31 mars 2010

CINÉ PILIER 2

Du plus
Buck Rogers est un homme ordinaire qui s’aventure un peu partout dans tous les coins du siècle. En appuyant sur un bouton banal, il parcourt le temps et l’espace qui va avec. C’est un homme tout à fait comme vous zé nous, la carafe simplement posée sur deux épaules mouvantes mais solides.
Le film du Quizz dont on va vous tracer les grosses lignes jusqu’à l’en-but de la découverte du titre semble ne rien avoir avec... fait pourtant mine d’intro... fortuit ?
Indices
Ça bouffe des pils à longueur de temps... pour tenir au taf... probable, supporter tout prix cette vie bien Bonux. Tous idem dans la même tenue, c’est plus humain. Pas de galons, de pins, d’autorité visible hors les caméras... tous idem dans la même tenue... Blancs tondus ! Tous ? Pas tout à fait. Des cyber-gaziers graciles en cuir de peau noire limitent avec "mesure" et calme les déviances, font respecter la loi. Robert le héros sous l’influence de son Eve coloc, qui brin manip le TV dinner, retrouve son instinct premier et s’embrase avec la belle dans cet acte semble-t-il interdit. Dès lors, son désir retrouvé, la liberté l’aguiche... il n’aura de cesse de chercher le grand sun, respirer plein poumon vers une vie nouvelle, lui qui ne connaît que les néons des plafonds.
En substance concise, voilà l’histoire du film. Reconnaissons que les soft repros ne balancent pas d'évidentes infos, pour les néophytes... qu'il faut donc se creuser un brin le ciboulot avec les indices sus proposés, qui mélangent réalité et fiction.  
Alors, quel titre ? Et le réal qui découle ?
Le héros est un indice qu'il faut savoir interpréter.
Réponse totale au prochain épisode.
© Le Pilier

30 mars 2010

CINÉ PILIER 1

Un premier Quizz du Pilier en guise de distraction pour tous, pour Dupuy qui se ronge la carafe en attendant le retour au pâtis. Malgré ses recours la sanction reste ferme, pas de rugby jusqu’en Mai pour le demi de mêlée du Stade Français... pu qu’à digérer les 23 semaines de suspension après le coup de fourchette un peu trop lourd pour un pro du pré. La prochaine fois prendra pas le pâtis pour un banquet !!! Arf !

Donc une repro... saisie dans un des films cultes du Pilier, voire le number one dans sa catégorie, écrit, réalisé par un gazier connu, qui n’a jamais plus atteint ce tel niveau dans les productions suivantes... mineures pour nous, ultra majeures pour un grand nombre de mateurs de péloche... de ciné flan !
Pas évident pour le néophyte, plus facile pour les croqueurs de toiles... produit par Francis Ford Coppola, un film bourré de sédatifs, minimal, bande son impec avec de vrais morceaux d’humains et quelques cyber gonzes tranquilles comme de fermes autorités. Pas un gros succès à sa sortie, n’en est pas moins top... niveau 2001. Tourné avec peu de moyens mais en totale liberté... bien que la Warner qui n’aimait pas le film imposa des coupures que le réal n'a jamais digéré... encore un !
Tout est là qui préfigure ce qui viendra, ce qui est déjà, dans nos sociétés kleenex.
Un vrai bon film de SF, jadis interdit aux mineurs.Trouvez son titre vous serez récompensés en le matant pour ceuss qui ne l'ont pas vu, amusé pour ceux qui affectionnent ce genre de cinocherie !
© Le Pilier

28 mars 2010

NOUVELLE HEURE...

Nouvel heur ?
« Pilier tu charries ! Tu causes only rugby, et quand ya pas d’internationales bastons tu ronronnes, disparais, t’éclipses, comme la ronde nocturne en fin de cycle maraude on ne sait zou dans l’insondable cosmos... tu pourrais faire un geste pour nous montrer un peu que t’as pas que du cuir à tanner, que t’as autre chose dans le cassis que l’ivresse des châtaignes, le bien être des gisquettes, bref que tu t’actives un peu culturel et nous en faire part ! »

Ben Ripolin c’est envoyé !!!!
Un parmi les mails reçus de ces insatisfaits à qui faut toujours du sus pour prendre son kif. On en veut pour son fric quoi, on paye sa connexion chaque mois, on exige après son taf, sinon pendant, du souffle nouveau, brin d’azur sans carbone, baveuse sans bois, happy joie... le pâtis ne suffit donc plus on veut brouter d’autres luzernes, savourer les élucubrations de l’insondable gazier du coin... on veut sa vigorette plein poumon, son jardinet de belle saison, en somme si on est là on n’a k se la donner d’avantage et causer parfois d’autres choses pour distraire un lectorat visiblement critique, fidèle à nos bafouilles, vouleur insatiable du toujours plus, d'un zeph plus qu'azur, d'emportées, de voilure !Ach !
On pige la revendiquette !
Même si pensions que le pré suffisait, on remarque qu’à trop tondre la pelouse il n’en reste pas assez pour brouter permanent, ruminer son saoul, s’enjouer quotidien... on comprend le volitif espoir, et respectons le fait.
Aussi, afin d’obvier à toute plainte nouvelle, en guise d’hobby glisserons parfois en ce Blog impérial des figures diverses dans d’autres domaines que l’ovale passion nous impose. Fidèle au jeu, vous proposerons en premier lieu un florilège des ces culturels objets qui alimentent notre leurre dès la sortie des vestiaires. Oui le Pilier fait autre chose dans la vie que mater du cuir, honorer ses mousmés, dormir ou croquer du gigot d’agneau Zélandais, sur TAO léviter... mordre, rouspéter... sniffer l'air du temps !
Exemple donc, point seul, matons des mouvies et vous soumettrons sans doute, erratique, épars, inattendu, entre les gouttes de sueur des mastards du XV, ce qu’il y a de mieux en 7ème Art, de même qu'une lecture épatante des navets. On causera donc cinoche, entre autres, dans "Le crampon et la plume". Arf !!! Roi de l’échappe, de l’esquive, dissoudeur d'andoxas zavariés, Le Pilier se targuera d’éviter jusqu’à la faute de goût, impardonnable pour un homme fait. Bientôt, ici même
Ciné Pilier conservera l'ambiance, l’esprit du lieu, son rythme, la souplesse du feu et montrera au cybermonde qu'il y a une vie au delà du ruck ! Hips ! Nouvelle heure donc, nouvel air wick pour nos plus grands liseurs.
© Le Pilier

26 mars 2010

VÉRITÉ

Une stat piochée par un gonze à nous qui en dit beaucoup. Les Bleus tatanes ont choisi 45 fois le jeu au pied ! Aveu d’impuissance ? ... A elle seule, la charnière Parra-Trinh-Duc l’employa 31 fois (18 pour Trinh-Duc !) contre 14 fois pour la charnière anglaise, dont 4 seulement pour Flood, l’ouvreur. Chouette Paulette ! Là on pige bien l’amertume des anciens, des plus jeunes aussi, de beaucoup, d’un paquet de gaziers déçus que « les Bleus se mettent à jouer comme des Anglais » sic... de quasi tous.
Vrai que durant le match ça sifflait parfois le Blou... pouvons pas le nier maintenant... Trinh Duc nous exaspérait tous... Parra derrière sa mêlée renvoyant moult fois le cuir dans les bras d’un Bif, idem. Pas du rugby panache de grands futés ça... aussi l’happy joie n’était pas de mise au final.
Pas nouveau ! Ne savons plus jouer derrière depuis des années... on s’ennuie ferme à mourir Francis. Les passes de Blous ? Parmi les plus moches de rugby moderne... non il nous manque du centre racé... des attaquants hyper lancés... on ne sait plus faire... quasi jamais de belles surprises... un Jauzion qui platane bien raide le premier rideau, on peut voir... puis basta... parfois passe un bras... résiste un brin, bloqué, tombe et c’est tout. Aussi pour répondre à la question sus proposée  
« aveu d’impuissance ? ».
Sans contredit oui !
Mais bonne stratégie... de l’avoir compris, assumé, d’avoir joué en fonction pour gagner. Certainement pas N’Tamack qui va leur fluidifier les tuyaux derrière... pas un grand classique çuila sur les pâtis jadis... une lumière étoilée non plus, faut quand même l’avouer... sympa le gonze Milou, pas de problémo... mais pour l’apéro... avé les potos... pas pour la direction des légions véloces... là faut du crâne, avec des softwares inside, du jus pour alimenter toussa... non, non... faudrait un entraîneur avisé, tout frais, avec une vraie tête qui s'active... qui les fasse bosser, toniques, propres, figurés... un connecté quoi... ça doit bien exister non en hexagonie ? Sinon un étranger... sont bien en défense les Bleus, c’est le Bif Ellis qui s’en occupe non ? Cool... faisons idem en attaque... prenons un Bok sinon un Black... ce sera toujours mieux que ça ! Pasque là, yavait rien de nothing de vide néant... pas une seule fois n'avons créé du danger près de la ligne adverse... pas une de demie quart de fois... un comble pour un grand Slam... jamais vu ça... un record sans doute... d'où la joie sans doute mesurée des Français !
© Le Pilier

25 mars 2010

TRIO DE CHOC


Mur de briques

La chair est forte Mas, solide comme un bouquin...tsoin !
Cuissot beau Domingo, pas minot...
Entre les...
Un Servat qui pourfend, tonique, percutant...
Ces trois gonzes ressemblent au Caucase grondant
Des Atlas où jamais une roche ne tremble
On les voit rugissant au pâtis triomphant
Sous l’ombre palpitante d’un cœur qui nous rassemble. Ach !
Ils se dressent, jetant l’ombre immense aux campagnes
Ces hommes viennent à nous de la part des montagnes...
Hips !
© Le pouêt pouêt Pilier

24 mars 2010

NEW FRENCH FLAIR ?

Un pack de quinze
Avec cette édition nouvelle de Slam, née de la puissance d’un pack, gaziers de beaux râbles, tronchards de premier front, jus tonique, bel épais tel le vôtre, humble forçat du Toshibaston, Pilier gentilhomme supra maître es pâtis, incompa-râble dans le ruck, pillo-dunlo, stupéfiant dans le cadrage des formes mouvantes... la France pourrait se croire sur la voie des grandes conquêtes, comme elle se plait, trop déjà chez certains à anticiper la sublunaire hégémonie... Ach !
Trop vite en besogne que de rêver cette permanence zénithale, ya du taf bien avant, des mises au point qui s’imposent. Un cheptel de bestioles même s’il est fondamental pour espérer vaincre partout n’en demande pas moins une coordination fluide, conniventielle, rigoureuse dans le lien, généreuse dans la transmission, complète partout, fédérée hé hé tous pour un, le seul cuir ! Imposant ce grand Tou majeur bien plus grand, plus pressant, plus stratège, plus cibleur, plus mature, plus Monsieur que la somme aléatoire de ses parties s'évaporant aux azimuts. Oups !
Comme l’anneau des annulaires entérine l’union, celui du solidaire canalise les passions, les forces, l’énergie vitale, oriente les atomes, affirme la soudure... et si la bagouse victorieuse s’arbore comme preuve du lien elle impose plus que tout le respect du féal parti d’en perpétuer les vertus, d’en assumer la séculaire mixture:  
pour le pire et surtout le meilleur !

Les Bleus gaziers ont donc remporté le titre suprême du coin. Comme le disions, un brin par défaut mais qui n’enlève rien à la qualité des mâles. Pas très compliqué de plier les Scotts (quoiqu'on y reviendra), les Gallois, les Buitonis n’en parlons pas... plus majeur à peine d’effeuiller jusqu’à la tige le trèfle des vertes pâtures, d’émousser l’épine de la royale Couine.
Divers avis avons entendu après cette dernière victoire, des anciens notamment, déçus des seuls impacts, rétifs à ce  
rugby plombant comme ils le nomment, tout en force, ultra violent, sans grande fluidité, où les trois quarts ne servent qu’à défendre, ne sachant même plus mettre le feu dans les remparts adverses, tatanant plus que de raison laissant à l’adversaire l’initiative, le soin de proposer des figures audacieuses, ce qu’ont du reste accompli les Bifs.
Le jeune ailier Ashton, (la tof), aurait même pu figurer parmi les héros du jour s’il n’avait pas commis cette erreur qu’évoquions en clausule de notre dernier papel !
En effet, il s’échappe sur l’aile, n’ayant comme dernier rempart que Poitrenaud, pour cette fois bien en place. Notre arrière est à plus de dix mètres, Ashton au lieu de se rapprocher de lui, de balancer son coup de pompe au dernier moment, trop excité le donne certes dans l’axe parfait, mais trop loin du défenseur. Si bien que Poitrenaud a le temps de se retourner, démarrer en trombe, chose toujours délicate quand on connaît ce poste,  
de lui griller la politesse au final... 
de sauver la patrie !
Lancé comme il était, il suffisait au Bif d’attendre un brin, de retarder la course de Clément en s’approchant de lui et ce dernier n’aurait pu rivaliser avec l’ailier, qui rappelons-le aux néophytes, possède une course suffisamment longue pour conclure une telle action, hyper lancé qu’il était. Dommage pour les Anglais.  
Cool for us. Bonne défense de Poitrenaud. Un Blanco, un Carter, un Larkham n’aurait pas raté ça... Ashton est encore jeune... à bons entendeurs les avisés pratiquants.
Pour ce qui est de la dépassion ressentie par les anciens sus évoqués, même si comprenons parfaitement leur propos, ne partageons pas cette fois leur amertume.
Moult fois dans l’histoire les Bifs nous ont gagné de cette manière.  
PFP... Pack, fautes, Pied...
Quasi jamais n’avons vaincu de la sorte, sans faire d'erreurs, de faute, la provoquant chez l’adversaire sous pression... faisant bien gaffe toute la partie de ne pas faire botter Flood ou Wilkinson... preuve que le pack est très fort... n’a pas même paniqué devant les coups revitalisés des Bifs en seconde période... maîtrisant parfaitement son sujet. Cette victoire de deux points, sans attaques, sinon flotteuses comme souventefois dans le tournoi, nous rassure en un point : serions-nous enfin capable de prendre les Bifs à leur propre jeu, les frustrer sur le fil par quatre coups de pieds, en contenant parfaitement leur fougue qui pour le coup nous plu ? Sachant que, même dans les dernières minutes sentions bien que les Bleus en avait sous la pédale les Bifs n’ayant même plus la possibilité de s’implanter pour un drop dans nos lignes. Pour tout dire n’étions pas vraiment inquiet.
Dieu sait bien qu’apprécions comme beaucoup l’envol, l’audace, la perforation des défenses par des centres véloces, la fougue, la finesse des trois quarts, les figures inattendues que savions jadis accomplir sous matricule de French Flair, les passes au cordeau, vives, au plexus, les gaziers lancés quand ils reçoivent le cuir... mais cette fois il est bon de reconnaître qu’avons fait preuve de sagesse... c’était une option, pas la seule, mais elle a assuré la victoire d’autant plus plaisante qu’elle renvoyait aux Anglais une copie trop souventefois avalée par nos précédentes équipes.  
Une autre manière de French Flair ?
Et pourquoi pas ! Même s’il n'y suffira... mais l’alternance a ses vertus que seuls les grands stratèges dosent... comme des magiciens.Tsoin !
A suivre les manques... et pas des moindres.
© Le Pilier