30 novembre 2008

DANCE AVEC LES BLACKS



Tournée close, victoire des Blacks sur les Bifs... nous y reviendrons... nos compagnes s'impatientent... juste cette photo glissée en cachette, avant compte rendu plus cuissu...

27 novembre 2008

TARTINE DE CHOSES


Chose une :
Coup d’envoi : les Wallabies vont jouer le pire match de la saison...
Malgré de nombreuses fautes, ils gagnent, 18 à 13... Sœur Thérèse !
Les Bleus veulent un coupable... on prendra Skrela... lui-même se condamne... s’il avait mis les pénalités on gagnait, s’écrient les borgnes au grand mépris des règles d’interactivité... Tout est bon pour faire oublier les vraies raisons de la défaite... Faire penser ce qui n’est pas, pour occulter le reste... Air connu... Ya donc un coupable... faut
le délivreur, l’espoir de demain !

On sort donc Mickey de sa boite... Chabal... la couche ripolin... satiné frais qui tient ses 80 mn en gardant tous ses tifs... Paraîtrait même, selon de plumitives inspirations, que l’hypertrophié pilaire aurait changé en un seul match de dimension !!!
Pas moins ! Pas plus, non plus... mais c’est déjà ça ! Beau comme la modernité scintillante, supracomique comme le n’importe nawak contemporain... la bêtise n’est pas plus de Cambrai que l’andouillette de Troyes... tout est démocratiquement réparti...... tout se partage personne n'est démuni...
tous égaux devant le flanby
!!!!
C’est pas du rugby, c’est tout autre chose, mais ça stimule la mumule à foin qui broute son pipole quotidien en rêvassant d'azur... Bon, ya matière à se poiler, on va pas le leur reprocher !!!

Chose deux :
Oui !!!! Pour beaucoup les zarpions de Skrela plombent la rencontre, mais pas ceux des pénalités !!! Justement !!!!! On s’en tamponne des ratés d’entre-perches... Non non !!!!
La minabilité du gazier se situe au niveau de la gestion du match... des chandelles sans éclat... à ultra répétition... du pinceau, de la savate, du crampon... que ça, que ça, à vous bousiller un esprit somme toute conquérant.
En effet la figure que l’on retiendra en témoigne... le volontarisme, la détermination farouche d’Harinordoquy allant chercher le cuir pour la mêlée gagnante... il en veut le troisième ligne, ça se voit sur son visage, se sent, il encourage sa troupe, ça respire la volonté de plier l’Aussie... un beau moment... ça tenait le kangourou dans sa poche... Ach !!!
Mais la mule de dix ne comprend pas l’enjeu... embastillé dans son rugby d’avant... peut-être par les directives des staffylos dirigeants ??? Aussi ? Encore des drops quand on domine, au lieu de tenter l’essai... une plaie de joueur... de stratégie... de fiotte à mini rugby...
Hé Hé... mais veut se dédouaner le Skrela, amnistier ses vraies erreurs comme on enlève sa pompe, en nous proposant la fixette sur les pénalités !!! Des clous !!!! C’est l’autre jeu au pied qui déjoue... c’est la faute monumentale et supra anti tout, c’est le rugby à neuneu, c'est une tête à gros noeud !!!
Le Pilier adore la comédie... mais quand personne ne lui impose à quel endroit rigoler.

Chose trois :
Avec Chabal, on nous refait le coup de Merle... ou quasi... Chabal est un peu plus rugby kan même... mais du mythe idem... pour beauf... de la tof... mais question rugby, s’esclaffe comme un rentre dedans pathétique... s’épuise sottement, dernier quart d’heure sur les rotules... il percute une dernière fois pour du nib... plaf !!! Chaussette !!! à bout portant total plaf... au moment où faudrait justement en mettre un gros coup ! Un module isolé... pas de continuité avec le groupe... passe son temps à se remettre les douilles en arrière... rien d'autre à faire de mieux ?
Souvenez-vous de ce fashion article... mais surtout ne tient jamais un match... JAMAIS !

Matez Mattfield... ne percute pas toujours, contourne, choisit ses moments, sinon distribue le cuir... se place dans un tout... gère, en fin de match fait plus mal encore dans les impacts... avons vu ça lors de la dernière rencontre... évite ou fait un rien de travers, percute frontal juste quand nécessaire... ou le super Botha qui empêche un essai Bif presque fait, après une superbe course de troisième ligne... galope comme un trotteur... c'était du super tonnerre de Vulcain ce match Boks vs Bifs.

Choses quatre & cinq
Ok Ok !!! Change en effet de dimension avec Chabal... plus pipole encore, plus flan, aux œufs frais, plus symphonie des pipeaux... plus foto... Tous en veut... sa tof... la totof à Chabal, la totof à titifs en plein vent des châtaignes, comme celle qu’on vous refile céans, pour bien vous faire voir si pigez pas encore... Chabal le rugby des avents, en boule à neige dedans... Du Chabal en chocolat, santon, noël, sapinette, avatar, big Jim à poupée... à gisquette, à tévé... pour les journaux c'est inespéré, comme ya pas grand chose qui fait rêver dans le rugby de clocher.
Et pour le bilan repassé ? Bilan mitigé.... comme l’assure un paquet de crémeux du cortex qui sévit un peu partout.
La tournée manège d’automne
?
On a gagné contre deux petites zéquipes montrant notre évidente domination... on a perdu un seul match, montrant nos belles prédispositions !!!! Faut attendre le tournoi... Hé Hé on l’oubliait encore celle-là... Faut toujours attendre quelque chose ici bas... qui est pourtant déjà là.
© Le Pilier

25 novembre 2008

TARTINES, MENSONGES & GÉLATINE

La symphonie des pipeaux,
Des pipelines !!!!

Delirium en cirage majeur
de l’après France Australie...


Une comédie qui attend sa claque !!!

Avec tirage de bilan...
Grattage de croupions...
Baratin,
repassage des faux plis...


Un match animé par le Pilier...

Avec en cadeau,
plus tard dans la semaine,
une trouvaille littéraire
rugby & poésie
à vous tortiller les branchies.

Sous peu !
A savourer sur ce Blog...

© Le Pilier

BLACK ÉTOUFFE TAFFY


Une tof pour pas trop causer de la classe des Blacks... Kaino balle en main... nous fait sans problème oublier Collins.
L’hyper quick résumé du 9/29 ?
Première mi-temps les Blacks laissent venir les Gallois. Comme dab bien vaillants ces reds, mais pas très inspirés. Encore trop de tatanes... trop de cuir rendu... ridiculus... Pas de donc gros danger pour les visiteurs. Dès la reprise, le NZ étouffe le Taffy... keuf keuf... totalement écrasé par ces accélérations connues et imparables, le poireau se dissout dans la marmite du Millenium.
Score sans appel... sans outrageant vouloir dominateur des Blacks... sans essais pour les locaux. Encore du Bif pour le NZ ce week-end en quête de grand Chelem, puis retour au pays du long nuage blanc. Merci pour la visite.
© Le Pilier

23 novembre 2008

SPRINGBOKS AU TOP


Boks on the green... ça turbine. Plient du Bif… coupent du tif... razibus... 42 points à 6 virgules... autant dire à couper le souffle... à presque nothing... un peu cabane du chien tombée sur le cochon dans le maïs transgénique et la bauge émétique... bref une belle déculottée... avec la manière... et de beaux essais.
Que dire ?
Depuis le début de la tournée d’automne, l’hémisphère sud n’encaisse pas d’essai du petit nord... c’est un fait qui en dit long... comme d’autres, si bien que pour ne pas se répéter, pourrions tout à fait reprendre nos articles précédents d’hier, d’avant, de Mathusalem... et vous sortir les mêmes commentaires... ce sont en effet les mêmes figures qui reviennent, les mêmes erreurs commises, les mêmes schémas gagnants. Pas de grands mystères, sinon l’insondable flottement au sein des cortex rugbymen d’icy, entraîneurs et toutti quanti... des vides parfaits qui ne semblent pas faire la différence entre une pantoufle et un crampon sans arpion, entre une moufle et un violon... entre la dénégation innéiste des misocartésiens et l'harmonie préétablie d'un transat on the beach qui veut son parasol...

Tea time with a gentleman...

De notre côté, discutions saturday avec un Bif authentique, de très bonne tenue, distingué comme un Anglais melon, dans une brasserie rugby... venions juste d’enquiller les Boks et les Blacks sans broncher... sans remplaçants, sans coaching, un petite heure de battement à peine pour récupérer entre les deux bastons. Le cousin d’outre-manche, un brin défait par le ratatinage de ses troupes, nous convia à échanger nos points de vue devant une chopine de belle mousse, nous décrétant très vite hyper fin connaisseur en matière de castagne et d’ovales figures, nous demandant même d’où sortait une telle vista... un tel aplomb sagace, qu’il n’avait jamais vu ça... qu’étions sans doute de quelque académie M.I.T et patata et patati... so on and confettis.
Il ne savait pas en effet, ce fils de la Queen au grand God, que derrière cette innocence feinte, ce ton distant et mesuré, cette élégance amusée se cachait le monumental Pilier qui sévissait sur la toile en maître absolu, sans adversaire potentiel que cette ennuitude sournoise, tout à fait elle capable de lui faire courber l’échine, voire de clouer grand bec à son logos impérial.
Bon... prenions en effet de court la doxa pantoufleuse, celle des regardeurs sans acuité, des avaleurs de tout sans broncher, mais pas plus que dab... juste de quoi tester ce locuteur à la mesure faut bien dire acceptable, du temps que nous lui accordions.
Un grand amateur de XV cet Anglais, que la passion n’avait fait que fortifier, sans porter atteinte à son jugement, sens critique, vérités sans ambages exprimées quant à l'état de la rose team, entendement complet... ton régulier... de quoi alimenter une raison de bel équilibre qui lui donnait prestance et simplicité... avec en filigrane cet humour tout British, tant apprécié du Pilier... un homme de mesure, pour dire uniment le fait, pensant juste et bien, chose si rarissime qu’elle doit être soulignée... c’est fait.
« Mais pourquoi donc en Europe commet-on toujours les mêmes erreurs ? Qu’est-ce qu’on attend pour s’inspirer de ces grandes équipes ? Pourquoi sommes-nous aussi faibles de rein quand on les joue ? Pourquoi depuis si longtemps que ça dure ? It’s total amazing... de la green gelly... du vilain pudding !!! Tell mi, what do you think, you qui seem vraiment en connaître plus qu’un morceau de vérité ? ».
La question appelant son because, posée par notre compagnon éphémère, nous agit, et notre lippe immédiatement amusée esquissa un sourire... un sourire insondable, impénétrable, saveur* imparable... la prudence qui suivit trouva son réceptacle... accordé. « We don’t know !!! » nous exprimâmes-nous.
L’Anglais apprécia, fit tinter nos verres dans une ivresse franche de connivence légère... il s'enjoua, nous sourit car la question n'en était pas... et de réponse n'attendait. Santé !!!!
A suivre...
*Saveur: qui sait... comme on sait !
© Le Pilier

21 novembre 2008

ORBITE ET DECOLLAGE


En écho d’une répétition naïve, souventefois fois trop liée à l’impossible abstinence critique qui vivifie les connexions, obvions cette crainte première d’ennui mortel à ronger la pantoufle, affadir le palais, couche coucher morose, en affirmant un choix évident qui ne saurait en rien nuire à l’enthousiasmante volonté, dont l’âme prédisposée au sublime, s’enorgueillit d’en perpétuer la densité, dès qu’une figure se montre, apparaît, par le fait d’intelligences diverses, qui telles des holons, s’impliquent, se distinguent, élaborent, improvisent, tout en conservant le souci majeur d’un lien infrangible instigateur d’unité, de bien être, de frais, de maîtrise collective, de maturité...
Aussi, donc, ne serons pas de pâtis on samedi nuit 21h, mais bien de savante partie avec un groupe de nouvelles en demande d’orbitales fantaisies...
L’après-midi nous sera largement suffisant pour affermir une valence indéniable aux chicores que seules les grandes nations du XV savent entretenir en notre âme sensible. Y’aura des vitamines, y’aura de bonnes mines... y’aura du jus, ce dès 15h30 quand les Bifs joueront les Boks pour le plaisir de tous les connaisseurs. 18h15 on continue la tournée avec Wales vs All Blacks...
Un programme somme toute à la mesure sereine de notre positive affirmation, une propédeutique toute dynamisante dont la simple acceptation orientera le Pilier vers l’ascension des sphères qui n’attendent qu'un rien pour quitter l’orbital ennui d’un samedi parfois commun. Broutage, tangage, voluptage aux portes insondables d’un horizon dénouant sa ceinture pour des causes azurées, démesurées, élégantes, raffinées... éviterons ainsi l’insidieuse marée d’un pâtis qui guette l’océanique manque d’inspiration d’une nation trop vouée aux fictions... chanterons des louanges à celles qui seules représentent un espoir d’éveil et valident nos choix. © Le Pilier