28 février 2009

L'ENVOL D'IMANOL


Victoire sans contredit des Français 21-16. Les rouges ont peu fourni... en toute fin auraient pu... trop tard le réveil... qu’est-ce qu’ils ont donc foutu ? Le pack de huit bleu a dominé la joute... pas de doute... un super Harinordoquy... avec son Dusautoir aux ciseaux ça taillait d'l'abattis sur toute la surface. Pour sûr le père Marconnet apporte stabilité et expérience... Bastareaud est un bien beau costaud... Médar un cavaleur de première... mais on y reviendra. Nos gisquettes s’éveillent, on va pas louper ça...
Pilier du matin, bel entrain !!!
Et la nuit direz-vous ?
Royale au cri du loup !
© Le Pilier

27 février 2009

JOUTES ET JEUX


C’était le vendredi de Julie & Sandra... les deux mousmés s’enthousiasmaient d’avoir enfin leur soirée toute entière avec le seul Pilier... mais qu’apprennent-elles en faisant glisser leur mulot sur notre Blog sensible ? Ce soir 21h France Galles à St Denis !!!!
Coup de fil au château, nous confirmons la chose. Sandra savamment nous outrage de quelques noms fleuris... ravissants, Julie s’indigne de notre silence... impertinent, puisque la soirée était prévue depuis lurette. Pas faux. Surbooké que nous sommes, convoité de toutes parts, de prévenir nos plantureuses avons omis. Prétextant du fait qu’une première fois ne saurait en aucun cas nous condamner, jamais n’avions vu en effet match de tournoi un vendredi à l'heure 21, d’un ton de circonstance, complaisant, voire doux comme on se doit de l’être quand le charme déborde par le fait du courroux, avons rassuré le duo que serions disponible à partir de 23 h et que nous engagions à réparer cette négligence par un repas tardif, une nuit des trois lunes à rendre jaloux le ciel de n’être pas chez nous... une soirée affable, tranquille, bladineuse, légère d'élocution mais non pas moins profonde dans son orientation, d'alchimie secrète distillant moult sésames aux oreilles éperdues... des postures des plumes, des pavillons de roi et toujours cet imparable rythmos épatant qui fait bien du Pilier ce qu’il est uniment. Seul comac.
Ravissantes quand elles nous en veulent à mort, pas moins sévères quand nous faisons promesses, n’avons crainte aucune d’en honorer le subséquent espoir. En ces lieux de mélanges où le désir est sans limite, marquise dirige tout. Il suffit qu’elle soit là pour que l’esprit se glisse et s’insinue partout. L’effort n’est pas de mise puisque la passion règne. Son seul regard éveille enthousiasme et surjoie, vous croyez l’attirer c’est elle qui fait la loi. Ses lèvres sont vos livres, c’est lui rendre son bien que briller d’éloquence et d'esprit mesuré. Sommes imparable en ce terrain d'éveil, sans égal, sans pareil comme elles se plaisent à dire... tout est là qui palpite, c’est le fluide impérial qui moove la durite... déjà la nuit badine... toutes les têtes opinent...

En attendant avons totalement forgetter de causer des rosbifs et des verts Irlandais... on attendra la joute. Les Bifs ont viré Goode, toujours pas mis Cipriani... c’est l’effet mimétique ou quoi avec notre triplette d’ici ? Pas très malin de faire kif la bourrique avec nous... à trop vouloir chauvir on finit par pâtir. Rendrons compte demain si remis des zébats.
© Le Pilier

26 février 2009

PARRA... BABY DÉBAT

Ça déblablate tous azimuts sur cette charnière grinçante composée en dernière minute par nos staff-ylocoques d’entraîneuses en cette veille de France Galles. La poupée bleue de cire, pour certains, risque de se rayer la galette sur celle de rouge son, plus insaisissable, mieux composée, plus à même de nous faire apprécier un vrai morceau de XV, celle de la dynamique surchauffée des Gallois en course pour le Chelem qui déferlera sur nos Parra-Baby, profitant de l’aubaine pour, comme l’espèrent les plus contres, ridiculiser ce choix aléatoire et entériner l’incompétence de ce trio venu de nulle part ! D’autres, espèrent, souhaitent, prient Elvis, ne veulent pas croire à la ratatinade annoncée, arguant du fait que lorsque les Bleus ne sont pas favoris ils peuvent produire un super rugby... comme jadis ils en étaient capables. Au pire, si Parra chute et Baby dévisse yaura matière à s'esclaffer !!! Ouarf !!!

Qu’on gagne ou perde cela ne changera pas ce que l’on sait déjà... le fond reste le même aussi qu’importe la forme (de l'équipe s'entend). Les bleus n’ont pas de système frappant, pas de stratégies réfléchies, subtiles, novatrices... sont lisibles, ennuyeux, pratiquant un jeu qui prend du retard chaque jour un peu plus sur celui des leaders... aussi, ce choix pour le moins incongru reste épiphénoménal au regard du reste mais nous semble en accord parfait avec les habitudes expérimentales de notre triplette qui du reste l’exprime à tous micros : « Nous suivons notre logique » Sic ! Pas faux. Ça balance le bouchon dans n’importe quels remous en espérant qu’un gros poisson finira par mordre. Mais pour ça faut du rapala les gus, du leurre si voulez, pour piéger la bestiole. Un gros poisson peut faire figure de festin mais pas de grand destin... on connaît la chanson ici. Durer est une toute autre histoire... c’est l’affaire des visionnaires des grands stratèges... suffit pas d’épater faut appâter sans relâche avec une mixture longuement éprouvée, un doigté, un œil avisé, une vision totale, à long terme, qui prépare et assure les grandes conquêtes.
Un César !!! Un César pour nos guerres des Gaules !!! Au zénith les grands pilums, non d’un petibonum !!!
© Le Pilier

22 février 2009

L'OEIL DU PILIER

Des bêtes et des cocottes
Une stat mations ce matin, fait du hasard d’un clic, en ce nouvel an de disgrâce pour la patrie du Coq et ses ovales errances... Voici les cinq premiers meilleurs marqueurs d’essais du petit Top d’icy... 14 comme on dit... même pas XV !!!

Vilimoni Delasau, Montauban, 9 essais.

Napolioni Vonowale, Clermont, 9 essais.

Takudzwa Ngwenya, Biarritz 8 Essais.
Cuilà même qui grilla Habana durant
la CDM comme en causions hier
... vidéo en ce lieu.

Byron Kelleher, Toulouse 7 essais.

Neumi Nanuku, Dax 6 essais.

... de belles bestioles assurément qui viennent s’ébattre en nos prés et sans forcer surdominer nos gallinacés. C’est plus de l’insertion là, c’est d’la prise de bastion... enfin ce qu’il en reste. Ce petit fait, comme le Pilier, en dit beaucoup... sinon tout.
P’têt qu’il faudrait se colorer la peau, croquer du NZ cuissot... de mouton ou de buffle... p’têt qu’il faudrait s’bouger les abattis à défaut d'la terrine... car question caberlo ça transpire pas la relativité chez nos zhuiles... tenez même notre littérateur du joug, le Simon de la plume dindon, dont nous vous avons largement abreuvé d'extraits, ici, , mais aussi there... il peut se croire poète et s'amuser du fait, il accable et dénature nos pâtis avec sa croûte, on en connait qui ne prennent plus le rugby Français au sérieux depuis.

Bon, nous pour l'heure, on repropose notre gymnastique rationnelle, (cliquez sur le tricolore si revoulez la recette magique) , un peu plus de poudre de perlimpinpin dans le benco du matin... c'est pas c'quia d'plus malin, mais c'est déjà ça mon lapin !
© Le Pilier

18 février 2009

LA DISPARITION...


Des grands gaziers !
Certes une alouette ne fait pas le printemps... ni un Shane Williams une équipe de Galles. Pourtant quand il est là le rendement n’est pas tout à fait le même. Contre l’Ecosse par exemple, en sus de planter son essai, il participe grandement à l’élaboration de deux autres en transmettant le cuir de façon parfaite... une accélération qui décale le défenseur pour l’un et pour l’autre une passe dans une position improbable envoyant son coéquipier derrière l’en-but. Nous savons tous qu’un match se gagne devant... on n’y reviendra pas... mais il faut de sacrés modules derrière pour conclure, des grands gaziers, des super-gonzes, comme on peut les nommer chez le Pilier. Shane Williams est de ceux-là. Pièce maîtresse, reine si voulez sur un échiquier, figure de proue, ce genre de gonze assied, rassure, conforte l’équipe dans sa conquête... le boulot fourni ne sera pas vain... à l’instar d’un super buteur, il pèse sur le match et peut changer par sa simple présence le cours des choses. Les grosses équipes possèdent toutes ce genre de joueur, les plus grandes en ont plusieurs. Quand ils sont absents ce n’est plus tout à fait la même chose. De tout temps il en est ainsi.
Une des faiblesses de notre XV de France, parmi celles dont on vous bassine les pavillons avec nos amuse-gueules de vérités, est de ne pas posséder de tels joueurs. Matez le dernier match, rien d’extra derrière, pas de classe sup. Le seul qui pourrait prétendre à cette stature, Florian Fritz, est trop souvent absent... hors lui, pas de joueur vraiment indispensable. C’est une chose visible, imparable, apodictique. Nous avons quelques bons joueurs, mais pas de très grands et ce depuis des années... un bonne décennie. En total vrac : pas de Sella... de Blanco... de Carter, d’Umaga, de Greenwood... de Catt... de Larkham... d'Howlett... d’Habana... d’O’Driscoll... de D’Arcy... de Wilkinson... de Jacobs... etc, etc, etc.
Donc en somme un constat,
une indiscutable vérité :
Disparition totale
des super-grands gaziers
en nos pâtis ratatinés !

A quoi cela est dû mon Juju ? Je vous le demande Fernande ! Du reste notez qu'on n'en cause jamais Dédé ! S’ajoutant au reste, notre huitième place au classement mondial est tout à fait justifiée, sachant le peu d’équipes majeures en lice, Maurice... sommes parmi les dernières en fait, des équipes majeures... pour ne pas se voiler la face et dire la chose uniment... mon Sergent !

Après la disparition des dinosaures il y a des millions d'années, celle des grands gaziers de nos terrains majeurs, quasi seul, le Pilier résiste encore et toujours aux météorites de l'aveuglement général... au ramolli d'l'occipital, à la raréfaction de l'élan vital. Pendant que les fourchettes s'entrechoquent sur le Blog des Niçoises, que les panses pesamment s'affalent sur des sofas digestifs se substituant aux cortex un rien valides encore, distillant leurs deux gouttes de substance méningée venues à grand-peine... quelques rares saveurs* attentifs, veilleurs incomparables, partagent silencieux ces vérités premières... et tournent leurs regards vers des terrains plus verts.
© Le Pilier
* Saveurs : ceux qui savent pardi !

15 février 2009

BOBONNE A MARCOUSSIS


Du bon, du beauf, du bonnet !
“ Ben moi qui croyais passer ma soirée St Valentin avec bobonne, je me retrouve à mater la vidéo du match avec les joueurs” Dixit, sic et quasi verbatim Lièvremont, l’entraîneuse des bleus !!!
Ok c’est de l’humour, merci pour ça... il n’empêche... la chose est dite. A besoin de regarder la vidéo le stratège pour se faire une idée de cette lamentable prestation... et surtout pense à autre chose quand il est au front... à bobonne en sus !!!!
Bobonne et la baston ???

L’imparable oxymoron !!!!!


Mais virez-nous ces ronfleurs Ikéa, couples à dimanche la misère, connivences à dévédés affalées l’une contre l’autre bénissant son chez-soi en sirotant des jus fruits... ces duos ramollos qui transpirent l’ennuitude, l’inculture, la sottise, l’anti frais,
la mort d’Eros... le spleen du vide état... qui ont un chien avant l'chiard et le chiard pasqu’ils s’ennuient à crever la stratosphère... ces tronches familles qui usent les enthousiasmes, annulent tout éveil, brisent tout élan, obombrent le poétique,
votre oui dynamique... ces fondements mal heureux qui affichent leurs faciès béa-beaufs, alimentent le delirium ambiant, entretiennent l’idéal be-happysme à neuneus pour affiches de pub... bref ces entités passives qui vous ruinent santé mentale et physique à peine qu’elles apparaissent, qu’elles sont là !!!!
L’anti posture frondeuse,
anti croupe onduleuse,
anti Dionysiaque,
anti voir,
anti savoir...
anti joie,
anti moi,
anti toi,
anti tout ce qui roborative votre ici-bas,

qui le désacralise, qui le noie !!!!
Avions entendu aussi le gamin Poitrenaud tout content après un match difficile, de retourner dans sa mifa pour « lui faire du bien... parmi les siens !!!!!!! » On voit le résultat... triste état des lieux avec son jeu décousu... pas sevré le gamin, c’est visible. Et papa qui vient voir jouer le fiston, et maman qui lui fait son petit plat mignon... n’en sortira jamais comac le Toulousain, à 20 balais on ne côtoie plus son daron, on quitte la maison fissa, on se trisse, on décampe, on oublie ces gens-là quand on va au combat, on n'y pense même pas... et on ne revient pas !!!!
Voilà ce que devient le rugby Français !!!!! Le XV des familles unies à vous ramollir les cuissots, anéantir les cortex, les biceps, l’entendement, la joie du conquérant !!!!!
Ainsi donc la couleur du moment.
Un Guazzini et ses Disneylanderies, joujou la fiotte... Dalidadindonneries... spectacles à/pour papa, à/pour maman, à tonton tantine, à petit François, en paquet de huit au stade pour une fête qu’elle est bien chouette, foire du trône, trône croupion, rose pécul... kilotonnes d’émotion...
l’idiocratie du rugby...
mais pas le vrai rugby !!!!
Un Lièvremont et sa bergère dans un sofa souffreteux Conforamasse-toi qui croient qu’à la St Valentin le plaisir est certain. Des clous mon gros loup ! Un entraîneur donc prêt à abandonner la troupe quand ya sousoupe à la maison alors que ça sent le roussi sur le pâtis !!!! Honteuse bévue ! Des généraux y'en a pu !!!
Un Poitrenaud qui ferait mieux de quitter son pater... plus d’autres choses qu’on subodore pour ne par les afficher ! Il est beau le rugby Français tiens !!!!
Ne cherchez plus
où est passé le jus !!!!
Entre les privilèges du staff, sa débine au vrai taf... l’incompétence, la désolance... le cocoonage des joueuses, l’ambiance pathogène des mifa, l’artiche et le make up, l’agenda, le poil raz, le poster à Sonia... le pipolisme, le journalisme, le médiocratisme... les plumitifs mielleux... les démagolineurs sirupeux... les menteuses... les baveuses... a pu beaucoup d’espace pour du rugby solide, des mâles au bel esprit,
vaillants,
palpitants,
tonitruants,
honnêtes,
voués à la conquête farouche, sans les moufles, honnissant la pantoufle quand ils vont au charbon !!! Certaines femmes du reste se plaignent qu’il n’y a plus d’hommes... et que des Imanol ou des Dusautoir ce n’est pas suffisant pour constituer une armée invincible... pas faux mon Julot... et puis sans généraux ça part forcément à vau-l’eau. On préfère le Bordeaux !
Santé !
© Le Pilier

14 février 2009

DES BLEUS BLEUS...


Et des diables rouges
Pas le même rendement, les mêmes niveaux, la même intensité... pas foto bitouine le premier match de l’aprèm Bleus vs Scotland
& l’autre baston du Millénium Wales vs England. Plus technique le second, plus mature, plus rugby... avons le sentiment d’un retard considérable en France... les plus belles actions, les plus réglées étaient en fin de compte Ecossaises. Un comble. Des gars lancés, des attaques, du collectif, malgré des moyens moindres. La France n’a pas de système, de style de jeu, de rigueur, de génialité... on sent l’incompétence transpirer dans ce staff... on joue pour jouer sans rien de vraiment organisé. Faudrait une vraie révolution, virer ces ramollos du rachidien... sommes pas sortis de l’auberge... en sus comme l’évoquions sans Fritz c’est même pas la peine d’espérer. Pas une belle action, une lisibilité collégiale... le temps était long... mou du genou, maladroit du doigt... guimauve dans un four et balourd. Bref un petit rugby, qui gagne oui pardi en marquant un seul essai avec pas moins de deux en-avants... bien entendu tout le monde passera ça sous silence. Qu’importe en fait... surtout du moche... pas de belles actions, aucun réel danger... un rugby approximatif... des bleus bleus donc en somme, comme des bleus !
Alors ?
Alors le temps s’est précipité avec les Gallois. Beau match, deux équipes très engagées, solides de part et d’autre, équilibré bien que les Gallois aient fait la course en tête. Avec une défense impec mais trop de fautes (deux cartons jaunes) côté Bifs, ces derniers se sont inclinés 23 à 15 mais en plantant quand même deux essais par les deux zélés Blacks de l’équipe, Armitage et Sackey. On reviendra sur toussa. Belle équipe de Galles... et des Bifs qui pour le coup n’ont pas pali... le meilleur match du week-end. Un vrai plaisir.
A suivre assurément.
© Le Pilier

13 février 2009

DARWIN CLOPINE


En arrière toute !
L’odeur préférée des Bifs toutes catégories confondues, c’est la frite... selon une étude sérieusement menée par des chercheurs Anglais hyper enthousiastes, sans doute enivrés de bouillante eau, nourris au Darwinisme le plus cru. Cela démontre en tout cas l’insondabilité de l’évolution... en effet, seuls les plus adaptés survivent, se transforment avec aisance, améliorant leur acuité, leur savoir, affutant ces naseaux exaltés des fragrances les plus subtiles que la terre dans sa munificence diffuse généreusement. Le bif le plus raffiné, rejeton naturel de la sélection Darwinienne s’enjoue donc après des millions d’années d’errance à déguster sa mayo en tube qu'il prend pour du lait concentré sucré, à engloutir son gratin haricots baignés de ketchup, s’exalte devant l’huile brûlante où flottille son fish... jubile face au pudding sauce multicolore et bien d’autres délicatesses dont ses compatriotes se tartinent les sens.
Mais l’odeur préférée du plat le plus prisé, le paradigme qui entérine définitivement cette théorie de l’évolution et nous assure de sa validité, c’est donc la patate !
La patate bien frite,
dans de l’huile bien grasse !

Il en faudra ce week-end de la patate pour aller se friter avec le poireau dans son fief du Millénium. Pas gagné pour les Bifs, d’autant qu’ils font des choix plutôt douteux. Se priver de Cipriani et placer Goode à l’ouverture, rappeler Hodgson en remplaçant ???? Là, ya de quoi ébranler définitivement cette petite théorie dont le signifiant vaniteux n’est sans doute pas à la mesure de l’espoir qu’il suscite. Involution en l’occurrence... sommes pas sûr que Johnson soit du reste la gueule ad hoc comme entraîneur pour le quinze de la Queen. Car quoi, lors des dernières prestations Cipriani n’a pas eu en effet le rendement attendu... peu organisateur, peu visible en défense... n’en est pas moins habile de l’arpion, subtil en attaque... en sus est bien jeune le gus... doit se faire la main, la patte... mais surtout est bien meilleur que Goode... l’avenir quoi... en l’absence de Wilkinson faut ouvrir le champ des possibles... mais pas du Hodgson comme remplaçant de grâce, le pire ouverture depuis la disparition des dinosaures !!! Là pour le coup les Bifs ont le regard trop porté en arrière... Trop Darouine ces enfants de la Couine...
c’est p't'êt pas comac qu’on win !


Ps de dernière minute : plantouille monumentale du Pilier. Hodgson n'est pas le Charlie que nous pensions, là, il s'agit de Paul Hodgson... rien à voir donc avec l'enclume... sorry les gaziers... mais notre critique tient toujours. C'est probablement Toby Flood qui remplacera si nécessaire Andy Goode...
C'est donc Goode et Flood qui foutent le sale mood à Cipriani.

© Le Pilier

12 février 2009

FRITZ ENCORE OUT


Sans Fritz, l’attaque n’aura pas la même densité. Trois semaines de placard pour un mauvais geste sur un adversaire. Certes un seul gazier ne fait pas gazouiller toutes les hirondelles du printemps, pourtant le Toulousain occupe une place majeure dans ce groupe. Ya d’l’assurance quand il est là, de la classe... même si les néo pompeurs de rien prétendent qu’il n’a pas brillé contre les Irlandais. N’ont pas vu sa défense imparable, ses récupérations après plaquage, passes... engagement en attaque... placements... très technique ce joueur. Pourtant quelque chose en effet nous échappe le concernant. Ne connaissons pas l’homme, juste le joueur de terrain. S’est fait donc coincé pour un mauvais geste... indigne d’un international de ce niveau paraît-il... violent disent certains... comme d’autres raisons extra sportives lui ont valu ( toujours parait-il) de n’être pas sélectionné quelquefois.
Dommage, il va manquer... c’est incontestablement le meilleur à ce poste et nous fait supporter un Jauzion solide, mais tellement lisible que les défenses adverses ne semblent plus s’inquiéter de sa présence et le coincent sans problème.
Baby c’n’est quand même pas le même acabit... Bon, devrait pas yavoir de difficultés majeures à plier le kilt des Scots. Pas la peine de surchauffer les cafetières. Une bonne occasion de voir en tout cas comment va se comporter cette ligne d’attaque amputée de Florian. Sans la pièce maîtresse F.F, manque un R dans l’acronyme... Pourtant, la victoire semble at home, au regard de ce qu’avons vu la semaine dernière à Murrayfield, plus que probable.
Mais sait-on jamais...
© Le Pilier

11 février 2009

ÉCOSSE 13 GALLES 26


Rapiate Écosse... souverain poireau
Pas besoin de s’étendre transat sur la rencontre Scotland vs Wales. Les Scots sont vraiment nuls. Les Gallois ont bien mené leur vaisseau et sans difficulté mis les voiles... distance prise rapido... ont fait moult changements, puis le rendement a baissé, les Scots se sont un peu excités mais toussa était très maladroit. Comme dab, quand ils sont largement menés au score, pathétique Paterson tape pénalités pour des trois pions de rapiat. On connaît ça. Pas l’kif le kilt, les Bleus n’ont rien à craindre... nous rien à ajouter.
© Le Pilier

CHABAL OUT


Pas de Chabal donc au kick off des Scots, comme le suggérions !
Ok mon Gaston ! N’a pas accompli sa tache de seconde poutre, pas assez travailleur devant la pileuse bestiole. Très bien pour le quota pub... visible perruque au vent, trotteur solo dans l’espace verdoyant du pâtis Croke... tamponneur isolé... passeur quand même pour l’essai premier... (Eût pu fixer un rien son adversaire, mais bon... y’avait du monde heureusement)... fonceur solo pour les bobos... bref, bien visible sur l’écran TV. Une starlette pour les ceuss qui n’y panent rien à ce jeu subtil. Pour les connaisseurs, no comment ! N’était pas au pack pour aider ses copains, à contrario des deux poutres vertes O² d’en face, l’O'Connell & l’O'Callaghan, qui plus réalistes et plus soudés ont montré qu’un pack rigoureux, solidaire, travailleur, plus packeté quoi, c’est plus efficace, plus O’ptimal et ça contribue grandiosement à la victoire.

Non, ce Chabal c’est bon pour les tofs, les beaufs, les parfums d’aisselles, les gisquettes enfiévrées, les trompettes enrouées...
Olé Olé !!! Pour du rugby de haut niveau faut un autre scénario. Attendre qu’un gazier percute fada, cheveux anars pour faire vibrer le Circus Maximus, c’est pas not’ kif. En sus c’est un troisième ligne ce garçon... et qui s’épuise dans sa gestion. Aucun seconde ligne ne peut pousser en mêlée comme un bourrin, percuter comme un sourd, courir comme un lapin plus de quarante minutes. Etait à bout de souffle dès très vite, fin première mi-temps sinon avant. Le regardions, ne travaillait pas zo pack, attendait même quand ça reculait... pour éventuellement s’échapper... ce qu’il fit par contre. Mais cela n’est pas suffisant. Le rugby est un sport collectif... occuper sa place, conclure dans l’échappée, jouer avec les camarades, transmettre avant toute chose, durer, soudé au groupe... faut toussa. Or Chabal fait plutôt figure de météore, isolé, ad hoc pour les caméras mais le rugby demande toute autre posture. Bonne chose donc de le laisser au coin. Car ce pack a besoin de soudure. Ça flottait par moment... puis des fautes... trop de fautes... Ya du gros taf à accomplir... temporiser... travailler au corps, tout près des abattis... organiser les défenses... (Cf la précédente bafouille)... on sent bien qu’il n’y a pas encore de système de jeu pertinent... ça transpire ça... passée la bonne surprise on attend une canalisation des énergies autour de réelles stratégies. Nous changerions de capitaine d’ailleurs... Harinordoquy aux galons !

Les verts ont montré plus de métier. On savait ça, ils le reproduisent tout le temps, en coupe d’Europe comme au tournoi puisque c’est quasi la même équipe devant... sont pas hyper géniaux mais assurent la chose, collectifs, plus soudés, font plus gaffe. Chez nous y’avait l’envie mais aussi du décousu hors le premier essai vraiment bien mené.
Notre pack n’est cependant pas démuni... a même fait reculer les Irlandais en mêlée fermée, mais ces derniers étaient plus réalistes, plus pro, plus dosés. Profitons du fait pour saluer comme il se doit la course remarquable du 8 Heaslip, un modèle de trajectoire parfaite sur le premier essai des Irlandais... sacré match l’empaf... belle bestiole... prometteuse. Chapeau bas idem pour l’essai malin du diable D’Arcy... à peine de retour après une longue absence, il plante 5 pions dans un mouchoir trois gaziers sur le râble. Au final donc, savez tous ça, 30-21 pour le trèfle.

Une dernière chose... question condition physique ça sentait la rotule chez les Bleus ! Manque de Panoramix potion ou mauvaise préparation ?
© Le Pilier

10 février 2009

ANALYSE D'UN POINT


Beauxis a raté O’Driscoll !!! Ok, et alors ? Les lorgnettes sont fixées sur cette idée. Et les autres... les flankers ? Ah Ah !!! Les flankers oui... personne ne cause de ça !!! Matez la trajectoire des troisièmes lignes... oui la trajectoire. Si Dusautoir, sinon Ouedraogo prennent, c’est le cas de le dire, la tangente au lieu de décrire une courbe en suivant inutilement les attaquants Irlandais, ils coincent sans problème O’Driscoll... autrement dit, les deux flankers font la même course... au moins un des deux devait couvrir immédiatement après la touche cette zone monumentale, sans personne, dans laquelle s’est glissé O’Driscoll... fallait y aller droit... sans tracer de courbe... Rives était bien pour ça... Rematez l’essai... les Bleus se déportent vers le camp Irlandais alors qu’on voit déjà O’Driscoll touberzingue lancé qui va recevoir le cuir. Dès la touche, un des deux troisièmes lignes ailes devaient couvrir l’arrière-champ. Si le centre passe Beauxis, ou un autre, le flanker lui tombait sur le râble sans problème. Bon faut avoir des cannes bien sûr... mais surtout ne pas perdre de temps, anticiper, et filer droit. On ne causera pas du placement de Poitrenaud... une bagatelle pour O’Driscoll ce crochet intérieur, qui pour la deuxième fois prend notre arrière à contre-pied.

On s’en balance que Beauxis loupe un joueur, en sus bien lancé... cela arrive à tout le monde... non non, faut pas focaliser là-dessus... C’est l’ensemble qu’il faut voir dans ce cas... les autres placements et mater les trajectoires des flankers. Le plus difficile au rugby. La trajectoire !!! La divine trajectoire dirons-nous !!! Rives était bien pour ça. Un des points, sinon le point fondamental qui fait la différence bitouine les géniaux et les simplement bons. La trajectoire, balle en main, comme anticipation dans le placement. Y’en a qui ont ça dans la peau. Ils sont rares. Ce sont les géniaux !!! Botha, en défense, nous a fait l'année dernière une démonstration qui illustre parfaitement nos propos... Shane Williams en attaque Dimanche dernier contre les Ecossais nous gratifia d'un superbe moment qui engendra l'essai... on y reviendra.

C’est aux entraîneurs de le faire comprendre toussa... de l'organiser... et là c’est pas gagné... faudrait un Pilier de notre acabit pour faire des analyses imparables... subtiles... on sait comment améliorer le rendement de ces jeunes, pour certains talentueux. Car n’oubliez jamais cette chose, comme aimons à le répéter, derrière cette apparence de mâles guerriers, ces tronches prognathes à poils drus, s’agite une jeunesse fougueuse mais sans grande expérience parfois. Sont vraiment des gamins pour certains... pensons à Poitrenaud notamment... faut saisir ça... doivent être guidés par un savoir imparable.
A suivre donc. On causera des Verts... qu’il faut contre toute attente virer Chabal... et autres nécessités.
© Le Pilier

09 février 2009

IRLANDE VS FRANCE... DU BON


Du mieux... oui du mieux... pas encore du Quattrocento Michel Angelo... ni la 9ème de Beethoven... pas l’imparable Whole lotta love... mais du better sans contredit... de l’envie...
Et comme on n'avait pas vu ça depuis plus de mémoire, sommes plutôt surpris... pas les seuls du reste. De vieilles connaissances désabusées ont même retrouvé de l’appétit et sifflotaient aux matines dominicales des p’tits airs oubliés.

De bons moments en première période, de belles vraies attaques, des joueurs enthousiastes, un Harinordoquy la paluche grandement habile... le cuir lui collait aux mitaines le gazier... c’était beau ces figures... une passe subtile petit côté... une prise en touche d’une seule main déposée sur Tillous d’une rare élégance... puis du jeu, de l’entrain... un essai aussi, bien mené par le groupe... Nous, ce joueur on le balance d’office capitaine... flanker d'ailleurs, pas huit. Il en veut, plus que quiconque... faut faire valoir ça devant... il a l’expérience et la vista... plus motiveur que le père Nallet en baisse un brin... au regard de cette rencontre en tout cas.

Un plaisir notoire de retrouver un ouverture, un vrai. Depuis Titou Lamaison attendions la chose. Ben voilà, pas photo, rien à ajouter, un vrai 10, bon pied bon œil... Son coup de passe au pied était parfait, d’autant qu’il y avait pas moins de cinq joueurs en face... Lui, seul avec Médard pour conclure... un grand moment... tellement simple et évident qu’il a surpris tout le monde. Du reste on n'en cause pas à outrance. Quand Carter nous fait du comac, un coup de passe aux arpions, tout le monde s’exclame c’est sublime... pas quand c’est du Beauxis. C’était beau, il a de la classe ce gars, incroyable qu’il ne joue pas à l’ouverture dans son club !!!! C’est totalement ridicule !!!! Elle est belle tiens la France à Dalida !!!
Drops bienvenus, rare cette chose... bonne gestion au pied... faut le faire jouer, lui laisser du temps... et surtout, surtout, ne pas nous remettre ces vilaines doublures habituelles qui plombent nos lignes arrières depuis des années.

Tillous ? Bien tignous... belle paire en fait cette charnière... solide ce tout neuf... ça nous change d’Elissalde... il a du jus, des passes plus vives, encore jeune mais pour sûr de la bonne graine. Par contre n’aimons pas ces coaching qui veulent donner du sang neuf mais affectent l’unité. Qu’ils finissent un peu les matchs que diable ces joueurs. Voyons ce dont ils sont capables pendant 80 minutes. Une charnière c’est délicat, huilé, faut du temps, du doigté, qu’ils jouent tout le match mille dieux, surtout quand ils courent après le score... on ne vire pas le joueur quand il commence à faire une petite bourde !!!!! Insupportable cette histoire qui montre bien l’incapacité de ces entraîneurs à comprendre ce qui est en jeu. Même si elles sont un rien fatiguées faut laisser les pièces maitresses jusqu’à la fin... sinon comment peuvent-elles apprendre à gérer un match de 80 minutes ? Car là, ça blesse le bas question gestion, condition physique, stratégie et tout l’abattis...
Pour l'heure avons dispositions impérieuses qui ne souffrent aucun retard... reviendrons sous peu au match.
A suivre donc.
© Le Pilier

07 février 2009

CROQUÉS MAIS JOUÉ


Surprise surprise au vespéral affront du Croke... De belles choses... d’autres moins... mais quand même un plaisir non feint de voir évoluer les Bleus en première période... avions perdu l’habitude... en causerons sous peu.

06 février 2009

LA CRISE



Le look bon marché c'est le look tout nu !!!
Ben voilà... Shane Williams en baigneuse... une aile de l’équipe de Galles sans les bas... nu la cuisse... pas une grolle sur l’agacin, un chausson... aoualpée lisse, total épile, manivelles graissées, panse chocolaté... rugby new age ? Calendrier bisex‘til mon giton ? XV du Cadum ? Bambin cul nu sa maman ? Phase régressive ? Nostalgie du talc ? Suppo dans la lune ?
Ya pas que les Français pour afficher leurs croupions sur la planète entière. Désir esthétique la tantouze ou conséquence inévitable de la crise ? Ya pu d’grisbi, c’est le look bon marché... p’t'êt' c’est ça. En tout cas on les verra ce week-end face aux Ecossais, et comme ça cause beaucoup de tout en ce moment pour ne rien dire, on va pas en rajouter pour tout dévoiler.
En attendant plutôt que se les geler à jouer les Maciste d'agenda en tenue d'Adam, écoutez ce p'tit air de circonstance produit dans les années 80 par le clavier de Taxi Girl, le même qui composa "Cherchez le garçon"...Cliquez ici !
© Le Pilier

04 février 2009

CROKE AT NIGHT


Avant qu’une idée géniale ne puisse germer des tripodiques cortex en réseau de nos trois entraîneuses EDF, un cornac a le temps d’abattre son éléphant à coups de figues molles !!! Pour du simple bon sens, pensez la configuration des planètes nécessaire !!!
Bref, pas de Dupuy à la mêlée... c’eût été le bon choix, fallait le faire maintenant. Ils vont reproduire le coup de Galthier... souvenez-vous que ce dernier n’était même pas sélectionné dans les groupes CDM de 95 et 99... Les deux mollusques d’alors, Villepreux & Skrela préféraient Mignonette... c’est par défaut, une nouvelle fois, Mignoni s’étant blessé, qu’il a pu intégrer le groupe et officier derrière la mêlée comme on sait. On est comac ici. Faut faire confiance aux joueurs, pas aux carafes qui organisent.
Retour donc de Fritz... un régal, de Beauxis... enfin un ouverture, authentique... avons échappé à Michalak, ouf !!! Poitrenaud, sympa le gars, s’il pouvait être plus régulier, pourrait être le meilleur à ce poste... sans contredit... à quand la maturité ?
Devant... Chabal ? C’est vraiment pas malin... on a déjà dit pourquoi, on y ajoutera pas. Le retour d’Harinordoquy ? Pas pour nous déplaire au regard des tests d’automne. L’avons vu très déterminé contre l’Australie... une véritable envie... sur la pente ascendante le gonze... Nallet bien sûr ok... Dusautoir... on adore... pour le reste on jugera sur pâtis Samedi au Croke Park (la tof) avec un œil très attentif sur la première poutre ! Kick off 18h, ce qui n'est pas commun... l'heure tranquille où les lions vont boire... ou se bastonner.
© Le Pilier

02 février 2009

TRIBUNES VIDES A TWICKENHAM


Romulus trop minus
On prétend qu’avons oublié une équipe puisque nous nous évertuons à causer encore de tournoi des cinq nations... Comment diable le Pilier pourrait se fourvoyer de la sorte ? Sommes pas très Romulus en fait de XV pâtis, voilà tout. L’Italie pour nous ? Hors les arts et les ifs, pas not’ kif... mais plus, pas sa place la bottine, sinon même, tire vers le bas. Aussi on mate pas. Certes il est normal qu’elle ait intégré cette compétition, comme jadis nous le fîmes en mettant des années pour assurer un niveau digne de nos adversaires, mais il est tout à fait normal aussi que l’on se désintéresse du fait... surtout au regard de ses dernières prestations. Attendons qu’elle s’augmente, se libère, et surtout plus que tout, se discipline. Pas pour demain mon lapin. Au ressouvenir du match de la CDM bitouine l’Italie et l’Ecosse, comme en causions ici... on a bien raison de penser ce que l’on pense, et d’ignorer ce que l’on doit. Jamais le rugby n’avait atteint si minable niveau... de mémoire de Pilier. Non non, plus la classe de l'homme aux gants ces zitaliens... sommes plus enclin à mater du Titien qu'à sennuyado avec Bergamasco Mirco ou Mauro, le fauteur au sang chaud, trop souvent suspendu !
La pasta c’est sympa mais ça reste mou... même al dente. Et puis cette indiscipline pathogène... un virus au rugby ça !!!! Ne sommes en fait pas les seuls visiblement à penser comac, puisque la Bibici titrait récemment sur son blog
« Le tournoi ne fait plus recette !!!! ». Il reste en effet plein de places pour le match d’ouverture de Samedi Angleterre vs Italie à Twickenham. Un comble pour le tournoi. Ça cause évidemment de la crise, de grisbi, du tout expensive quoi... certes, certes... on ne le niera pas, mais on oublie toujours dans ce genre d’analyse que l’affiche ne donne pas envie... en sus contre une petite équipe, il n’y a que les nations du sud qui savent donner le meilleur d’elles-mêmes et proposer un jeu de qualité. Cf Argentine vs Afrique du sud l’été dernier, dont vous pouvez retrouver le
direct live ici & . Nous, on se flatte, on s’amplifie, s’hyperbolise si on gagne largement les Romulus. Si de peu ou si on perd, on dit qu’il est difficile de jouer une petite équipe, mais on ne propose jamais une belle copie.
Bref on oublie et restons au tournoi des cinq nations... mon baron !
© Le Pilier

31 janvier 2009

PILIER DU CINEMA


Comme il se doit, un pilier digne de ce nom ça côtoie du solide. Le Pilier donc, ne s’intéresse en matière d’art, d’intellos rebonds, pour l’essentiel qu’aux piliers majeurs. On savait ça. Pas une faute de goût douteuse ne saurait désenchanter notre univers imparable, sinon pour nous fendre. Dans notre panthéon esthétique, on ne trouvera, il va de soi, que des pillars pardi... d'où l'assise du gazier.
En attendant donc les chicorées du Tournoi des cinq nations, avons re maté pour la XVème fois environ, un des movies culte du maître Kurosawa, « Rashomon ». Quelle merveille, quelle élégance, un mouvement de caméra très boléro forestier... amicalement raveliste, quoique un peu rébarbatif (le boléro bien sûr, pas le mouv), pour ceux qui connaissent... parmi les feuillages ondulants, les halliers tavelés de rayons solaires caressants, acerbes pour certains... et la pluie, la pluie divine, kurosawaïenne, quand la vérité prosaïque s'exprime laissant place après l’aveu final à l’éclaircie conciliante. Une histoire d’époque ancienne pour une misère perpétuelle... le dernier démon de la porte de Rashomon s’est même calté, écœuré par la cruauté des hommes.
Jeu d’acteurs phénoménal, la pleine jeunesse d’un des plus grands du cinoche, le superbe Toshiro Mifune dans un triptyque érotique à transpirer son tragique émoi, drame, immensonges, fanfaronnades, traîtrises, maîtresses figures tragi-comiques... et son inséparable comparse Takashi Shimura qui joue entre autres le chef des sept samouraïs... sinon dès le tout premier film du maître,
« La légende du grand judo ». A voir du reste impérativement avant le tournoi.
Kurosawa très aimanté par l’occident, se voit récompensé à Venise en 1951 en obtenant le Lion d’or.... et déjà se pose comme un pilier porteur du 7ème art. Ses chefs-d’œuvre imposeront leur hégémonie parmi les bobines des cinéphiles avertis, combleront les esthètes.
En attendant le tournoi, évitez les sots et matez du beau.
© Le Pilier

22 janvier 2009

SERGE SIMON : FIN



Croûtisme Simonien...
Fin du boudin

Pour en clore finir avec cette descente au raz du pâtis littéraire, voici les derniers extraits du pilier croûtard et national rugby S.S, nom complet de vestiaire : Serge Simon. S’il vous semble qu’on en rajoute des couches ripolines avec cette dissertation de prime adolescence, justement intitulée « La mêlée », c’est bien pour appuyer ce que l’on veut signifier. Une poilante manière de contrepoids en somme au laisser couler, car sont pléthores ces cortex ratisse-tout, du pire commun qui soit, raz la semelle à derche, hyper vouleurs de trophées mon clairon, occupeurs maxi de l’impasse médiatique, artistouillards de tous les banquets à saucisses, Césarions les lauriers en fonte, talentueurs d'art, voués au partage de leur misérable existence qui rapportera quand même son petit quota de notoriété because ils font tout pour !!!!. Du chanteur de tennis en passant par le fils de, raté, exsangue, devenu soudain supra sensible, exposant sa croûte, mais si bourré de talent que ça mérite un œil... niveau rejetons Bogdanov, cafetière gros du bec, croupion la plume, mongolo le ciboulot mis au rang de modèle à fange... etc etc.
La vraie démocratie en fin de compte. Elle est bien là, dans l'art et le spectacle... tous les minus s'expriment, tartinent, singent, gigotent, parlotent, expriment leur peu... si peu que c’est presque de l’art qu’on évacue dès qu’on expire. Monsieur Jourdain en serait baba... que ce soit aussi facile. Si bien qu’on attend les œuvres complètes de Califano pour la saison prochaine, dans la Pléiade en dix volumes, préface d'un académique en bonnet de nuit façon grabat la Coupole en est pleine. Mais fi des rêves un peu fous, revenons à notre laboureur de prose S.S qui nous fait bien comprendre pourquoi les mêlées s’écroulent en France.
On vous le file en vrac de puces cette fois, faites votre partie vous-même, poilez-vous ferme tout est vrai... authentique, sortie de la chaussette trouée même de Jupiter, qui lui sert de couvre chef quand il file au duvet, ou s'agite de la plume.


« La mêlée est une œuvre collective dans laquelle chacun écrit son propre combat »
A vos crayons !!!

« La tête plantée dans le thorax de mon adversaire, tel le mâle mordant la femelle pendant l'accouplement. S'il bouge, je le tue. Mon deuxième ligne m'a suivi comme une ombre. Son épaule est restée, tout au long de la chute, intégralement collée à ma cuisse.»
Tête plantée... hé hé... qui tue le thorax au long de la cuisse ombrageuse... etc

« Le chant de nos souffles transforme la mêlée en un orgue viscéral»
Des souffles métalliques qui jouent de la trompinette tripale...  

« Je suis la branchie du requin blanc. »
Le radius du requin marteau...

« Hors de la mêlée, je suis un poisson dans l'herbe. »
Une pantoufle sur mars... un char d'assaut qui rêvasse... un pilier qui se tortille...

« À l'air libre, je me répands comme un gaz. »
Aux zabris !!!!

« Je m'apaise sous des tonnes de chair. »
Et m'épaissis dans l’éther...

« Comme pour l'héroïnomane, quand le comblement du manque alimente son creusement. »
Comme pour le croûtard... quand le chatouillement du creusement de son trop plein de rien, agrémente son fondement de plein... de couillonades !!!

« Je dois retrouver les archaïsmes utérins. Notre peau est cette page sur laquelle s'écrivent de manières superposées les romans de notre vie... Ces pressions charnelles de la mêlée raniment des zones endormies de ma peau où somnolaient ces souvenirs utérins de plénitude chaude et contrainte ? Comment ne pas penser cette obscurité liquidienne comme le simulacre d'une gestation perdue ? À ce moment de temps suspendu de la mêlée, j'aimerais partager ces digressions avec mes compagnons de fortune. »
Après on se demande pourquoi les clubs Français se font si facilement laminer en coupe d'Europe, ya trop de questionnements, d'instinct poétique sous les rucks... de réflexions turbides !

« Parti d'en bas, je me relève comme le premier homme. Mes cuisses se tendent, mon dos est limpide, mon cou aiguisé. Je capte une odeur de cuir vieilli et de lard froid. »
Un dos limpide sous un cou aiguisé... une tête cou coupée !


« Ensemble à 8 nous avançons d'1 mm. Ce n'est rien à 1 mm, mais cela suffit pour entendre le cri de la mêlée. Ce bruit de craquement métallique et humain. »
1 mm de cri  humain et personne n'entend rien ?

« Rien ne bouge encore mais leur désastre se déploie. Ils font eau. »
Je fais eau, tu fais eau... nous faisons ho ho !!!

« Les clameurs du stade nous parviennent à nouveau. Des courses solitaires croisent des clameurs graves et métalliques. »
Les neurones tintinnabulent, les zigomats s'épuisent... 

« Le bruit de mon cœur résonne à nouveau. J'ai froid. Le monde paraît si seul. »
Un monde seul mais habité par des enclumes qui font eau... quand même !  

C’est ce qu’on appelle du super croûtisme pur et dur. Une intention naïve,
bambine, bécasse, mais sincère... qui dévoile son zest de possible, son peu... sa profonde misère que c'est touchant presque. Impossible de tricher pour en être. Même un niard peut pas sortir un tel gravas, faut s’investir, avoir du vécu, baigner dans le sensible, l'émotion fleur de cuir... sottise première pression à froid... marcher près de soi en pompe à ski, comme une ombre qui suit son billot en espérant l'azur... métallique... 120 kil de foutaise pachydermique en tronche à cul. Suffit de ne pas craindre le ridicule. Là, pas de doute... peur de rien ! 
© Le Pilier
© Serge Simon... en rouge bien sûr... sic authentic et totalement véridic... 

21 janvier 2009

FRANCE DECA-DANSE

Ça flippe d’un peu partout on dirait. Le rugby de chez nous ne brillerait plus du tout ? Ben tiens !!! C’est du new ça !!! Ainsi plié-écrit dans les torchons de nos plumitives journaleuses nationales qui n’ont pas l’air satisfaites de la tournure que prennent les choses. Plus un club Mickey Français en coupe d'Europe ??? Ho ho !!! Le rugby d'icy se décadentiserait ? Se ratamolliserait ? Et pis que tout, nos cousins d’en face auraient pris de l’avance sur nous !!!
Hé hé, on dégonfle un peu la cheville là ? On veut plus taquiner la veuve poignet ? On a balancé son p'tit jus ? On devient partageuse ? On voudrait arrêter de pomper ? Devenir plus malin ?
Marre du flanby ? Du Gabu ? Du Zo ? Du Meuh ? Du simili ?
En sus et tout soudain on se rend compte que le Pilier avait prédit toussa il y a lurette ? On nous félicitationne presque de tous côtés ? On nous demande même des solu pour nous sortir du trou ? On nous supplie de dévoiler plus que ce qu’on raconte ? On est prêt à tout pour ne pas subir l’affront ultime de se retrouver encore plus bas qu'en dessous ? Ok ok... mais n’avons pas trop de temps pour l’heure à vous consacrer les figues molles... toujours idem avec vous, ça provoque la chute et ça pleure quand le fruit trop mûr s’esclaffe sur le sol, incomestible. Mais magnanime est le Pilier. Finissez dab le rata de votre grand prosateur des pâtis... engloutissez encore ces petits extraits à la mesure de votre rugby pipoleur, calendrier des fêtes à tafiolles... une cuillère pour Simon, mon garçon... à la mêlée... tête basse, front plat au pâtis poétique, prose à brouter si préférez. Après avoir digéré ça, on pensera à la reconstruction... mais faut toucher le fond primo, on n'y est pas encore, alors ?
Avalez ça !

« Et nous voilà partis vers l'autre monde. Celui de l'obscurité et des certitudes silencieuses. Coulé dans le bloc des autres, je suis si contraint que m'inonde un sentiment de liberté absolue. »
Encore l’obscure certitude de l’incertaine existence pépère en son silence que tout le monde reconnaîtra... coulé dans le bloc des autres, la contrainte entraveuse submerge les sentiments profonds, le gazier remonte de fait à la surface, inspire inondé de partout mais si léger d’être lourd... dans l'outre monde caligineux... ouf !

« Des millions de capteurs me renvoient autant d'informations sur la voracité de mon impact. »
Merci les capteurs...

« Mon pilier adverse est tendre dans sa viande. Cette tendreté lui sera fatale. Nos visages se sont frôlés en se croisant. »
Anthropophage !!!!

« Déjà mon occiput se relève et va chercher son sternum pour le dominer par l'en-dessous. »
Par l’en-dessous l’occiput au sternum consterne le Petibonum !
Par l'en-dessus le minus nous plius les abdominus...

© Le Pilier

© Serge Simon... en rouge bien sûr

20 janvier 2009

COUPE D'EUROPE ET PROSE SERGE SIMON

Rien de nouveau donc sous les nimbus pour ce qui est du p’tit coin rugby hexagonal. Tous, presque quasi, les clubs Français sont éliminés de la tasse d’Europe... Toulouse poussant l’audace à jouer la qualif lors du dernier affront. On savait toussa, on se répètera pas. La tof pourrait être le symbole parfait de notre impuissance... trois pour un râble... c'est du bien mené, d'la belle technique de très icy... aussi attendons de pied tranquille le p’tit tournoi des Cinq nations, sans outre-excitation.

Nous reste un rien de vacance donc avant ce retour aux pâtis le 7 février, que l’on souhaite quand même moins tataneur que passeur de cuir en mains propres et affûtées, détendons-nous avec une merveille à la parfaite mesure de la décadence ambiante, retrouvons l’un des plus solides chantres du croûtisme littéraire comme on nous redemande... l’avions du reste promis. A l'image de notre rugby, vous livrons donc les dernières last & bien least merveilles de l’écrivain pousseur Serge Simon, le prosateur Bonux jeté là, dans la mêlée phénoménologiquement vécue, pour un pur bonheur de moment Grand Stylo. Rire de ça, on n’en mourra pas. Lui se porte grand charme de nous gratifier de son peu. Remercions-le ! S’hyper fendre avec ces petits riens, c’est du commerce équitable... on redistribue en faisant sa pub.

Voici donc trois autres extraits de cette sublime cougourde créative, à vous secouer l’œuf colonial des lecteurs les plus analphabètes. Un véritable encouragement au décomplexe. Car si n’avez jamais osé dévoiler à votre entourage ces pépites arti sises en la profondeur rougeoyante de votre magma le plus moi timide, le plus secret minus, Serge Simon au quintal poétique, vous propose par ce livrage de pesantes tronches de style sorties de son cortex tout joyeux, de vous décomplexer le carafon. Livrez-vous total de la plume sans vous laisser impressionner par le vide papier, ignorez cette petite misère qui vous tient lieu d’empêchement, exprimez tout sans joug, ça fera toujours poiler quelqu’un !!!! Faire du livre, c’est comme téter son bibi, entouré d’amis qui aiment se désaltérer à la tétine des sensibleries niaiseuses en s’écriant c’est beau. Santé ! Pour les précédents articles sur le super book "la mêlée" de S.S, cliquez où c'est vert, et icy.

« Les dernières hésitations de nos vies bancales ont été chassées par le souffle de la mêlée. Sans en avoir conscience, je dois fermer les yeux une fraction de seconde par plaisir. Un sourire se pose et repart. »
Hop un petit souffle, hop hop nos tabulaires vies bancales retrouvent leurs appuis... hop hop les fractions de plaisir se démultiplient en secondes, et les sourires s’en vont, s’en viennent comme des yoyos. C’est du bô, du bon, du bonnet qui surchauffe, même si trop de poésie peut vous tuer le match...

« Écartons-nous, perdons cette unité pierreuse et aussitôt le navire fera eau de toute part. »
Ah l’unité pierreuse des fondements graniteux du gros Serge. Gaffe quand même, à force de trop d’audace au fluctuat définitivement mergitur...

« Chaque impact à son chant. Les plus beaux impacts sont ceux qui ont un chant métallique. Pas celui d'épées qui se croisent, mais celui d'une enclume qui échoit. »
Un des plus beaux moments du bouquin. Hors l’improbable association des matitudes d’entre chocs de corps épais, épissées au métallisme supposé des phonies osseuses... quel bel éclat sonore que cette masse qui échoit comme une lourdise de grasse inspiration... ce bruit familier d’enclume vaillante qui tombe au petit matin sous les coups réguliers du Cétautomatix de la littérature hypra réaliste... c’est touchant. Il surdomine l’empaf, un morceau de grosse bestiole d’hippo, dans la soupe tropologique... un pachyderme en plumes d’oie rose tutu, ça trope énormément c’est connu. Le raffiné teutonique et Bertha attendait son Hugo, voilà son nouveau porte-flambeau. A suivre © Le Pilier

14 janvier 2009

EN ATTENDANT DUPUY


Echauffage
Pas bavard ce Pilier... plutôt buvard en effet.
Une vie privé débordante, sollicité tous azimuts... dialectiques enjuponnées, cantiques azurés... Communication non verbale, enlacements, gambilles, arpentages monticolores, génuflexions, bénitiers... idées novatrices, pièces en coulisse... blabla, coussin duvet à crever l'oreiller...
Constructivisme et psychothérapie, fondement épistémologique, impertinences philosophiques... expédients en mécanique ondulatoire... discontinuité et causalité... évaluations systémiques... faveurs esthétiques... élaborations architectoniques...
Mais aussi, porter dévoué le cabas mamie, re-conseiller Sophie, complimenter Julie, concélébrer Marie... Astiquer la Bentley, faire courir le lévrier... maître queue au fourneau, échanson à Bordeaux... sieste un peu... leste et preux... partageux... affable et fontaines... redondaine.
En somme la panoplie du chercheur ordinaire, de l’homme simple, savamment occupé qui ne perd pas son temps à côtoyer le sopo, bobo, neuneu à turbinette endoxale, cognitiviste maçon, flou du postillon... mateur de télévision... en résumé éviter tout prix cette ennuitude virale qui vous ramollit le cuissot, vous fige un brin cette substance la plus moelle affûtée que vous possédez. Sommes donc au taf, à la turbine, régulé, comme Justine au paf... bien occupé.
Des menues pompes, un rien d'échauffage à poulettes en cette période glacière, pour aborder le tournoi 2009 frais dispos... On se contentera oui d’un œil distrait, jeté vaguement sur la tasse d’Europe en attendant du plus lourd. Suivons de loin le Top 4, attendons le Super 14 et les chicores de printemps.

Ce que l’on note pour l’heure ? Toujours pas de concurrence au pâtis des plumes rugby. Le Pilier sirote son hégémonie au piédestal des saveurs, premier sans contredit des blogs pénétrants. Sinon autour ? Rien de nouveau sous les nuages. Baratin mélo en veux-tu pipette, aoualpés épilés du fion pour gisquettes. Du comme dab quoi, plein de rab quoi, d’la palinodie, du démago, d'la panoplie paillettes, du pipole en socquettes... vioques analystes en pantoufles villeupreuses, des commentatataires tévés sirupeuses, du platonique, foutriquet, sans pub ou avé, zéro degré, dodo, prolos du rachidien... mon lapin. Aussi serons comme de coutume sur Bibici, pour mater les rencontres, éviter l'insanie, raz du croupion crétin, le patin, la boue, la pituite, le chagrin...

Des news ? Allons rencontrer cette année, enfin les Sud Africains que n’avons pas joué depuis 2006... si si et no comment. On évite les Blacks à l’automne 2008, on ne joue que l’Australie... à croire qu’on se réserve un espace feutré, loin des grandes giflées pour se faire accroire qu’on est encore dans le peloton de tête... des pantins.

Un joueur Français suscite chez nous un réel intérêt cette année... chose très rare faut l'avouer. Le demi de mêlée Dupuy (la tof) qui transmet le cuir aux Leicester Tigers... ne l'avons vu qu'une seule fois mais nous a fait très forte impression. Il est de la trempe des grands nous semble-t-il. A dû s'exiler évidemment pour exprimer sa classe. Souhaitons le voir en EDF cette année... a de la tête, des jambes, de la vista, une passe prometteuse... des qualités à ce poste que n'avons pas vu depuis des lustres insondables en nos pâtis d'hexagone. Sommes impatient de le retrouver et tenions à le souligner. A suivre donc.
© Le Pilier