23 novembre 2011

ON RACONTE...

... Que le Pilier s’est planté sur l’essai de Poitrenaud contre Gloucester... yavait d’l’épaule adverse pour « valider » sa prise de cuir parait-il... donc pas d’en-avant. On raconte ça... de même que personne ne veut entraîner cette équipe de roses Bifs pour les années à venir... Nick Mallett s’y refuse, Henry n’est pas intéressé, Woodward ne veut surtout pas s’y recoller... Laporte est déjà à Toulon... Lièvremont veut écrire ses mémoires et réfléchit beaucoup... arf !!! Après la démission bienvenue de Jonhson, on ne se bouscule pas au portillon côté Couine's coach... faut dire qu’il y a du taf sur le green... les Bifs sont vraiment moches... la preuve on les gagne en CDM... et... comme aveu de poussivitée, on en fait tout un pudding !!! Ach !  
On raconte que le Pilier se délasse loin des chicores du coin sous un appentis de Louisiane... peu curieux de ce qui se passe en Europâtis... qu'il se désintéresse de l'arrivée de La Gisquette, Bru Nette, PSA Peugeot à la tête éventuelle de nos troupes comme d'une bicyclette de Tour de France...    
On raconte qu'une composante fondamentale de la relativité risque de prendre un sacré coup dans le buffet...  
On raconte que la description du comportement parfois turbide de la sémillante matière et de la lumière dans tous leurs détails, en particulier dans tout ce qui se passe à l'échelle atomique, ne peut s'effectuer à l’œil totalement nu... qu'elle nécessite des Ray Ban à montures quantiques, indispensables pour mater l'ultra minus en multi D et en tirer des conclusions émoustillantes... que de toute manière l'entendement ne puise pas ses lois dans la nature mais les lui prescrit... On raconte que Julie veut vivre sa vie... que peu nous chaut la pantoufle et le verre de Bojo, pourvu qu'il y ait de l'ivresse au Dunlopillo... On raconte qu'une belle motte de Normandie c'est tout aussi fondant qu'une madeleine à Passy... qu'une vis sans écrou c'est tout aussi perturbant qu'un triste gruyère sans trou... Bref, on raconte  tellement de choses qu'on finirait par dire n'importe quoi. Ouah !
© Le Pilier