20 février 2010

TWITT A TOUTE HEURE

Reviens, va-t'en !
C’est l’hivernal frimas. Plus de pâtis où livrer sa baston, de quoi poser l’abat, refaire son jus, nutritif, pensif, pause holly. Yep !!! Julie, de retour professionnel d’une longue virée, s’enquit d’apposer ses intimités at home, because yavait lurette qu’elle n’avait pas tâté du zénithal dialecte, re côtoyé enfin ce qu’il y a de plus matou, de plus pur, supra tout... le concubineur magistral, l’aussi dur attentif dans tous les moments doux que la lune au lupanar est un soleil sans flou... arg... qui cause, impose, écoute, s’enquiert, conserve du sang froid même quand l’Hosanna du sanctus sous rebonds vibraphoniques ébranle jusqu'à la sacristie. Yep !!!
Envoyé... c'est l'extase ! Allez Lou... ya de quoi !!!
La bestiole ondulante, thèseuse es pâtis, d’assise patentée, d’épatante amplitude et de souffle tranquille, au rein solide à supporter ce Blog, en prit l’attentive mesure et reçut comme doit la féminine bouille en manque de relief. Fatiguée disait cette dernière des poussives analyses, des petits bras chétifs, des minus, des plats, démagogols, finasseries oiseuses, fiottes, petits gonzeurs, les ceuss qui font du lard avec des riens de Blous, qu’ont peu dans le matos, ces Mickeys sans logos qu’ont que l’oreille dressée, tous ces pompeurs d'idées qui viennent jusqu'ici faire leur petit marché !!!! Bref de beaucoup épuisée, elle exprima d’un coup :  
« C’est plus sympa chez toi 
que chez partout... 
T’es majeur, 
t’es même quasi tabou 
tant t’es tout !!!! »
Un sic de chez dixit que ne contredirons pas, même si n’avons pas saisi totalement la teneur parfaite de la saturation ! Quelle vie la Julie a-t-elle mené sans nous ? D’où vient ce raz fondamental somme toute inévitable quand le regard est critique, la raison éclairée comme ça transpire chez cette merveille d’atouts ?
Bref, pas du genre patho-modeste à copiner avec les somaties néphrétiques du baladin Brassens s’excusant quasi d’être ce qu’il est, laissant l’entourage niais abuser de sa bonté, écoutant les sornettes, ultra gêné le bonhomme du cirage excentrique répandu en son autour... savons mettre la distance nous, faisons la part des choses, acceptons ce qui est. Sommes zapparu sur la bloue rondeur pour respirer fermement notre quota ! Assumons donc ces vérités émises par ycelles honorées, car c’est nier un sujet que de n'point considérer la joie de ce qu’il entrevoit !
Pour dire quoi au final ? Pas plus qu’un twitter instant de vie, quand la luzerne embaume de retrouver son huis, qu’on laisse tomber le cuir, balance ce qui débarque en opinant du chef sur la valeur du lieu, de la toile qui dévoile l’indéniable et vibrant territoire... hors le temps... de ces reviens, va-t'en, qu'on déguste en soufflant... allez allez, éteins une à une les lumières... tatoue-moi dessus... la peinture au couteau c'est beau... quand la lame est nue*. Hue !
* Boris Bergman
© Le Pilier