07 décembre 2010

SYSTÉMIQUE DU PÂTIS

C’est parti ma Julie... ça cause Pilier, ça veut copiner, ça nous sollicite pour refiler du sus analytique... arf... donner du cours magistral en chaire d’amphi sorbonnard... ça s’épate à la lecture de nos bafouilles anciennes... ça découvre un nouveau monde... pardon un pâtis... ça veut palabrer avec nous... ça s’éveille un brin... ça écrivaille un peu partout que c’est le système qui coince, mais ça ne connaît pas les solus. Hé hé... les fameuses solus. Pilules qui changent tout, vous feraient passer de plume à plomb... ou l’inverse... oups... en une seule déglutition. Mais les gaziers, mettre à plat ce n’est pas assurer le relief... encore faut-il savoir par où commencer.
Primo piger ce qu’est un système... délimiter le champ actantiel... doser, borner... et ça c’est pas gagné. Celui qui sait délimiter saura limiter... arf arf... limiter c’est orienter... orienter c’est déjà organiser un nouvel ordonnancement... partant, attendu, d’évidence un changement. Et puis quand ya d’l’entropie ya aussi d’la gabegie... arf arf... pour un bon long temps... et s’il y a irréversibilités des phénomènes physiques, ya toujours possibilité de détournement, de recadrage à des fins bien plus favorables. Pour éradiquer ces schèmes interactionnels générateurs, reproducteurs de problèmes, faut du zest, de la touche, s’en tenir plus au fait observé, objectivé, qu’à sa cause. Houlala... sortir du schéma século-andoxal des linéarités causales n’est pas donné au commun ça... rendre élastique la posture monadique... ça demande de la grÔsseu maturité ça... de l’assomption, du responsable état... imparable vertu qui favorise la condition même de possibilité méta. Et là, n’y sommes vraiment impossiblement positivement pas. Ouah !
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