30 mai 2008

NICE RUGBY : UN DUO LA BRONZETTE

 
Pour en finir avec Artaud... et commencer les Pick & Go 
Deux amatrices, sises au levant de quelques maritimes zalpes, se plaisent à bonnir sur le rugby en leur petit Blog, ci-joint, comme d’autres en promo maillot prisu, bronzetantes et crémeuses, sur une croisette des cocottes d’azur, refont la vie… picorant de ci de là, les petites idées que leur féconde imagination en extase poétique laisse choir comme galets dans leurs cortex enthousiastes, faisant des ricochets que le dialogue, inévitablement, enchaîne… Associant les mâlitudes joutes à la poussive commémoration d'un évènement mineur... Si si !!! Effet transat ? Ombre parasolaire chauffe carafe ? Ramolli du bulbe ? Fin de saison ? Acculturation rave ? O récompense après une pensée, que ce long regard sur le calme des Dieux... Quel pur travail de fins éclairs consume maint diamant d’imperceptible écume et quelle paix semble se concevoir quand notre duettiste engeance en transats, face à la mer toujours recommencée, jubilante et ravie, se plaît à élaborer solutions scintillantes pour en finir en sus avec le Pick & Go… Rien que ça !!!! Savoureuses de quinquin l’Antonin, le p’tit Artaud déchaîné-bileux de l’ombilical gouffre, hargneux comme teigne, théâtreux des limbes insondables que la rage entretient, épidermique pèse-nerfs, nos deux poétiques bronzeuses, dans de savantes emportées poétiques, nanties de cet élan d’enclume, enivrées des fresques ravageuses du MArtaud, caressent leurs mélanomes en savourant leurs Miko, prenant leurs zépidermes pointillés pour parures célestes, sinon gracieuses peaux tavelées d’éphélides des blondes divinités, que le soleil généreux martèle. Ho Ho le Pilier on se fait poète pour le coup... on image le réel... on peinture les sentiments... on copine ? Poète génial l’Antonin ??? Hé Hé les écolières, on en pince encore pour le pousse-cri collégial, la revendiquette ado, l’exprimé profond du petit cœur flétri, la rage impuissante de ceux qui n’ont rien à dire et le font lourdement savoir, réconfortant les poussifs dans les terres stériles de leurs psychés malingres ? Mais Artaud les zenfants c’est du flanby pour troisièmes… un composeur d’ennui, un gogo lige des lourdes ankyloses, dissoluble immédiat dans la grande histoire des lettres. Ne saviez pas ça ? Encore au bibi ? A quand l’éveil ? Faut dessiller les paupières les Niçoises, étendre votre patio esthétique, s’ouvrir aux grands espaces… ya de quoi ravir dans nos bibliothèques votre désertique savoir… de vraies oasis à rafraîchir votre pâteuse connaissance… ombres palpitantes de muses aguicheuses que seuls les grands convoitent…et possèdent parfois. Vilipendre* le médiocre c'est redonner aux vrais poètes la place qu'ils méritent. Bon ne sommes pas là non plus pour susciter l’éveil et revenons au sujet plus musclé qui nous préoccupe. Elles veulent donc en finir avec le Pick & Go alors que tout commence. En sus, se permettent de faire copain-copines avec le monumental Pilier, en osant sans vergogne apposer notre lien en leur Blog d’amatrices !!! Mais lâchons du lest, soyons magnanime et ne bannissons pas ces persifleuses volontés, qui sous couvert de tendres sarcasmes ne peuvent cacher leur admiration pour ce qui se fait de mieux en ovalie... même si dévoilent leur peu de rigueur critique au regard des propositions amusantes qu’elles nous livrent en leur Blog de vacancières. Prenons la chose comme bon sentiment. Pour en venir donc au fait, notez que le Pilier proposait du jeu, quand les Niçoises en appellent au képi, à la loi. A l’instar de notre code civil qui n’a de cesse depuis vingt ans d’arborer sa ventripotence, embastillant notre quotidien de bornes infinies, notre duo voudrait encore changer les règles dès qu’une figure semble incontournable, qu’on se ramasse impuissants devant un adversaire qui applique parfaitement, avec maîtrise, ce que le rugby permet. On n'en finira jamais à ce rythme-là. Adaptons-nous dans un premier temps à la règle, élaborons tactiques nouvelles, voyons les effets, faisons la part belle aux industrieux, aux audacieux, ensuite nous causerons de modifications. Ce que nous voulons dire, c’est que le temps des lois ne doit pas être assujetti à celui du spectacle… même si les règles doivent évoluer, comme c’est nécessairement le cas. On ne doit pas les changer uniquement pour plaire aux philistins, aux mamies ronronnantes, aux gisquettes émoustillées, qui n’attendent que mouvements de cuisses, courses folles pour se distraire d’un jeu qu’elles ne comprennent pas. Nous reviendrons cependant sur les solu Pick & Go du Blog Nice rugby, il va de soi… mais nos compagnes impatientes nous enjoignent au suspensif débat… en appellent aux vapeurs… ont à nous entretenir d’un projet capiteux aux multiples reliefs. Les féminines lois, inscrites au marbre blanc d’Eros, imparables, nous imposent leur joug… nous nous y soumettons… ravi de nous complaire en ces rigoureuses figures, sans crainte aucune d’y perdre un libre arbitre que la souplesse affectionne et somme toute fortifie. La loi c'est la liberté des maîtres et des civilisés, les modifier en permanence est signe d'emballement sinon d'inconstance. Appliquons celles qu'on possède on verra pour la suite. A suivre sous peu. *Vilipendre : néologisme du Pilier, qui signifie bien, haut et court, ce qu'il veut condamner. © Le Pilier

29 mai 2008

TOULON DANS L'TOP


De nombreuses zattaques sont venues perturbater notre ensommeil de roi. Notre solu spéciale pick & go, s’est vue rétivement acceptée par certains, contestée par d’autres, louationnée par quelques rares avisés... si bien que notre pépère onirique et tant habituel ronron, entouragé par nos deux généreuses, a quelque peu souffert du contredit… si si !!! aussi loin que sommes consternés... nous imposant cogite... tant et si bien qu'il fallût à nos dévouées, attentives et conscientes du dégât, aller copines chercher pour approfondir et prolonger Morphée. Après moult entrejambes, califourchettes, causettes à rebours, dressoir du meilleur jus, applicage de la novatrice et formule nôtre, pick & go-la-solu, votre Pilier, enfin dépossédé de sa colère, plongea sans palmes dans un océan cotonneux, au parfum d’abyssales voluptés…
Re d’attaque aux matines, poursuivons notre quête des gazons, en changeant un temps de partenaire.

Toulon donc au Top… félicitations en premier lieu au singulier Boudjellal et son franc-parler... pari réussi !
Une autre paire de manche de jouer chez les plus grands. Qu’importe, toujours bon une équipe venue de la côte Varoise… car faut pas compter sur les Niçoises, trop au levant et baladeuses des promenades anglophiles, bronzeuses lascives comme des vacances perpétuelles, pour venir en découdre dans un championnat musclé.
Bienvenue donc à la rade, en ces pâtis 14.
© Le Pilier

27 mai 2008

PICK & GO : LA SOLU DU PILIER


Épisode 4
Elles nous tuent, nous puisent, nous enivrent, nous dominent… nous aiment sans doute… un peu trop peut-être... Même pour un Pilier de cet acabit, deux gisquettes en la couche ça impose sa présence, son attention… ses figures, son tempérament, sa fantaisie, son engagement durable. Icy, Grenelle n’est pas mot, il faut tenir promesses. La demande est pressante, l’amour a toujours soif... Mais sommes de ces modules altruistes qui n’attendent en retour du service accompli qu’une simple affection, soulignée généreuse d’un ravitaillement roboratif nécessaire pour retourner au front… Une omelette aux pommes de terres grillées, du jambon de pays, deux tartines maison de pain frais croustillant, confiture du terroir, croissants au beurre de Normandie, jus d'orange, un zest de liqueur poussant un café noir dans un gosier sensible. Et c’est ainsi, repu de calories, que nous commençons une journée pluvieuse comme on aime, fraîche de ces promesses que notre travail affectionne.

Avons donc savouré cette finale de Cup, comme le disions lors des précédents épisodes, a contrario semble-t-il d’une engeance bougonne, pleureuse Niçoise, frêle, sans idée, toujours à râler contre des plus forts... qui s’est plainte du peu d’élégance des Munstérois, s’appliquant à pilonner sans création de jeu. En faux nous inscrivons et bousculons ces fatalistes. Munster a donné une copie parfaite, eu égard à la gestion du match, leur qualité première, la valeur de l’adversaire, la tempétuosité d’un certain joueur Toulousain, capable à lui tout seul de renverser le cours du jeu… (cf. épisode 3). S’ils conservent le cuir c’est qu’ils ont les moyens… stratégiquement c’est parfait. Alors comment contrer ces successions de Pick & Go, sources du mécontentement de certains ? En lâchant du lest pardi !!! Mais il faut être synchro, souple, audacieux…

Ces figures commençaient dans le camp même du Munster… après deux ou trois moments, il fallait se retirer ensemble pour leur filer du champ… les laisser courir pour dessouder le groupe, leur empêcher ce raz-du-pack et tenter par des cartons 45° de déstabiliser le porteur pour lui subtiliser le cuir… par exemple. Paradoxal non, de laisser du champ, voire reculer quand la crainte est présente ? Pourtant, bien menée, coordonnée, c’était une manière de modifier la donne. Le porteur de la balle en courant se découvre, pas de raz-du-pack comme on l’a vu… ce qui est quasiment impossible à empêcher car il conserve son cuir, trop bas pour être retourné par l'adversaire.

D’une certaine manière c’est sensiblement la même façon de procéder quand se forme une cocotte. La règle dit bien que s’il n’y a pas opposition, les joueurs adverses peuvent venir plaquer le porteur du ballon sur le côté, et partant arrêter sur le champ la progression, en économisant des forces. Cette figure est très peu appliquée, bien hélas. L’avons vue une ou deux fois, c’était remarquable d’efficacité, et le pack dominant s’est fait subtiliser le cuir. Car le talonneur bien derrière, plaqué, a dû lâcher la balle, ses avants devant lui ont mis du temps à se retourner, un des flankers adverse a saisi le ballon pour relancer l’attaque de ses propres 22.
Pourquoi dans ces cas-là, le rugby ne devrait se contraindre qu’au contact ? Pourquoi s’imposer une résistance quand le recul peut décontenancer l’adversaire. Façon arts martiaux du levant. On laisse venir, pour détourner la force de l’autre et annuler sa fougue… déstabiliser son organisation quand il s’attend au contact et ne reçoit pas d’opposition… un rien de temps vous saisissez… mais suffisamment pour le perturber. Quand l'adversaire en impose par une organisation par trop contraignante, on doit bordéliser, sortir des schèmes communs, perturber l'attendu !!!

Certes il faut du sang froid, de la maîtrise, de l’organisation, ne pas avoir peur de laisser du champ libre pour que l’adversaire se découvre et ne reste plus insaisissable au raz de son pack… difficile en effet, mais c’est une manière très efficace dans certains moments choisis, de scinder cette cohésion adverse, comme c’eut pu être le cas durant ces longues minutes de la seconde période qui figèrent les Toulousains dans l’espace imposé par le Munster. Avons vu la chose en acte, ça fonctionne du tonnerre de Vulcain car c’est inattendu. Si on vous impose une figure trop difficile à contrer, contre-figurez… refusez-la… ventre mou un rien d’espace… puis percutez ferme… qui à prendre une pénalité si vous êtes encore dans le camp adverse…
Voilà pour la p'tite solu qui bien que modeste n'en est pas moins géniale. Copyright le Pilier... même si tout le monde peut en profiter.

O’Connell et ses camarades ont joué parfaitement le coup, cette manière aurait été judicieuse pour les surprendre. Leur laisser du champ, qu’ils se découvrent. Faut certes du culot, mais gageons que des figures de ce type seront appliquées dans le futur pour une réelle évolution. Ne sommes pas pour toucher en permanence aux règles. Il suffit. L’intérêt c’est de bien la connaître pour s’en servir. Les Français ont toujours du mal avec les règles et se plaignent d'injustice quand ils sont impuissants... belle mentalité !

Munster en sus d’un Pack plus frais, à l’instar d’un O’Connell magistral, malgrè leur moins de cuir en première période, avaient des attaques plus lancées, plus vives, plus toniques… mais il est vrai qu’ils ont un véritable ouverture… même s’il n’a pas été exceptionnel. Du reste, venus peu de fois en première période chez les Toulousain, ils ont marqué un essai.
Nous y reviendrons.
A suivre.
© Le Pilier

26 mai 2008

LES FROMAGES DE PELOUS

Épisode 3
Un des grands moments du Match… Pelous en position de trois quart, donne un coup de saton réussi par-dessus la défense adverse… touche dans les 22. Tout le monde se poile dans la brasserie et applaudit la figure… vraiment fun... même si certains jugent que le cuir pouvait être joué… en effet... la surprise n'est pas moins à son comble, l’ambiance joyeuse…
Merci Fabien… en grande forme visiblement… un peu canaille des agacins qui lui vaut un p’tit jaune en seconde période. Mais bien sévère la sanction, faut le dire… Car quoi, un petit coup de pinceau collégien dans l’entrée des artistes de l’astiqueur adverse, c’était pas bien, certes, mais ça valait pas le piquet. Le pack de huit ainsi réduit à sept, on s’attendait au reculoir… pourtant le désespoir changea de camp... le combat changea de lames.
Débarrassé du vieux grognard, l’audace primant la prudence et l’abattement, alors que nous prônions une temporisation pour faire souffler la troupe, le magnifique Heymans, totalement impromptu, intempestif, joue rapidement la touche, s’élance tout feu, course de folie, crochets, coup de pompe à suivre, Jauzion est là, pied, Donguy aplatit dans l’en but, essai inattendu. Bravo les gars, merci Heymans c’était tout simplement génial ! Quel joueur !!! y’en a qu’un de cet acabit... pour sûr nous plaît… du tonnerre de Vulcain… culotté, sans complexe, frappadingue et futé du cortex… remet son équipe sur les rails… Elissalde transforme, 13-13… Le Pilier jubilait de pouvoir se tromper… (cf notre exclamation en début de match dans l’épisode 1).
Retour de Pelous, position de hors jeu, pénalité. 16-13 score final. 475 sélections en EDF, Pelous ne connaît toujours pas les règles et coûte 9 points de pénalité à son équipe, ainsi qu’une bonne dose de fatigue en supplément, quand le pack se retrouve à sept. Sympa pour les copains…Ont quand même de quoi lui tirer la trombine pour le coup. D’autant qu’ils n’ont pas démérité, face à cette équipe du Munster à qui certains reprochent le bétonnage du jeu. Encore cette béotienne engeance qui n’y pane rien. Ils gagnent voilà tout, et ce match nous a plu.
Dans le prochain épisode nous en donnerons les raisons majeures et dévoilerons comment contrer ces successions de pick & go… sans changer les règles. Une fantaisie du Pilier qui n’a pas son pareil en ovalie. Merci qui ? A suivre… © Le Pilier

25 mai 2008

ELISSALDE PAS TOP


Épisode 2
De retour de nos digestions lentes... sieste profonde… incandescente… tribadisme mesuré… culbute en terre Morphée… sursaut votif... sainte trinité… compositions savantes... plein d’éveil... Poursuivons donc notre analyse…
Comme nous le répétons en nos colonnes, Toulouse ne possède pas de vrai meneur de jeu en place d’ouverture… souffre incontestablement de ce manque. Michalak enfin aux antipodes... Elissalde prend sa place… c’est une manie. Quasi 8 ans que ça dure... Pourquoi un club si prestigieux ne s’est-il pas offert les services d’un ouverture digne de sa valeur dont personne ne semble parfaitement connaître la véritable fonction. Elissalde est un 9… sa course est celle d’un demi de mêlée… de travers, comme peuvent le comprendre les connaisseurs… item pour la transmission du cuir… sa passe n’est pas vive dans la course… son pied somme toute habile, n’est pas assez puissant… ne sait pas toujours gérer le jeu au regard par exemple de cette fin de match où son pack courageux fait un gros boulot de récupération… le cuir lui est transmis... il ne trouve rien de mieux que de se débarrasser de la balle au pied alors qu’ils sont menés au score… stupide !!!! Rien à ajouter.
Il n’insuffle rien à ce poste, ralentit même les attaques lancées vitement par la passe obusienne d’un Kelleher très en vue… Sa course n’est pas droite, comme disions, pas assez solide pour prendre un trou, aller au contact… trop light pour ce poste… si bien qu’en fin de compte hors deux ou trois fois nous pouvions aisément prévoir l’issue, face à cette défense du Munster pressante, opportuniste, très bien organisée, soutenue par des avants toniques : blocage en fin de ligne… des avants parfois à la traîne pour la récup… en sus un manque certain de Fritz pour insuffler du vite.
Certes après l’échec de la première pénalité manquée, son drop bienvenu rétablissait la confiance. Mais tout le monde ne s’appelle pas Hernandez ni Wilkinson pour se genre de répétition réussie. Il tentative à nouveau, loupe, se gâte le pied... et la confiance.

Nous poursuivrons cette promenade critique et reviendrons, il va de soi, sur les bons moments du jeu Toulousain, comme sur ceux du Munster, qui sut gérer le match de façon magistrale.
A suivre donc… sous peu.
© Le Pilier

TOULOUSE PLIÉ


Épisode 1
Il n’y aura donc qu’un seul Pilier pour honorer ces gazons printaniers…
Toulouse plié n’a pas tenu la distance. Quand Elissalde a voulu taper la première pénalité, le Pilier s’est écrié, ils ont perdu !!! La pénalité était à dix mètres… l’arbitre l’avance aux cinq de l’en but, après semble-t-il une parole désobligeante d’un Munstérois… Les Toulousains au lieu de continuer sur l’élan pour tenter d’asseoir leur domination en marquant un essai préfèrent une nouvelle fois, comme trop souvent, reculer pour se contenter de trois petits points… pas de bol… raté. Faute stratégique !!! On ne recule jamais dans ces conditions là !!! Aveu d’impuissance ? Manque de tête ? D'audace ?
D'autant qu'ils dominaient ces 25 premières minutes, enfin plus justement dirions qu’ils étaient bien implantés chez l’adversaire… sans pour autant créer de véritable danger… il est vrai. Mais fallait pilonner ferme pour engranger des points car le dernier quart d’heure du match s’annonçait difficile. Nous sentions que cette débauche d’énergie allait se payer comptant. Moins frais que leurs adversaires, c’était visible, pour les raisons que tout le monde connaît… Aussi quand on veut dominer dès l’entame, avec autant de fougue, on ne pense pas un seul instant pénalités malingres, mais essais percutants, sacrebleu !!! Pour prendre bonne avance et finir le match sur la défensive. Première faute stratégique donc. Mauvaise gestion eu égard à la physique des joueurs…
Ainsi de notre analyse dès les premières minutes de jeu…
Le suite tout à l’heure… nos deux marquises en effet nous enjoignent de vitaminer nos râbles. Un canard à l’orange trône sur une table bien fournie titillant nos sensibles papilles... comme nos mousmés prévenantes embrasent notre appétit.
A tout à l'heure... après la sieste.
© Le Pilier