29 février 2008

SUS AU TRUQUEUR


Dans un certain ordre tout semble rentré
pour Rugby Hémisphère Sud, sinon que le gazier de l’Est n’a pas voulu lui restituer son original .com, son herbette patiemment entretenue... Lisez son papier... c'est le lien Ad Hoc.
Après on dira qu’il faut être cool… que la baston c’est pas bien !!!
Mais quand le cortex n’est pas éduqué, les connexions en désordre, que le savoir vivre est exsangue… qu’on en est encore au Moyen âge…faut parler Moyen âge…le langage des gestes quoi !!!
Comme la chanson du même nom !!!
Voler le travail d’autrui !!!
Quel crime abominable !!!!

Rien que la grÔsseu châtaigne n’est capable d’expier son forfait : on lui fera bien voir !!!
Quand ya pas d’éthique, une seule réplique !!! Une tendre salve de knout sur le cassis… fléau tournoyant en gravure sur la face, pour maquillage au sirop naturel... caresses de masse à manche de fer lourdement appuyées... pilori ou gibet c’est selon… puis oubliettes au pain sec... l'éternité !!!
En sus le corniaud ne parle même pas le Français… stupide donc… va rien faire avec…juste récup avec les pubs de quelques Drams fétides... n’y pane pouic au rugby… les doigts luisants de grasse rapine… incapable d’attraper un cuir… un gus d’Erevan ou Ereyan c'est selon… en Arménie… Ville donc à boycotter définitivement.
Là, pas de cadeau !!! On les laisse peinards dans leurs gourbis… On reconnaît leur douloureuse history… Et les voilà qui ratissent notre rugby ?????
La diplomatie c'est pour les civilisés, pas les enflés !!!
© Le Pilier

28 février 2008

SHALK AU PIQUET


Bis répétitronche pour le vilain Shalk Burger, tailleur de croupières, comme disions là.
Non content de s’ébattre aux limites du respectable, le revoilou s’en prenant à l’arbitre… Procès… sans appel, deux semaines de suspension. Un fétu à côté des 13 semaines qu'encaisse Bergamasco qui a semble-t-il balancé trop d’ail dans l’osso bucco…

Ah le fougueux Shalk, des Stormers… un vrai requin gnac gnac… en sus de ciseler l’abattis comme un trancheur de têtes des Grèves 89, chicane l’autorité, la sibilante engeance qui l’avait gratifié d’un petit jaune pour vilénies on the green… la farouche bestiole n’a visiblement pas apprécié la mise au banc, comptoir des ennuis, et fait entendre son atrabilaire grelot au juge de touche… avant excuses officielles.

Ci-joint les explications du coupable… son amende… somme toute honorable !
“On 25 February 2008 I was found guilty of unsportsmanlike behaviour by a SANZAR Judicial Committee as a result of an incident which occurred during the match between the Stormers and the Sharks on Saturday 23 February 2008,” read the statement.

“My action on the field was as a result of my anger and frustration about the decisions of the touch judge and referee which I regarded and experienced at the time as incorrect and unfair. Accordingly I responded to the yellow card which was awarded to me in a manner that was unsportsmanlike and unprofessional and which led to the finding that I made myself guilty of unsportsmanlike behaviour.”

“During my hearing I made it clear to the Judicial Committee that I acted in an unsportsmanlike manner which could not be justified even in the light of what I regarded at the time as the extreme poor quality of the decisions of the concerned match officials. I accept that it is not open to me or any other player to criticize a match official for any decision or to act in any unsportsmanlike manner as a result thereof.”


“I apologise to these match officials and the public for my conduct.”


Si pas zélés en Anglais, mais désireux de savourer pleinement la langue d'Hamlet aux petits lardons... tapez "Google outils linguistiques" et la cyber magie opère... avec quelques pataquès, mais l'essentiel y est.

On l’aime bien le terrible flanker… mais faut être plus gentil avec l’autorité l’ami, dire merci, siouplait… pardon… scusez le coup de boule… croyais bien faire… Et quand on est viré… de bonne grâce partir au piquet.
© Le Pilier

27 février 2008

RUGBY HEMISPHERE SUD : LA RAPINE

Un pilleur de Blog
Comme l'indiquions dans l'article d'hier, la connexion Rugby Hémisphère Sud fonctionne, mais son rédacteur en chef Nico n'a plus accès à son propre site... peut pas écrire d'autres articles... ni quoi ni caisse (de dollars)... rendre compte du climat Australien... de la migration des kangourous... du Super 14 … de tout ce qu'on aime lire chez lui... enfin quoi, viré de sa propriété privée.
Un comble !!!!
Un piqueur Arménien lui a subtilisé son Blog... le truqueur a posé ses pubs et attend que tombe l’artiche… on croit rêver !!!
Allons-nous laisser l’Arménie piller notre patrimoine ?
Kidnapper nos Blogs rugby ? Piétiner nos zovales pâtis… nos terres d’affronts directs ?
Le saboteur, le fourbe… pas même capable d’aligner une équipe de rugby en face à face… Poisseur de réseau va !!! Pusillanime… viens dans le scrum si t’en as… mange rata… barbotteur… rat d’hôtel... syncope... truffe en boîte... loffe... bavure de nave... soquette !!!
Que fait Sarko ?
Que fait l'Otan ?
Nous vous tiendrons au courant si le voleur ne rentre pas dans l'ordre des choses et ne restitue pas le Blog à son propriétaire... auquel cas prendrons mesures définitives.
A suivre pardi !!!
© Le Pilier

PAS TOUCHE A LIEVREMONT


Episode 2 : Fol Anglois
le Sunday Times assaisonne Lièvremont
« Son approche était une insulte aux traditions du rugby, une insulte à la compétition et une insulte à l'Angleterre, écrit Stephen Jones regrettant « des jeunes ridiculement mal armés pour un rugby de ce niveau et l'ânerie fantaisiste qui consiste à parler pour construire l'avenir. »
Comme nous vous le proposions dans l’article précédent… cet extrait percutant du Sunday Times rédigé probable dans les vapeurs alcoolisées du fog Londonien. Le Pilier mesuré, rétif à toute forme de sotte analyse, tout débordement mystificateur, se doit par la présente de s’inscrire en faux devant telles sornettes… de pourfendre l’hérétique Tommie quand de sa caboche les connexions achoppent, que sa frappadingue conscience agite plus que de raison son fiévreux bocal, que son outrecuidance vient effleurer l’échine de la triplette à nous, que la démesure malmène nos pâtis… qu’en somme nos terres sont menacées par ses débordements.

Quand le Pilier assaisonne, il ajuste ses coups… quand sa tendre dialectique s’enflamme, c’est toujours pour la bonne cause… Certes apprécions l’ironie, l’astiquage d’avant match, pendant, d'après, cynisme ou carabistouilles… mais quand l’ennemi touche à nos troupes se parant d’injustice pâteuse et de mépris ravageur, affublant ou quasi, notre Lièvremont de l’asinien trophée, la coupe débordante nous impose un HOLÀ trompettique et sonore à canon Bertha !!! Sans doute le Sieur Jones, pour cause d’avinasse, de ouiski frelaté, de cortex-se-la-pète, a du mal à digérer ces overdoses de haricots blancs sauce tomate à l’œuf, de bouillante eau à l’herbette bovine, de pudding mayo jus chaussette Worcestershire, et raconte n’importe quoi pour amuser ses petits copains d’ivresse… Un tel régime en effet, pourrait dans une plaidoirie aboutir à non-lieu, mais ne serons jamais d’humeur à laisser trottiner l’injustice patente, surtout quand elle émane d’un philistin ballot de la perfide Albion, et qu’elle touche nos troupes. P’têt aussi que le gus azimuté n’y pane nib au rugby, qu’il fait habituellement les chroniques nécros, et que pour cause de blessure de l’attitré s’est retrouvé propulsé en première ligne.
Qu’importe…
La triplette est à nous !
Propriété privée... défense d'y toucher !!!
Seul le Pilier légitime, impartial, respectueux, consciencieux, peut se permettre des figures frappantes mais toujours justifiées, non déplacées, précises, véraces à l’égard de notre rugby national…
Mais de l’injustice ? ça JAMAIS !
En sus si venant d'Outre-Manche... par le fait d'un incontrolâble fils de Queen, alors là,
SUS A L'OUTRAGEUR !!!
WAR IS DECLARED !!!


Réflexion donc saturée de billevesées que ce folliculaire sorti de l’index grassouillet du Jones… Car quoi !!! Les jeunes se sont bien tenus, hors le manque de buteur, que dire de cette nouvelle équipe sinon qu’elle est moins embastillée par des figures imposées, plus oseuse, impavide et vaillante…
On ne change pas de forme en si peu de temps.
Laporte a fait du dégât… on sait ça… avons perdu le sens de l’attaque… on ne sait plus vraiment faire des passes obusiennes en avant des joueurs lancés plein champ… A ce propos, conseillons au staff de mater le match Irlande-Ecosse, comme le disions, une copie qui dans ce domaine rendra compte lisiblement de nos manquements. Ok ne pas mettre de vrai buteur c’était limite… sans doute voulaient-ils essayer cette charnière toute neuve qui pour le coup n’a pas démérité. Sont jeunes les gus, c’est bien de les plonger dans le bain international, on voit immédiatement s’ils ont du ressort, de la trempe… fabriquer un autre rugby prendra du temps… normal… qu’importe la défaite de Samedi… l’art est long disait l’Hippocrate…
Le bon grain germe sous le pâtis de France à l’instar d’un Picamoles à qui, si sérieux, prédisons un bel avenir. Beau joueur le gonze, pour sûr est du grand niveau… nous a plu… fermement… Parra s’est bien tenu aussi… étonnant… petit module mais costaud… avec des mouvements de corps, feintes de passes d’antan… de la vista… pas tiédeux… tête liseuse du jeu… mais doit impérativement travailler sa passe et fissa… mater Du Preez le Bock, sinon Reddan pour le week-end dernier...
Trinh-Duc doit bosser la tatane... mater Carter... Larkham... les maîtres.
Fini la mollasse jetée… Yachvilli est trop vieux pour avoir pigé le truc… Skrela fait un en avant qui engendre ce que l’on sait en fin de match face à nos poteaux… affirmons qu’il n’a pas de bol… la passe est nulle… trop basse… nullissime… faut considérer ça… Elissalde idem… trop mou le cuir… Alors ????? On va s’y coller ventrebleu ????? ya qu’à regarder en Hémisud bougre de nom d’un clebs !!! serez convaincus du fait… faut faire gicler le cuir sacrebleu… énergique… masse et vitesse… a quoi ça sert sinon que le père Einstein y se décarcasse ?????
Et puis vite vite du Fritz… ya un gros manque de centres… Bonne retape le Fritz… prends du temps… t’es imparable chez les Bleus… le must sans possible détrôneur… on attend !!!!

OK le placage de Noon sur Heymans est impec... mais fallait pas lui faire la passe... c'était lisible.
Il est bien lancé... n'y est pour rien Cédric.

Même si ne sommes pas total accord avec le staff, comme savons l’exprimer, ici ou là, pour l’heure respectons ce temps nécessaire pour fabriquer une grande armée… La triplette commence et tentative en sélectionnant de nombreuses figures… c’est un premier pas… sommes ok… certains disent chamboulent tout… nous disons, veulent p'têt voir le cheptel… pas besoin de toujours attendre les tournées d’été… si c'est ça pourquoi pas !!! en rien Lièvremont ne mérite les invectives délirantes du trépané Jones… et puis vu la prestation des Bifs contre les Gallois en début de tournoi on pourrait croire qu’il s’est trompé de match… c’était pour certaines phases anglaises une « insulte à la compète » s’il veut… et encore ne le dirions pas en ces termes… vont pas nous faire la leçon non plus ces Bifs… un grain dans leurs rouages… on connaît la dérive… alors pas d’abus les Queen !!!!

Concernant le Daily Télégraphe « mais son trio d'arrière tant vanté n'est jamais entré dans le match » pas faux mais là les Bifs ont assuré le phagocytage… les centres Bleus et l'ouverture n’ont vraiment pas aidé à les sortir du piège… y’avait de la pompe par-dessus à placer… les faire oublier un temps… pas systématiser les figures… lire leur défense et jouer en conséquence… fallait des têtes… mais ya pas Fritz… alors !

Enfin pour l’Observer « Tout en fioriture, mais sans substance… » pas ok aussi loin que sommes concernés… de substance il y en a… même si faudra bosser dur pour la perpétuer dans une maîtrise parfaite et durative… ça on connaît pas. Il est temps… nous en laissons à la triplette malgré nos humeurs icy rappelées.

Du mieux en somme chez nos troupes, même si nous nous marrions en douce de certains articles d’avant-match qui prônaient de l’attaque avant toute chose…
No scrum, no run !!! dixit le divin Pilier
Nous reviendrons sur notre pack de huit dans le prochain article… comme sur d’autres figures.
© Le Pilier

26 février 2008

TOMMIES & STRATÉGIES


France-Angleterre : épisode un
Well well ! Une fois de plus notre triplette d’entraîneurs n’a daigné suivre nos judicieux conseils roboratifs… on connaît... altruistement livrés dans notre article "OUI A LA DOPE".
Le Perpetual-Motion-Food censé vigorer les cuisseaux du XV de France, leur assurant un maintien en mêlée durant les 8O minutes, fut dédaigné par le staff. Le résultat, sur tant de têtes est tombé… comme une « Louison », « guillotine Louis XVI », « Prix Goncourt des assassins », selon Céline, si préférez : 13-24 pour les Bifs gavés de bouillante eau et d’ironie savante.
En effet, une phrase de Wilkinson donne le ton « Les Français doivent continuer à jouer de cette manière, car leur nouveau jeu est fantastique !!! » (sic authentic) Franc du col ? On peut douter…

Ah les fourbes !!! Ont de l’humour quand même ces Bifs, pas pour nous déplaire en fait... Plaisanterie bord de lips, sourire matois à l’instar du talon carabistouilleur Mark Regan, qui se plaît parait-il à surchauffer les théières, coutume oblige, n’hésitant pas à balancer l’insulte ciblée à l’adversaire en ébullition.
Dans un pub blindé de supporters divers, où nous regardions le match, sur Bibici comme il se doit, des Tommies tonnelés rubiconds, saturés de jaunâtre houblon, chantaient tue-tête:
« Allez les bleus !!! Allez les bleus !!! »
Sommes pourtant avertis depuis qu’on les pratique… rien n’y fait !!! Tombons dans le panneau comme ânes trottins, et gérons le match sans mettre à distance ces bagatelles qui devraient plus nous amuser que nous pousser couvercle du carafon malmené.

Qu’importe au final. Avec lucidité les Fish & chips ont su mener le combat à la mesure de leurs adversaires. On s’explique.
Avons entendu de ci par là, commentaires divers critiquant leur jeu peu engageant, pâlot comme Queen en bonnet de nuit platonique, systématique et sans relief. N’acquiesçons en rien à ces humeurs. Quand les Bifs jouent les Froggies, ils sont stratégiques et savent mener le bal. Mais ne nous y trompons pas. Sont très prudents face à nos possibles coups d’éclats, nos imprévisibles et tempétueuses attaques, si bien qu’avons noté une certaine inquiétude en défense quand nous relancions le jeu… malgré de judicieuses focalisations sur Clerc, Heymans, voire Rougerie (dont on peut tout à fait se passer en EDF). Ils s’inquiétaient d’autant que lors des deux premiers matchs du tournoi, leurs propres attaques furent contrées par les Gallois à plusieurs reprises, entraînant leur défaite… idem contre les Italiens qui plantèrent un essai dans les mêmes conditions, les collant au score en fin de match… qu’en sus, les Bleus retrouvent depuis peu un rugby d’ouverture, aux relances audacieuses et gagnantes et qu’il ne s’agissait en rien de faire du zèle.
Au regard donc attentif de nos premières prestations, il leur était indispensable de ne pas trop se dévoiler, et de miser sur le nécessaire. Un pack solide… une défense attentive sur les plus frondeurs des Bleus… un botteur métronomique, hors pair, qui assure les points quand sommes à la faute poussés… en garder sous la pédale pour les dernières minutes. Ce qu’ils firent.

Souventefois ont réussi ce même coup, comme Samedi. En ce sens il n’y a rien à dire. L’art de la guerre c’est aussi de bastonner en fonction de l’adversaire, surtout quand on connaît bien ses propres limites... tout en misant sur ses points forts... et les Bifs ne voulaient surtout pas reproduire les fautes commises en début de tournoi. Donc chapeau melon pour ça et congratulations sincères. Ne sont pas au top et le savent, aussi leur légendaire et séculaire réalisme l’emporte, comme souvent dans l’histoire.
A méditer.

La suite de France-Angleterre au prochain épisode, avec lorgnette sur nos jeunes Bleus, somme toute en progrès.

Dans l’attente nous vous laissons apprécier la sévérité du Sunday Times et autres gazettes chronicroqueuses, pillé on ne sait zoù. En causerons céans, au prochain article… sous peu.

Le Sunday Times assaisonne Marc Lièvremont. « Son approche était une insulte aux traditions du rugby, une insulte à la compétition et une insulte à l'Angleterre, écrit Stephen Jones regrettant « des jeunes ridiculement mal armés pour un rugby de ce niveau et l'ânerie fantaisiste qui consiste à parler pour construire l'avenir. » Le Sunday Telegraph plus cool, en Une « Encore ! ». « La France ne s'est pas effondrée. Elle a rendu la tâche difficile à l'Angleterre, mais son trio d'arrière tant vanté n'est jamais entré dans le match et elle a manqué d'un buteur fiable. » Pour l'Observer, « les Français veulent courir, mais ils sont devenus un peu gallois. Les Gallois de la Coupe du monde. Tout en fioriture, mais sans substance. Marc Lièvremont a une belle vision de ce qu'il veut. Mais vous ne pouvez pas courir sans une mêlée. »
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DERNIÈRE MINUTE:
Blog Rugby Hémisphère Sud
la connexion fonctionne...
Mais LA GUERRE n'est pas ÉVITÉE
ni LE BOYCOTT OUBLIÉ
!!
à suivre
© Le Pilier

RUGBY HEMISPHERE SUD : LA GUERRE



Boycottons le papier d'Arménie !!!

A tous ceux qui s’inquiètent de l’impossible connexion au super Blog, Rugby Hémisphère Sud, une info toute fraîche, directement puisée à la source Brisbane, vient de tomber sur notre téléscripteur cyber modulant à fiabilité canonique et gros bouton.
Un problème d’outrageante rapine, semble-t-il occasionnée par un branquignole d’Erevan, ville d’Arménie où le papier s’enflamme comme un pétard Pékinois… Un zig peu vergogneux en somme, aurait pillé le nom du site prisé, interceptant le conduit diffuseur alimentant le flux. Conséquence funeste pour tous les fans du Blog sus abattu, couic pour l’info Super 14 !!!
Son rédacteur en chef fait de son mieux pour se reconnecter, nous rassure-t-il dans son courriel. Soutien sans faille du Pilier, au franc-tireur qui solo fait face à l'adversité retorse.
Patience et ultimatum à l’Arménie, avant l’envoi de nos packs de huit pour leur chicorer la trombine et martelage immodéré de leurs abattis. Nous vous tiendrons au courant… avant déclaration de guerre à ces canailles qui se permettent de désherber nos ovalistes pâtis, jaloux de l’hégémonie Sud Hémisphérique… Une troisième guerre mondiale semble sourdre des tuyaux transmetteurs.
On peut s’attendre au pire
!!!
Pour l’heure Boycottons le papier d’Arménie !!!
Revenons à la bougie !!!
Préparons nos troupes de choc, tamponnons ferme, tricotons les côtes, assaisonnons, préparons les canons !!!!
Le Pilier
galonné, en tenue de combat et première ligne se tiendra, sous la mitraille, pour écraser la rébellion barbotteuse, si nécessaire !!!
A suivre donc.
PS: Nous savons très bien où se fabrique le papier d'Arménie... mais tant pis !
© Le Pilier

25 février 2008

CROQUETTES DE SCOTS AU CROKE


Le Match du week-end
l’Irlande de maîtresse main désépine un chardon faible en trois quart, courageux devant… entreprenant, en somme plus ardent… 34-13. Le must du week-end au regard d’attaques bien menées, lancées navettes, passes au cordeau, anticipatrices de la part d’Irlandais très à l’aise sur leur pâtis du Croke. Un match pour les écoles de rugby. Une belle copie.
Dès l’entame le Scot impose un enthousiasme volontaire… Les sentiments grossiers de la menue gente regardeuse d’écran, par petit bout de lorgnette embrumée, croient les Verts hyper bouffés… Que nenni. Avec application ils encaissent sans panique aucune cette fougue des avants Ecossais pourtant bien décidés à labourer le trèfle. Patent était ce fait : à aucun moment n’avons senti les Scots capables de planter un essai malgré cette hyper occupation du terrain… leur jeu trop lisible derrière, la transmission lentigrade… les Verts n’ont qu’à attendre, défendre quasi pépères, envoyer de très bons coups de tatanes au-delà des cinquante mètres quand ils récupèrent le cuir pour se dégager... Ce qu’ils font de manière lisible et bien réglée.
C’était parfait. La chardonique engeance écume et son oeil étincelle, rugit, s’arc-boute, pousse, se déchire, rien n’y fait.
Première incursion des verts chez les Ecossais : un essai.
Tout est dit ! La suite à la mesure de ce moment rendra compte de la maîtrise parfaite du jeu par des Irlandais lucides, vifs et bons lecteurs. Tout uniment c’était beau. Les Scots ont balancé beaucoup d’énergie cette première demi-heure, monopolisant outrageusement le cuir, mais ne créant pas de véritable danger. Impuissance donc et premier point.
Le second, de superbes attaques impulsées bien souvent par le déchaîné Murphy, élu pour l’occase gonze du match, récupérateur audacieux des zup & unders… Au final ? Cinq essais sans bavure ni vidéo requise…sinon une à peine, pour l'arbitre souffler.

Premier essai : un must de leurre. 22ème minute… quasi première incursion des verts, en Scot 22… 5 mètres de l’en but… Le troisième ligne Heaslip prend le cuir, 9 Reddan se décale comme pour une attaque côté droit, O’Gara derrière lui se lance toute vitesse dans la même direction… la défense Ecossais se déporte… Heaslip repique gauche… un trou… passe à Wallace… essai entre les poteaux… Du sur mesure. Magnifique. Reddan et O’Gara ont joué le coup parfaitement. Le rugby c’est ça… du leurre, de l’hypnose, du je-fais-croire-ci-et-je-fais-ça… Superbement bien fait. Un cas d’école.
4 minutes later, re-attaque des verts dans les 22 Scots… Reddan envoie master rapido le cuir à O’Gara qui rentre sa course occasionnant blocage et ralentissement de deux défenseurs, transmet à O’Driscoll trés en cannes qui accélère, trois gus au derche, passe sautée magnifique à l’aile Kearny… essai… parfait… frisson du Pilier. Le Croke Park jubile.
Les quasi tous essais furent minutés aussi clairvoyants… un must.
En sus les passes de Reddan (bien meilleur que Stringer)… d’enfer… obusiennes, précises, manumétrées… bonne distance, en avant d’O’Gara lancé… Idem pour tous les attaquants… du pile poil mesuré… réception du cuir pleine vitesse… wonderful… les plus belles attaques du tournoi… jubilatoire… jamais ça chez nous… ce point de vue définitivement apodictique*, nous engage, nous impose comme le seul Blog qui voit tout et ne s’adresse qu’aux saveurs*. Fi de ceux qui n’entravent rien au rugby et se contentent d’attaques où le cuir se colle au joueur, ralentissant sa course… du reste pas vraiment lancée tout berzingue. Nous y reviendrons dans le prochain article rendant compte de notre défaite.
En somme enthousiaste une belle copie des Irlandais… remarquable gestion du match, réaliste, dynamique, cannes tout feux, ailiers tout flamme, pétulants… véloces, lestes… le match le mieux géré de l’année… un plaisir savouré.
Mais qu'ont-ils fait ces derniers mois, si sont capables de ça ?

N’oublions pas l’essai des Scots trouvant la faille après grande débauche d’énergie. Volontaires devant mais rien derrière à l’image de Lamont, le frère du bon, qui ne pane rien quand son coéquipier sur l’aile l’engage à changer de trajectoire, lui signifie la chose par un mouvement de cuir pour ne pas fermer l’attaque, espérant la croisée du gus. Lamont le colle au croupion… vont en touche… grosse louche… rien dans le cortex… désespérant.
*Apodictique: chez Kant et le Pilier, proposition impossible à contredire
*Saveurs: ceux qui savent

© Le Pilier

24 février 2008

PIZZAÏOLOS, OLIVE ET NOYAUX...


Pays de Galles invaincus
Coutume ne sera… Une tof des Romulus marquant un essai contre des Gallois entreprenants et dominateurs… d’après le score sans appel 47-8. N’avons pas vu le match… comme dab… sinon les essais sur Bibici. On s’attendait à telle giflée… Les Pizzaïolos c’est plus le Quattrocento… pour l'heure avalent les noyaux... S’ils possèdent le plus beau pays planétaire, sans possible doute, architecture sans pareille où la plus modeste bâtisse Sicilienne semble palais de roi, où la nature ondulante de Toscane est d'une perfection architectonique, jusqu'à la pointe des ifs, peintres et sculpteurs les plus prestigieux, Panthéon Romain pour divinités, Capitole Michelangelo des grâces... question rugby c’est l’ennui. Le Pilier en reste au tournoi des cinq nations, même s’il reconnaît la nécessité d’intégrer Rome à notre EOE, Européen-Ovale-Empire pour les mettre à niveau… C’est bon pour eux, moins pour nous. Se confronter chaque année à des petites zéquipes ça n’impose pas dépassement, voire ramollit nos mâles mollets qui se rassurent toujours trop quand on les gagne. La première fonction du Romain ? Qu’on se croit beau quand on les tond !!! Rigoletto, du roi bouffon, en verdit d’aise… Brouter l’herbette est certes un plaisir… pas l'opérette.
Tout cas, plus fils de Pompée que rejetons de César… leurs légions traversent malgré tout le Rubicon liquide avec enthousiasme, mais dans l’indiscipline systématique, antinomique avec le XV imposant rigueur… Pas un match Italien sans un carton jaune romain… Sont solides et courageux, mais derrière pas de jeu… Aussi nuls que Scots avaricieux.
Attendre leur première victoire à chaque saison n’excite en rien notre occiput… Si l’on s’ampute ? C’est de l’ennui… ainsi ne gâchons pas notre temps aux gammes mineures… même Bellini c’est du mini… Le grand Opéra c’est du Teuton… le grand ovale c’est du Briton… aussi loin que sommes concernés… dans l’Europe contrée.
© Le Pilier

23 février 2008

OUI A LA DOPE


Une énergie vitale
Ain de pallier cette différence kilogrammique, bitwine les Rosbifs surgavés de Pudding-National-Brut et nos crêtes cocottes, dandys-blancs-duvets, tricolorées jus-sang-neuf, moins fortes de rein, plus mouvantes peut-être ? … 42 kg séparent en effet les deux packs de huit… le Pilier soucieux d’un rééquilibrage des forces, propose céans à notre octobobine d’avants, comme aux plus coureurs des arrières gardes, un breuvage incontournable, pour dynamiser l’abattis national au signifiant sonore comme une couronne de Queen tombant sur un parquet de zinc, la bouche en cul de poule: Le Perpetual-Motion-Food… élaboré avec zèle, ingéniosité dans les laboratoires du phénoménal et nonchalent Jarryste, Alfred, compagnon de votre dévoué narrateur, ayant lui-même, dit-on, participé à la suprême course des Dix Mille Milles, débordant largement avec sa quintuplette autopropulsée, les mécaniques les mieux huilées de cette futuriste époque… comme les espoirs les plus insensés qu’un homme des plus saints peut formuler quand sa femme le trompe avec un plus-dur-plus-longtemps...
Voici donc l’extase, le big, le roboratif exceptionnel pour nos volailles au petit grain, le breuvage secret des surmâlitudes, l’unique, le rare, tournigonflant les côtes, la cuisse, le croupion... ad hoc pour torses à poils... le fondamental et naturel Perpetual-Motion-Food, littéralement « nourriture du mouvement perpétuel ». Seule anicroche, faut pomper sans arrêt pour le produire... mais ça on connait. Sinon, tout indiqué pour dynamiser nos pattes gallinaces, nos dodelinants biceps, nos tendons hyper flux, nos calebassons débiteurs de baratins tous gabarits, qui prétendent vouloir attaquer de partout, même sans ballon (sic), et faire courir jusqu’aux rotules ces grÔsseux panses de Bifs, qui tiendront pas 80 minutes, passque bien trop pesants des ventricules… A voir.
En tout cas, avec le Perpetual-Motion-Food, fini la tremblote, le mâche pâtis, le raté, le lacet défait... Merci qui ? © Le Pilier

22 février 2008

SUPER 14 SANS PLOMB


Pour l'élitisme
Loin du championnat pépère d’icy, des passes maman, molles chaussettes pour transmissions imprécises… des secondes lignes pas toujours cavaleurs… le super 14 nous ravit par la vivacité de son rythme. Avons maté les Blues des Rokocoko, Woodcock et autres Mealamu connus… qui s’astiquaient les abattis contre les Chiefs de Muliaina, zélé Sivivatu… moustachu pour l’occase, Lauaki (la tof) et consorts… 32-14 au final pour les Blues… savez déjà ça si jetez un œil en ce lieu prisé, pour amateurs solides du meilleur rugby planétaire.

Du tonique, du vivace, du bel ovalisme... comme on aime. La super passe est au sud, y’a pas photo… des sorties de mêlée obusiennes, des secondes lignes qui se relèvent aussi vite que des flankers pour opposition pick and go, des combinaisons au quart de poil, comme celle qui envoya Rokocoko entre les poteaux, à vous dresser l’échine jubilatoire…
Nouvelles règles pour un rugby de mouvement permanent… A noter, un arbitrage exceptionnel, pas baveux, pas douteux, hyper précis, impartial, rigoureux, attentif comme on en voit peu en vieille Europe… Comme quoi la règle strictement appliquée en rien n’empêche le beau jeu sinon l'inspire.

Même s’il faut reconnaître de nombreuses imperfections de part et d’autre dues à la rapidité nécessaire des figures travaillées comme improvisées, au début de la compétition où des réglages sont à faire, ce rugby là a tout pour surdominer nos pâtis.
Des fautes de mains il y en eut, certes… mais quand la machine Blues s’est réglée en seconde mi-temps, ça balançait la vapeur pour des phases de jeu interminables sans rupture de tempo. C’était beau. Sont bien en avance sur nous, faut le dire tel, et ne pas se voiler la face.

Sommes du reste contre la venue de ces joueurs d’outre-hémisphère en nos terrains de jeu… hors l’artiche, ils ne gagneront rien à s’ébattre en nos pâtis. Sommes pour ce rugby d’élite. La fédération Néoz a tout à fait raison de ne pas faire jouer en son équipe nationale les joueurs qui s’expatrient. La vraie démocratie c’est aussi la fixation des limites comme la reconnaissance des élites… qu’on arrête de nous bassiner avec cette moulinette qui prétend que le mélange de tout et n’importe quoi, donne du goût au breuvage, relève le niveau, voulant subsumer tous les individus sous le même dénominateur, parfumé au vicié parfum du principe égalitaire.
Des clous ! Nous voulons notre aristocratie. La véritable égalité appartient à chacun d’entre nous. C’est la possibilité de se croire à la mesure des plus grands et de se donner les moyens d’y parvenir.
Le Super 14 est le meilleur championnat de la planète. Pour qu’il le demeure, Kiwis, Kangoos et autres Springboks doivent conserver leurs joueurs. Ce rugby est le modèle à imiter tirant le nôtre vers le haut. Quand Botha et Matfield viennent faire joujou à Toulon, ce n’est pas bon pour les Sudafs ni pour le grand rugby… et ça nous ennuie.
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21 février 2008

BLEUS SANS ARTILLEUR


Sans canon... moins de pions
Pas de botte digne de ce nom dans ce quinze Bleu… En face une savate Wilkinson aux petits arpions, retrouvée, qui passe tout. Essayer du tout neuf c’est bien…
Mais un manque de tatane comac ? Pas des plus judicieux... Traille c'est pas du top. A moins que le score n’importe pas… là, c’est osé !
Peut-on se passer d’un tirailleur dans nos troupes ? C’est ce qu’ont voulu croire certains généraux bien Français en 14… nos galonnés gonzes et grÔsseux carafes pensantes, ne croyaient pas à l’artillerie au début du massacre… préféraient l’infanterie… en face y’avait la grosse Bertha et ses rejetons… On connaît la suite. Sans les Bifs et les Ricains… tintin… plus d'Rhin !!!
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20 février 2008

ROSE FRAIS


Des Bifs, des Bleus... tout neufs
Tout uniment reconnaissons que le staff de l’équipe de France ne tient pas assez compte des conseils avisés du noble Pilier. Nul n’est prophète en son pays, on connaît la figure, même s’il est vrai qu’en rien ne prétendons au titre. Pas de suiveurs au croupion ne voulons... pas de moutons.
Cela nous prouve, s’il était nécessaire, notre incontestable suprématie, dont les analyses ne sont accessibles qu’aux seuls initiés... saveurs* émérites, gente à l’entendement ferme et consistant, indépendante, formant cette communauté virtuelle que l’on se plait à croire amicale et supérieure. Des autres… n’en avons cure. Jamais le grand aigle n’a perdu autant de temps qu’avec le choucas… aussi continuons notre respirance plein poumons dans l’air prisé des cimes.

A contrario, nos Bifs et frères de bastons, jettent souventefois un œil en notre lieu, considérant sans doute notre sagacité sémillante comme une rareté au pays du fromage. « Pas une seule erreur n’a été commise en ce lieu… » Nous rapportait un membre du staff Anglais et pas des moindres. Nous savons ! Aussi, sans en tirer gloire mais sans modestie aucune, vertu des tièdes s’il en est, constatons que nos conseils de virer presto Gomarsall du groupe de la Queen, comme icy, a été suivi d’effet, puisque ce dernier ne fait plus parti de la team. Prétextant méforme du balourd, Ashton le diplomate l’a remplacé par Richard Wigglesworth (la tof), dont la jeunesse n’a d’égale que la complexe prononciation de son nom. 24 ans le gus, 9 de Sale, aura le loisir d’en découdre avec un petit bleu de 5 ans son cadet, le jeune Berjallien Morgan Parra, que nous connaisons peu mais à qui nous souhaitons succès.

Du sang jeune et frais donc, dans ces deux équipes qui vont s’avoiner ce week-end au Stade de France, pour une revanche dit-on de la CDM… humiliante pour les Bleus. Devons-nous nous enthousiasmer de la mise au ban possible du gros morphème qui alourdit nos prestations coupe mondiales, cette emblématique figure de plomb, usurpatrice, qui imposa des croûlants atones, pour un rugby sans panache : l’expérience ??? L’expérience, dont on nous a bassiné les esgourdes pour nous plomber les paupières d’ennui, nous imposant ronron et désintérêt avec des joueurs très anciens qui n’avaient pas leur place dans le groupe, trottinaient menus, bien là, à brouter le pâtis et ralentir la fougue des plus jeunes !!!
Des vieux, l’expérience, certes... quand ils ont du ressort… quand la figure n’est pas imposée par une présence absente, comme elle le fut pour Pelous… quand elle correspond à du tangible, corporel intrépide, à l’instar d’un Williams, flanker du pays de Galles, meilleur peut-être du continent Européen. Vécu n'est pas toujours sagesse ni habileté... Si pas de jus, à la retraite, au rebut... Ce temps de l’expérience qui montre toujours ce qu’elle cache est-il révolu ?
En tout cas, ce week-end, elle n'est plus !

*Saveurs : ceux qui savent.
© Le Pilier

17 février 2008

POITRENAUD SE BRISE LES OS


Deux trois pattes
Ben voilà… Pendant que le Pilier à ses recherches se concentre le jour, fretin-fretaille en capiteuse atmosphère la nuit, féminins réconforts, Poitrenaud se brise les os… souffre le martyr… somme nocturne à l’hosto... solo. Fracture de la diaphyse tibiale, à trois centimètres au-dessus de la malléole, à la 22ème minute de jeu contre Perpignan… flux lacrymal en cascade de croco, tant la douleur imposait sa traîtresse et parasite présence… dégustation à vous faire supplier maman, bien comprendre que le rugby c’est pas du gâteau quand ça achoppe.
Après Fritz, Poitrenaud chausse donc à son tour les béquilles, pour ballades dualistes, balancement à trois pattes papy, sur l’herbette de la Prairie des Filtres*, bord de Canal de Brienne, jardin du grand rond… sous le sun Toulousain et ses rayons fortifiants. Une solidarité qu’on eût préféré au sein de l’équipe de France, face aux Bifs de Dimanche…
La douleur des uns, impose compassion des autres… comme déception. Souhaitons bonne retape aux deux trois quarts, que l’ingrate destiné dans sa diminutive générosité, transforme en demis. Clopin et Clopan n’ont plus qu’à prendre mal en patience, avec lecture de Nietzsche conseillée, pour ces aurores qui n’ont pas encore luit, porteuses d’espoir comme volonté de puissance régénératrice.
* Prairie des Filtres où selon la légende le rugby pénétra dans la ville rose.
© Le Pilier

15 février 2008

LE REPOS DU GUERRIER


Récup et bagatelles…
Un week-end pantoufle s’annonce. Gigot, Faugères du Languedoc carafé, grammaire philosophique de maître Ludwig, étude sur la relativité des catégories, flûte Mozart pour habillage des tentures sonores, Giovanni, messes de Bach, traversins de maîtresses choisies, embriconnage à rebonds, plumes d’oies veloutées, envol, sommeils touffus, nymphes à perpétuer... fantaisies à quatre mains, que la rigueur hivernale nous inspire. Pas les gros affronts qu’on affectionne sur les pâtis du XV, mais de la délicate attention pour le corps, l’esprit, électives affinités callipyges… sans qui le Dionysiaque et l’Apollinien ne seraient pas vertus. Une fin de semaine somme toute ordinaire pour le Pilier, qui se plait à considérer cette entracte comme un bienfait avant la reprise musclée des hostilités.

Retour au petit championnat donc, pour les guerriers du tournoi… entretien des abattis… dégourdis d’arpions avant le choc de la semaine prochaine contre les Bifs gavés d’Earl Grey bergamote… à la bouillante eau… plate. Faudra se remuer le croupion devant, car les Bifs ont du ressort, grosse cuisse… tandis que les bleus ont faiblesse notoire montré lors du dernier échange avec les Irlandais… Moins forts de rein, pas suffisament soudés compact… manque du Marconnet… mais la décision est sage de ne pas l’engager trop tôt. Question trois quarts, notre triplette d’entraîneurs serait avisée de balancer Poitrenaud au centre… l’avons vu à ce poste et sa prestation nous apparut encourageante… à la place de Marty par exemple… qui plombe cette ligne sans jamais attraper un poisson.
Pour l’heure, au travail bienfaiteur, vouons notre attention.
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13 février 2008

WARREN GATLAND VENTILE


"Gatland insists Wales are as good as All Blacks…" titrait un magazine d’Outre-Manche… La phrase complète la voici… de l'entaîneur causant de son équipe de Galles… Traduction easy, même pour un Quichotte… un Sancho Panza qui n’a jamais quitté ses moulins:
” In terms of skill these 28 guys are as good as anything I have seen. They are better than the Ireland players I dealt with, better than the English players and as good as New Zealand players.”
Ben voyons !!!! Finalement il n’y a pas que chez nous que le calebasson expire un surplus délirrationnel, que les moulins à brasser de la cafetière ventilent les connexions synapsiques, foutant la gabegie au sein du cortex… Galtland est pas mal dans son genre…
Des Poireaux aussi élégants que des Fougères ? Et Mickey qui a un air de Marlon Brando tant qu’on y est !!!
L’Humour du gus entraîneur ne s’arrête pas aux frontières du surréalisme. Il vire pour le prochain match contre les Irlandais la charnière Phillips-Hook… les remplace par Peel-Jones le Stephen… Judicieuse cette fantaisie ? Pas sûr du tout… A moins que ce ne soit pour exciter Hook qui malgré sa grande classe peut faire des choix pas toujours judicieux… pas faux. Mais enfin !!! 22 ans… pièce maîtresse du match gagnant contre les Bifs… plante un superbe essai contre l’Ecosse… du crochet… de la vista… faisant bonne paire avec Phillips… mais viré, ne l’oublions pas, en fin de match contre l’Ecosse. Hook n’a pas eu l’air d’apprécier ça du tout.
Bon ce Gatland a son curriculum vitae pour lui, son "chemin de vie" en latin courant… connaît son job parait-il... a du vécu dit-on... la baveuse ferme... vient du pays au long nuage blanc... beau bled.
Le Pilier reste pesamment dubitatif… et l’avenir nous dévoilant toujours sa vérité, à suivre donc Irlande vs Galles avec attention.

PS de dernière minute:
Erreur monumentale du Pilier, la selection Galloise jouera sont prochain match contre les Italiens... tout s'explique donc. Contre les Romulus on fait jouer plus minus !!!
Pour préserver les gus ?
© Le Pilier

12 février 2008

GALLES 30 - TATANE SCOT 15


Deux Williams à l’honneur
La matière d’un principe pratique est l’objet de la volonté... Mais volonté, si l’on doit y croire, n’est pas cœur... Du palpitant en ont ces Gallois, aussi rougement irrigué que la couleur du maillot… mais cela ne saurait suffire. Sa première fonction étant d’alimenter la tête… et là, le bonnet blesse… comme trop souvent. Même s’il est vrai que les Scots se sont mieux tenus devant… il n’y avait rien derrière, et sans la vivacité matoise de Shane Williams... à cause de trop nombreuses fautes commises et de la régularité imparable de la savate Paterson, il a fallu du temps aux poireaux pour prendre le large.
Score 30-15. Trois essais Gallois… pas un seul des pingres kilts. Ces derniers sont tellement nuls derrière, qu’aucune action ne saurait évoquer la simple même idée d’une possibilité probablement éventuelle d’un aplat dans l’en-but… Ils peuvent jouer, défendre, courir, marcher, se curer le blair, marquer au pied, mais ne pas planter un seul essai du tournoi… comme en CDM. L’arpion Paterson assure les points. Un Scot ça compte de trois en trois… pénalité ou drop… jamais au-delà…des Harpagon sans cassette.
Cela nous rappelle cette glorieuse période Galloise où sévissait le botteur Neil Jenkins, toujours recordman de la savate… encore devant Wilkinson. Les rouges enquillaient défaite sur défaite, misaient sur ce non joueur, ne fabriquaient aucun jeu. Aucune passe avisée, nul en défense, jamais créateur de jeu, jamais organisateur, Jenkins ne visait que le piédestal de sable sur lequel reposait son ballon. C’est vrai, il passait tout, et pour tout passer… faut être transparent… il l’était… Les Gallois se ramassaient, sans même réfléchir un instant à ce mal, qui croyaient-ils faisait du bien, quand le ballon tournoyait entre les poteaux. Des années à se remettre d’une telle stratégie… La pire époque de l’histoire du rugby Gallois. Les temps ont changé pour eux, mais pour les Scots même scénario, sinon que Paterson est un joueur de bonne tenue voire le meilleur de lignes arrières au chardon mou.
Pour en revenir au match, notons la performance du demi de mêlée Phillips… comme le disions, en évoquant ses passes canons en sortie de mêlée… icy... comme on aime… pas du dessus de tronche comme envoie Elissalde… non non… estomac-poitrine, précises… de quoi mettre un ouverture en confiance... lui assurer la tatane. Solide gaillard, un des plus grands demi de mêlée de l’histoire ovale, sinon le plus… 1,91 m pour 103 kg de vivacité… à noter. Rapide malgré sa taille, solide au choc... sur un superbe mouvement sert Shane Williams qui crochète sec, imparable, s’ouvrant l’en but convoité. Belle action… Assurément meilleur que Peels ce Phillips… Se bonifie depuis qu’il débute les matchs… n’étant souvent que le remplaçant de l’autre pour le dernier quart d’heure de jeux.
Hook bien sûr, plante son essai… à la manière d’un centre… embarque son vis-à-vis sur une feinte de passe… prend le trou… se glisse… 5 pions qu’il transforme en 7.
La tof, c’est l’essai limite de Shane Williams, pour clore une domination patente, mais fortement ralentie par de nombreuses fautes… manquent de têtes ces diables rouges, confondent trop souvent accélération, enthousiasme, générosité et cafouillage… à l’image de Shanklin qui alterne le bon et le pire…
Sinon bien sûr l’élu homme du match… l’autre Williams et flanker génial. Voulait se retirer pour une retraite pantoufleuse… convaincu, pour le meilleur, de vider son jus sur le green… et donner saveur au poireau.
© Le Pilier

11 février 2008

IRLANDE PLUS TONIQUE : ENFIN !


Encore loupé
Du mieux chez les verts… ont sacrément bousculé nos avants… pour un final tendu. De bon augure pour la suite ? On verra… trop tôt pour le dire… mais trop tard le réveil... du temps pour se remuer, même si plus ardents dès l’entame… mettant la pression dans les 22 Français… après une passe saboteuse d’Elissalde, le plus lent 9 du tournoi.
Ce dernier devrait regarder le match Galles vs Ecosse… à la 41ème minute 26 secondes… une passe canon du demi de mêlée Phillipps…la plus rapide du Week-end… et prendre exemple… Elissalde à côté c’est du jeté mollasson… pastèque… lentifugeuse… poussette et sac de plomb… Ses longues passes sont ovalement molles de trajectoire… jamais parallèles au sol… repérables… et comme d’habitude, personne ne semble le remarquer… on connaît !!!
Sinon quoi ? Rougerie fait une belle percée en début de match, mais foire la suite… rugby d’amateur. On aime les joueurs qui lèvent la tête et concluent royaux… On dirait qu’il ne sait plus quoi faire quand il s’échappe… un défaut récurrent chez lui.
Dusautoir nous plait, un solide gaillard… défenseur attentif… en mouvement.
Cette équipe de France sans les Toulousains ne serait pas ce qu’elle est. La ville rose possède un réservoir de joueurs tout à fait remarquable… comme l’exprimions dans le précédent article…
Le Capitole peut s’enorgueillir d’une telle hégémonie… la cathédrale St Sernin, joyau de l’art Roman, peut faire sonner ses cloches pour rendre hommage à ces coursiers Heymans-Clerc… des bijoux ces deux gus… nous ravissent.
Ouedraogo ? Un peu light pour l’international.
Marty nous fatigue… trop de fautes… pas d’idée… coûte trois points à cinq minutes de la fin ne libérant pas son ballon… pas de grands centres en EDF… sans Fritz pas de génie.
On a du mal quand même avec ce « coaching » comme ils disent, prédéterminé, qui a déstructuré une équipe de France qui tenait son rang, malgré quelques défaillances en mêlée… On parle de remettre Marconnet… c’est trop tôt même s’il est en effet indispensable, il n’a pas fait de match entier depuis un an… laissons lui le temps… à trop précipiter les choses on n’obtient rien de bon… et puis ce n’est pas l’avenir.
La triplette d’entraîneurs sort Skrela… on ne comprend pas pourquoi ? Ce dernier fait un bon match en défense… on connaît son talent dans ce domaine… il tient du pater c’est un fait… surtout perce et sert magistralement Clerc pour un imparable essai… Mais il sort !!!! Encore une fantaisie des trois têtes en réseau… restons dubitatifs sur leurs options de jeu.
La mêlée s’est déstructurée après les changements, la dernière demi heure a failli être fatale. L’essai de pénalité était tout à fait justifié… très en souffrance, sur le reculoir, le pack faiblissait de façon surprenante… manque une seconde et première ligne dans cette équipe…
Le divin Pilier ne peut être partout !
© Le Pilier

09 février 2008

MERCI LAPORTE


Toulousains 26 Irlande 21
Une fois n’est pas coutume, remercions céans l’emblématique entraîneur de l’équipe de France qui nous fit patienter huit années durant, avant que les bleus ne retrouvent cette envie de jouer digne de nos espérances… Il trône maintenant dans le bureau poussiéreux d’un petit ministère, sous demi secrétaire de la machine à taper le jour, casinotier la nuit, pour le plus grand plaisir des amateurs de rugby.
En effet, n’avions pas vu un tel jeu depuis son arrivée aux commandes du XV de France… il y a huit ans. Mais le plaisir est un bienfait qu’il faut savoir entretenir, et foi de connaisseur, la frustration, à sa manière, joue son rôle majeur… était telle du reste, que ce petit mieux prend des allures de performance et réactive un espoir mis à mal par l’impéritie du sus évoqué…
Merci donc Laporte de nous avoir imposé patience… car telle est la vertu première de nos vies incertaines finalement… C'était très dur comme apprentissage, mais aujourd’hui on respire beaucoup mieux et commençons à savourer ce rien de zéph rafraîchissant, comme un Marin caressant les plaines du Minervois quand de Juillet la chaleur accable la frondaison du terroir…
Ne sautons pas au paf pour autant, les trois coquettes qui le remplacent ont bien failli passer à côté d’une seconde victoire. En effet, sans la blessure à la cuisse et le forfait de Malzieu, Vincent Clerc comme nous l’exprimions icy, rongeait son frein sur le banc des remplaçants… Ouf !!!
Fallait quand même être sacrément tordu, pour nous pondre une idée pareille… trois occiputs pour une telle option, présage d’un entendement pas des plus performants…
Mais soyons bon zig, et pardonnons cette délirante initiative… Car le Pilier rédempteur, dans sa grande mansuétude sait donner chance nouvelle aux maladroits, même si, conservera un œil attentif sur cette triplette récemment promue.
Une nouvelle fois les Toulousains ont fait le jeux…
Cette paire Heymans-Clerc est ce qu’il y a de plus beau dans notre rugby d’icy. Ellissalde, malgré des passes douteuses (nous y reviendrons later) a lui aussi, par un superbe coup de savate, contribué à cette euphorisante prestation.
Heymans tout feu, Clerc tout flamme nous ont titillé l’échine… quelle audace !!!… quelle vivacité !!! du culot… de la fougue… jus pas chaussette… incomplexés… ravageurs… si bien fait que le père Vincent Clerc nous plante trois essais, son compatriote un, comme on enfonce des pieds de tomates dans un sol humide…
Bravo les gars et merci.
Certes une équipe qui gagne, même à l’arrachée, c’est quinze gus qui se bastonnent… nous en convenons et rendrons compte du fait à la fin du week-end.
Pour l’heure des hip hip hip à ces Toulousains… et saluons Florian Fritz qui manque plus que jamais…en lui souhaitant bonne retape.
A suivre donc.
© Le Pilier

BRÊVE DE COMPTOIR


Ho Ho les oseurs !!! Y vont fort les gus… direct bien senti… Vrai de vérité véritable ? Apodictisme* ? Pas très sympa pour la poule...
A côté le Pilier c’est d'la démago… du simili… guimauve en tube ouais… dictame aux p'tits rognons… pasteur des égarés guidant les mérinos bourrineurs aux pâtis verdoyants… pas plus.
Ne savons pas quel est cet acrobate, mais çuila nous domine… salut l’artiste… pas baveuse en bois de chêne en tout cas… connaît son sujet... lui aussi… Allez les boeufs !!!
Le Pilier n’y est pour rien.
*Apodictique : chez Kant, proposition impossible à contredire. Chez nous idem !
© Le Pilier

06 février 2008

VINCENT CLERC : BANQUETTE


Bis répétitartes...
Ça recommence le n’importe quoi… Clerc remplaçant pour le match contre l’Irlande !!!!!… Bravo la triplette… d’autant qu’il ne s’agit pas de faire gambader un inconnu à sa place, un nouveau, un tout neuf... non non… mais de nous coller Rougerie… pour quelles raisons ?
Ont l’air futé ces entraîneurs… pas à dire… on s’en doutait… en sus se mettent à trois pour cogiter une telle merveille !!!!
Que peut-il se passer dans la tête du meilleur ailier Français du moment, quand on lui apprend que malgré sa superbe prestation, il sera remplaçant ? On est sûr de la réponse… morcif sur la patate... pas de quoi motiver en tout cas… faut sacrément cultiver la patience pour postuler dans cette ambiance d’impéritie copineuse…
Encore des tests psycho-illogiques ? Mais on a déjà donné !!!! Y’en a raz le croupion !!! C’est quoi cette triplette d’entraîneuses ? Vont pas s’y mettre ceux-là non plus… c’est pas croyable cette France de la redites jusqu’à plus soif… jusqu’à la lie, la fiente, le compost, le nazibus, ratatouille cervelée, jus nave !!!!!
Sans Heymans et Clerc y’avait rien d’explosif dans ce groupe contre les Scots… Ils sont à l’origine de quasi toutes les actions toniques et dangereuses… on ne vire jamais un membre d’une paire aussi remarquable… bondieuserie… pour mettre ce gus par trop connu en sus ???? Mistoufle !!! Mochardise !!! Palu !!!
Mais c’est la grasse bouffonnerie !!! Emmouscaillés seront jusqu'à la bavette... On n’en finira jamais !!! Ya pu d’espoir… que du cuit… Crise imparable !!!! Morflerie !!! Faut déménager… quitter l’icy… la branlitude… Ya pas de têtes en France… que gogols... que d’la pompe… à cirer.
© Le Pilier

05 février 2008

IRLANDE EN PEINE


Irlande vs Italie 16-11
Faut l’avouer, n’avons pas vu Irlande vs Italie… Mater les Romulus, c’est pas dans nos us… Aussi, une fois n’est pas coutume, rapportons céans, ouï-dire d’alentour… amitiés plus ou moins connaisseuses et diverses, étrangement unanimes dans la critique. C’était pas beau. Les Romains ont un meilleur pack semble-t-il, comme l’entraîneur… (c'est nous qui soulignons)
Bergamasco le flanker... en pleine forme... comme O'Driscoll plus en jambes...
Mais le trèfle est un peu mou… Dominé devant... Des occasions ratées chez les verts ont failli leur coûter le match… Des azuréens toujours indisciplinés… en attaque limités... pas le pied.
On Savait !
© Le Pilier

04 février 2008

A LA GORGE DES MINIS KILTS


Ecossé de pingres
Que dire de cette rencontre ?
Du mieux ? Oui da ! Plus de jus ? Ok pour ça ! De l’audace ? Pourquoi pas ! Un brin de chance ? Ok ! Clerc-Heymans tout feu ? La bonne paire ! Moins contrits ces Bleus ? Enfin oui ! Sans les vieux ? C’est plus frais ! Les nouveaux ?… attendons ! De l’envie ? Comme on dit ! So… happy ? mouimoui ! Bravo ? Bravo ! France gagne 27-6.
Mais des coups de pieds douteux… une première ligne en souffrance… des passes molles à la mêlée… affligeantes… centres pas gégés... un manque de Fritz... mais surtout l’Ecossais pingre, sans tête… Harpagon... comme le craignions… mauvais défenseur… sans attaques… petit joueur… la pire team du tournoi.
Certes ça gagne… peu d’entraînements ensemble, faut noter ça... plus enthousiastes qu’hier ces Bleus… Ok Ok ! Mais pas de véritable adversaire... Alors ?
Un rugby vieux monde, pépère tranquilou, confort divan, bobonne autorisée, à des lumières de celui d’Hémisphère sud…
Deux niçoises titraient récemment sur leur Blog de danseuses « le tournoi est magique »… de celles qui s’esbaudissent encore devant les grandes oreilles du lapin… et prennent la salade pour un plat de résistance...
C’est peut-être là au final que le bât blesse… gente contentée de si peu, n’encourage pas au mieux. C'est pathétique au final ces enthousiasmes béats... la vague même sur laquelle surfent depuis des siècles les nationales politiques... un petit hip hip hip et du hourra en voilà... Seule la gagne importe... aveugle... contente... le susucre... la galette... immédiate... tout confort... pas question de la moindre part des choses... faut sa joie... on s'enfle... flatte mazette... on s'y croit... société spectaculinaire... pour digestions ronfleuses... Ils plombent à la fin tous ces gras du bulbe... ces légions soporifiques... ces pique-du-nez dans leur pâté de têtes ravies... cornichonnes consciences... cervelles à l'os marinées jus de naves... synapsus ventilés... rataves !!! Pour eux le tambourin c'est du Mozart... pas moyen d'éléver le débat... pas d'espoir !!! Clos de cloches, heureux de leur petit rugby, on crie "énorme", quand c'est mini.
Tout dépend des catégories !!!! Ainsi la relativité… Cette vieille Europe pratique un rugby bien en retard sur celui des nations du Sud, c'est un fait.
On peut s’en contenter.
Pas nous !
© Le Pilier

03 février 2008

GOMARSALL L'ENCLUME !


Angleterre à terre... suite
« Schoolboy errors » imprime la Bibici en ses pages numériques, à propos de la performance du XV de la rose.
Tout semblait roulettes rouler en première mi-temps, tant le pack Anglais chipait moult ballons aux rouges pagaille. Ces derniers, mêmes défauts que lors de la CDM, mal organisés, pas de système de jeu patent, subissaient la pression, encaissaient 16 pts, n’engrangeaient qu’une pénalité de 3 petits points, à la juste mesure de leur prestation.
Le jeune ailier Strettle fait un début de match sur les chapeaux de roues, transperçant la défense Galloise, comme nous lui savons ce talent, mais se blesse et sort après son exploit…
Quelques minutes… Wilkinson d’un coup de pied millimétrique, envoie le cuir dans les bras habiles de la nouvelle coqueluche remplaçant de Strettle, venue du treize, Vainikolo (la tof), ce dernier avant de tomber transmet à Flood pour un essai magnifique, réglé comme les Bifs peuvent en pondre dans leurs meilleurs moments. Très belle phase de jeu, rien à dire, sinon à penser que les Anglais vont écraser ces Gallois anarchiques. Il n’en fut rien.
Deux hommes ont marqué particulièrement cette rencontre.
Chez les Gallois, le trépidant crocheteur Hook. Auteur d’un sans faute aux pénalpieds, attaquant avisé, qui renversa le cours des choses par sa présence matoise, même si imparfaite au pied lorsqu'il rend notamment le cuir aux Anglais sans même chercher la touche, en seconde mi-temps.
Chez les Bifs, l’emblématique Gomarsall, chantre incontestable d’une des pires partitions que l’on puisse apprécier sur un terrain de rugby. Une poutre, lentigrade, tête bourrine, demi de mémé poussif, à ne plus remettre sur un terrain, sinon pour brouter du pâtis avec la rumineuse engeance et cornue, encore folle Outre Manche, dit-on…
Ho l’empaf !!! Le nothing, l’enclume !!! Ho le massacreur, le serial killer, le nullissime trois fois trois corniaud, tronche plate et pékin, plus borgne qu’un coco bel œil qui n’entrave rien sinon la progression de ses troupes dominantes, sapées au moral par ses options exsangues de tout !
On dira, c’est pas cool Pilier de taper sur un seul…là où ça fait mal…
Ce dernier de répondre si ça fait du mal, c’est que ça fait du bien… dixit la sagesse de nos vénérables Shadoks, profitant de l’occase pour vengeance crier à la face des Gibis, qui trop souventefois, surent les ridiculiser avec leur Cosmogol 999, plus performant parait-il que la pompe à pomper du vent.
Oui, même s’il n’est pas le seul en cause, puisqu’une équipe c’est avant tout un groupe, le vrai pourtant coupable incontestable, c’est lui. Gomarsall que nous incriminions déjà lors de la CDM en ce Blog délicat, pour sa lourdeur affligeante. Il n’a pas su organiser le jeu, alors que ses avants pilonnaient des poireaux dépassés par les évènements. Ne nous y trompons pas. Les Gallois n’ont pas bien joué… même Hook, très en vue, tatanait comme un sourd dans l’en but Anglais, leur rendant la balle de cette même façon qui ruina leurs espoirs de sortie de poule lors de la CDM. C’était moche, mais de là, chose inattendue, vint le succès.
Les Bifs cafouillaient tous ces ballons servis sur un plateau… même Wilkinson s’y colle, balance un cuir aléatoire au jeune et tout frais rentré Cipriani… on ne pouvait espérer pire entame pour cet ouverture plein de talent, en position de centre cette fois… Balshaw maladroit, pas dans le coup, se fait contrer encaissant un essai, Sackey hésitant, une vraie passoire en défense, Wilkinson se fait griller outrageusement par Gavin Henson, Gomarsall chef d’orchestre du groupe engendre la gabegie générale par des options de jeu déroutantes qui remirent les Gallois dans la course. Deux essais sur des contres, transformés par Hook dans un jour de grâce, plus, pas moins de 4 pénalités bien placées, dues certaines à des fautes évitables. Le score final 26-19 pour un match à marquer dans les annales eu égard à cette incroyable désorganisation Anglaise.
Du jamais vu à ce point, alors qu’ils avaient le match en main, que les Gallois, malgré de belles individualités comme leur arrière Byrne, Henson plutôt malin cette fois et plus en vue que dab, un demi de mêlée solide qui marque un bel essai en coin… Le remarquable flanker Williams... Hook bien sûr... n’ont pas particulièrement rassuré quant à leur stratégie flottante... pourtant gagnante cette fois.
Nous ne pensons pas qu’une telle avanie puisse se reproduire. Virez Gomarsall. Cette équipe Anglaise n’est pas aussi mauvaise que le score pourrait le faire penser…
Même si des signes avants coureurs entamaient déjà insidieux la confiance des Blancs en première mi-temps… qui ne marquèrent qu’un seul essai en ramassant pourtant quasi tous les ballons.
A suivre, nos petits bleus en pingre Ecosse ?... sans Fritz hélas.
© Le Pilier

02 février 2008

ANGLETERRE VS GALLES: LA PALME (bis)


Les pines de rose
Ho ! Ho ! On peut dire la couffe !!! La grosse couffe !!! Les Bifs nous gratifient là d’un match historique… rare… de légende… bravo… une œuvre des sommets… claire, lisible, compréhensible à tous… pas la bavure petit bras qui vous laisse du regret… non non !!! Du pur Gaston pour mouette rieuse, à se fendre la poire de Queen sur croupion médusé...
Du franc, de l’énorme, du monumental donc !!! La gabegie boursière qui pointe… la crise mondiale… le gouffre… niveau sup couillonnade… savate au lard… rugby de moufles, bonnet de nuit et gros ronron… enclume sous l’édredon. Pour sûr les zoreilles vont siffler Outre-manchettes du Sunday qui vient… bouboules quiès vivement conseillées.
Quoi que l’on puisse penser du singulier Pilier, force sommes-nous de constater son incomparable pertinence. Le Tournoi Européen c’est bien du petit rugby !!!!!!
Quand nous titrions notre récent papier "la palme", nous ne soupçonnions pas de tels effets !!!
Les Anglais livrent le match aux Gallois 26-19, sur un plateau de gaffes !!! Ces derniers, qui n’ont pas bien joué, n’avaient pas gagné à Twickenham depuis vingt ans… C’est plutôt les Bifs qui ont perdu, mais sur les tablettes, même effet !
Nous en causerons later, analyse du match, et autres mignardises des joujoutes aux six Nations molles du nouge.
Pour l’heur, en photo le plus bel homme du match, David Strettle, blessé, mis out, en début de rencontre… bien hélas.
A suivre donc.
© Le Pilier