27 avril 2011

SCHENGEN : LA FERMETURE

“I am very grateful to the New Zealand Rugby Union, the Blues and Auckland Rugby and their respective management teams for all the work they have done with me and for the unconditional support they have shown me and I’m delighted to be staying in New Zealand.”

“Loyalty is something I believe in… and I have always hoped I could repay the support I have been given, by showing my continued loyalty to New Zealand,” he added.

Singulières paroles sorties de la bouche du génial et féal hooker Mealamu. Malgré de nombreuses et vénales sollicitations, le super All Black décide de ne pas se gâter les cuissots sur les terrains mineurs Européens quand de l’après CDM sonnera la retraite internationale. Fidèle le gazier à sa patrie, son master rugby, à sa NZRU... son coin pâtis plus que le grisbi. Une attitude à souligner, même s’il n’est pas le seul. Souvenez vous Mc Caw qui malgré des ponts d’or préféra fouler sa luzerne et s’enivrer les naseaux de l’air roboratif de son île pacifique, celle des grands guerriers que le ductile cumulo surligne comme un toit protecteur, empyrée sans doute des Dieux du master XV. Quand on possède de telles divinités dans l’azur infini, on ne vient pas vendre son âme au pays des trompettes de la randonnée spéculative... des posters d’aoulpés... des parfums publicités... on préserve son geste, on fortifie son râble en croquant des gigots nourris à l'herbette bio... on jubile du Haka, poumon sacré de l’emblématique nation des suprêmes bastons. Oups !
Bref, un exemple ces All Blacks... du reste notre présidence serait bien avisée de revisiter la convention de Schengen en effet, de fermer la porte aux étrangers des pâtis... arf... comme l’avons souventefois exprimé en ce lieu, afin que le rugby conserve sa pure identité en affirmant le style de chaque contrée. Formons nos jeunes, n’attisons plus les convoitises des étrangers avec notre artiche, et bâtissons un vrai style capable de rivaliser un jour avec l’hémisud. On leur doit bien ça !
© Le Pilier