30 octobre 2015

GRANDE PETITE FINALE ?

Carabistouiller est plaisant. On s’allège, on virevolte, on déborde, joue des tropes, esquive… histoire de ne pas prendre à la lettre tout ce qui pourrait, par relâchement, obombrer ce frêle onirisme à l’âme se greffant, qui nous tient lieu de jardin vitalisant… où l’imaginaire côtoie l’astuce, l’esprit néantise jusqu’aux puces les plus tenaces qui vous ressassent que la réalité ça peut gratter les fondements, affecter notre entendement... sinon appesantir une pantoufle sans jugement éclairé !!! Ouarf ouarf pour ce dernier pléonasme non ??? Un temps pour tout quand l’actu bien sévère vous impose une attention ciblée, qu’en terre Anglaise se joue ce que l’on nomme à tort la petite finale, que les gros Boks s’envoient du Puma devant des millions d’écrans plats. Sans doute un rien mâchés par leurs coups d’éclats, les joutes, les blessures, les espoirs de gamelle dissouts dans un déversement lacrymal spontané… les fiers matous de la pampa vont avoir du mal à s’imposer sur le pâtis de Twickenham. Bref sont cuits. Attention, ceci n’est pas un pronostic, c’est une affirmation diagnostique !!! Précision nécessaire pour les ceuss qui prétendraient que le Pilier voit tout, sait tout, anticipe tout… arf arf !!! Non de niet et que nenni, savons pas, disons juste ça pour passer les temps et balancer une vérité... arf !!! 
Il semblerait que les gominets* prennent cependant la milonga plus à cœur que les Sudafs, Heyneke Meyer ayant déclaré tout net que cela ne l’intéressait pas !!! Intox au Flytox, ou vérité sans volets ? La seconde, elle flotte partout, et le gonze est d’une franchise affirmée. Pas sûr pour autant que ses joueurs pensent la chose idem… Matfield redevenu capitaine pour l’occase jouera son dernier match comme Burger, sinon Du Preez… voire Habana ?
Décamper sur une rouste n’est pas la clausule rêvée pour le magicien des cimes, maître es réceptions incontesté en touche depuis pas mal d’années, gageons donc qu’ils vont se la donner… peut-être même s’amuser, manière itou de permettre au brillant ailier Brian de battre le record de Lomu en inscrivant un seizième try qui le conforterait en son podium de meilleur marqueur d’essais de la sublunaire contrée de tous les temps connus !!! Hips !!! Un match à suivre évidemment avec toute l’attention qu’il mérite, en souhaitant quand même aux Argentins, une parade à la mesure des espoirs suscités !!! Yeah !!! © Le Pilier 
* Il n’y a pas de faute à gominets, c’est un néologisme du Pilier… miaou !!!

28 octobre 2015

MC CAW NUISIBLE...

Ou riche papillon ?
Ça astique bien sévère du côté des médias australiens. Ci-joint cette galéjade sur Mc Caw transformé en nuisible qu’il faut à tout prix piétiner, éliminer, total éradiquer du pâtis. Ouarf ! Parce qu’il est identifié comme un vrai poison pour venir illégalement sur le côté des rucks, faire foirer la progression des mauls, perturber l’éjection du cuir, retenir trop longtemps le joueur plaqué, à la limite du hors-jeu… on en passe… le vilain ver Richetty est le maître des arts sombres, fourbe, jouant avec la règle de façon peu conventionnelle, sinon douteuse… en somme, un vrai tricheur !!!! Arf arf !!! On connait la chanson. 
Doit bien se fendre le super flanker… comme nous du reste… la chose est claire… le vilain focalise toute l’attention des kangourous. Mais be careful, ce ver, comme ils disent, ferait plutôt figure de larve du genre chenille à dix mille papattes… processionnaire des p(a)ins… dans les mandibules… et ces petites bestioles ne rigolent pas du tout quand on les chatouille. Recouvertes de poils urticants et allergisants, elles vous les balancent en pleine carafe à la moindre agression… vous ravagent la couenne comme pas permis… puces et tiques à Lampion passeraient pour de vertueuses masseuses de salon. Alors gaffe aux représailles les marsupiaux, faudra sauter encore plus haut !!!! Et puis surtout n'oublions pas sa future transformation... car c'est bien connu des initiés... le travail mène à la richesse, pauvres poètes travaillons, la chenille en peinant sans cesse, devient le riche papillon. Un bel avenir apollinien... ce Ritchie... papillon ? Arf !!! © Le Pilier & Guillaume Apollinaire

27 octobre 2015

DES MAUX & DES IDÉES

Pack de six / Episode XV 
Aux dires de Gaston, le geek de la troupe, ça remue sévère autour de la fédé, ça commence à constater les faits… hé hé… ya du bla qui s’étale, des tensions qui déballent et même cerise sur les jarrets du bulbe un Michalak kia plein d’idées !!!! Ouarf !!! Sommes encore dans l’auberge, pas d’lézard. Entre le gras et les cuisses de poulets, les abats et les mousses à pâtés, la bousculade des pichets, la tisane au calva, ça suinte plus que dab des tas de choses qui vont changer la face même de nos pâtis. Clair de limpidité !!! En sont donc au clacos nos énergumènes, la digestion n’a même pas encore commencé !!! Faut des idées à mettre sur la table… d’la pression à mettre sur les râbles… ça veut virer Camou… ça s’énerve de partout… passque de toute façon faut bien constater que ça peut pas durer !!! Hé hé !!! Le Pack de six, en pleine forme, déguste l’air du temps comme Lampion farfouille de son blair aiguisé un buisson visiblement fourni de bestioles à poils, vu l’excitation du canin. Plus haut dans l’azur, des feuilles désarticulées dessinent d’improbables chorégraphies, l’espace-temps d’une chute… Ouarf !!! Pardi c’est l’automne. 

L’Adjudant – L’empafé de Michalak a des idées ? 
Gaston le Geek – Plein… il veut même s'impliquer... ouille !!! 
Le Pilier – Comment faire déjouer une équipe dès l’entame… 
Lu – C’est ça, un coup de maître… un génie… 
Bob – D’habitude il lui fallait un match entier pour annihiler le groupe… prenait son temps
L’Adjudant – C’est du métier ça les filles… pouvez pas comprendre… 
Lu – En revanche il a parfaitement conclu… deux placages loupés, une énorme bourde, une cuisse douloureuse, zappé des tablettes critiques… bien vu...
Bob – Une carrière bien résumée dans ce geste parfait. Bravo… 
L’Adjudant – On va jamais s’en débarrasser de ces gus… collent à la fédé comme les bonbons au caleçon du Ténéré !!! 

Fallait toujours un brin de temps pour encaisser les vannes du gradé… après longue réflexion on finissait par comprendre l’allusion… on allait se farcir tous les foireux de ces dernières années. Les pires de l’histoire entière de nos terrains. La structure même de la FFR certains la comparaient à celle du régime soviétique, c’est dire l’enthousiasme… en sus le rouge marteau et sa faucille à cocos ça plaisait pas du tout à notre kaki. Les pardessus, autrement dit les huiles bien frelatées qui dirigent nos pâtis, n’avaient jusqu’à ce jour jamais fait montre de modernité… hors le grisbi, les machines à simplifier les bulbes, le désir d’un grand stade pour nos petits joueurs, rien dans la structure même des mentalités n’évoquait un soupçon de possible éventuelle modification des mœurs !

Lu – On prend les mêmes, on les change de place et voilà tout… 
Le Pilier – Sommes intra-muros ici les gars… faut pas rêver... not grand kiff c’est ressasser d’la poussière d’histoire… tenez regardez le titre du dernier post de Nice Rugby situé à droite du Blog : «l’Australie comme en 91?»… 1891 sans doute... c’est reparti comme en 40… sont enveloppés dans le formol de leur mémoire répétito-nostalgique… on n’a pas lu leur bavassage, mais rien qu’au titre on se doute de la teneur. Sont incapables de s’updater les gus… se mettre à la page du jour… les siècles derniers, ya que ça qui les transpire, les fait kiffer… la mifa des copaings, le pastaga des marsouings, des vrais tronches à parpaings… ça compare toujours des trucs improbables, des hiers qui ont ultra vécu mais qui pour eux ont un rapport avec l’actu… alors le Super Rugby, pensez, ils prennent ça pour un truc de Mars, une comète de l’espace… c’est trop loin. Ça cause des joutes de Mathusalem, le futur c’est du passé à consommer à chaque tartine de nouvelle journée… pas étonnant que les mêmes qui nous ont outre gavés sur le pré, se retrouvent avec leur barda à la direction de nos pâtis. Toujours les mêmes histoires... pas d'azur, que des vieilles garnitures....
Bob - Les Bleus sont à l’image de ceux qui les matent… cherchez pas… vont s’enquiller du Top, se faire mousser le croupion, et dès le prochain tournoi, nous rebalancer de la CDM en prépa !!! 
Gaston le Geek - Ya quand même Chabal qui fait d'la cuisine...
Bob - En effet, lui au moins se recycle...
Le Pilier - Dans la fourchette et le croûton de pain, c'est bien...
L’Adjudant – Ok alors... Laporte direct chez Casto... Sainte André avec les attributs papaux... Lagisquette aux oubliettes... Camou à Moscou... allez zou... les parcheminés expatriés...
Lu - C'est la révolution ? 
Le Pilier – Faut qu'ça saigne.... 

Une fois de plus la discussion partait en sucette, il était temps de se remettre aux choses sérieuses et d'entamer une triplette en préparation de la super finale à venir !!! Hé hé !!! © Le Pilier

26 octobre 2015

PETITE VÉRITÉ / GRANDS EFFETS

La passe longue et sautée de Foley sur le premier essai d’Ashley-Cooper était parfaite, le cuir envoyé par Giteau pour l’autre essai du même, au cordeau. Remarquable geste du centre australien. Cette précision symbolise la maîtrise, le travail accompli par les grandes nations du sud, partant la distance qui les sépare de toutes les autres équipes de la planète. Pour assurer un tel timing il faut avoir répété la chose des dizaines et dizaines de dizaines de fois. La course de Cooper était impec, disons son placement… faut du métier pour assurer ça, se connaître, lancer les cannes au bon moment, anticiper le geste du passeur… tout un art. On ne voit plus ça de part chez nous, en Europe. Les gaziers du coin n’ont tellement plus l’habitude de s’envoyer le ballon, que lorsqu’ils s’y emploient, se ralentissent à chaque prise de balle. Le cuir est jeté aux épaules, un peu trop haut, ou trop bas, trop en avant, voire un brin derrière, les joueurs sont trop proches, pas assez décalés, en profondeur comme on dit… bilan l’attaque est molle, ralentie, se termine en bord de touche… on l’a remarqué chez toutes les équipes du nord durant la CDM. Il n’y a donc pas de vitesse, partant pas de décalage possible… elles se terminent systématiquement par un ruck en bout de chaine, quand toutefois le cuir y parvient. Très facile à contrer, suffit de se laisser glisser et planter les gonzes. Super easy !!! 
La profondeur comme on disait quand virevoltions jadis sur le pâtis. Nos anciens nous tannaient le cuir, c’est le cas de le dire, à nous faire répéter, répéter ces phases de transmissions, qui caractérisent le rôle premier des trois-quarts. Il s’agit d’être très en V, loin derrière le porteur… cavaler fond de cannes pour recevoir devant soi le cuir et le réceptionner en pleine vitesse. Cette figure on la répète dans une carrière, des milliers de fois. C’est ce qu’il y a de plus difficile à faire... il faut être raccord avec son co-équipier... que la passe soit précise en fonction de votre vitesse, de la sienne... des adversaires qui gènent... etc. Les Maso, Sangalli, Codorniou… Estève en bout de course… peuvent sans doute aucun vous en causer durant des plombes. On parle de cette trilogie, car c’est Maso le formateur des autres, perpétuant la lignée des grands trois-quarts centres Français. (c'était jadis, aujourd'hui ce qu'on raconte n'a même plus aucun intérêt... la transmission n'existe plus... comme des grands centres du reste, en France y'en a plus depuis des lustres... ya des bons parfois, jamais des grands). Autrement dit, de part la configue en profondeur, aucun des joueurs n’a la même course, ne possède pas les mêmes caractéristiques, les mêmes cuissots, la même dynamique de lancement... en bout l’ailier, très loin derrière dès que le cuir sort du ruck, ou de la mêlée… bref des pattes aux gros… se lance pour arriver tout berzingue au moment où il rattrape ses coéquipiers et réceptionne le cuir. C’était la figure que l’on travaillait le plus. Épuisante, faut toujours se lancer comme des fous, au ralenti ça ne donne rien… pour dire la chose, on n’en avait parfois raz la couenne… c’est là que les bons entraîneurs ne lâchaient pas l’affaire et nous imposaient des séances interminables. Pas d’issue, faut se le manger. Ce qui fait la différence imparable des nations du sud, Blacks et Aussies pour l’heure. Ce rien de passe de super Giteau, la réception impec de Cooper à toute vitesse, bref la réussite de la figure est le fait d’interminables répétitions. Ce que l’on doit apprendre aux jeunes… leur montrer ce qu’est le rugby, ne pas les faire fantasmer sur des gros qui bourrinent et tamponnent l’adversaire… ce timing, cette précision, ce travail de passe, ces anticipations, cette vivacité de transmission est le fond premier de ce jeu. 
Pour en revenir à la rencontre d’hier, les Argentins ont été vaillants, batailleurs, opportunistes… certes… ont sacrément progressé depuis leur entrée dans le Championship, mais ne nous y trompons pas, avant d’atteindre le niveau d’en face, yaura plus d'un changement de climat dans la Pampa...  zont un très long chemin à parcourir… et ça prendra du temps. Faut pas rêver, ou plutôt, ils peuvent rêver, mais vite redéposer les pinceaux sur le pâtis. Ces figures sus proposées, sont symboliques de la distance qui sépare les grands des autres. Pourquoi tout le monde s’accorde à dire que les Blacks vont très vite ? Parce qu’ils travaillent tous cette chose depuis les couches… arf... parce qu’ils la maîtrisent parfaitement… sont les maître du timing, du cuir réceptionné à toute vitesse. Sachant que le ballon va plus vite que les gonzes, vitesse des courses + rapidité assurée de la transmission + précision du jet, + réception tout berzingue = décalage imparable. Sont encore meilleurs que les Aussies à ce petit jeu… c’est pour ça (entre autres choses bien sûr) qu’ils dominent depuis des lustres le grand rugby. Les Argentins ont percé plusieurs fois, c’était bien, vivace, agréable, mais ce n’est qu’un bout du chemin qui mène à l’essai. La conclusion est encore l’étape supérieure. Toutes les équipes peuvent faire des petits coups comac, très peu savent conclure. C’est là toute la différence avec les grands… et pour remédier à la chose il faut travailler d'arrache pied. Autrement dit la distance est immense entre croire que c’est possible, que la partie se joue à trois fois rien, comme on l’entend stupidement parfois, et la vérité des faits... ce rien de différence pour le combler impose un très très long et lent apprentissage, d’infernales répétitions… un brin de vide invisible mais un gouffre à combler. Arf !!! Les All Blacks jouent ça comme dès le plus petit championnat, dès minus… aussi quand ils arrivent en équipe nationale, connaissent les placements, les automatismes, savent gérer leur course, se placer, passer, toniques au démarrage… (matez encore l’explosivité de Nonu malgré son âge)… précis dans leur trajectoires, "n’ont plus qu’à" travailler la connivence avec le joueur qu’ils découvrent, le connaître, le comprendre, le lire... sa kinesthésique si voulez... son style, sa manière de bouger, de leurrer...  sa course, son placement, sa tronche... mais le fond est là, déjà prêt. Dire que les Argentins sont proches du haut niveau, c’est encore jouer du pipeau… malgré toute cette belle énergie, ont été incapables de planter un seul essai. Saisissez ? L’espoir est une belle chose qui ne doit pas s’éviter l’imparable réalité.
Attention !!!!! C’est dans la dynamique des minus d’outre espérer, celle des forts d’en assumer les vertus limitées, d'accorder le possible à l'impeccable vérité. Yeah !!!
© Le Pilier

25 octobre 2015

LE PILIER EN FINALE

Ce que disions, analysions, développions, anticipions, espérions est là !!! Une finale à la mesure de ce Blog, logique, dynamique, évidente, simple, imparable… sans foirages, sans baratins, du vrai beau rugby de grand terrain. Fallait bien ça pour conclure. All Blacks vs Australie, la plus belle affiche du moment, pour le Pilier, ses lecteurs quotidiens, les dégustateurs de vrai cuir, le pack de six, les raffinés du palais, calebasses avisées, cuissots entraînés… les francs connaisseurs, les grands saveurs. Une chose en passant très appréciée dans le temple Twickenham durant ces phases finales… pas de délire, de Rolling Stones à la mi-temps sur les enceintes… pas un brin de mord moi l’jonc de swing Charriot de mes deux baladeuses… finito le délirium… retour à l’atrium des petibonum… allez zou… tous virés, ruinés, limés, oubliés… tous les frimeurs au panier… on voulait, on a… du rugby et basta !!! Merci aux Blacks, aux Australiens… merci au Pilier pour son  impeccable groin, mille fois pour son inaltérable soutien !!! Arf !!! © Le Pilier

ALL BLACKS EN FINALE

Yavait des cordes de pleines gouttes humides et sournoises, bien anglaises, dans tous les coins du terrain… pas facile de faire circuler le module dans ces conditions… d’où les coups de pompes ennuyeux… mais les Blacks assurent la victoire, deux essais, aucun en face. Les Boks n’ont jamais inquiété ces derniers comme le prétend bon nombre de borgnes. Certes les fautes à répétitions ont permis aux Boks de coller au score. Mais hors du saton point de chanson !!! Pas une attaque d’ampleur, pas un fétu leurre, pas une ficelle de truc malin, rien,, même si le score était serré, 20-18, pas foto… les Blacks sont les plus beaux, ont contenu les buffles sans problème et voilà tout !!! Dès qu’ils ne plantent pas 50 pions, le journaleux s’exclame « sont prenables, pas invincibles, peuvent paumer » hé hé… en attendant sont bien là et donnent l’impression de gérer à leur guise les rencontres. Ne jouent jamais la même partition… dès quia du moins au tableau d’affichage la planète neuneus s’affole… et puis jouer les Boks n’est pas de tout repos non plus. Un match de cet acabit ce n’est jamais top easy… pas du bleubite en face… alors quoi ? Ce qu’on voit… jouent trois fois les Boks durant ces derniers mois, trois victoires. Qui fait mieux ?
On peut pas dire qu’on s’est régalé en revanche, Aaron Smith nous a particulièrement énervé… choix foireux, trop de pieds… Habana détrempé, des fautes inutiles, Read n’en parlons pas… Kaino fait le manchot... et Le Roux notre gazier souventefois glorifié ? Un  brin rouillé sous les trombes. Bref… on oublie. Une pensée particulière pour Carter impec, qui jouera sa première finale de CDM. La classe ce gonze… excellente gestion depuis le début des joutes, on lui souhaite ce qu’imaginez. Idem pour Ben Smith, roi des airs. Espérons que la deuxième demi-finale sera plus pétillante.
© Le Pilier