre de gazier qui n’est pas sans nous faire penser (toute mesure gardée) quant au style... à la manière de se comporter, de taper derrière sa mêlée à l’emblématique Gareth Edwards, probablement le plus grand 9, sinon joueur de rugby, de nous connu. La comparaison n’est pas sotte, du reste deux compagnons de joute formé au XV par nos soins montraient leur étonnement en précisant effectivement qu’ils n’avaient jamais vu ça, ce type là de joueur entendons bien, sur un pâtis. Pas tort les gonzes. A peine dix ans qu’ils regardent le rugby... alors n’ont pas connu l’antan. Normal. Mais l'ont repéré. Pour nous de la graine de super grand... meilleur du monde un jour si on lui donne sa chance... mais surtout si hyper taf et là pas  gagné, because c'est un Français... plus sérieux avec les Bifs, mais chez nous pourrait se ramollir. A suivre.
Un Dupuy donc singulier, qui ne passe pas son temps à distribuer le cuir tout berzingue sans mater l’autour comme on voit trop souvent... mais temporise, dirige, rassure son pack... Nous plait vraiment... allez hop dans notre Panthéon Pilier des meilleurs gaziers de France avec Fritz, Médard, Dusautoir... pas étonnant du reste de le voir évoluer dans une telle équipe Anglaise, sérieuse, bien faite, puissante, agréable à voir jouer, séduisante... Du reste les Bifs ne s'y trompent pas, sur le site de Leicester on trouve la seconde tof, en première page. Bien sûr ne joue pas en France... normal quoi... on n'y pane rien dans ce bled à cocottes... Chez nous, si tu copines pas la sucette, t’es rien... Si t’as du talent, comme ceux qui décident n’ont rien dans la carafe, tu passes à l’as... en sus bien meilleur qu’Ellis le Dupuy... sachant que le Bif est le 9 du quinze de la rose... No comment !!! Quand il est sorti (Dupuy), ainsi que Flood, l’équipe est devenue plus ordinaire... moins de rendement, pas guidée par cette charnière qui tenait la route... se sont relâchés... les Gallois sont donc revenus au score... comme on sait. 26-26 avec tire entre les perches pour la première fois de l’histoire... façon pingouin-manchots des godasses à pieds plats !
Tout cas cette charnière tournait bien... Leicester a dominé de belle façon ces Gallois courageux mais moins affûtés... mérite d’être en finale... incontestable, même si on peut regretter cette manière étrange de gagner... le match n’est pas volé... c’est bien comac.

PS : Avions anticipé comme souvent, les erreurs commises pour le choix des buteurs...
D’un côté Leicester fait taper ce gourdin de Johne Murphy, l’ailier donc, pas l’arrière... devait avoir le bandeau trop serré sur la tête... ça coinçait la transmission entre ses deux neurones... des gaffes à répétitions, mauvaises options de jeu, plombe son aile, son équipe et le pâtis durant tout le match... à la place de la tête un caillou... bref... le coach insiste, ne comprend pas que ce joueur est malagauche ( peut-être dans un mauvais jour ?) et le fait botter... il loupe bien sûr son coup, comme le reste... a bien failli leur bouffer les portes de la finale l’empaf...
Côté Blues, pour le coup, fallait surtout pas faire botter Martin Williams... joueur majeur du club, comme de l’équipe de Galles, mais justement trop de poids, de responsabilité, d’envergure même... et pas un sou botteur... on le sentait venir avant qu’il ne se prépare à taper, le voyant s’avancer nous nous sommes écrié : Non, justement, surtout pas lui ! Paf !!! Ça n’a pas manqué... Celui qui fait souvent gagner, ou participe grandement aux victoires en étant dans son rôle, peut justement faire perdre quand on le sort de son lieu !!! Pas un cadeau qu'on lui a fait... ne l’incriminerons surtout pas, d’évidence... ni les autres du reste. Ces tirs aux perches sont tout à fait ridicules pour départager deux équipes... juste bon pour les manchots... jamais plus de ces niaiseries au rugby, de grâce !!! Constatons juste ce fait : que ces entraîneurs de haut vol n’ont pas encore l’œil aussi affûté que votre humble, imparable, monumental et modeste Pilier. On savait !
© Le Pilier

23 avril 2009

O'CONNELL O'COMMANDES


Lions vs Antilopes
Pendant que certains nostalgisants, l’œil embrumé, chochottes, bras mélanomes, mous du tri, du bi, de l’abattis, critique pâteuse, psyché flottante, affalés aux transats des croisettes Niçoises rêvent encore du rugby à papa, le Pilier de frairie partageait sa table, tendre bestiole à groin, rose de lait, avec un quatuor de fines gueules, fort en thèmes, et quelques ardentes belles que le hasard bien fait vint placer en notre huis. Le régal fut donc honnête, rien ne manquait au festin, le groupe poursuivit la fête, jusqu’au ciel du petit matin... puis s’assoupit rompu par les grandes postures, par tant de poésie.

De sciences diverses, d’art, causions au son des piques lard, des mâchoires, des gobelets, de littérature aussi... et de rugby pour digérer enfin, distraire la baveuse, se fendre sur l’état des lieux de la pâle ovalie d'icy en sirotant liqueurs.
Le tournoi vite oublié, maraudons désormais au super 14 en attendant les tournées estivales et bien sûr, la suprême compète de juillet, la vraie, l’ultime, la percutante, la jamais décevante Tri.
Pas photo ! Seul grand tournoi au monde, digne de notre niveau.

Avons appris la composition des Lions pour leur prochaine visite chez les Boks, et notamment le capitanat du phénoménal O’Connell. On l’imaginait comac. Le gazier mérite largement ses galons étant de ces gens-là qui savent tenir la troupe, l’encourager, la diriger, la pousser vers la victoire comme l’a fait du reste remarquablement avec l’Irlande durant le tournoi, et le fera sans doute en H Cup. Pourrait bien conserver le titre européen pour la deuxième année consécutive en effet, tant son équipe est performante, soudée, se connaît sur les doigts...

Bon groupe ces Lions... peuvent égratigner l'antilope. On s’étonne un peu de n’y pas trouver Armitage, l’arrière anglais.
Une autre anicroche et pas des moindres, n’ont pas d’ouvertures de haut rang, Stephen Jones, O’Gara ? Deux maillons faiblards dans une team somme toute de bonne tenue. Risquent de le regretter... Il est des places au rugby qui supportent très mal le flottement. Matez le stade Toulousain qui s’entête avec Michalak à l’ouverture... à chacune de ses apparitions ça sent le flop... du reste ont perdu, comme on sait. Sont fadas, on voit que ça !

Wilkinson il est vrai n’est pas dispos...
Malgré ses faiblesses en défense, ni top encore dans l’organisation, aurions donné sa chance à Cipriani. Possède une bonne tatane, un œil avisé, des cannes de feu... le responsabiliser chez les Lions eut pu le transcender, le pousser à être plus incisif... l’aguerrir quoi ! Bon, une vis dans la cheville le gêne semble-t-il. Revenu trop tôt peut-être en automne, n’a pas brillé il est vrai, mais après une telle blessure (matez l’état sur la tof) on reste un temps prudent, normal. On lui enlève la ferraille cet été... gageons meilleur niveau la saison prochaine. Dommage pour les Lions.

Hyper plaisir donc de retrouver les grands gaziers du sud... le vrai rugby moderne qui ne pleurniche pas, s’adapte à chaque saison, surdomine l’ovalie... le rugby du Pilier quoi... loin des cloches fêlées qui ne savent pas organiser un championnat, ne pensent qu'au grisbi. Passons sur nos entraîneuses nationales qui valent à peine les clous de notre croix pesante.
Ci-joint, les Lions et les dates majeures à ne pas manquer.
Cliquez sur le vert si voulez voir les trombines.
© Le Pilier

Arrières : Lee Byrne (Galles), Rob Kearney (Irlande), Shane Williams (Galles), Leigh Halfpenny (Galles), Ugo Monye (Angleterre), Luke Fitzgerald (Irlande), Tommy Bowe (Irlande), Tom Shanklin (Galles), Jamie Roberts (Galles), Brian O'Driscoll (Irlande), Keith Earls (Irlande), Riki Flutey (Angleterre), Ronan O'Gara (Irlande), Stephen Jones (Galles), Mike Phillips (Galles), Harry Ellis (Angleterre), Tomas O'Leary (Irlande).

Avants : Jamie Heaslip (Irlande), Andy Powell (Galles), David Wallace, (Irlande), Stephen Ferris (Irlande), Alan Quinlan (Irlande), Joe Worsley (Angleterre), Martyn Williams (Galles), Alun Wyn Jones (Galles), Paul O'Connell (Irlande) (captain), Donncha O'Callaghan (Irlande), Simon Shaw (Angleterre), Nathan Hines (Ecosse), Gethin Jenkins (Galles), Adam Jones (Galles), Andrew Sheridan (Angleterre), Phil Vickery (Angleterre), Euan Murray (Ecosse), Jerry Flannery (Irlande), Lee Mears (Angleterre), Matthew Rees (Galles).
20 June:
South Africa v Lions (first Test) (1400 BST, 1500 local time) ABSA Park, Durban
27 June:
South Africa v Lions (second Test) (1400 BST, 1500 local time) Loftus Versfeld, Pretoria
4 July:
South Africa v Lions (third Test) (1400 BST, 1500 local time) Ellis Park, Johannesburg

16 avril 2009

ON SE PLAINT DU PILIER


Mise au poing
Well
Well... ya d’la plainte dans l’air... on critique son Pilier because pas gentil le gazier avec certains joueurs... qu’on friserait l’injustice même, qu’on décoifferait le passionné trop sensible en grossissant les traits, que même si avons l’œil avisé, comme hyper souventefois raison, faut pas le dire comac !!!! Ben tiens mon oursin, on va le balancer avec des pétunias... en patins sur le terrain, langue de pipe, bavarde bois... com partout, com ceux qui démagoulinent puis après vous assassinent quand zêtes pu bon à rien. Non, non, correct sommes toujours, ferme au carton, souple dans l'action... dire sans fard la vérité c'est rendre honneur aux gaziers qui se la donnent, c'est respecter les pieds nickelés...
Et puis le mot chien n'a jamais mordu un quelconque arrière-train... alors respect !

Ici, partant donc, appelons une poutre de plomb
par son petit nom, c’est vrai... un platane rigide de gros plomb, un Jauzion... avec des trajectoires lisibles comme des chapeaux melon... des finitions limites... des passes tragiques... une vision pathétique...
Un cul de sac, un légume en frac ? C’est un Michalak... ça sert à rien sur un terrain, ça vous mène droit dans un coin... c’est bon pour les philistins qui n’y panent rien à ce jeu malin... ça déjoue, vous bouffe tout, ça vous désherbe le pré favori, vous l'laboure en misérable pâtis... c'est pas le turbo qui décolle, c'est le raide tarmac... une plaie dans un sac, c'est du pur Michalak...
Moult fois avons répété que ne nous intéressons qu’au jeu, à ceux qui le pratiquent, foulent le pré, organisent les armées. N’avons rien contre les gus à proprement parler. Hors pâtis point d’appétit... mais un gazier qui trottine pas bien, n’organise rien, un mal passeur de cuir, un rateur d’occase, on le dit uniment, sans pommader le ban,
c’est un fouteur de panique
, un genre de catastrophe, un malheur, un trouble... une gêne atomique...
c’est
même un contretemps
!!!
Appelez ça autrement, ça n'change pas l’évident.
© Le Pilier

12 avril 2009

CARDIFF 9 / TOULOUSE 6


Toulousains des agacins
Bon, le précédent papel daté d'hier était juste de l’intuite... Cassandre avait prévu en vain la chute de Troie, mais le vilain Apollon la condamna à n'être jamais crue... because elle se refusa à lui... selon la mytho. Mais le Dieu exprima sans doute avec raison qu’il ne sert à rien d’anticiper, que le but c’est le chemin, pas le petit gain. Pas bête. Les hommes ne feraient de toute façon rien d’intéressant avec ce don... faut rentrer dans le mur pour espérer fêler la brique frontale qui sert de cortex... il en est ainsi depuis la nuit des temps. Certains ont le parpaing insécable et prennent sur le râble sans comprendre jamais pourquoi. Et puis "lire" parfois l'avenir, c'est juste comprendre le présent... ya pas mystère. Toulouse blues diront certains. Pas nous ! Quand on annonce la pluie et que ça mouille on met l’imper, on se dit juste que c’est normal.

A moins que tout ceci ne soit que spectacle... avec arrangements, redistribution, gérance des affronts... la stratégie des rouges et noirs fut pour le moins ridiculement inconséquente. Pour tout dire, n’avons maté que les 35 premières minutes... c’est dire si l’issue était lisible et le jeu ennuyeux. Les Toulousains se débarrassaient de la gonfle à coup de tatanes, pour, comme disent les sots, occuper le terrain ????? Clerc, Heymans, even Medard... sans parler bien sûr de Michalak qui loupe toujours son premier coup de pompe... et les autres... en cherchant la touche, proposant aux adversaires de faire le jeu. Ça c’est du rugby !!!!! Mais qu’est-ce qu’ils foutent avec ce joueur d’hamburgers ???? Ont pas pigé encore ???? Sont des zéquipes à sponsors ou quoi ???? Chaussettes Kindy à l’ouverture, parfum aisselles Chab en troisième ligne... Lotus croupions aux arrières... 4x4 à pneus pour le pack ????? Du rugby ça ????
Avons même vu Kelleher, et toute son expérience, à 25 mètres de l’en but adverse, bien calé derrière sa mêlée dominante, attaquants bien placés, taper à suivre bien haut dans l’axe en plein dans les bras de l’arrière des Blues, qui fit sans problème un marque... fort de café !!!! Stupide !!!! Ridicule !!!! Idiot !!! Et du comac en première période en veux-tu voilà... On sait pas quoi faire, on renvoie la patate chaude dans les bras adverses ????? C’est de plus en plus récurrent ce genre de pratique... les Bleus aussi sont très balaises pour remettre l’adversaire dans le sens de la marche.
Nous, ça nous cloue !!!

Alors, que rajouter à ça ? Dire que Dusautoir est d’une force anticipatrice phénoménale... oui bien sûr... que Médard a des cannes de feu... sans doute... que le pack Noir dominait... certes... mais ça ne suffit pas. Jeu stéréotypé, lisible, hors Medard en attaque. On dirait que les Toulousains n’attendent qu'une chose... les relances de quelques gaziers... mais au centre ça bloque toujours... la poutre solide c’est mieux en deuxième centre... faut de la tête avant... prendre des trous comme l’avons entendu ensuite à la radio, c’est pas mal, mais c'est la clausule qui importe... B... de M... de B... de Dieu de cornegidouille de bigre et bougre... et peste, pouah, diantre fichtre et foutre... Partir c'est bien, finir c'est mieux !
Quand plus young étions, on se faisait incendier si on ne transmettait pas le cuir dans de bonnes conditions après l'échappée... le bon entraîneur nous soufflait dans les bronches à vous décoller les poumons. Et puis on ne renvoie pas la balle toute la partie pour se bouger le derche en fin de match nom d’une pipe de St Georges. Alors voilà. Contre des adversaires pas géniaux, tout à fait prenables même si vaillants, les Toulousains ont chu, perdu, sans un seul essai marqué... rien à ajouter.

Question-réponse pour conclure, adressée à nos staffeuses en dentelles du XV de France, et autre lièvremonticules apathiques ? Cé qui qui envoie Leicester en demi finale de la H Cup contre Bath, alors qu’il n’a joué que la dernière demi heure en plantant l’essai de la victoire ? Ben c’est l’imparable Dupuy !!!!! Savez les filles, le demi de mêlée qu’a quitté Biarritz pasqu’on ne le faisait pas jouer en France... celui dont on ne parle jamais pour l’EDF... pasque cé dab les p'tits copins mon lapin qu’on veut... mais les vrais joueurs, on attend les blessures pour les faire rappliquer... toujours la sélection par défaut... comme Galthier, qui, hors sa dernière CDM, n’était même pas sélectionné dans le groupe initial pour les précédentes. Faut pas être sorti de la cuisine de Jupiter pour prédire que les plats seront amers. Le Pilier n’a que le don de lire les évidences. Sous nos clochers, il est vrai, ce rien d'attention est en effet si rare que ferions presque figure de super héros... mon Julot.
© Le Pilier