02 novembre 2010

BIFLAND CAN BEAT THE BLACKS

Woodward confiant
Trêve de dunlopillo, lard en boutache, entretien du persil... voluptueuses gravitations aux monticules élémentaires... aux joutes libertines mesurer nos fournées... hé hé... reposer le goupillon pour conserver son jus... ses vitamines bien trempées, car le mois qui s’annonce nous impose travailleuse posture, pour l’abdo, le cuissot... dégraissage de la carcasse de la tête aux bateaux. Si le coup de rein cadencé n’a rien perdu de sa densité, le poumon en revanche a besoin de s’oxygéner. Dès le week-end prochain en effet on retrouve les grandes luzernes avec le lancement attendu de la tournée d’automne, la venue des gros gaziers de sud hémisphère, qui affronteront la planète Europe avec grand désir de la ratatiner. Samedi 15 h 30 sur bibici, les Bifs encaisseront du Black supérieur dans les flancs...inférieurs... ach... sans Wilkinson en sus, blessé, apparemment avec Charlie Hodgson à l’ouverture. Là, on se marre. Bravo Johnson... ont l’air aussi avisé que nos cocos du staff ces Bifs. Car enfin, ont laissé partir Cipriani en Australie, un gonze somme toute plein de qualités, pour nous rebalancer du Charlie de plomb, l’ouverture emblématique de la pire période du quinze de la couine entraînée par l’improbable Robinson. Pour ceux qui se souviennent... une vraie catastrophe cette équipe d’après CDM 2003.
Frappadingue cet entraîneur Anglais Johnson, qui parait-il n’aime pas Cipriani... vont se le manger si Charlie est titulaire, en face de Carter en sus... bref.

Côté Blacks, Cory Jane l’ailier est au repos pour léger bobo... qu’importe quand on sait le cheptel de bestioles qui pousse derrière... pas de quoi s’inquiéter.

Une brève amusante, Sir Clive Woodward, l'entraîneur de la CDM 2003, annonce la couleur en prétendant que la "la Bifland can beat the Blacks".
Pourquoi pas ! On peut toujours rêver sur le papier... une autre histoire quand même sur le pâtis !!! Il sait des choses qu'on ignore sans doute.

Sinon à la même heure du même jour, les Aussies rencontreront les Gallois. Faudra faire un choix. A 18h30 les Boks joueront les Irlandais.Pas le genre de contrée que les Boks affectionnent... n'aiment pas ce climat turbulent, comme en causions ici. Habana symbolise la frilosité, au sens propre du terme, des Sudafs, plus enclins au sun Africain qu'aux embruns océaniques tourmentés. 

Bon on va astiquer nos pompes à clous, croquer d’la tartine surdosée de substances roboratives, activer nos biceps, se préparer psychologiquement au retour des bastons. Le Pilier international fera jeux égal avec les gros... sommes responsable nous, pas question de se laisser distancer par les mastards du grand sud. Ach !
© Le Pilier