28 septembre 2013

FOUR NATIONS TWEET

17 PM en Afrique du sud, fricassée Championship bitouine Big Boks and Marsupiaux en perdition. On ne s'attend pas à des merveilles côté Australien, mais sait-on jamais... après tout c'est quand on n'a plus rien à perdre qu'on a le plus à gagner... oups !!! Bref on attend la praline en imaginant quand même des Springboks s'arracher les tripes pour aller chercher le point bonux... histoire de ne pas donner la possibilité aux Blacks d'emporter quasi ces Four dès ce soir en Argentine et partant de jouer une finale monstrueuse la semaine prochaine at home ! Yeah ! © Le Pilier

27 septembre 2013

DISNEYLAND RUGBY !!!

Ben voilà ! On roupille un zest, détourne l'attention... le temps de se consacrer à la re-vision d'anciennes bastons sud-hémisphériques histoire de se préparer aux phases finales de demain, un gonze aventureux débarque chez nous pour nous causer du Top, de ce qu'il estime être un derby... évoquant l'éventuelle disparition de ce dernier pour cause de descente aux enfers des protagonistes. Un gazier soi-disant lecteur émérite de nos bafouilles en sus, qui visiblement n'a pas pris le temps de lire les dernières !!! Arg !!! Derby macache bono... y'en a déjà plus !!! Bayonne n'est pas plus voisine de Biarritz qu'un pingouin à lunettes Google n'a de commun ADN avec une bicyclette espagnole !!! Oups !!! Vu la composition de la bayonnaise team qui chanstiquait la celle de la rade en semaine dernière, on pourrait aisément situer son clocher dans un autre coin du monde n'ayant plus de spécificité culturelle que l'accent des supporters, la couleur du maillot, avec ces gonzes de partout ailleurs sur le green... car de Bayonnais du coin à proprement parler dans le ruck, y'en a pas plus lourd qu'une disparition de dinosaures !!!! Arf arf !!! Bayonne pourrait s'appeler Toulon, Toulon Johannesburg ou Durban... on serait presque dans le vrai ! Arg ! Idem pour pas mal d'autres équipes. Alors son derby qui débarque chaque année, dont tout le monde cause, n'est qu'un petit signifiant de rien du tout pour placer en haut d'une affiche afin d'attirer le chaland, histoire de dire qu'il se passe quelque chose d'intime dans ce coin de pays Basque, qui question pâtis, n'en est plus un (de pays Basque). Arg !!!!!! C'est le pur bla commun du moment ça... essayer de faire mousser le spectacle quand ya plus rien du tout à proposer question us coutumiers authentiques !!!! Hé hé !!! 
A ce propos on entend depuis quelques mois pas mal de gaziers qui causent du Top 14 comme le plus grand des big championnats de la planète entière. Arf ! Des gonzes du cru, des zentraîneurs, des présidents... des ramasse-chaussettes... des joueurs... pas mal du popu amateurs de flan, etc !!!! Le plus beau championnat de la planète !!!! Ouarf !!!! Sans vergogne les gus... sommes bien en hexagonie. Encore le délire Napo du giron Waterloo... Décadent Louis machin à perruques soupoudrées d'orgueil... Versailles à Jeff Koons ouais !!! Plus on est rien de pas grans chose, plus ça hyperbolise, se gonfle comme la batracienne bestiole de la fable à Jean !!! Z'ont pas tort de nous affubler Froggies nos voisins Tommies !!!! Moins ya de gaziers de chez nous sur nos terrains, plus on se ramasse au tournoi... et plus sommes compétitifs et beaux !!!! Un gros Disneyland bled on devient ouais ! Un XV pour touristes... décadent... pipol sur pâtis. Sachant que le rugby n'est qu'une métonymie de la situation générale hexagonalo-politico-économico-soporifico-démagocratique du moment !!!! Ouarf !!!! On pouvait pas laisser passer toussa... fallait reprendre la main ! Jusqu'à quand le roupillon profond ? Argggg !!! © Le Pilier

26 septembre 2013

DERBY BASQUE

Un gazier de bonne tenue a réussi par on ne sait quel miracle à s'immiscer dans notre bastion. Lecteur émérite du Pilier il vient poser sa plume en nos pâtis nous proposant une bafouille sur le derby Basque du Week-end. On dira pas que le Pilier a totalement délaissé le terrain du coin, qu'il se refuse à tout échange, juste because le TOP n'est plus en odeur de sainteté dans son huis. Le rugby transcende les frontières de nos propres opinions... ya du mouvement en hexagonie, preuve en est son témoignage qu'on vous livre verbatim... et sans rajout. 
Comme on se retrouve !
Tout a été plus ou moins dit sur le derby. Les forces en présence, le poids des mots (et des packs), le choc des photos. Tout a été dit… ou presque ! Humeur d’un Grenoblois adopté au Pays. C’est une histoire qui remonterait presque à la nuit des temps puisqu'elle hante les mémoires vives des habitants de ce bel endroit qu’on nomme Pays basque. Des années que les voisines Biarritz et Bayonne s’affrontent. Comme les Basques sont un peuple qui a du goût, ils ont décidé de se mesurer dans le plus beau sport qui soit : le rugby. Des grands noms se sont illustrés au cours de ces joutes homériques. Le sang a coulé, les larmes et la sueur aussi et comme à chaque fois, les équipes se sont séparées bonnes amies.

Seulement voilà, cette année (encore ! disent les mauvaises langues) les cartes sont rebattues. Pointant respectivement à la 14e et la 13e place du top (14 !), le BO et l’Aviron vont se rencontrer à Jean Dauger samedi avec une pression supplémentaire. Pour se sortir de la nasse où maraudent les mauvaises anguilles des bas de tableau, il va falloir (enfin !) que les deux équipes se lèvent l’âme et se mettent à produire un rugby de qualité, ou tout au moins qui fasse gagner : mais le peuvent-elles encore ?

Car il est certains choix parfois incompréhensibles que seuls les dieux sauront expliquer. Ainsi, comment une équipe aussi belle, aussi titrée que le BO a-t-elle rognée à ce point depuis des années sur un recrutement digne de ce nom ? La faute au budget ? Trop simple. L’ivresse des succès de naguère additionnée à une perte de rythme et de vision ? Certainement. Sinon, comment expliquer autrement cette descente aux enfers qui s’accélère chaque année de plus en plus chez des « rouge et blanc » vieillissants ou trop jeunes. Biarritz a des guerriers de qualité, mais l’ensemble est tellement mal harnaché entre les vieux briscards et les jeunes talentueux que l’on désespère du jeu pratiqué par la garde de Faugeron. Ce dernier, trop affairé à sauver les meubles sûrement, manque tellement d’ambition pour ses joueurs que l’on a parfois l’impression de les voir dormir sur le pré. Un Yachvili égal à lui-même : constant, un Traille usé jusqu’à la corde, un Harinordoquy blessé (mais qui devrait jouer samedi)… la vieille garde se meurt. Chez les jeunes, même Lakafia, celui qui a toujours bluffé par la pureté de ses trajectoires, la finesse de ses gestes, la précision de ses plaquages, et son port de tête haut et aérien, même Lakafia le magnifique semble lessivé, essoré ! Ce qu’il manque au BO ? Du jus de crâne et de l’amusement. Les joueurs s’ennuient ferme sur le terrain, et nous avec.

Côté ciel et blanc, les choses sont moins mal engagées avec seulement une défaite à la maison. Sauf que, sauf que… allez savoir pourquoi avec une qualité d’effectif nettement supérieure à son voisin, l’Aviron n’arrive pas à produire un jeu qui ressemble peu ou prou à du rugby. À Dauger aussi on doit sacrément s’ennuyer une fois la balle en main et il semble que le duo des Christian ait eu la gestion de l’effectif un peu légère pour certains matchs.

Avec quatre joueurs blessés, le BO coule ; avec quatre non titulaires habituels, l’Aviron perd. Mais ne croyons pas trop à la malédiction dans ce pays béni ! Il serait temps que les joueurs, les staffs s’inspirent de ce qui se fait ailleurs (au sud évidemment) pour trouver la moelle nécessaire à une sortie de crise. Car arrêtons de nous illusionner, ce n’est pas un budget qui fait les passes, qui saute en touche, qui plaque, qui court, qui rentre en mêlée, qui joue ! Oui de grâce chers joueurs, faites enfin votre métier : jouez !

Il y a une gloire à gagner un derby, une malédiction à le perdre et un honneur à y participer. Mais il ne faudrait pas que les piètres copies rendues par nos clubs de cœur continuent à dégringoler. Auquel cas de Derby, l’an prochain, il n’y aura plus.
© Matth


22 septembre 2013

POSITIVONS... LE DECLIN

- Pilier tu charries dans ta bafouille précédente... comme dab... tu noircis tout... arrête un peu de faire l'exagérateur !!!!! Ya du cocorico boy dans le championnat ... bien assez pour remplir les maillots de l'équipe de France !!!! Tiens trouve en pièce jointe la composition de deux équipes qui ont jouté ce week-end dans le Top. Ya quatre gaziers d'ici dans celle de Toulon et pas moins de cinq dans celle de Bayonne... ça nous fait 9 Français sur trente joueurs... alors tu vas pas nous faire ta nostalgique... positive un peu... ça nous tire vers le haut d'avoir des gonzes de toute la planète sur nos pâtis... nos joueurs apprennent plus en matant les ceuss d'hémisud qu'en arpentant nos pâtis, gonfle en main... en sus ne se blessent pas, comac pour les rencontres internationales on a de l'abattis bien frais, impatient d'en découdre... des morts de faim pleins d'appétence, de vouloir, de jus, de flux, de plus !!! Les étrangers se fatiguent dans les rucks pendant qu'on accumule un gros capital de repos énergisant... excellent pour la préparation !!! 
Tel quel un Mail envoyé ce matin par un passionné de Top 14 avec des arguments percutants, nous renvoyant dans les 22. Ok pour la mÔdernitude attitude... on s'adapte... flexible le gus... mais permettez qu'on se serve directement à la source nous. On les mate chez eux, sans passer par la case d'ici... on apprend encore plus !!! Merci l'ami ! © Le Pilier

20 septembre 2013

HEXAGONIE : LA FIN DU RUGBY TRICOLORE

On apprend... que Pieenar va jouer dans la rade... que le requin Schalk Burger est sur le point de rejoindre lui aussi son copain Botha... tout comme le talon Sudaf Graig Burden... le seconde poutre et génial Ali Williams du long nuage. Le Gallois Warburton est fortement suivi pour le même club... idem pour le Wallab Mitchell qui débarque sous peu. Toby Flood, le Bif de la Couine Zabeth, intéresse fortement non seulement Toulon, mais aussi Toulouse, sinon Montferrand... que Fritz Lee le troisième ligne Néoz arrive chez les jaunards... etc etc etc. On causera pas de tous les autres étrangers déjà installés dans l'hexagone. La pompe à grisbi aspire les gros gaziers d'hémisud... comme de partout ailleurs... et ça n'arrête pas !!! Continuons comac, on garantit la fin de l'équipe de France. Nos tricouleurs hexagonisent... se fanent, se frippent... s'étiolent... l'immondialisation du cuir poursuit son petit ruck pénétrant, la fin de nos pâtis nationaux est annoncée. Arggggggggggg !!!! Ainsi la couleur du temps !!! © Le Pilier