22 octobre 2009

COUCOU, NOUS REVOILOU !

Retour aux pâtis
Reprenons juste l’entraînement... l’abattis reposé, la carafe alimentée, le cuissot ferme... du revouloir tout frais de baston pour un moi désirant, sensible au mouvement, à l’espace, prêt à tout pour conserver l’ouverture de son processus évolutif en évitant l’ennui, la répétition du lourd, prosaïques figures, baratinades franco-clochettes, Top blabla et autres ramollitudes.
Grand jeu, comme grand beau, c'est du rare !
Ferme passion connait bien la mesure, entretient la combustion en dosant ses engagements. Point d’ovales infos n’ont filtré en nos pavillons sensibles... autrement dit, totale abstinence de XV depuis fin des tris... savons juste qu’en Europe une coupe de bière a débuté... rien de plus... revenons sous peu on the majeurs pâtis avec de vrais morceaux de cuir !!!
© Le Pilier

07 octobre 2009

SOMME DE RIEN













 Quiétisme zzzzzzzzzzen !
Pas une rame, un ruck, un crampon... pas un sou las de l’amer repos où la paresse n’offense en rien cette volonté flottante, qui sous tutelle d’un songe, même s'enorgueillit, pour uniment dire, d'une assomption lare érigée au rang de Zen état ! Ouich !
Rien à brouter pour l’heure, l’abattis velouté de n’être qu’une masse, neuve, originelle, poumoneuse, jubilante d'O², sans épique intention, trône en un club martial en espérant on ne sait quel rayon inconnu quand viendra du réveil la lumière subite !
Tact aïgu, fine patience, l’automnale posture se plait à savourer son heur dans l’attente des chocs. Boks et Blacks bienvenus seront là, bien à temps, pour raviver un désir que l’hexagonie néglige pour nous sortir du quiétisme voulu.
On nous cause d’Heineken Cup qui débute sous peu... sommes pas convaincu d’en mater le seuil, d’en causer, d’y perdre nos calots... mais résisterons-nous à l’appel du module, qui tel l’obus péteur secoue encore, hélas, malgré nous, cet idéal vibratoire dès qu’le Kick off entonne son chant mat et percutant ? On verra ça.
© Le Pilier

06 octobre 2009

30 septembre 2009

FFR : OUI A L'OMERTA

Une fois n’est pas coutume sommes ok avec la FFR.
Oui au silence total sur le fait divers Bastareaud !
Ne jamais rien livrer à la journaleuse engeance des menus faits de vestiaires de nos gaziers du XV.
Soutenons la citadelle, défendons nos remparts, nos guerriers mastiqueurs de pelouses ! Miam !

Goudron et plumes pour ces guignols de la presse bonbon, folliculaires, tartineurs de fadaises qui n’ont rien d’autre à faire que tripatouiller la fange avec leurs groins fallacieux.
Le grand pâtis, rien que le pâtis...
tout le pâtis pour les mâles !!!
Misère, rata, baveuse mollasse, vie privé, pipolisme, branlette...   
mouillettes pour les pisse-copies !!!!
et la tourbe à pékin... moyen ! 
© Le Pilier

29 septembre 2009

PAUSE CAFÉ, RUGBILLE ET FANTAISIES


Trottinions la prétentaine dans le champ intellectif des concepts métaphysiques. Café de Colombie en odeur de sainteté, belle humeur, marcel au torse plein, souffle lent... la journée s’annonçait pour le moins studieuse et le temps ductile. Essence de l’être, sans plomb... Immanence, sans manières... rétroversion amusée d’une période d’activité pleinement vécue en forme de bilan... posture causative des possibilités fonctionnelles d’une raison au meilleur de son rendement... finalisation d’une équation intersubjective... considération des actants épistémologiques, impératif pour une objectivité copine comme lard avec son sujet... attribution des mérites... la routine !

L’ovale module insidieux flottait en orbite, l’occiput du Pilier remarquait la chose mais le bidule géostationnaire méritait dispositions plus fermes pour recevoir ses données. Gamelles et bilan des tri attendront encore. Délaisser un temps les pâtis fait du bien, sachant que rien à l’horizon ne se profile d’excitant d’ici le plein automne, laissons couler et profitons du fait.

Un gazier de connivence nous rappela qu’en Hexagonie ça parlotte beaucoup mais peu d’essais sur le pré... de la gabegie... sinon bouillie de rugby comme l’aurait même exprimé l’ancien ouverture Penaud consultant quelque part... du rugbille où les tataneurs ont la vie belle... la dernière rencontre Toulouse vs Paris annoncée comme le choc du week-end dernier en témoigne,  que du toc... 9-9... que du pied... avec une telle équipe d’internationaux... ça sent l’usure ?  On aurait tendance à lui faire confiance...

Les Toulousains depuis une bonne décennie n’ont pas de meneur de jeu à l’ouverture... un comble pour un tel Club. Sont frappés, parole de saveur... vont se ramasser comme les autres années. Ils insistent parait-il avec Michalak en 10... Stupidus et ridiculus... ainsi leur plaie... vont se le manger.
Ces derniers temps nous montrent, s’il était nécessaire, à quel point cette place est fondamentale pour un XV digne de nos attentes. 
Quand Carter n’est pas aux arpions ça achoppe chez les Blacks... 
Les Aussies idem... Giteau n’organise pas le jeu comme le faisait Larkham... faut mettre et laisser Barnes nom d’une bourrique... 
Toulon semble « tenir » sa place en Flop 14 grâce, entre autres, à Wilkinson... mais ne marque pas d'essais... 
En somme le signifiant maître porte bien son nom. L’ouverture !!! L’ouverture !!! Celui qui avec l’arrière possède le champ visionnel le plus large, qui a le temps de mater... qui après la conquête du cuir par les gros doit organiser, orienter le jeu permettant aux traceurs lancés de s’ébattre. Bref.
L’ennui sourd aux pâtis des clochers au dire même de certains gaziers pourtant très passionnés du coin. Pas détonnant ce quinze... rien d’étonnant à ça. Rugby de com, starlettes et baratin... mais pipole n’est pas grande école.

Ok n’avons rien vu mais conservons le jus pour de meilleurs transports.
© Le Pilier  

26 septembre 2009

ÉCHAUFFEMENTS


Un arrière goût des tri somme toute savoureux... une simple tof qui signifie bien ce qu’elle doit.
On reviendra dessus.
L’heure présente aux génufluxions... savourons l’hostie à la chapelle en invoquant les volatiles messagers... perpétuons la valse des clochettes... abattis vautrés sur dunlopillo. Murmurons : une fleur ! et, hors de l'oubli où notre voix relègue aucun contour, en tant que quelque chose d'autre que les calices sus, musicalement se lève, idée même et suave, l'absente de tous bouquets... par nous seul irriguée. Yep !
© Le Pilier