28 février 2010

DU GRAND CHELEM

Pour nos cousines
Les Bifs ne manquent pas d’humour... on les apprécie entre autre, beaucoup pour ça. Les vannes sises en notre bafouille d’hier étaient le fait de véritables fils de couine authentiques qui n’hésitent pas à se poiler d’eux-mêmes, validant ce Tommie’s spirit comme sel de conversation, gage d’intelligence, mise en relief distanciée d’un quotidien prosaïque...et tartines d'autres choses.
Un gazier de tous connu, pitaine des vainqueurs de la CDM 2003, coach officiel de la team Rose Bif actuelle, bien fendard, nous gratifie d’une merveille de lucidité à se faire péter l’abdominal ceinture en nous décapant les zygos. Johnson, son nom de star et de comptoir, lors d’un interviouve d’après joute contre l’Irish, s’exprimait ainsi : « C'est le genre de rencontre où les deux équipes peuvent l'emporter et qui laisse le perdant effondré.  
Dans un jour humide comme celui-là,
on a peut-être eu le tort de trop jouer. On a perdu de nombreux ballons.  Il faut jouer du rugby efficace,  
pas du rugby sexy !!!!!» (Authentic sic).
Du rugby sexy ???? Ouarf ouarf mazette et goupillon de chez dilatation des rates.Tu parles Charles du rugby sexy des Britons. Ce doit être la joie au Dunlopillo dans les foyers Anglais... pas foto là... elles ne peuvent se contenter de ça... impossible... faut absolument faire quelque chose pour ces dames les gaziers de France. Allez hop,
jouons du mirliton pour ces minouches en manque de tout... enivrons ces ycelles au gragratouillis chignonnet... faisons tétiner le père François... destinons extrêmes onctions à ces luzernes abandonnées... brandouillons ces monticules au groin... moulinons ferme, il ne sera jamais dit qu’un Français de race délaisse les fondamentaux quand le jour est humide comme une fontaine de Vénus !

En Angleterre en effet, rien n’est fait pour les femmes... pas même les hommes. On savait pas toussa. On comprend pourquoi les pauvrettes reluquent de l’autre côté de la manche, pays mondialement reconnu pour son hégémonie en matière de concélébrations, rêvant du french lover quand elles s’adonnent aux joies frotti-frotteuses que la solitude impose comme ultime distraction ! Ach ! Et puis l’intro tubesque d’All you need is love des Beatles, c’est bien une chansonnette du coin non ? Marseillaise et trompettes... à nous la palme gracieuse, ainsi l’évidence, la reconnaissance mondiale de nos vertus ! Yeah ! 
Tous aux dames !!!
Presentez pilum !!!
Jouons leur du grand Slam à faire pousser des cornes à leurs Jules qui s’empâtent encore sur la couine couronnée d’innombrables lustres... montrons leur que notre tour Eiffel en acier trempé est largement plus pérenne que la prétentieuse Big Ben aux clochettes flapies !
Notre réputation est en jeu...  
faut gagner le Chelem 
et rapatrier ces bergères en perdition !
L’Europe c’est aussi et avant toute chose  
la solidarité,
la fraternité féconde des pâtis...  
le devoir de rassasier les appétits !  

Ce qu'est le rugby sexy ?
Le rugby gagnant... tous les cœurs pardi !!!
A bons entendeurs les grands sonneurs !
© Le Pilier

27 février 2010

LA QUEEN COUINE

Le trèfle jubile
Belle victoire des Irlandais sur le pâtis mollasse de Twickenham... 16-20... face à des pines de Bifs gavés de bouillante eau fadasse, de maladresses, pesanteur gras du bas, de la carafe, du mollet... pratiquant un rugby d’antan,  
lourd devant, rien derrière !
Bon c’était l’heure du thé, faut pas leur en demander trop... ça sentait le pudding au ketchup haricots à la crème blanche... feraient mieux de faire jouer des gaziers culottés, jeunes, tempétueux, genre Cipriani pour donner du vent frais au lieu de les laisser partir en Australie !!!! Ça manque sacrément de génie dans les rangs... pas dans leurs cordes dab, on sait, mais là ça dépasse nos désespérances... Une blague qui trottine plus vite que les trois quarts de la triste Couine :  
En Angleterre, 
si c’est chaud c’est de la soupe, 
si c’est froid c’est de la bière !!!
Ouarf ouarf, poilant !!! Savent plus tâter du cuir ces empafs, pas bon pour nous ça... pour le coup même si loin de nos habitudes les pronostics, on ne voit pas comment les Bleus pourraient laisser échapper le grand Slam. Sommes hyper supérieurs dans tous les domaines... total out les Tommies, lents comme des chenilles processionnaires... se passent le ballon sans jamais cadrer un adversaire, galopent en travers... essaient lamentablement de transpercer une défense Irlandaise impénétrable en percutant comme des bœufs, et devant, des zenclumes sans caboches. Pour l’anecdote, à dix minutes de la fin est apparu sur l’écran une statistique, 19 placages pour les Blancs, 96 pour les verts... ont du p’t’êt’ ben se planter un brin... mais ça dit tout. La bande à O’Connor a superbement joué le coup... hyper hargneuse dans les rucks, maligne en touche... clôture sur un bel essai de l’ailier lancé fond les cannes pendant que les avants Anglais laborieux, labouraient encore le green de leur insatiable entêtement à jouer sur des vieilles combines... bouffer du green dans des rucks de vieille école. En sus n’ont plus de pack performant pour ça... Alors ? Faut les pilonner ferme, pas de quartier... même si un match jamais ne se gagne sur le papier, parions sur une ratatinade sans quartier. Avons des gaziers d’un autre calibre tout à fait capables de leur donner une leçon. Si la Couine n’est plus en mesure de nous tenir tête, faut lui aplatir la couronne... ya pu d’Europe sinon... Allez les Bleus, laminez-nous toussa, sinon on finira par croire ces mauvaises langues qui racontent qu'en Angleterre,
rien n’est fait pour les femmes... 
même pas les hommes. ACH !!! 
Pour clausule, une palme au gonze de tous les diables auteur d'un match d'enfer, le troisième ligne centre Jamie Heaslip... sur la tof... belle bestiole l'Irlandais... avec O'Connell, O'Callaghan et consorts... ont O'pressé l'épine de rose à lui faire rougir la lune comme un croupion botté !
On reviendra sur notre victoire contre les Gallois sous peu... allons tout dab flatter du pralinet avec nos gisquettes, faire sauter le bouchon en préfigure de grand Slam ? Vlam !
© Le Pilier

26 février 2010

GALLES 20 - FRANCE 26

OUF !!!!
La question Bibici d’hier, sise en son site.
Can Wales derail the French Grand Slam bandwagon ?
Les poireaux Gallois peuvent-ils faire dérailler les Blous wagons avant la gare victorieuse du grand Slam ? Réponse non...
S’en est fallu pourtant de peu pour que les Rouges ne réitèrent le match poursuite contre les Ecossais... Une minute trop tard pour espérer gagner, l’hyper sup Shane Williams, le grand petibonum du Millénium plante quand même son 50 ème essai en match international en trompant pas moins de quatre Bleus. Un record derrière Campese le phénoménal Australien et ses 64 tries. En sus est partie prenante sur l’essai de Halfpenny avec une superbe passe ajustée de plus quinze mètres... un sacré joueur le gonze... 1,70 m pour 80 kils.
Quand on nous tartine le cortex avé ce rugby moderne des gros gabarits, ça nous poile les abattis. Le rugby c’est de l’évitement, de la vista, du beau geste, de la technique... en premier lieu.
Les Bleus remportent le match 20-26... mais dominaient à la mi-temps 0-20.
Qu’est-ce qu’ils ont foutu ?
Faut-il qu’on en cause Lulu ?
© Le Pilier

25 février 2010

LE GRAND PETIBONUM...

... du Millenium
Julie retapée, consolée, fermeté retrouvée, une douceur timide accompagne quelques ondées éparses de saison, dévalant régulières l’azur, préfigurant le printemps tout neuf et son cortège d’éclosions. Sophie bonne fille, n’a pas lésiné à mettre ses menottes à la pâte... feuilletée... s’enticher du réconfort de la revenue, badigeonnant greffier de savantes et mesurées palettes... et par le fait avenu, assurant l’essor vibratoire de sonorités libératrices. Yep !!!
A la mesure des attentes communes, en première ligne du grand ruck, d’évidence Pilier comme doit tint son rang, zénithal, bla libéral... va-ça-vient périodiques, grand jus, pirouettes, funambulisme, concélébration des fuites pleines de grands sentiments vigoureux !!! Ach !
Bilan des échanges ? Harmonie des mélanges, retrouvailles de Julie avec les fondamentaux existentiels, débarrassée pour un temps de ces incommodes spéculations qui obombrent l’enthousiasme, taraudent cogito, détournent l’esprit de la Dionysiaque vertu, la raison du droit chemin, le pilon du baldaquin... tsoin !

Toussa bien beau mais demain soir ya baston. Comme savez tous nos Blous affrontent les Gallois au Millénium. Prenables nous semblent ces derniers eu égard aux précédentes joutes. Même si le match contre l’Ecosse fut rebondissant, incroyable question suspens, les Red poireaux sont loin du grand Top. Sans Shane Williams auteur d’un match remarquable, de tous les bons coups, replaçant son groupe dans le sens du vent favorable... sans les cartons jaunes Ecossais, les blessures de Paterson, de Parks, celle grave de l’ailier Thom Evans et autres anicroches engendrant l’abattement des Kilts en tête toute la durée du match, la donne eut été différente. Shane plante même l’essai de la victoire après la trompette finale. Au Millenium Stadium... gaffe au petibonum !!!
Mais les matchs se suivent et ne se ressemblent pas forcément. Nos cocottes ont largement de quoi rivaliser avec ces poireaux en baisse régulière depuis leur dernier grand slam. Un bon test pour l’adage... jamais deux... sans T !!! Hips !
© Le Pilier

20 février 2010

TWITT A TOUTE HEURE

Reviens, va-t'en !
C’est l’hivernal frimas. Plus de pâtis où livrer sa baston, de quoi poser l’abat, refaire son jus, nutritif, pensif, pause holly. Yep !!! Julie, de retour professionnel d’une longue virée, s’enquit d’apposer ses intimités at home, because yavait lurette qu’elle n’avait pas tâté du zénithal dialecte, re côtoyé enfin ce qu’il y a de plus matou, de plus pur, supra tout... le concubineur magistral, l’aussi dur attentif dans tous les moments doux que la lune au lupanar est un soleil sans flou... arg... qui cause, impose, écoute, s’enquiert, conserve du sang froid même quand l’Hosanna du sanctus sous rebonds vibraphoniques ébranle jusqu'à la sacristie. Yep !!!
Envoyé... c'est l'extase ! Allez Lou... ya de quoi !!!
La bestiole ondulante, thèseuse es pâtis, d’assise patentée, d’épatante amplitude et de souffle tranquille, au rein solide à supporter ce Blog, en prit l’attentive mesure et reçut comme doit la féminine bouille en manque de relief. Fatiguée disait cette dernière des poussives analyses, des petits bras chétifs, des minus, des plats, démagogols, finasseries oiseuses, fiottes, petits gonzeurs, les ceuss qui font du lard avec des riens de Blous, qu’ont peu dans le matos, ces Mickeys sans logos qu’ont que l’oreille dressée, tous ces pompeurs d'idées qui viennent jusqu'ici faire leur petit marché !!!! Bref de beaucoup épuisée, elle exprima d’un coup :  
« C’est plus sympa chez toi 
que chez partout... 
T’es majeur, 
t’es même quasi tabou 
tant t’es tout !!!! »
Un sic de chez dixit que ne contredirons pas, même si n’avons pas saisi totalement la teneur parfaite de la saturation ! Quelle vie la Julie a-t-elle mené sans nous ? D’où vient ce raz fondamental somme toute inévitable quand le regard est critique, la raison éclairée comme ça transpire chez cette merveille d’atouts ?
Bref, pas du genre patho-modeste à copiner avec les somaties néphrétiques du baladin Brassens s’excusant quasi d’être ce qu’il est, laissant l’entourage niais abuser de sa bonté, écoutant les sornettes, ultra gêné le bonhomme du cirage excentrique répandu en son autour... savons mettre la distance nous, faisons la part des choses, acceptons ce qui est. Sommes zapparu sur la bloue rondeur pour respirer fermement notre quota ! Assumons donc ces vérités émises par ycelles honorées, car c’est nier un sujet que de n'point considérer la joie de ce qu’il entrevoit !
Pour dire quoi au final ? Pas plus qu’un twitter instant de vie, quand la luzerne embaume de retrouver son huis, qu’on laisse tomber le cuir, balance ce qui débarque en opinant du chef sur la valeur du lieu, de la toile qui dévoile l’indéniable et vibrant territoire... hors le temps... de ces reviens, va-t'en, qu'on déguste en soufflant... allez allez, éteins une à une les lumières... tatoue-moi dessus... la peinture au couteau c'est beau... quand la lame est nue*. Hue !
* Boris Bergman
© Le Pilier

16 février 2010

PARRA BELLUM


Un sacré petibonum
Fulgence Bienvenüe... pater du trom de Paname... l’autre Fulgence, Ouedraogo... flanker des Blous... Fulgence, le fulgurant en latin... ça lui va... encore du maître signifiant qui transpire son influence... savamment sur le moi... qui comme le savons tous, d’un point de vue topique s’enquiquine souvent la vie avec un surmoi querelleur, exigeant son quota moraliste, alors qu’en tant que protecteur des intérêts du gonze, le moi dynamique nanti d’une énergie pulsionnelle de tous les diables et d'une raison suffisante, devrait aisément détourner solo du pré-conscient ronron, ce processus primaire déréel, afin d’obvier à toute déprédation compulsive, paradoxale, empêcheuse, orienter les spécificités adaptatives du corrélat fondateur que la représentation prédispose au service optimal, autonome, favorable... quand elle est habile bien sûr... Ach !!!!
Hey... pète son câble le Pil...  retournons zaux pâtis...
Oui !
Donc un pack de sons frappants, gagnant, même si faible en touche... bien mené par un jeune Parra (la tof)  qui assure les transmissions, tient ses gros, ne fait pas de couffe et cerise, habile des agassins. De l’assise pour son âge. Graine de capitaine si continue dans ce sens... du Parra Bellum de petibonum... Ok pour lui. Sa passe même si pas des plus vives est précise, style classique, un peu léger pour faire le ménage mais possède d’autres qualités. Le père Dupuy devra se remuer le croupion s’il veut le supplanter. Rassurant d’avoir deux gonzes potentiels de bonne tenue à ce poste.
A l’ouverture sommes plus mitigé. Certes Trinh Duc possède des cannes solides, une vista pour prendre les trous mais ne lève pas la tête... on l’a vu au ralenti, sous toutes les coutures, les angles, ne pense qu’à lui dans la course... n’a pas su conclure les superbes percées. Le rugby c’est du collectif. Encore jeune le gonze... dès qu’il s’approche de l’en but ne pense qu’à sa pomme. Pas bon du tout ça. Avions remarqué sa propension à vouloir y aller solo. Et puis manque de pied. Renvoie trop souvent le cuir dans les bras adverses... sans chercher les transversales... faire galoper l’arrière. Non, non, Samedi c’était bien, mais un ouverture c’est beaucoup plus que ça. Gardons réserve, la suite nous dira. Reconductible d’évidence, on ne voit personne de mieux à ce poste pour le moment... et puis s’est bien entendu avec Parra... l’essai de Poitrenaud ressemblait à celui de Sivivatu cet automne. Bonne transmission Parra-Trinh Duc... sautée pour Bastareaud, superbe passe en canalisant l’adversaire du parisien, du beurre pour le Toulousain qui plante sans problème. Bel essai.

Les Zirlandais nous semblaient quand même un peu éteints. Complexe ? Froid ? Gagner le grand Slam une fois c’est bien, on n’est pas hégémonique pour autant l’année qui suit. Normal... pas l’habitude d’être au top, on est fébrile. Quand même peu inspirés derrière les verts... certes bouffés devant... mais on attendait mieux des champions d’Europe.
O’Gara ? O’garage et fissa.
Plombe son équipe l’ouverture... n’a rien organisé... une paye qu’on prétend qu’il est fini.
En sus ont vraiment eu du bol de ne pas jouer à quatorze le restant du match. Le geste de Flannery n’est pas limite, il est tout simplement inacceptable. Ça frisait le rouge, n’a même pas eu son p’tit jaune... non mais... pas santé l’arbitre. D’autant que le Palisson nous semblait en jambes malgré une prise de risque limite dans ses 22... s’en est parfaitement tiré... du cran... 20 minutes c’est pas assez... hope le revoir contre les Gallois du coup.
N’oublions pas la bonne défense Bloue, ainsi que le peu de fautes commises dans les rucks. A noter. Merci les gars, mais ce n’est qu’un petit pas. Faut réitérer la chose, duratif quoi... deux victoires c’est bien, quasi rien... les adversaires n’étaient pas énormes... Remember l’automne contre les Blacks. Super wait and see. Limitez le bla... assez causé d’ambition tra la la... concentrez-vous sur la connivence... le suivi, le collectif... Malzieu n’épate pas, Clerc n’est pas en super forme... Poitrenaud mi-figue... parions plutôt sur Médard nous, à l’arrière. Mais on s’en balance de nos sélections, attendons la suite et matons. Hips !
© Le Pilier