30 septembre 2007

ALLEZ FRANCE

Les Français gagnent les Géorgiens. Bravo !
A suivre du vrai rugby sur nos ondes nationales ? All Blacks vs France. On regardera avec attention l'arbitrage...
© Le Pilier

LA FRANCE D'EN BAS


Poupoule mouillée
On se fend la citrouille, se poile, se bidonne à la lecture pusillanime des folliculaires du jour, concernant notre espérance à ne pas rencontrer les méchants All Blacks écraseurs d’abattis. Les schtroumpfs Français, agitateurs du tricolore voile, prient le saint esprit pour que les Pumas ne piétinent pas le trèfle salvateur. David Skrela se plait, dans une confidence touchante, à souhaiter la victoire sans partage des verts, même si ses "amis" du stade Français sont Argentins (sic). Bravo, quel féal sentiment, quel fair-play, quelle noblesse, quel élan !!!!
Pathétique cette France du gagne petit, et oui, il serait plus facile en effet d’aller en finale si on ne rencontrait que de petites zéquipes. Jouons l'Espagne, ou le Danemark pour que nos coqs accèdent aux phases finales... On comprend l’impavide calcul, on saisit bien la profondeur du sentiment national, ce courage sans faille qui veut avoir sa médaille, son leurre, l'argent du leurre, sa tartine, la confiote avec, son canap, sans se remuer le moindre croupion, sans y laisser la moindre plume, la crête toute fière d’attendre que d’autres fassent le boulot pour nous, en nous mirant qu'on est beau, dans la galerie de glaces. Bel esprit !

A contrario de cette foultitude d’empafs, le Pilier encourage cette belle équipe d’Argentine et souhaite sa victoire. Car quoi, si l’on veut picorer dans les grandes basse-cours, il faut se mesurer, la cause est entendue… mal prend aux volereaux de jouer les voleurs, tout les mangeurs de gens ne sont pas grands seigneurs, où le Black a passé, le chapon lui demeure… en refusant l'affront ? Quel éclat !
A suivre.
© Le Pilier

LES NULS DE LA CDM


Pasta rugby et rapiat kilt
(Pizzaïolos dans le Loch Ness)
Il manquait des palmes aux raviolis, comme aux Scots…
Le Pilier officiel, profite de cette tribune pour leur décerner un trophée, certes modeste, à la mesure cependant méritoire de leurs prestations, respectant l'incontestable savoir faire Italien pour la godasse élégante… Une belle paire de palmes des plus infâmes nations du Rugby, pour barboter ensemble dans le Loch Ness, faire de la rame, du pédalo, engloutir de la pâte, des pizzas royales s’ils le désirent, n’ayons pas peur des titres !
Un match nullissimo entre des kilts avaricieux et des Pizzaïolos stupides. Pas une seule attaque digne de ce nom, pas de passes, pas un seul essai Ecossais, des coups de pompes et c’est tout.
Beaucoup de fautes Italiennes, un arbitrages flottant...
On devrait virer ces deux nations du tournoi, aucun intérêt de jouer ces minables zéquipes qui n’ont du rugby qu’une vision trés limitée.

Sinon, comme nous le disions en ce lieu de propositions, organisons deux tri nations en Europe. Délaissons ce tournoi désuet. France, Angleterre, Irlande la majeure tri, pour un vrai tournoi, matchs aller-retours. Galles, Ecosse, Italie pour une autre série, dont le vainqueur chaque année monterait dans la tri supérieure. Le dernier de cette dernière, ce ne serait pas un cadeau, l’année suivante se retrouverait dans la tri plus modeste.
Cela revitaliserait cette Europe endormie, motiverait les riches Nations du nord à pratiquer un meilleur rugby, pouvant peut-être rivaliser un jour avec les nations du Sud.

Fi donc du pasta rugby, boutons la chardonique engeance hors de nos ovalistes pâtis, et basta !
Les Italiens ont de quoi se ravir les calots avec les merveilles de leur somptueux pays, mais doivent se contenter de planter des olives dans leurs pizzas...
Sinon quelques génuflexions au Vatican, quelques Pater, des Avé... Peut-être obtiendront-ils la rédemption commune. L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents, on fait de pareils dévouements.
Pour l'Ecossais, virer les chardons du kilt et privés de ouiski.

A suivre pour du mieux.
© Le Pilier

29 septembre 2007

GOOD GOD, FOR THE QUEEN


La Queen sort l’épine
Les Bifs s’en sortent. Conservent leur titre une semaine encore. Le premier essai anglais, un coup de pied magistral du maître Wilkinson envoie la balle on ne peut plus dans l’extrémité droite de l’en-but pour Sackey qui aplatit. Quelques très belles passes du même Wilkinson. Un paquet solide mais qui n’a pas la fluidité des Blacks. Ils rentrent toujours de front, c’est efficace jusqu’à un certain point. Pourquoi les Européens ne systématisent pas cette technique déroulante ? Pourquoi n’appliquons-nous devant, que cette percussion frontale ? C’est effarant ce manque de tête de notre vieille Europe.
Les Tonguiens n’ont pas démérité. Très forts à l’instar d’un Fino Maka percutant, se transmettant la balle avec audace, faisant même course en tête pendant plus de vingt minutes.
Un rugby de mouvement, pétillant, frais, comme on en voit de moins en moins ici. Les îles du Pacifique ont de quoi séduire un public visiblement conquis par cette façon de faire, si on en juge par leurs applaudissements appuyés, leurs encouragements permanents.
Dans un Pub parisien prisé par les étrangers, où nous regardons les matchs, toutes les nations s'enflamment d’un même élan. Les Anglais encourageaient même les Tonguiens…

De leur côté les Rosbifs ont proposé un jeu plus rationnel, avec bonne occupation du terrain, mais renvoyant trop souvent la balle, à notre goût, dans les bras Tonguiens qui ont su en tirer profit. Même Wilkinson a fait des fautes dans ce sens… Il manque deux centres chez les Bifs, qui néanmoins l'emportent 36-20.
Les Fidjiens, on y reviendra, gagnent les Gallois en conservant parfaitement la balle. Ne s’en débarrassent pas, jusqu’à l’ultime coup de trompette. Ils virent les Poireaux de la compétition avec la manière. 38-34.
A la fin du match, pourtant devant un simple écran, Bifs, Irlandais, Scots, même Gallois ont applaudi les courageux Fidjiens pendant cinq minutes. Ils sont fair-play ces Britanniques, on ne peut dire le contraire, c’est un vrai plaisir.
A suivre pour un résumé plus complet du Week-end.
Pour l’heure Raviolis et Chardons sur pâtis Stéphanois.
Un bon plat ?
© Le Pilier

28 septembre 2007

GARE AU TONGA

La Rose contre un Roi
Le Tonga a son roi, la Queen a ses épines... le match de ce soir s’annonce percutant…
Affrontement royal en notre capitale, dans un lieu de circonstance, le Parc des Princes...
S’ils perdent, les sujets de la Queen et champion du Monde en titre, retournent à Buckingham se faire astiquer les palourdes… Va en falloir de la bouillante eau, celle qui donne un exquis goût à tout… la potion magique et savoureuse des Bifs… ils en seront gavés, Wilkinson en sera. C’est un morceau de chance, un couple de bon augure, roboratif… aussi loin que nous sommes concernés… mais sera-ce assez ?

La rose certes est flétrie, n’est plus toute grande ouverte,
Ses pétales vont souffrir dans le Parc sur l’herbette…
On va la piétiner, la secouer, l’occire…
Le Tonga intrépide, tumultueux zéphyr,
Voudra la dénuder, lui garder que l’épine.
La magnifique fleur royale et purpurine
Cache plus qu’on ne croit redoutable vertu
Et ce n’est pas encore, qu’elle se montrera nue…

Moui, c’est bien beau ces p’tits alexandrins à deux £ivres, mais en face ya du Tonga et c’est du solide… ya Lilo, ya Hola, ya Hufanga, Pulu… ya Vaki, ya Vaka, j’vous dit pas…
On retrouvera aussi le toulousain puissant, et sa léonine tête Fino Maka, avec joie.
S'ils gagnent, c'est la première fois qu'il vont en quart... un si petit pays contre le grand empire... c'est toujours excitant, on ne le niera pas.
Les Bifs ont un mauvais demi de mêlée, ça va pas aider… Robinson est absent… Il en voulait c’est dommage… plus tonique en tout cas que Lewsey. Mais retour de Moody, pas pour nous déplaire… il a du jus ce gars, et pas dans les chaussettes…

Le temps est très British, il pleut des vaches Anglaises…
C’est plus qu’une parenthèse, cette eau dans la fournaise.
© Le Pilier

27 septembre 2007

LE PILIER IRB


DOUZE C'EST ASSEZ
Une proposition, une espérance, un vœu pieux enfoncé dans l’ovale médium…
Un souhait réaffirmant notre valence esthétique, notre plaisir du beau geste…
Un désir de reconsidérer cette Coupe du Monde avec un équilibre acceptable des forces…
Le Pilier propose céans un vrai challenge planétaire qui réduira cette part trop prévisible de sortie de poule, éliminera ces ultra performances des forts écrasant les petits, fauchera cet ennui inhérent à ces monumentaux déséquilibres.
Une Coupe du Monde à douze équipes c’est suffisant. Plus juste, plus équilibré, plus tonique…
Car voir des Japonais écrasés en sushis, des Namibiens embrasser Fanny devant la petite Géorgie, des Portugais ensablés prenant une grosse rouste contre des Blacks à l’entraînement… ça va un temps, on peut aisément s’en passer. Allons directement à ce qui se fait de mieux et entretient un meilleur niveau de jeu, comme notre intérêt.
© Le Pilier

26 septembre 2007

LE PILIER NATIONAL


ON SE PLAINT DU PILIER
Des mécontents sans retenue, des rouspéteurs en tutu, de pointilleux tailleurs de torts reprochent ouvertement au Pilier son indigne tenue, son manque de soutien à nos cocorico boys… Des mails très condamneurs, infligent à notre boite une bien sale humeur…
Bien que noyés, il est vrai, dans la masse des inconditionnels, des laudateurs subjugués par une telle maîtrise, un sens du jeu hors des communs andoxas, à des années lumineuses de ces sombres analyses poussives et cire-pompons, lavasses, des blablas que l'on peut lire partout… touchés, certains l’avouent, par cette modestie que le savoir nous impose, par notre zèle délicat, intempestif, raffiné... ces dithyrambiques applaudis, aussi, provoquent chez nous, on l’avoue, un immense attendrissement, une affection fervente qui inonde notre cœur trop sensible et notre âme, jusqu’aux entrailles de notre entendement, de notre calebasse… bien que ces fervents soutiens disions-nous, nous encouragent donc à suivre notre voie, ces reproches n’en sont pas moins appuyés, et nous imposent une réponse adaptée. De plus, on prétend sans vergogne et sans droit, que nous éludons les questions de dopage, d’argent, d’arbitrage, d’arrangements qui ternissent par trop cette compétition majeure, ce rugby de jouteurs, affectent ses valeurs… que nous tapons toujours sur les mêmes et que ce n’est pas bien.

C'EN EST TROP et le Pilier palpite d’une telle mauvaise foi. Grand père s'est battu en quatorze, croix de guerre et blessures comme un autre en 40... dans nos familles on ne touche pas à l'héritage fondamental, au principe national, ce ne sont pas des petits malins qui vont nous faire la leçon!!! Comment ? Douter un seul instant du feu patriotique qui nous anime ? Nous, le va-t-en guerre des pâtis, le goûteur de ballons, le chantre du bel ébat ? Nous n'en resterons pas là !!!
Le Pilier outragé !
Le Pilier critiqué !

Le Pilier martyrisé !

Le Pilier ébranlé !
Mais le Pilier debout !

D'aucuns diront que sommes trop sensibles, nantis d'une hyperémotivité romantique, qu'importe, nous ne pouvons nous taire devant tant d’injustice, et claironnons notre indignation.
Touché, mais point à terre car le rein est solide, essentiel et majeur, d’une voix raisonnante au logos impulsif, nous nous écrions, malgré la charge fulgurante et sans hésitation:

NON !
Et pour preuve immédiate, que nous encourageons notre équipe, et partant muselons ces bouches mécontentes, tricolorées de fiel, de colère, et de passion mordante, nous nous rallions à la cause première et d’un souffle tonique et batailleur, proposons ce chant martial, un des seuls que nous entonnons...

ALLEZ LES BLEUS!
ALLEZ LES COUPS!
ALLEZ LES HEMATOMES!

Si l’on secoue toujours les mêmes occiputs, c’est par prévenance, par délicatesse, par amour du prochain, n’ayons pas peur des maux... Mais comme le disaient jadis nos vénérables bêtes et Shadoks d’ambition, pour qu’il y ait le moins de mécontents possible il faut toujours taper sur les mêmes. Le Pilier philosophe, comme on sait, respectueux de l’humaine sagesse, appuie mais parle juste, sachant que si ça fait du mal, c’est que ça fait du bien… dixit prof Shadoko.


Et puis, si critiquons ce jeu inconstant des bleus, ces passes molles comme des figues, c’est qu’il y a de quoi. Regardez les All Blacks, les Aussies, les Boks, les Fidjiens, Samoans, les Argentins, les Tonguiens, et beaucoup d’autres... sont better leurs ogives… même celles des Bifs sont souvent dynamiques, malgré un jeu bien terne. Il y a au moins ça. Wilkinson a beau geste, sa passe est remarquable.

Derrière ces faces d’hommes au corps solide, au courage affirmé, nos joueurs sont bien jeunes, ne l’oubliez pas, et ont besoin d’un guide, qu’ils n’ont pas. Ils ont des qualités, c’est un fait, mais la fougue doit avoir une tête, la tête un sens du collectif, un collectif solide fort d’une stratégie… La course une trajectoire, la trajectoire pour un corps qui s’échappe, et ce corps une passe, au final, qui propulse et trompe l’adversaire, car le ballon fusant ira toujours plus vite qu’un homme galopant…
Le fort doit contourner l’obstacle, pilonner d’autres fois… matez encore les Blacks, ils évitent souvent et parfois ils pénètrent, Ali Williams est fort, comme Chris Jack, pivotent sur eux-mêmes et gagnent quelques mètres mais ne systématisent pas le rentre dedans, ce qu’on fait… Ibanez est bien sympa mais il ne fait que ça, d’ailleurs on le surnomme le taurillon… il baisse trop la tête au lieu de la lever… tout est dit… c’est stupide et fatigant ces charges qui amusent ceux qui n’y pompent rien… Chabal est solide mais se plait dans ses propres vingt deux à percuter de front un adversaire, c’est ridicule, la balle doit vivre. C’est le but. Quand on est prés de l’en-but adverse ok, on s’arrache, mais on doit garder tête. Souventefois quand les petites équipes sont prés de marquer l’essai, à peu de mètres de l’espace convoité, les joueurs ne voient que cette ligne qui les hypnotise... ils en oublient le reste, les coéquipiers, le jeu à proprement parler, n'intuitent plus... les Blacks ne font pas ça. Mieux que d’autres, ils existent chacun dans la totalité... par le groupe, pour le groupe, pour la totalité, ne font qu’une seule et même entité. Ils lisent le jeu . C’est pour ça et d’autres choses moult fois exprimées en ce lieu, qu’ils dominent le rugby. Ils sont forts et fluides, très collectifs, très proches, très suiveurs, très singuliers. C’est le ballon qui prime, pas celui qui le porte. Et tout cela s’apprend, se répète, s’impose.

Les Bleus n’ont pas de tête dans le staff… Laporte n’y pane rien. Rien ! Exsangue le gus, n’a semble-t-il compris que la défense, et encore, c’est un Anglais qui s’en occupe, le muscle, les tests physiques, le gros biceps. Mais ce n’est pas suffisant. On a les passes les plus moches de cette coupe du monde. Regardez Michalak, (ne parlons pas de celles de Jauzion... lamentablement affreusement moches de chez enclume), il coupe souvent la course des centres en envoyant le ballon en retrait, sur l’épaule, il la porte systématiquement avant de l’envoyer et retarde sa course, il la passe à des joueurs qui vont se faire contrer dès qu’ils la reçoivent… regardez que diable, ouvrez les yeux… Nous n’avons rien contre l’homme, ça va de soi, mais ce joueur avait des qualités, personne ne s’en est occupé, c’est un crime. Il n’est pas à l’aise à son poste, même s’il donne un bon coup de pied contre les Irlandais, ce n’est pas suffisant… Il fait plein de gaffes le reste du temps, il n’organise rien, n’influe pas sur le jeu comme Carter, Larkham, ou le jeune Barnes son talentueux remplaçant, sinon Wilkinson…

Pour les questions de dope nous n’allons certainement pas à nous affliger d’un tel état des lieux. Elle est partout, depuis un certain village Gaulois résistant encore et toujours à l’envahisseur… dans tous les sports, les grandes compétitions… le savons. Les journalistes infâmes et perfides jouent les surpris, attisent et condamnent quand ça leur chante. Les moralistes de toutes confessions, disent que ce n’est pas bien, parlent d'éthique mais regardent quand même, font la plupart du temps l'autruche. Le monde mate mais ne veut rien savoir de son propre rôle agissant sur ces états de choses. Les optimistes béats, qui ne veulent jamais considérer la dureté du monde, s’enveloppent d’un voile immaculé, d’une sainte auréole, croient que quelqu'un veille, qu'il y a des garde-fous, que les contrôles sont assurés, que bonux lave toujours plus blanc… se diront innocents, ne participant de rien…Un optimiste c'est un pessimiste qui a la pétoche... ya rien de pire.

Certes il n’est pas bon que des hommes s’augmentent, se détériorent avec des substances chimiques… Ils paieront le prix fort, ils le savent. Nous aussi. Vivrons pas vieux les gaziers, vous verrez. Ne sommes pas des solutions utopiques, mais constatons le fait. Voilà tout. Ecce homo ! Si on ne veut pas de ça, plutôt que de crier haro sur le dopé, proposons un vrai suivi médical à ces joueurs, à ces athlètes... ou ne participons pas de ces pratiques, détournons-nous du spectacle. Ne regardons plus les matchs, jamais… Dans nos démagocraties, c’est le nombre qui prime, pas l’éthique… c’est ainsi. Ne voulez pas, il n’y aura rien à vendre de tel. C’est l’achat qui fait loi, pas la proposition.
© Le Pilier

24 septembre 2007

BLACKS ARGENTÉS PLIENT LE KILT


Scott embrasse Fanny...
pour le meilleur

Comment reconnaître deux équipes qui ont même maillots, ou quasi ?
Pas compliqué. Quand ya d’l’essai, c’est du Néo-Zélandais.
Voilà en substance comment on pouvait s’en sortir lors du match All Blacks vs Ecosse. Une riche idée que ces tenues jumelles, à confondre Dupont et Dupond, Justine et infortune, potiche et carafon, rapine et grippetune, frisée et joli con… Enfin.
Les Blacks pas tout noirs, infligent la Fanny au kilts, même si d’aucuns diront qu’ils n’ont pas bien joué.
Faisons la part des choses que diable, jouter contre des seconds couteaux c’est pas la panacée… Les plus grands musiciens nous jouent des fausses notes, font des couacs…
On peut rater sa sieste même dans son hamac…et le beau Célestin aura beau gigoter, Sophie, c’est pas systématique, ne va pas s’envoler… Tout n’est pas réussite, tout n’est pas jouissance si t’es déconcentré.
C’est vrai Carter a le pinceau qui déjoue, il ne passe plus tout… le grand Ali Williams a perdu des ballons, mais il plante un essai magistral, façon Chabal, sur l’aile dans une accélération surprenante... Sivivatu fait quelques fautes... comme d'autres. Bon d’accord ce n’est pas la copie parfaite mais ils offrent une défaite généreuse aux Scottish… en embrassant Fanny ces derniers n’ont pas tout perdu… la peinture en témoigne, il y a pire débandade, plus rude humiliation.

On apprécie les Blacks, même quand ils se promènent. Ils savent nous gratifier de moments intenses, et ne manquent pas d’humour, au regard amusé de Carter, quand Mc Caw le capitaine, lui demande de taper une pénalité dans les 22. Il sourit, se préparant aux sifflets mécontents du public… ce qu’il fit. Donc 40 à O, on ne pourra pas dire que là ça sonne faux…

Et toujours l'anglaise et perfide version, pour ceux qui taquinent Shakespeare, en tirant sur sa langue...
© Le Pilier

LA PASSE SUD-AFRICAINE

Le grand sud qualifié
Week-end gagnant pour les nations du Sud. Certes ils jouent de petites zéquipes, mais jouent bien… il y a toujours à prendre… un entraînement grandeur mature, pour des gestes techniques savoureux. Les passes sud-africaines sont rapides et précises, les tonguiens ont de l’audace et des cannes, les samoans se sont bien tenus face à des Bifs, rassurés par la présence de Wilkinson… Bon joueur cet ouverture quand même, du niveau des zéquipes du sud. Sa passe est belle et son pied, même si pas total top, imprime sur le jeu des trajectoires savantes.
Les aussies ont séduit, les blacks nous ont ravi pour les raisons que l’on connaît.

Les sudafs dégrafent donc les tonguiens, malgré leur fougue et la nécessité pour Jake White, l’entraîneur Bok, de se refaire des couleurs en envoyant la grosse garde. Dès qu’elle rentre, l’espoir change de camp, le combat change d’âme…au final ils gagnent 30-25.
Mais quelle énergie, quelle maîtrise… des balles à fond les ballons caressant tout l’espace, les springboks lancés vous montraient, s’il était nécessaire, qu’ils marquent quand ils veulent.
Ho les belles ogives !!! Nous réconciliant avec cette vertu première de la transmission. Car ceux qui jouent le savent, une passe énergique vous propulse, vous accélère, vous vitalise…
Pas de ces ballots, ces bagages, ces colis qu’on décharge, ces paquets, ces sacoches, ces grosses poches... françaises trop pépères, sans jus ni saveur qui ralentissent un élan, non non, du vivace ballon à vous donner frissons.

Profitons du sujet pour vous livrer céans, ce brin d'interview du meilleur centre français, qui bien sûr ne participe pas à la compétition. Chipée ouvertement sur un site voisin, un journaliste confirmé, posait cette question au superbe Florian Fritz: "Quel est votre geste technique préféré ?" La réponse du centre se passe de commentaire.
" Le top, c'est une bonne passe lancée qui fait marquer mon coéquipier. L'art de la passe est superbement compliqué. La passe parfaite - elle est rare -, c'est celle qui fixe les défenseurs et libère l'espace pour le coéquipier, dans le bon tempo, sans lui faire perdre de temps. C'est, à mon avis, le geste technique le plus difficile à réaliser. Je n'ai pas un don particulier pour la passe, mais en travaillant, ça vient... "
Recte dicis l'ami, au plaisir de te retrouver quand la porte investira son petit bureau, puisqu'il sera demi-secrétaire d'Etat, comme nous le disions .

Revenons zaux Boks. Les échecs de Prétorius, le préposé butteur, ont permi aux tonguiens de coller donc au score. A ce niveau de compétition on ne peut se passer de savate.
Pourquoi devrait-on croire à la faiblesse des gros, quand ils ne mettent pas tout le turbo, qu’ils ne plient pas le match dès la première mi-temps ? Les tonguiens ont joué 80 minutes, et bien ! Nous reviendrons du reste, dans un article prochain, sur l’oscillant arbitrage qui influe réellement sur la couleur des rencontres en ne sifflant pas de nombreuses fautes, et permet ce genre de score audacieux.
En tout cas la victoire est acquise, et partant la sortie princière de la poule. On s’y attendait, comme les deux autres compères, du même sud hémisphère.
© Le Pilier

ESSAI MAL TRANSFORMÉ

Verres et prose
C’est le terrain, c’est la plaine, c’est le champ, la moisson chère à tous… C’est le lieu sacré des pignes, des marrons, c’est la soif, c’est la vigne et son cep biscornu, sa densité charnue, quand les corps se mélangent, s’entremêlent et se nouent dans la brûlante ardeur de l’ivresse et des coups. C’est l’espace vitalisant, le bonheur du ballon, la carpette à rebonds, pour ceux qui la foulent en courant, ceux qui la vivent en chantant, ceux qui l’entretiennent, la tondent, l’agrémentent, la sondent, la tourmentent... c’est la noble toison, c’est le gazon soyeux qu’on honore et savoure, c’est un coin de pâtis plus chaud qu’un petit four…

Une terre d’orgueil ouverte, symétrique, une emblavure verte entourée de gradins, un lieu géométrique, une couche, un coussin, c'est la houppe à Tintin, avec en chaque en-but pour marquer la limite, comme un front hiératique surlignant l’Horizon…
Deux H monumentaux, sémaphores des pâtis... un portail… des poteaux…un blason… des pruneaux... un tabernacle vide… c’est un but, une cible, un désir indicible… c’est le maxi bonheur, pour un drop, une fleur... une pénalité lointaine, une veine de cocu, un trophée de cornu… Un score pour lattes habiles, c’est le maître compteur, l’édifice gracile, c'est l'aspirant majeur.
C’est le rêve accompli quand y choit le ballon…
C’est la fierté dévote, quand aplatit Gaston…

Deux H gigantesques donc, première et signifiante lettre d’Hôpital, quand on y va trop frontal, c’est celui d’Hématome et du bleu qui fait mal… C’est le H affirmé de Sébastien Chabal, le héros, c'est le Graal du noble Perceval… Arg !!!!!!!
C’est l’Herbette enrosée par la sueur des corps, c’est un lieu pour les forts… Convoitise suprême, moelleuse et confortable… C’est un lieu protégé, ouvert mais redoutable… On s’y perd on s’y noie, c’est la piété suprême... C’est la joie, c’est la peine… sous les jupons d’Hélène…
C’est le H inspiré du Pilier qui délire et dit n’importe quoi…

Dessaoule le Pilier, c'est pas beau ta bafouille, cause plutôt du week-end et laisse tomber la prose…
Ok ! A suivre donc.
© Le Pilier

23 septembre 2007

BOULEVARD CLERC


Ben alors ?
Un rugby de tournoi ? Oui !
Un rugby sans éclat ? Oui !
Un rugby dont on a tout dit ? Ici ? Oui !
Un rugby mi-figue, mi-java ! Quoi ?
Un rugby moyen bras ? Pourquoi pas !
Un rugby sans essais ? Non !
Un boulevard, une autoroute, une dérouste proposée par Trimble, le jeune ailier irlandais qui cherche à contrer l’ouverture Michalak sur le grand côté et délaisse totalement son couloir ? Du quasi jamais vu ! Étrange ou stupide ? Où est Dempsey ? Il n'a rien fait !
Après longtemps donc…Clerc marque…lancé… c’est bien … enfin… mieux que dab… deux fois. Les zirlandais sont essoufflés, D’Arcy disparaît, O’Driscoll s’y colle mais vient s’encastrer, les verts perdent 25 à 3. Voilà.

Si on veux pas de ça, si c'est du rabat-joie, si le Pilier on aime pas, si des laudations ya de quoi... cliquez partout ya de tout !
Pour les bons côtés, les tricolorés, les zenjoués, les zagités...
Partout lisez la super défense, le retrouvé, la présence, l’appétit ouvert, le vrai mieux, le moral d'enfer, le beau jeu... de l'audace, du boulot, du vivace, le turbo…
Ya de quoi, partout… du blabla… ya de tout... pour papa…peu ou prou... Pour papy, du pas mal... pour Sophie, ya Chabal.
Sinon ici choisissez votre postulat… et pensez ce qu'il vous plaira.

A suivre, les belles passes de Tonga vs Sud-Africa...
Bifs and the vital win over Samoa...
© Le Pilier

21 septembre 2007

AUX ARMES CONCITOYENS !

Les verres gagnants !
Postulat premier. L’artiche est totale maîtresse. Les zirlandais perdront. C’est déjà convenu…Beaucoup trop de flouze en jeu… C’est la cata si on nous bat…Un économiste dans un journal connu du jour parlait de l’abbé Rézina… si on perdait. Que vient faire l’abbé dans cette histoire, sinon une messe pour les défunts ? Une homélie pour nos lardons ? Un Pater, un ave, un bénédicité, quelques grâces pour aider le digestif du repas d’après match ? Notre président Sarkozy vient de recevoir le premier ministre Irlandais… Pour quelle générosité ? Les bleus gagnent 
Postulat second. Les Zirlandais peuvent perdre ce match et sortir quand même de la poupoule, avec un œuf de qualification. On peut s’entendre… Les bleus gagnent. 
 Postulat troisième. La copine d’O’Gara, qui parait-il a des problèmes de cœur, s’accroche et lui fait un signe dans les tribunes, genre coucou suis là ! Vénère le vert, car il veut plus la voir en peinture, perd pieds et pénalités… Ses copains les verts, sont verts… car solidaires, et déjouent. Les Bleus gagnent. 
Postulat quatrième. La copine d’O’Gara, qui a parait-il a des problèmes de cœur, se trouve un plus costaud, un plus beau, lui fait coucou suis là, des tribunes. Vénère le vert, car il peut justement pas blairer le bellâtre, perd pieds et pénalités… Ses copains les verts sont toujours verts, car solidaires, et déjouent… Les bleus gagnent. 
Postulat cinquième. Les bleus jouent bien. Tient ! Gagnent. Bien!
Postulat sixième. L’artiche n’est pas maîtresse de tout, on se le joue vraiment au bras de fer, avec équivalentes potions… Le Pilier recroit au grand Elvis. Bleus ou verts sortent vainqueurs, on entre dans une nouvelle ère... 
Postulat septième. Les zirlandais retrouvent leur rugby et nous plient. Les bleus sont verts. Les verres sont gris et les verts rient…. 
 Postulat huitième. Sarko, qui a déjà scindé le secrétariat de la jeunesse et des sports en deux, préfère vraiment les femmes et fait lire aux Bleus un sermon de Boileau !!! Les Bleus n'en peuvent plus... la porte s'ébranle. Les verts gagnent. 
Postulat neuvième. Les girondes admiratrices du Pilier détournent son attention pour de savantes analyses, ingénues fluxions, enjambages, sans ambages… allumé de chandelle, abreuvage des sillons, comme dit la chanson. Dés lors, de passion dévorante épris, dans un élan majeur, un cri, le Pilier citoyen s’exclame : « Allons zenfants… » Le Pilier perd la tête, les Bleus aussi.... 
 Postulat dixième et conclusif. En somme substantielle, et vertu des libertés qui nous sont octroyées, quelque soit la façon, les chansons, les jupons, les gobelets tinteurs, la prétentions altières des grands pronostiqueurs… Les verres gagneront... et le trèfle perdra, c'est comme ça !!! © Le Pilier

19 septembre 2007

CHABAL ET LES MIQUETTES


Le trèfle et la bête
« Si tu n’es pas hégémonique et que tu pars en guerre contre un plus fort que toi, ne dévoile pas ta force avant les affrontements… joue-le petits bras, diminue ta prestance, pour tromper l'ennemi !»
C’est en ces termes qu'un stratège causait un jour aux zirlandais. Pays du west européen, du trèfle, de la bière, de Beckett, d'Ulysse, de Joyce, la Zirlande s’apprêtait à défier nos chapons repus de perlinpinpin, expandeurs de jambons et autre Panoramix potion. Le combat s’annonçait farouche et la tension maxi. Les bookies tapotaient leurs oscillantes bourses, les falbalas voulaient mater du cuissot, ceux particuliers d’un Chabalix mâle, gazier solide pourvu on sait des attributs majeurs, objet premier des convoitises, qui sévissait sur les pâtis bien lourds. La douille chevaline, longue tombante, la pilosité belle épaisse, sombre et pesante, la phénoménale bestiole tapissait la chambrée des gisquettes en mal d’élévations, ne côtoyant, les pauvrettes, dans cette ère de féminisation, qu’insatisfaction, ennui, petits mollets, torses zétiques, minets plastiques des facultés, justes épais comme épis, sang de navet, guiboles molles comme des pis…

Il était brave le mastard, doux comme une moutonnière toison disait-on (de la bouche d'ycelle Carine Rossigneux, son agent) plus caressant et suave qu’un matou à mamie, plus délicat qu’un bichon à Sophie, qu’un ronron, qu’une mie... dans la vie de tous les jours. Mais sur un champ de bataille brisait les mandibules, collectionnait les dominos, vidait quelques buffets et toute leur substance, des veines les plus profondes faisait fuir le sirop et sa rouge laitance, châtaignait l’ennemi, brisait les abattis, enthousiaste et joyeux comme on flatte un joufflu, qu’on foule un beau castor, qu'on broute moult fri... quand on donne l’aubade, que frémit l’éperon, se pâme l’édredon…

Une force, c’était un fait, de la nature fraîche… Mais pour la guerre, c’est une armée qu'il faut, avec un chef, organisée, solidaire, ne faisant fi du collectif, ne se résumant jamais à la force d’un seul, qui du reste, il faut le dire sans ambages pour parfaire le tableau, ne tenait pas les 8O minutes imposées… Car elle s’épuise à percuter la musculeuse aumaille, contourne rarement l'obstacle, s'isole, fait de grosses fautes, de celles qui coûtent des pions, ne s’inscrit pas dans la durative posture qui vous fait accélérer la cadence au final des combats. Les vingt dernières minutes sont le point névralgique au rugby où l’on peut tout gagner ou perdre en un instant. Il faut de la réserve, c’est là que tout se joue…

Les zirlandais ont-ils prêté l’oreille aux conseils du stratège ?
Cette baisse de performance n’est-elle pas qu’une astuce de général avisé ?
Eddie O’Sullivan semble faire penser le contraire… peut-être sont-ils réellement moins perforants, plus du tout O’niveau du printemps dernier ni de l’automne 2006 ?
Peut-être n’en croit-il rien ?
Ce sont pourtant les mêmes joueurs, mais qui ne pratiquent pas le même jeu… étrange…
Comment peut-on à ce point abandonner une stratégie gagnante, qui plia les Boks en automne, les Bifs de façon magistrale et faillit remporter le grand Chelem ?
Le Pilier averti reste dubitatif… entre les deux, masse balance…
Il faut donc se résoudre à attendre le jour de la rencontre pour avoir la réponse, mais conseillons au XV de France de ne pas croire à cette diminution et de grandement estimer cet adversaire majeur en Europe.
Ne vous contentez pas d’une défense figée, pourfendez, attaquez, car ils ont quelques O’Gaillards capables des meilleurs coups, la paire de centre peut-être la plus géniale du coin, un bottineur habile et souple des agacins… en sus, et pas le moindre, la judicieuse initiative d’avoir viré Stringer.
A bons entendeurs.

Pour l'anglaise version cliquez ici, ça vaut dix.
© Le Pilier

18 septembre 2007

CYBERNÉTIQUE & RAFFUTS

Cybernétique et raffut
Comme science de l'information, ou processus vital qui maintient en équilibre l’ensemble des phénomènes… la cybernétique nous gratifie, parmi ses nombreuse attributions, de quelques audacieuses translations, non sans humour...
Qui se plait à croire que la machine pensante n’est pas pour demain, se fourvoie, si on en juge sa désopilante manière de s’approprier nos bagatelles, dans un élan créateur, primesautier, se jouant des littéralités, des conventions, faisant fi des lois, du travail apologiste et critique de votre humble architectonique chroniqueur, intempestif et modeste Pilier.
Un petit clic vous traduit TAO en Cat, gigot en leg, et quelques autres merveilles que je vous propose de savourer en ce lieu de partage.
Respectueuse, cependant, de notre latine locution, "in pugna veritas", comme de notre maître signifiant, the Pillar... ne vous fiez surtout pas à sa fourbe traduction, qui n’est pas sans rappeler un trait de caractère de nos cousins d’outre-manchette…
Une version in extenso vous sera proposé ici, sinon lisez ci-dessous, cette page, par trop aventureuse... voire l'originale et française version.
THE PILLAR
The blog Rugby which sees all, speaks about all, supports much…
likes chestnuts, prunes, the systemic one and the CAT,
architecture and the leg…
A cut blows, sweet chesnuts…


Truce of peace
In pugna veritas

Calf of the thigh and pump with nails will abuse the fresh grass of autumn to mushrooms of hallus of our grounds of icy. Y' will have the convivial one to warm up the shoulder, to number meat offals for a fray of first order. September of chestnuts will hold promise to season the large dressers, an art to like without moderation to believe that the baston it is not well. An oval planet in festival, for the joy of strongest and the pleasure of the men in search of harvests. These ladies, that the large males do not frighten, will have leisure to too often appreciate the value of conflicts learnedly arbitrated, only the discharged worthy one of one meaning misused by its sometimes disastrous overflows. Sweet chestnut yes, but in these fundamental rules that the propriety and measurement like a hope of evolution, nourish their noble intentions.
The quarrelsome race will show beautiful example by the acquired value of its title of choice, that of man of kidney like that of honest man, impavide, reasoned.
One fights only on green, in the crowned enclosure of the rough grazings grassouillets, one cases oneself, chicore, plugs oneself, knocks oneself, tears, releasing our deep agitated natures of the irresponsible yoke of too left gone, by the conscience of the limits, virtue of the made man. It is there supreme challenge to combine violence and healthy urbanity. Tender with the rule in the muscular vice, generates the control and forces the respect.

The impartial Pillar, warned, will account for the esthetics of the conflicts in the joy, joy, the jubilante sometimes inopportune mood of the organized hyperboles.

Brutish lout from all edges, esthètes of the hot dresser, the troubles all goes to legs and sausages, not restive, do not carry out broad but viandus unskilled worker, platers molten of dress on the blessed ground of the holy scratches, returns bacon to beaters, accountants of the joinings, it is soon the hour of frank slapped. One smells already as one breathes a perfect unit between hearts, between spirits rejoining by effect of enthusiasm this voluntary dash to the pleasure of the good food.

Truce of peace! Truce of thirst! Welcome the foreigner! Let us leave hams trotter, bottles to circulate and goblets to tinkle, receive with dignity these warriors of in addition to-world, which they taste full bottle the gâteries of icy. Let us battle firmly, drink of too without thirst, entonnons the canticles. Never the heart of a warrior in dry place does not live.

In pugna veritas.
© the Pillar

17 septembre 2007

DOUCE FRANCE...


Liberté, égalité, générosité
A vaincre sans péril, on mire son nombril... et triomphe sans seoir... chantait la matoise corneille, au faîte d'un grand Pilier...
sis en l'ITEM.5 d'un édifice neuf.
Le XV de France professionnel bat le XIV Namibien amateur. 87 à 10. Bravo ! On notera l’altruisme de Jauzion, qui dans un élan de générosité touchante, offre un essai aux namibiens sur les rotules. Beau geste et quelques autres, de nos dignes descendants de l'Hugolien Booz…

...Leurs gestes n’étaient point avares ni pubères,
Quand ils voyaient passer quelque pauvre adversaire,
-Laissez tomber exprès des ballons, disaient-ils…
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… Et toujours du côté des faibles ruisselants,
Leurs sacs de balles semblaient des fontaines publiques…

© Le Pilier