30 juin 2010

CHICKEN RUN

Entropiquette de Bleus
Ça discutaille, parlote, bonnit, jacte... les staffeuses menacent... babillent des crétineries... comme dab après les ratatinades... ça papille, ça bavasse... mais ski faudrait dire vraiment n’est jamais exprimé... et ça cause encore de cette victoire d’automne contre les Boks... que génial c’était que... que super on sentait la force du groupe que... que chouette c’était du capital confiance (sic)... que magic ultra c'était bien parti... répétant que c’était encourageant de vaincre les  
"Champions du Monde entier"...
qu'on a un Chelem cette ânée... mais que  
Giga Flop on s’est ratatiné ensuite contre les Blacks de façon lamentable... puis les Boks at home... puis les Pumas chez eux... On ne comprend donc jamais ski s’passe les spatules ?  
On fait les chicken run... 
les lapins ? 
Stupides et neuneus ?  
Les deux mon n’veu !

Ya pu ka rebondir !!!!  
Reconstruire les terrains !!! Arf Arf !!!
Hé hé la formule des crânes d'air... des ballons cognitifs... des zultra bovins de troupeau de bêtes... Ach !!! On s'enivre à l'entropiquette en hexagonie... jusqu'au bout... pituite... ultra flou... on peut se tartiner le caisson de lavasseries fumeuses jusqu'à la fin des temps co(s)miques nous... on est capable de tout !!! 
On reviendra fissa sur le rugby entropique de nos cocottes, zallez voir... comme sur l’asinien discours qui le sous-tend !!!! © Le Pilier

27 juin 2010

LA GRANDE FESSÉE

Un puma dans le poulailler
Ben les gaziers on pouvait pas mieux consacrer la dernière bafouille du super Pilier, celle d'hier, que par cette somp-tueuse débâcle de nos cocottes face à des Argentins bien décidés à clore une série d’échecs... 41-13 ma sœur Thérèse. Une ratatinade de premier plan. Une franche giflée ! Certes la fessée est un art... savoureuse il parait...  pour qui la reçoit... mais à trop répéter la figure, gaffe à vos croupions les gaziers, pourriez y prendre goût !

Pour dire uniment la chose n’avons pas maté la rencontre... savions déjà tout... pardi on arrête pas de vous balancer des vérités, cette clausule de carnavalesque tournée manège était inscrite dans nos tablettes... et si faire le Cassandre a son coût ne sommes pas d’attaque à en supporter tous les désagréments. Jamais. Refusons fermement d’acquitter toute la rançon du savoir. Faire du monde une copie fidèle nous plait pour autant qu'elle insuffle fermeté dans l'agir... et bidonne les cortex de quelques saveurs... peut-être... sans doute... mais pas question de s'épuiser à convaincre.
Vaincre nous va ! Prosélytisme des clous !!! Pas gourou pour un kopeck... pas donc quêteur de zéros comme notre compagnon d’enthousiasme, Nietzsche, l’exprimait jadis.Trop systémicien pour ronger son seul nonos à s’en faire péter les mandibules sans jamais atteindre la moelle, à boucher ses tuyaux avec de vieux procédés moutoniers, cent fois délavés, qui vous font apparaître dans la communauté des mutiples corniauds comme un des leurs pour vous sentir moins seul en agitant vos fanions !
Non le Pilier c’est l’ultra modernité, le souffle O² vaporisé avec mesure, doigté, simple... aéro, hydro, logodynamique... pas perso, pas coco... altruiste dans la donne... ferme au ruck... limpide comme un cuir en impesanteur !!! 
Dire ce qui est pour ne pas taire le reste ! Hips ! On ne fait jamais d’azes des coursiers d’hippodromes. Chacun trottine donc à sa guise, exprimons juste ce qui est là... moins fatiguant que faire pieds de mains en bavassant sa misère, espérer ne pas être vu dans son réel état, entretenant sa baveuse en bois d’ébène pour finir en bellepou !!! Savoir est duratif...et ce qui est nous « va »... car ce qui est là... c'est qui doit être... puisque c’est là... Ach ! Aussi le comment nous commande plus que le rabattu pourquoi ci ? Pourquoi ça ? Très facile le pourquoi, avec ce parfum d'innocence béate qui transpire la débâcle... ne pas y aller trop vite si voulez... un pourquoi c'est toujours bien commode... ça peut discutailler des années sur des pourquoi... ya même des divans pour ça... c'est plus confortable vu le temps qu'on y passe. Hé hé... mais ça ne résout rien jamais rien, passque ça ne considère JAMAIS la réelle intentionnalité... comme les vraies incapacités... (Ps: pour les grands séminaires du Pilier, adressez un mail à notre agent )
Sommes gouverné par le comment nous... s’y prendre, changer la donne... quels effets peuvent modifier leurs propres causes... et si l’inévitable pourquoi s’impose... répondre dans quel but ???? !!! Hé hé !!Plus responsable ça, plus vrai, moins bambin...
Mais gagner ce temps, trouver la bonne parade, s'orienter vers du mieux faut commencer toujours par la vérité nue... crue pour les plus Tao ! Oh oh ! Rien de plus beau que la vérité pour pouvoir tout poser.

Tel que te montres, tu es ! Pour ceux qui savent lire s'entend, ya tout là !...pu qu’à mater pour comprendre, assumer ce qu’on voit, donné, livré, proposé, tartiné, reluisant d’ultra répétition qui nous fait bien dire sans jamais nous planter : "si tu n’y panes rien c’est que tu n’en es pas..."et basta !
Arrêtons de causer de match piège, d'arbitrage douteux, de froid ci, de fatigue là... de, faut mater la vidéo... faut rebondir... faut avoir faim... faut construire... faut changer de lacets... faut surtout bannir le cirage ouais !!!...
Fi donc des incessants baratins, mauvaises raisons font que du foin !
© Le Pilier

26 juin 2010

VIEILLE EUROPE RATATINÉE

Hors les Bifs qui gagnent à l’arrache les Aussies la semaine dernière... d’un petit point... toutes les équipes de la vieille Europe du vieux rugby se ramassent bien francs et perdent toutes les rencontres en hémisud. Normal... dans l’ordre des choses... une évidence... deux planètes bien différentes. Le Bif se fait même plier par le Maori NZ 35-28 cette semaine... à l’heure du thé. Bref pas besoin de grandes analyses pour tirer les conclusions qui s’imposent. Avons dix ans de retard question broutage des pâtis... transmission du module... compréhension du jeu. 
Les Gallois today perdent contre des Blacks qui gèrent pépères 29-12... les Zirlandais rentrent bredouille la nouille... idem, battus par une équipe d’Australie qui aura quand même du mal à rivaliser avec les Blacks et Boks lors des prochaines tri séries.  
"Cooper inspires Wallaby victory"
titre un Blog rugby d’outre-Manche... la chose en effet à retenir... les Aussies tiennent là un bien beau gazier en place d’ouverture. Auteur d’un remarquable essai de grande classe, cadrage-débordement-crochets-pointe de vitesse-vista... de bien belles passes... du pied grand champ... comme le disions... de la graine de grand. A suivre avec intérêt aux prochaines joutes. © Le Pilier

25 juin 2010

RUGBY NÉGUENTROPIQUE

Black système
On va faire hyper light et simplex afin de préciser à ceuss qui rouspètent ce qu’évoquions sans le dire...

Tout dab, le rugby des Blacks, néguentropique... En systémique la néguentropie se définit comme une force de cohésion (pour faire short) Avec les Blacks sommes servis. L’important pour eux c’est le cuir. Objectivé, il maintient chaque entité vers un seul et même but... le transmettre pour le mettre... en en-but. Le cuir devient le but et chacun s’oriente en ce sens. Aussi le gazier qui le porte est en quelque sorte moins important que le cuir lui-même... c’est le mouvement du module qui prime... chaque gonze en connaissant bien son rôle contribue à sa vie. Chaque membre du groupe libéré de sa subjectivité au profit d’un être de collectivité, une sorte de méta sujet si voulez, défend ce principe... le gazier fonctionne dans, pour un système qui le positionne comme membre de l’entité-groupe tout en respectant sa singularité. L’organisation dans la tentative de désorganisation adverse engendre de l’organisation because le but est fondamentalement intégré, toujours là, présent, la raison d’être du mouvement de l’être-groupe et n’est quasi jamais perdu de vue. Black c’est une force de cohésion engendrée par la compréhension du rôle, l’acceptation du rôle... la mesure subjective au profit d’une objectivation dans l’être-groupe... comme si un joueur se sentait le bras, l’autre le mollet, l’autre la cuisse, le suivant biceps... etc... Autrement dit réellement membre et partie de l’être-Black.

En hexagonie sommes au rugby entropique... gabegique, sinon bordélique... pour la rime et le fun... Pas la même conception du jeu. Avec ses avantages et ses nombreux inconvénients.
A suivre rapido.
© Le Pilier

24 juin 2010

LE COURRIER DES LECTEURS

Yaka piger
Quelques contrariés, sortis sans doute de la patte d’un vague Chantecler, se sont plaints de l’avant dernière bafouille du Pilier, prétextant que le signifiant introducteur néguentropie ne correspondait pas à la teneur des divagueries... qu’on se laisse couler... qu’on se foule vraiment pas l’index... ni la carafe... que nos intellectualités abscondes n’amusent que nous... qu’on ferait mieux de revenir à des choses plus tartines, plus pâtis, moins élucubrantes... qu’on se donne des airs pour rien ! Envoyé c’est pesé !!!
Ben mon lapin faut qu’on surveille nos propos !!!! Quel abus en effet, quelle audacieuse psyché s’amuse à balader un entendement somme toute responsable en lui jouant des tours de manivelles pour lui faire perdre pied ? Hé hé ! Pourtant il ne s’agissait là que d’un brin de vacance dans l’insondable prolifération des variables introspectives que le moindre citron se doit d’alimenter en balançant son jus... comme un gazier du pré fait ses tours de terrain pour son maintien poumon ! Comme dirait l’autre il faut cultiver son propre pâtis, conserver la dynamique des variations subsymboliques par projection du discontinu sur le continu, première condition de l’intelligibilité du monde... comme chacun sait... aussi vital que poser son pied dans une mer de songes en faisant son lacet pour éviter la chute ! Ouarf ouarf !
Quelle saine occupation en effet d’engager librement sa parole dans le champ ondulatoire des entités sémantiquement interprétables pour le plaisir de s'y trouver... en se perdant de vue ? Arf ! La sémiotique sous jacente mise à jour par l’effet de la rencontre sujet, objet-monde, révèle l’être à sa propre conception dès lors qu’il en assume la limite, happy d’en favoriser l’essor (de la dite assomption) pour autant qu’il en kiffe et se veut bien à lui.
Fais ce que doit, ce que veux, assume le décalage et prolifère jusqu’à l’étreinte objective valorisant ton effort. Tout ça n’est bla que pour autant l’on se défile, mais si l’on s’engage dans le ruck énonciateur avec la volonté d’y paraître à son avantage, alors chiper le module encatalyseur devient le miroir de sa propre maîtrise au sens où partout règne un symbole à saisir pour peu qu'on aime ce jeu. Autrement dit même dans le ruck le plus bordélique il y a toujours un cuir à convoiter ! Hé hé !

Mais revenons za notre néguentropique mouton d’avant-hier. Afin de montrer que tous ne sont pas rétifs à nos propositions, qu'il y avait bien un lien marqué entre le titre et la première phrase, découvrons ce commentaire, comme exemple parmi d'autres, de la bafouille incriminée par une Ondine des grandes écoles, qui nous livra ceci : Néguentropie au sein de l'équipe de Rugby New Zeland (NZ : le meilleur des Mondes !) Dextérité dans le jeu, efforts des joueurs, persévérance d'une équipe bien construite laisse entrevoir et sous-entendre un "modelage" structuré, réfléchi, étudié de ladite équipe sportive de rugby NZ par un coach et entourage averti que l'hémisphère sud doit "préserver". Equipe avec laquelle il se doit de communiquer, d'encourager ceci afin de permettre le maintien de l'évolution et de l'épanouissement de l'équipe !
Et de rajouter : Facts do not cease to exist because they are ignored ! (Aldous Leonard Huxley )
Voilà pour Ondine et bienvenu dans la team de ceux qui relèvent la tête pour saisir le module et le transmettent à leur tour ! La passe assurée, l’essai est à portée... une formalité de le transformer non ?
© Le Pilier

23 juin 2010

LE LAST DU LEAST

Fin des tournées manège
Australia v Ireland, 12:05
New Zealand v Wales, 9:35
Voilà ce qu’on trouvera samedi qui vient de plus intéressant pour clore la saison Européenne des petits... en attendant le coup d'envoi de la saison rugby des grands... tri nations series qui débutent le 10 juillet bitouine All Blacks et Sudafs. 
Fini le flanby... regoût au pâtis...
pour les saveurs. Ronron pâté de sable, bronze couenne, copaing pastaga, parasol, claque tong, repos pour l’amateur de Brennus, soutien cocottes, neuneu du fanion... jouisseur des petits brins de XV du coing, essoufflé d’avoir balancé tout son peu dans les tuyaux de sa trompinette olé... et qui mérite partant du repos tout bord d’eau avec bobonne, niards et canin ! L’été c’est fait pour ça et c’est parfait comac... ça laisse de grands espaces vivifiants, car ça concentre le vacant, le néant, la banane, la nouille, le Jacques, la godille, le crâne, la fleur de nave dans un même lieu... approprié. A nous les grands prés, les fleurs de l’Empyrée, les bastons éclairées des grands gaziers du sud, quintaugrammes d’hommes étalons qui vous transforment Sèvres en grÔsseu Babylone d'une simple poussée ! Hé hé !
© Le Pilier

22 juin 2010

NÉGUENTROPIE

Divagueries
Question organisation collective le rugby NZ est le fleuron des pâtis. Le match de Samedi dernier contre Galles en fit preuve, si tant est, bien encore, que la forme en relève aux dormeurs la vivance et qu’au refoulement vaincu, l’être s’énonce en son désir d’en valider l’effet. Contempler, apprendre, voir, tenir pour acquis dès lors qu’on s’active, l’évidente matière inspirante, celle qui tonifie l’esprit d’une clarté digne de l’espoir orienté en son point directif, celui de n’être pas dépossédé de sa guise quelles que soient les mouvances probables qui désarçonnent un entendement voué ferme au maintien. Ach ! Le signifiant Black s’injecte en la veine nourricière et le flux s’accommode des ruptures, reconnaissant dès lors, impavide, l’Héraclite fondement, qu’hier s’énonça tel : tout bouge ! Hips ! Liés pour un cuir, condition unifiante que le symbole impose, les tous en un font une belle toile que le mateur réforme à chaque prestation... l’art diffuse un nombre incalculable de rapports, dévoilant sa vertu : tout se tient dans l’agitation, tout s’organise quand on croit ! Paradigme du monde clos, structuration des carafes enfiévrées, ici, tel qu’ailleurs, le prétexte s’empare des palpitations, captive les temps multiples en un lieu d’unique gestation ! Plon ! Si opportunément déclarons comme prélude au triomphe d’un fait, l’apparence avouée d’en servir de tenant, rien, ni l’amer, ni la crise, ni la prétendue vanité du dire aux baveuses des sots n’entameront l’impartiale intention d’attester sa volontaire griffe comme preuve tangible qu’un gazier bien mené trace une voie royale pour peu qu’il s’y découvre ! Ach !  Tenir c’est orienter sa perte en mesurant l’effet. Du format sacré sourd la pleine retenue de se croire éternel en étant qu’une paille qui aspire au final à consacrer sa joie de n’être en sa limite que l’infini prétexte ! Chouette ! On reviendra dessus.
© Le Pilier

20 juin 2010

LA TEIGNE THOMPSON

Les Roses Bifs sauvent l’Europe d’une Fanny en Hémisud.... d’un poil de pied 20-21 contre des Australiens sacrément dominés en première ligne. Cette peste de Thompson (la tof dans son garden avec son bichon Kiki !) a foutu la gabegie dans la mêlée et galvanisé sa troupe d’avants... un sacré gazier, lui qu’on croyait perdu pour le rugby après des problèmes aux cervicales... Merci la médecine... toujours d’attaque le Hooker Bif... du métier pour astiquer et travailler son adversaire au ruck. Une valeur sûre. On adore...
Les Anglais confirment leur domination devant en laminant donc la première ligne adverse... plantent deux essais dont un du demi de mêlée Youngs aux belles cannes auteur d’une trajectoire imparable, comme celle du reste de son ailier Chris Ashton qui grille tout le monde, ballade l’arrière Aussie et inscrit son try. Giteau pour sa rentrée aplatit deux fois mais achoppe un brin des arpions... loupe quasiment la gagne dans les dernières minutes en ratant une pénalité face aux perches. Qu’importe les Bifs méritaient cette victoire et retrouvent un peu le sourire après un tournoi décevant. Les Skippy ont du soucis à se faire avec les Tri Séries qui arrivent, devant les Blacks et Boks vont leur faire brouter la luzerne si ne changent pas d'optique et ne trouvent pas de gaziers plus solides de rein... mon lapin... sauteur ! Ach !
© Le Pilier

19 juin 2010

ALL BLACKS EN EMPYRÉE


Les Dieux du rugby sont d’évidence en hémisud. Après un Haka bien tempéré, les All Blacks poussés par quelque inspiration divine déroulent un rugby fluide, élégant, collectif, souple et renvoient les poireaux Gallois dans leur jardinet. 42-9. Une percussion Mealamu pour un essai sous les perches... une course Cory Janes de 80 mètres... un show Carter (2 essais),  un retour du superbe Kahui qui plante son try... de vrais bons morceaux de rugby  pour le Pilier qui retrouve foi en la baston bien menée. Yeah ! © Le Pilier

COOPER LA CLASSE

Quasi derniers en-cas before le grand tournoi d’été, les grandes bastons de l’empyrée, les huiles de St Tropez... dans une heure... 9h30 les Blacks reçoivent les Gallois, puis 12h Australie vs Angleterre pour une revanche prometteuse ? Voilà pour le week-end. Wilkinson est toujours sur le banc comme Armitage. Côté Aussies, Cooper conserve son poste à l’ouverture malgré la rentrée de Giteau. Enfin... commence à piger le coach Australien... Giteau est meilleur au centre qu’à l’ouverture... même si Barnes en fait les frais en essuyant la banquette. Avec Cooper les Aussies ont sans doute trouvé un véritable 10... nous plait ce gazier... bon joueur à la main, de belles passes cadrées, petits et grands espaces... bon doseur des agacins, parions sur sa classe... une graine de grand joueur qui a le soucis impératif, au regard du précédent match contre les Bifs, de transmettre le cuir à tous prix... plus collectif que Giteau, bien plus habile dans la direction du jeu au pied... auteur de deux essais Samedi. Le match s’annonce serré vu la domination du pack Anglais la semaine dernière en fin de partie, bien que les Australiens soient sur la pente ascendante... s’améliorent doucement de façon notable. Pas du saute au paf encore de kangourou mais quand même de belles figures de prou... eurent pu plier le match dans les 20 premières minutes tant eurent d’occases. A suivre donc.
© Le Pilier
Australie: O'Connor - Ioane, Horne, Giteau, Mitchell - (o) Cooper, (m) Genia - Pocock, Brown, Elsom (cap) - Sharpe, Mumm - Ma'afu, Faingaa, Daley
Banquette: Edmonds, Slipper, Chisholm, Hodgson, Burgess, Barnes, Ashley-Cooper

Angleterre: Foden - Cueto, Tindall, Hape, Ashton - (o) Flood, (m) Youngs - Moody (cap), Easter, Croft - Palmer, Lawes - Cole, Thompson, Payne
Banquette: Chuter, Wilson, Shaw, Haskell, Care, Wilkinson, Armitage