27 juin 2010

LA GRANDE FESSÉE

Un puma dans le poulailler
Ben les gaziers on pouvait pas mieux consacrer la dernière bafouille du super Pilier, celle d'hier, que par cette somp-tueuse débâcle de nos cocottes face à des Argentins bien décidés à clore une série d’échecs... 41-13 ma sœur Thérèse. Une ratatinade de premier plan. Une franche giflée ! Certes la fessée est un art... savoureuse il parait...  pour qui la reçoit... mais à trop répéter la figure, gaffe à vos croupions les gaziers, pourriez y prendre goût !

Pour dire uniment la chose n’avons pas maté la rencontre... savions déjà tout... pardi on arrête pas de vous balancer des vérités, cette clausule de carnavalesque tournée manège était inscrite dans nos tablettes... et si faire le Cassandre a son coût ne sommes pas d’attaque à en supporter tous les désagréments. Jamais. Refusons fermement d’acquitter toute la rançon du savoir. Faire du monde une copie fidèle nous plait pour autant qu'elle insuffle fermeté dans l'agir... et bidonne les cortex de quelques saveurs... peut-être... sans doute... mais pas question de s'épuiser à convaincre.
Vaincre nous va ! Prosélytisme des clous !!! Pas gourou pour un kopeck... pas donc quêteur de zéros comme notre compagnon d’enthousiasme, Nietzsche, l’exprimait jadis.Trop systémicien pour ronger son seul nonos à s’en faire péter les mandibules sans jamais atteindre la moelle, à boucher ses tuyaux avec de vieux procédés moutoniers, cent fois délavés, qui vous font apparaître dans la communauté des mutiples corniauds comme un des leurs pour vous sentir moins seul en agitant vos fanions !
Non le Pilier c’est l’ultra modernité, le souffle O² vaporisé avec mesure, doigté, simple... aéro, hydro, logodynamique... pas perso, pas coco... altruiste dans la donne... ferme au ruck... limpide comme un cuir en impesanteur !!! 
Dire ce qui est pour ne pas taire le reste ! Hips ! On ne fait jamais d’azes des coursiers d’hippodromes. Chacun trottine donc à sa guise, exprimons juste ce qui est là... moins fatiguant que faire pieds de mains en bavassant sa misère, espérer ne pas être vu dans son réel état, entretenant sa baveuse en bois d’ébène pour finir en bellepou !!! Savoir est duratif...et ce qui est nous « va »... car ce qui est là... c'est qui doit être... puisque c’est là... Ach ! Aussi le comment nous commande plus que le rabattu pourquoi ci ? Pourquoi ça ? Très facile le pourquoi, avec ce parfum d'innocence béate qui transpire la débâcle... ne pas y aller trop vite si voulez... un pourquoi c'est toujours bien commode... ça peut discutailler des années sur des pourquoi... ya même des divans pour ça... c'est plus confortable vu le temps qu'on y passe. Hé hé... mais ça ne résout rien jamais rien, passque ça ne considère JAMAIS la réelle intentionnalité... comme les vraies incapacités... (Ps: pour les grands séminaires du Pilier, adressez un mail à notre agent )
Sommes gouverné par le comment nous... s’y prendre, changer la donne... quels effets peuvent modifier leurs propres causes... et si l’inévitable pourquoi s’impose... répondre dans quel but ???? !!! Hé hé !!Plus responsable ça, plus vrai, moins bambin...
Mais gagner ce temps, trouver la bonne parade, s'orienter vers du mieux faut commencer toujours par la vérité nue... crue pour les plus Tao ! Oh oh ! Rien de plus beau que la vérité pour pouvoir tout poser.

Tel que te montres, tu es ! Pour ceux qui savent lire s'entend, ya tout là !...pu qu’à mater pour comprendre, assumer ce qu’on voit, donné, livré, proposé, tartiné, reluisant d’ultra répétition qui nous fait bien dire sans jamais nous planter : "si tu n’y panes rien c’est que tu n’en es pas..."et basta !
Arrêtons de causer de match piège, d'arbitrage douteux, de froid ci, de fatigue là... de, faut mater la vidéo... faut rebondir... faut avoir faim... faut construire... faut changer de lacets... faut surtout bannir le cirage ouais !!!...
Fi donc des incessants baratins, mauvaises raisons font que du foin !
© Le Pilier